Pour le silence. [PV : Hiro]

Elle me promit de se tenir loin du palais de justice, du moment que je lui laisse son honneur… Décidément, cette petite avait le don de me faire rire. Évidemment, je ne pus qu’accepter cette requête. Toujours la caressant au travers de ses sous-vêtements je plantai mon regard dans le sien

Bien sûr, si j’ai offert une chance à un traitre de retrouver son honneur, je peux bien te permettre de préserver le tien…. Il faudra simplement que tu fasses tout ce que je te dirai de faire, comme une bonne esclave et ce sera aussi plaisant pour toi que pour moi, daccord? Oh et une dernière chose…

Je cessai soudainement mes caresses, me relevai vers son visage et la saisi par la gorge, mon visage à quelques centimètres du sien.

Si jamais, pour quelconque raison, je te vois au procès, je retrouve tous ceux que tu as aimé ou ne serait-ce qu’apprécié, crois-moi, je suis doué pour retrouver les gens, je les aligne ici à genoux et je les exécute, un par un, sous tes yeux  impuissants, et ensuite je te tue. De plus, avant que je ne t’explose la cervelle, tout ce que tu ressentira, c’est la douleur de t’être fait déchiré tous les orifices de ton corps par des hommes membrés comme des chevaux, me suis-je bien fait comprendre?

Je la relâchai alors Arménya, puis lui retira sa robe en toute délicatesse, la laissant glisser jusqu’au sol. Se retrouvant en sous-vêtements devant moi, toujours sur le dos, elle me regardait lui retirer alors sa culotte.

J’avais envie de gouter à la cyprine si abondante qui dégoulinait sur ses cuisses. J’approchai alors ma bouche, caressant les lèvres et le clitoris avec ma langue. Oui, même si je n’étais pas encore à l’intérieur, je devais avouer que tout ça me stimulait grandement…

Je m’arrêtai alors, n’y tenant plus, retirai mes vêtements afin qu’ils soient épargnés des ébats, et les envoyai plus loin. Je n’étais pas encore en pleine érection, mais bientôt ça allait le devenir, avec l’aide de ma charmante prisonnière…

Maintenant que tu es prête, c’est à mon tour d’être préparé. Allez, viens faire glisser ta bouche sur ma hampe…

Lui obéir comme une bonne esclave, ce n'était pas ce que j'appelais me laisser garder mon honneur mais bon, je n'avais plus le choix car avec l'aphrodisiaque plus les attentions de l'avocat, je ne pensais plus qu'à me faire prendre. J'avais tenu jusqu'à là, gardant un peu de lucidité, mais maintenant, j'étais toute à lui et ne penser qu'à le satisfaire pour qu'il fasse de même avec moi. Voilà pourquoi je répondais oui d'un hochement de tête et ne répondais pas par la violence lors qu'il me menaça. Si j'avais été dans mon état normal, j'aurais pris sa main, lui aurais cassé le pousse, et annonçais que je n'avais personne à qui je tenais. La seule personne que j'avais aimé étant déjà morte. Pour les menaces de viol, je lui aurais dit que ma capture n'aurait pas été sûre car mettant fais avoir une fois, j'aurais été beaucoup plus prudente. Enfin bon, là je n'étais pas mon état normal et ne faisait que hocher affirmativement la tête à nouveau.

Ensuite, je me laissais déshabiller par mon geôlier qui faisait à nouveau preuve de grande délicatesse et quand il commença à lécher mon intimité, je ne pus retenir mes gémissements et sans le vouloir, je commençais à me cambrer. Ces attentions finirent complètement de me soumettre à l'aphrodisiaque et quand celui qui allait devenir mon partenaire cessa. Je poussais un véritable cri de frustration et le foudroyais du regard alors qu'il se déshabillait. Cette action me parut bien trop longue et quand il m'annonça que c'était à son tour d'être préparé et qu'il voulait une fellation. Je ne me fis pas prier pour me jeter à genoux devant lui et prendre son membre en bouche. Je n'avais encore jamais pratiqué de fellation c'est maladroitement que j'appliquais ma première sur le membre viril de l'avocat, je descendais et remontais tant tôt rapidement, tant tôt doucement et m'enfonçais  parfois son pénis jusqu'à ma glotte. Mon but était que sa hampe se dresse le plus vite possible pour qu'enfin il puisse me prendre et satisfaire le manque ignoble que je commençais à ressentir dans mon bas-ventre.

