alors que j'aide les chasseurs à emmener la dernière bête sur les établie de dépeçage et ou les ogresses s'occupe ensuite de les préparer pour la cuisson, j'entends l'une des ogresses grogner après les jeune ogres autour de la cage.
GROAAAA... gnark graoookaa.
(HEY les enfants! laisser cette femelle tranquille, elle n'est pas pour vous!)
je me retourne et vois que l'humaine est fermement maintenue sur un coté de la cage, sa tête tirer vers l'arrière par une main d'un des jeunes ogres qui lui tire les cheveux, d'autres mains lui tiennent les bras et les jambes écarté, alors que d'autres nombreuses mains parcours son corps, malaxant ces gros seins, ces fesses, caressant ces bas, ces jambes, ces cuisses, son ventre, son dos, des doigts caresses ces orifices génitaux, même sa bouche est prise d'assaut.
les cris qu'elle pousse son excitant et je comprend certain des jeune ogres qui ont déjà baissé leurs pagne pour libérer leurs bites tendu d'une vingtaines de centimètres, une belle taille pour leur jeune age.
mais l'ogresse à bien fait de les rappeler à l'ordre, sa aurais été dommage qu'ils abiment mon offrande pour ce soir.
je vois les jeune ogres lâcher l'humaine en poussant de petit grognement d'insatisfaction, retirer leurs mains de la cage et partir en courant tout en remontant leurs pagne pour ceux qui l'avait descendu, je ris en voyant l'un des jeune ogres tomber à terre la tête la première en essayant de remonter son pagne, puis m'approche lentement de la cage.
l'humaine s'écroule à terre, essoufflé et en pleure, elle doit sans doute être rassuré que ces petit obsédés soit partie, sont corps est maintenant marquer de rougeur au endroit ou ils l'ont caressé et malaxé, ils n'y sont pas aller de main morte, mais ils faut les comprendre, ils sont jeune et mélangé à l'excitation il n'arrive pas encore à contrôler leurs forces.
arrivant juste à coté de la cage, je lui dit.
j'espère qu'ils ne t'ont pas fait trop mal ces petit garnements HA HA HA!
le soleil commence à se coucher, deux ogresses s'approche de la cage, l'ouvre et sorte l'humaine en là prenant chacune sous un de ces bras, l'humaine à les cheveux en bataille, son corps est sali de ma bave séché, de poussière et de traces noir des mains des jeunes ogres. les ogresses l'assois sur la cage et lui écarte les jambe sans ménagement, elles sont brusque, l'une d'elle la tiens alors que l'autre s'accroupie et amène ces mains écarter largement les grandes lèvres vaginal de l'humaine qui cris de douleur ou de peur, je ne sais pas et sa met égale, au contraire sa m'excite et je suis sur qu'il n'y à pas que moi dans les alentour que sa excite.
tous savent ce qui se passe quand un tell trophée est rapporter au camps et ils sont tous impatient, moi aussi , mais chaque choses en sont temps.
l'ogresse accroupis se relève, se retourne vers moi et me dit.
ogriis marrgraaos irraos grrryh
(c'est une très jeune femelle que tu à capturé et vierge en plus...)
en entendant cette nouvelle, je regarde cette jeune humaine avec un grand sourire qui montre mes dents mal entretenue, moi qui pensais vue ces courbes qu'elle avait un certain age avancé, je me suis trompé, en plus qu'elle soit vierge est encore mieux que ce que je pensais, les ogresses détermine facilement l'age des humaines ou des terranides et leurs virginité même si il y à une faible probabilité pour qu'elles se trompent, elles ont presque tout le temps raison.
écoute moi jeune fille, elles vont s'occuper de toi, te laver et te préparer, tache cependant de ne pas les énerver, elles savent très bien se faire respecter si tu joue là rebelle...
à peine ai-je terminer ma phrase que les deux ogresses lui attrape chacune un bras, la font descendre de la cage et pour lui donner un exemple de ce qu'elle pourrait subir si elle ne se laisse pas faire, une des ogresses lui donne un violente claque sur les fesses, dont le claquement sec se répercute sur plusieurs mètres au alentour suivie du cris de douleur de la jeune humaine.
ensuite je les vois emmener cette jeune femelle en la soulevant de leurs bras, ces pieds trainant sur le sol, la marque rouge de la main de l'ogresse qui viens de la fesser sur sa fesse.
on vas bien s'amuser c'est sur, je me dit alors que je vois cette jeune créature partir avec ces accompagnatrices.
mais alors que j'allais partir à mes occupations en attendant que la nuit tombe, je me rend compte que depuis les quelques mois que je vis au camps, à chaque fois que nous avons capturé ce genre de proie je ne me suis jamais soucié de leurs préparation, c'était le jour d'en apprendre plus sans doute, puisque ma curiosité me pousse à les suivre jusqu'au lac qui se trouve prêt du camp, je reste à distance et admire le spectacle.
les ogresses jettent la jeune humaine à l'eau avant de la rejoindre, leurs mains commence à parcourir tout son corps en le frictionnant vigoureusement, elles commencent par ces épaules et descende progressivement, le dos, la poitrine, le ventre, les fesses, le bas ventre, ses intimité anal comme vaginal mais sans la pénétré, ces cuisses, ces mollets, ces pieds, ces bras et terminent en lui plongeant la tête sous l'eau pour lui frictionner le visage et le crane.
pendant ce traitement les cris de la jeune humaine m'excite au plus haut point mon pagne est de nouveau déformer par mon énorme barreau de chair.
les deux ogresses la laisse respirer quelques secondes avant de la tirer hors de l'eau, l'amènent sur le rivage sans ménagement, le corps de la jeune femelle est rouge vif, pendant que l'une la surveille, l'autre part chercher deux moitié d'écorce d'arbre remplie d'une substance marron claire épaisse et visqueuse.
chacune d'elles en prend dans leurs mains et tartine tout le corps de la jeune humaine, n'oubliant aucune parcelle de son corps, des pieds à la tête, la jeune humaine est recouverte de cette substance, elle à les yeux fermer et panique, mais les deux ogresses n'en n'ont que faire, elles la tourne et la retourne, apparemment le soleil à un rôle important.
quelques longue minutes passe avant que les deux ogresses la jettent à nouveau dans l'eau et la nettoie pour enlever cette substance, quand elles la ressortent la jeune humaine n'a plus une marque rouge sur le corps, redevenue aussi blanche que de la porcelaine, c'est vraiment impressionnant.
tout ceci fini elles là ramènent à sa cage, le soleil montre ces dernier raillons avant que les ténèbres n'envahissent la jungle, c'est alors le feu qui éclaire le camp, l'odeur de viande en train de cuir arrive à mes narines c'est bientôt l'heure de manger, ensuite sa sera la fête.