Le soleil a fini de rayonner, laissantla place de la lune. Les humains vivants une vie normale, sans chercher à trouver une voie ou montrer sa force, partent se couher, mais des êtres humains assoifés de crime, de force ou de sangs surgissent telles des ombres sous le soleil levant.
Pour Rosario l'envi de faire couler un peu de sang devenait insupportable, cela faisait bientôt un mois qu'elle n'avait pas tué quelqu'un ou fait une mission, la veille elle fit une demande pour faire un raid dans les quartier de la Toussaint et décimer les personnes nuisibles. La réponse eut à peine le temps d'être lu que la ninja était déjà en marche vers ce qui allait devenir le théâtre d'un massacre sans nom.
Les couloirs de ce quartier malfamé résonnait de bruit de vol, viol et tout autres choses plus ou moins réjouissante, Rosario prit sa véritable forme, les deux dagues pendant à sa ceinture, elle se mit à monter sur le toit et courir sur les tuiles, certaines se déchaussant de leurs emplacement après son passage, tombant près des quelques ivrognes décuvant leurs alcools ou catin racolant tout ceux ayant de l'argent en apparence.
Ambiance C'est alors qu'elle s'arrête, fermant les yeux et attendant sagement. Puis elle se pencha vers le vide, sortant ses dagues et laissant son corps tomber dans le vide, les lames prêtent à frapper. Le premier mort se fit entendre, un dealeur qui avait commit l'erreur de vouloir vendre une drogue sous le nom de celle vendue par la ninja, puis elle se mit à courir le long de la rue, tranchant carotide, tendons, s'arrêtant pour imprégner dans la pupille des survivants une dernière image, celle de la tueuse, avant de mourir tout simplement.
Personne n'en échappa, que cela soit homme, femme, enfant. Partout où la ninja passait, le fléau et la mort suivaient, comme de fidèle compagnon.
vint un instant où elle s'arrêta près d'une place délabrée, attendant visiblement un évènement particulier, une femme enceinte approcha pleurant son fils mort et implorant la demoiselle de cesser sa tuerie, la pauvre femme vit la lame d'une dague s'enfoncer dans son ventre et ouvrir le corps en deux, dispersant tout ce qui s'y trouvait par terre, la femme hoqueta, puis fut prise de convulsion avant de mourir, vidées de son sang.
Le silence prit la place des cris du carnages, laissant la demoiselle seule entourée de cadavre, ses vêtements et son corps ruisselant du liquide vermeille de ses victimes.
La tueuse souriait, son souffle rapide, ses pupilles dilatées sous les émotions, elle était joyeuse, cela se rapprochait presque de la jouissance, puis elle se mit à lécher son bras gauche, se délectant du sang frais comme un chat adorant le lait.