Le désir de se faire prendre, et l’instinct qu’ont tous les humains pour le sexe, pallient généralement  au manque d’expérience, et cette fois n’échappait pas à cette règle. En effet, même si je sentais qu’elle était maladroite, et qu’elle ne semblait pas tout à fait à l’aise avec cette fellation, je dois dire qu’Arménya était vraiment doué, prenant ma verge quelques fois au complet dans sa gorge… C’était vraiment plaisant, de plus qu’elle n’avait pas hésité à se jeter à genoux pour venir me faire plaisir… Quoique si elle continuait comme ça, il n’y aurait plus d’Hiro pour très longtemps!

  Bon ça suffit

Je la fis se lever, puis l’allongeai avec douceur sur la table, sur le dos. Les jambes écartées, elle me regardait avec ce regard qui dit tout ; « Mais qu’est-ce que tu attends? ». Elle avait le don de me faire sourire… Mais pas pour les bonnes raisons, si vous voyez ce que je veux dire. Depuis le début de cette aventure, elle avait le don de me provoquer… Je n’attendis plus longtemps et j’enfonçai ma hampe bien dure dans sa petite chatte déjà trempée. Malgré le fait que je glissais facilement en elle, j’y allais tout de même tranquillement, peut-être pour la frustrer un peu plus, mais surtout car y aller trop fort lors de la première fois pouvais faire mal, sacrément mal, même s’il y avait un aphrodisiaque dans l’équation.

Je sentis alors quelque chose de relativement mince qui me barrait la route… Un petit coup et… rien. L’hymen ne s’était même pas déchiré!

Même quand tu ne le fais pas exprès, tu as le don de me provoquer! Il est vrai que tu n’es pas comme les autres, mais je vais prendre ce qui m’est dû.

Je me mis alors à marteler son hymen à grand coup de bassin. Après une minute environ, il finit par céder, un léger filet de sang se mit à couler, puis ce fut tout. Un petit rire de victoire sorti de ma bouche, me pouvais enfin y aller comme je le souhaitais, et je le fis. On pouvait dire que j’avais le cœur à l’ouvrage!

Les coups de bassins inlassables et répétés faisaient gémir la jeune femme… Je ne savais même pas si elle était majeure, et je la violais, avec son « consentement » cependant, et n’avais même pas pris la peine d’utiliser un préservatif! Je commençais à me croire un peu idiot… Mais bon, je ne crois pas qu’elle aurait porté plainte de toute façon. Enfin, je l’espérais sincèrement.

Mais ce n’était pas le moment de me déconcentrer, le moment présent importait, tout simplement. Alors que mes reins faisaient un travail considérable, mes mains caressaient tout son corps bouillant et mes lèvres, et mes dents, s’attardaient sur son cou.

Tout d’un coup, j’en oubliais presque qu’elle n’était qu’une cible, un témoin dont j’avais reçu la commande de faire taire…

La fellation que j'administrais, même maladroitement, semblait faire son effet sur l'avocat car je pouvais sentir se dresser et durcir son membre dans ma bouche. Ce qui ne m'empêchait pas de continuer à le prendre en bouche alors que je savais qu'il était prêt, tant que l'avocat ne me disait pas de cesser, je continuerais, il voulait que je lui obéisse comme une bonne esclave et une bonne esclave ne cesse que quand son maître le lui dit. Ce qu'il finit par faire d'ailleurs, me faisant en même temps me lever pour finir par m'allonger à nouveau sur la table qui allait être le support de nos ébats. Enfin, le moment que l'aphrodisiaque me forçait à vouloir aller arriver et mon impatience devait se voir sur mon visage car mon partenaire se mit à sourire avant de m'embrochait fermement, mais avec quand même une certaine douceur. Ce premier acte me fit avoir un cri de plaisir mais bien vite, je sentis comme une gêne dans l'avançais de ce membre en moi. Il semblait que même sans le vouloir, je donnais une dernière résistance à mon agresseur.

