Que tout s'accélére, en une cadence effroyablement passionnelle, glaçait le jeune homme. Il se sentait endiablé, lui-même, emporté par un sentiment qu'il ne connaissait que trop bien, et qu'il avait appris, trés tôt, à ne pas combattre ... S'il désirait quelque chose, il l'avait toujours eu. Encore une fois, la preuve était là. Il s'installa, d'abord, sur le bureau, s'asseyant sur le bord, non sans cesser tout contact avec la jeune femme. Puis il décida que, décidement, tout cela n'était pas assez corsé pour lui. Son coeur bondissait, lui offrant milles idées et milles frissons à la secondes, chaque fois qu'il sentait la peau, le corps d'Arzhela contre le sien.
Soit ... Que la pulsion agisse.
Sa main, contre le sexe de la jeune fille, vint trouver un appui, ses caresses devenant plus désireuses, passionnelles, enlaçant avec désir sa peau. Son index glissa doucement entre ses lèvres, effleurant son clitoris, pour venir l'exciter davantage. Son autre main, habile, glissa sur une de ses fesses, glissant le long de la cuisse, la relevant pour la plaquer contre lui. Il attendit que la belle daigne caler une de ses mains autour de sa nuque, pour se relever, l'emmenant avec elle, la plaquant avec délice et vigueur contre le mur, non loin d'eux.
Diable, qu'il aimait cela ... La sentir ainsi contre lui, amusé et un brin victorieux, une main contre sa peau, pour la retenir contre lui. Elle n'était même pas lourde à porter, ainsi ...
Il avait fait cela dans le seul but de la contenir contre lui. Il sentait ainsi, presque écrasé, le torse de la jeune femme contre le sien, qui se soulevait à chaque respiration, caressant sa peau brûlante. Il savourait ainsi ses baisers, sans aucune honte, puis vint plaquer sa bouche contre son cou, pour adresser quelques douces morsures à cette peau délicieuse. Il n'avait même pas honte de sentir son propre sexe réagir face à ces élans de passions. Il était bien un homme, rien à redire là dessus.
Brusquement, sans prendre gare, son majeur passa outre la barrière de ses lèvres, pour venir s'engouffrer en elle, massant les parois chaudes de son sexe, tandis que son index continuait son manège, caressant son clitoris avec passion . Il connaissait bien des techniques, acquises à Paris ... Et les femmes restent des femmes. Il ne trouvait rien de plus séduisant que la voix de l'une d'elle, soupirante, contre lui. Au nom de ce son enchanteur, il ne comptait pas s'arrêter là. Mais il ne voulait pas abattre toutes ses cartes, certes ...
Doucement, sa bouche revint lui voler un baiser, sa main retenant sa cuisse contre lui recommençant à caresser sa peau.