(han strop mignon ce que tu as écrit, on s'y croirais, dis moi tu as déja couché avec une succube allez avoue x] en parlant ro; je crois que ma tortionaire tendre de file t'attend ^^)
Se faire réconforter dans un moment pareil, c'était vraiment des plus étranges pour Aya, en général, on lui disait des mots cru et on ne s'embarassait guere de paroles et de préliminaires, n'en fut pour lui déplaire, bien au contraire. la vie d'une succube se résule a une chose: enfanter. Et pour trouver l'homme capable de lui prodiguer un héritier ou une héritiere, il faut en essayer... Et elle en a essayé en pres de 7 siecles, ses deux enfants sont née dans une periode de moins de 20 ans. Enfin, se faire rassurer sur le fait d'etre une bonne mere donna des ailes a Aya, facon de parler bien sur. Elle en fut tellement heureuse qu'elle martyrisa de plaisir la perle des passions de sa partenaire. Elle prenait son plaisir elle aussi, en l'écrasant sous de legeres pressions avant de le pincer en douceur et de le masser pour apaiser ses sensations, elle prenait toutes les précautions pour ne pas la blesser, elle aimait l'entendre gémir. Soudain, ce fut la morsure, Aya poussa un petit cri, plus de surprise que de douleur, mais la jeune fille interpreta mal ce signe et s'excusa profondément. Aya lui sourit tendrement sans lacher sa tete et lui chuchota avant de lui lecher l'oreille
Ce n'est pas grave, je suis une incarnation des désirs, ce que tu me fais ne me fait que du bien, tu peux me mordre tant que tu veux, j'aime les petites douleurs charnelles.
Et c'était vrai, ce n'était pas le masoshisme de la femme aimant se faire fouetter et battre, mais se faire mordre tendrement parce que sa partenaire subis de si profonds assaut, la rend toute folle, du coup, elle ne peut lui en vouloir, a juste titre. Mais ce n'était pas suffisant pour la rassurer, Kohana embrassa et lecha la blessure de la succube, comme si c'était un animal qui se lechait ses plaies, Aya en était toute frissonante, ces caresses avaient maintenant de plus en plus d'effets, non pas sur son intimité, don les levres se retroucaient lentement sous les caresses de la petite fille, mais surtout des caresses sur sa poitrine, sur son ventre... De la présence coupable de cette fillette au coeur d'or.
C'est alors que leur étreinte prit fin, l'intimité de la succube commencer a déverser un liquide legerement teinté d'or dans l'eau alors que la main douce de l'étudiante la quittait, sa poitrine était gorgé de sang au point de lui faire presque mal d'une telle dureté, ses tétons étaient a leur sommet d'excitation et d'une immence sensibilté. Tout, absolument tout, son corps demandait a aller plus loin mais toutes les caresses s'estomperent comme la brume chassé par le vent. Aya soupira, il semblait clair qu'elle avait peur de faire mal et par consequant elle s'arretait tout simplement. Mais le succube insista de son coté, ne voulant pas que la chaleur qui montait en fleche dans son corps ne la brule, elle déchargeait toute son envie dans des caresses sur la perle rose de l'antre des désirs de sa partenaire.
Peut etre que ce n'était pas pour s'arreter, mais plus pour se faire désirer que Kohana avait mis sa distance, elle lui attrapa la main, trempé d'eau et aussi legerement souillé par le plaisir de la jeune fille avant de se mettre a sucer goulument ses doigts, envieuse de combler cette dame qui offrait son savoir sans rien attendre en retour. Aya retira lentement sa main pour venir l'embrasser, mais le baiser qu'elle recut ne fut pas sur ses levres, enfin si, mais sur les levres intimes de son corps, retroucé de plaisir et pretes a acceuillir le providenciel plaisir. La langue fine et douce de l'humaine glissa en elle sans difficulté et entama un petit tour du proprietaite en faisant gémir Aya qui griffa les épaules de sa compagne sous l'immense plaisir de cet acte incongru et d'une longueur éphemère, il ne fallait pas non plus qu'elle se noie en voulant plaire.
C'est alors que kohana se redressa, inspirant de maniere sonnore, les yeux rivé sur ses pieds, cachant sa vue brune aux bleu azur d'Aya. Amusé, la succube passa la main sur l'intimité de la jeune femme, caressa les levres de cette petite humaine pleine de surprise, puis remonta, tournant autour du nombril, passant dans le creux de sa poitrine et enfin, lui ris le menton. Elle la releva, la forcant a soutenir ses yeux mi clos alors que leurs levres se scelerent dans un doux baiser, nul langue tenta une aventure en terre promise, c'était un simple baiser plein de tendresse qu'elle lui offrait. Ses ailes frémirent de plaisir alors que ses mains s'appuyaient sur ses hanches pour la coller contre elle.
Laissant sa queue derriere elle, la succube passa une cuisse entre les jambes de la jeune fille et lui frotta tendrement son intimité alors qu'elle décolait ses levres d'elle.
Si... si tu veux me faire l'amour Kohana, dis le moi, ne te jette pas sous l'eau comme ca, il y a moins profond si tu le désire... Enfin, je sias pas comment dire ca... Tu veux vraiment me faire l'amour? je... je ne sais pas si je serais a la hauteur, en... En général c'est moi qui choisie mes proies, pas l'inverse, donc je ne sais pas si je te plairais...
Elle avait peur, c'était une grande premiere, elle n'avait jamais été soumise a ce point! La plupart du temps, ce que les gens prenaient pour un heureux hasard était en fait le fruit de son machiavélisme, chaque homme ou femme qu'elle avait rejoint dans un lit était murement calculé, Kohana était totalement imprévue, ce qui la rendais un peut nerveuse, mais terriblement envieuse. Sans attendre la réponse de la jeune femme, la démone garda sa prise sur ses hanche en reculant vers des eaux moins profondes et aussi bien plus chaudes. Les vapeurs s'insinuaient entre les grandes ailes noires de la succube alors qu'elle n'avait de l'eau qu'a mi cuisse. Pourtant, elles n'avaient pas froid, la piece était concue de telle sorte qu'il fasse toujours une grande chaleur a l'interieur.
Kohana, avant que tu n'aille plus loin, essaye de ne pas tomber amoureuse de moi, je ne suis bonne que pour briser des coeur, je ne voudrais pas que tu souffre de ma sautise.
Elle l'embrassa tendrement, laissant ses seins se frotter aux siens avec une pointe d'envie, l'humaine pouvait seentir sans mal les courbes dures du démon qui lui prodiguait des caresses interdites, laissant une de ses mains caresser son anneau de velour alors que l'autre montait sur sa nuque.