Cette résistance semblât exacerber l'avocat qui oublia la douceur jusqu'à enfin, il détruise ce dernier rempart en grand coup de bassin qui me firent pousser plusieurs gémissements de douleurs. Cependant, il furent réduit à néant par le dernier coup qui marqua la victoire d'Hiro dans le sang rependu par mon hymen. En effet après ce dernier coup qui m'arracha un ultime gémissement de souffrance, ce ne fut plus que cris et gémissement de plaisirs, gémissement qui s'intensifièrent car mon bourreau revenait à sa douceur primaire et caressait mon corps qui ne réclamait plus que cela. Pour ma part, je passais mes mains dans le dos de l'avocat et l'attirais fermement contre moi, je voulais sentir son corps contre le mien. Pourquoi, je ne le savais pas, c'était juste une envie et là, je ne pensais plus qu'à la satisfaire. Le même genre d'envie me poussa à caresser son dos nu pendant qu'il me prenait, me transperçant pour mon plus grand plaisir de son dard que j'avais dressé de ma bouche.

Je me laissais donc envahir par ce plaisir qui mettait donnée par cette personne qui était encore il y a quelques minutes un ennemi, ma sensation de manque commençait à disparaitre, cependant, elle était encore présente et c'est pour cela que j'allais au devant des coups de reins qui me transperçaient. Je voulais que le plaisir que je ressentais soit le plus important possible et c'est pour cela que je forçais le corps de l'avocat à écraser le mien, comme si je voulais qu'il s'incruste en moi. Je me donnais donc à Hiro de tout mon corps et mon être. Même si l'avocat m'avait plus ou moins forcé à avoir cette relation avec lui, je ne la regrettais pas. Parole d'une jeune femme qui faisait sa première rencontre avec l'amour, peut-être. En tout cas je passais le moment le plus agréable de ma vie et je contais le vivre à fond.

D’après ce que je pouvais constater, l’aphrodisiaque faisait plein effet, elle ne semblait plus  répondre qu’à son désir de sexualité, et par conséquent, à moi. Ça marchait bien, trop bien, je commençais à croire que j’en avais trop mis… Pourtant, j’avais souvent  utilisé cet aphrodisiaque sur Terra, l’utilisant sur de futurs esclaves… Mais on aurait dit que sa libido avait monté en flèche, beaucoup plus que les autres… Quoique je n’étais pas là pour me plaindre!

Elle me serrait très fort contre elle… Arménya avait une force extraordinaire, ce n’en était pas croyable! Elle aurait facilement pu me broyer les os, puis s’enfuir, mais elle avait toujours besoin de moi pour assouvir ses pulsions, et je n’avais pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin!

Le rapprochement qu’elle avait fait entre nous deux m’avait permis d’aller plus profondément en elle, je décidai donc que s’était le bon moment pour accélérer la cadence. Mes coups de reins s’accentuèrent, ainsi que  les gémissements de la jeune femme. Le « passage » en elle devenait de plus en plus facile, ma hampe ayant ouvert la voie. Cela me permettait d’aller encore plus profondément en elle, allant même jusqu’à taper sur le col, ce qui n’était pas si désagréable, tout compte fait! Le problème, c’était que… que…

Ahh merde! Je viens!

Je n’eus que le temps de sortir d’elle que le sperme sorti de ma verge, allant atterrir sur l’estomac de ma partenaire. Un petit rire sorti de ma bouche.

Héhé désolé, je ne voulais pas te viser! T’inquiète, on peut recommencer dès que tu seras prête, et peut-être voudras-tu chevaucher cette fois?

Avant de m’allonger à mon tour sur la table, je lui tendis une serviette, afin qu’elle s’essuie le liquide gluant qu’elle avait sur le ventre. Ma verge avait retrouvé son « état de repos », mais je ne doutais pas qu’Arménya ne se jette dessus pour la faire redevenir dure comme du bois.

"Ah, non pas déjà." Telle était ma pensée quand l'avocat annonça qu'il allait venir. Ces paroles me frustrèrent au plus au point car si l'avocat était arrivé au paroxysme du plaisir, cela n'avait pas été mon cas, j'en avais été proche, mais je n'avais pas eu droit à la libération finale. Alors oui, j'étais frustrée et à un point que je n'avais encore jamais connu, surtout que mon partenaire se mit à rire au moment où il souilla mon ventre. Là, je ne pus me retenir et c'est en lui jetant un regard noir que je pris la serviette qu'il me tentait.

-Oh oui, on va recommencer et je compte bien te faire recommencer jusqu'à enfin, je sois totalement satisfaite.

Ces paroles, si éloignaient de mon tempérament habituel, avaient été dit d'un ton si agressif qu'il en aurait fait frémir n'importe qui. Surtout que je ne plaisantais pas et à peine eus-je fini de me nettoyer que je reprenais le membre de mon partenaire en bouche pour qu'il se dresse fièrement. Et si j'avais été maladroite la première fois, je me trouvais maintenant être agressive et pour cause, je voulais que ce membre se retrouve le plus vite possible en moi. C'est pour cela que j'accélérais ma cadence dans l'espoir de faire dresser l'objet de mes attentions le plus tôt possible.

Enfin, quand j'eus atteint mon objectif, je poussais un véritable soupir, le moment de repartir dans mes ébats étaient venue. Me mettant en positions au-dessus de l'avocat, je me laissais donc tomber sur la verge dressée de mon partenaire et laissait son sexe s'enfoncer complètement et jusqu'à la garde dans le mien, ce qui me fit pousser un énorme cri de plaisir. Pour la suite, forçant sur mes jambes, je commençais à faire coulisser sa verge dans mon sexe, la faisant s'enfoncer le plus possible dans ce dernier. Pour le reste, je prenais les mains de l'avocat et les plaquer sur mes seins. Le message était clair, je voulais qu'il s'occupe de ces derniers sur le champ. Le plaisir remontait et cette fois si, je contais y aller jusqu'au bout.

Elle poussa un cri de rage et me jeta un regard qui aurait pu en faire trembler plus d’un, mais pas moi. Je ne suis pas le genre d’homme qu’on peut avoir par la menace, je n’ai jamais vraiment éprouvé la peur, de qui ni de quoique ce soit, excepté ses créatures sur Terra, dans les landes dévastées, mais encore, on m’a appris à les contrôler… Enfin, ceci est une autre histoire. Elle m’arracha à nouveau un rire lorsqu’elle essayait de me faire comprendre que c’était elle la patronne et qu’on arrêtait quand elle voudrait… Qu’elle continue à être si provocante et je peux lui assurer que je vais lui montrer c’est qui le patron… J’avais été très tendre avec elle, mais je pouvais très bien changer d’approche.

J’eus un léger sursaut en sentant mon membre se faire gober une nouvelle fois par la jeune femme. Si la première fois elle y allait doucement  et maladroitement, cette fois elle y allait très rapidement, probablement pour me faire durcir une nouvelle fois pour ensuite pouvoir continuer…  Une fois sa besogne achevée, Arménya s’empala sur  mon membre, poussant un grand cri de plaisir. Continuant de faire glisser son corps sur ma verge, elle prit mes deux mains et les mit sur sa poitrine… Je souris en coin puis me relevai, comme pour m’asseoir, et les portai à ma bouche, suçotant et mordillant les tétons de chacun, les rapprochant avec mes mains pour pouvoir alterner rapidement entre les deux. De plus, avec mon bassin, je donnai des coups synchronisés avec le rythme de la jeune femme, histoire d’aller encore plus  loin en elle, et pour accélérer le rythme un peu aussi.

Le seul problème avec cette soirée? L’aphrodisiaque. Il semblait agir avec beaucoup plus de force sur la jeune dame, la forçant à prendre ce qu’elle souhaite, et de ne faire qu’à sa tête. Ça c’est très mauvais signe, mais peut-être qu’avec un peu de temps, elle redeviendrait plus raisonnable, et comprendre que si elle s’entête, il ne lui arrivera rien de bon…

Il allait falloir que j’aie une petite discussion avec Hitovo, mon frère cadet, pour savoir ce qu’il m’avait procuré comme aphrodisiaque, car on aurait dit qu’il était beaucoup plus puissant que ce que je lui avais commandé.


[HRP] Désolé Court [/HRP]

[HRP] Pas grave, moi aussi je fais cours parfois. La preuve.^^ [/HRP]


Si j'étais dans cet état, c'était effectivement à cause de l'aphrodisiaque mais il n'était pas complètement responsable. Le principal responsable de cette envie soudaine et puissante était surtout moi-même. Sans le vouloir, en me piquant avec la seringue d'aphrodisiaque et en me caressant, l'avocat avait fait céder la barrière de volonté que je mettais à toutes mes envies et pulsions. Pourquoi croyez-vous que je suis habituellement si calme et réservée, c'est pour mettre un barrage à mes envies qui n'ont rien à faire dans un monde humain normal. Pensez-vous vraiment qu'il est normal de vouloir escalader la structure d'une grande tour en pleine nuit juste pour le plaisir ou que déraciner un arbre pour le lancer au loin soit un truc à faire devant monsieur et madame tout le monde. Voilà pourquoi je parais aussi renfermé et froide, faire tout cela m'attirerait beaucoup de problèmes. Le seul truc, c'est que depuis le moment où j'avais vu le meurtre, j'avais progressivement lâché la bonde à mes capacités et envies et finalement, avec aphrodisiaque comme libérateur, l'envie de sexe qui faisait partie des nombreuses choses que je retenais plus ou moins consciemment c'était libéré totalement. Voilà pourquoi j'étais aussi violente.

Enfin bon, cette envie allait finir par passer, il suffisait que j'atteigne mon objectif, à savoir un orgasme violent et puissant. Et pour le moment, cela semblait bien partir car avec mes mouvements qui étaient suivie par l'avocat, ma monté de plaisir me semblait inexorable. Surtout que les attentions que me dispensaient l'avocat sur ma poitrine me faisait le plus grand bien. C'est pour cela qu'après quelques minutes où je ralentissais le rythme pour le reprendre encore plus vite qu'avant, je finis par obtenir ce que je voulais, une jouissance absolue qui me tira un hurlement de plaisir et qui me laissa sans force. Je m'étalais donc sur le côté et ne bougeais plus. Des halètements sortaient de ma bouche et la tension qu'il y avait eu jusqu'à là dans mes muscles retombait. J'étais maintenant dans un état de béatitude complet et ne réagissait plus. Avec mon violent orgasme, l'envie de sexe avait disparu et dans quelques minutes, j'allais surement retourné à mon état normal, hormis bien sûr si l'avocat m'avait préparé encore deux ou trois choses.

Les rythme de nos ralentit, mais seulement pour mieux accélérer de nouveau. Cette soudaine accélération me fit pousser un grognement, parmi les nombreux gémissements de ma partenaire forcée. Soudain, un grand hurlement de plaisir sortit de la bouche de ma prisonnière. Il faut dire qu’elle en avait de la voix, malgré sa petite taille!

Ce fût le moment pour moi aussi de jouir, enfin, j’avais déjà joui une fois, mais je ne pus, que sous ses attentions, jouir une nouvelle fois… Mais cette fois, j’étais venu en elle… Mmh… mauvais. Mais bon, je ne pouvais plus rien y changer désormais… Et de toute façon, j’étais persuadé qu’elle ne porterait pas plainte contre moi, de toute façon, personne ne l’aurait cru, aucune preuve ne me reliait à elle, et je pouvais aisément dire qu’elle avait accepté de son bon consentement, et d’ailleurs, elle ne m’avait pas précisé son âge, j’aurais donc pu facilement feindre la surprise lorsqu’on m’annoncerait son âge… Enfin bref, j’allais aisément faire tourner ça à mon avantage, d’ailleurs, tout le monde a un prix, non?

Je me relevai donc tranquillement, poussant un petit soupir. C’était enfin fini… Je posai alors ma main sur la hanche de la jeune femme, qui s’était recroquevillée en boule, sur ses côtes, dos à moi.

Voilà, c’est terminé, Mademoiselle Arménya. Ce que je vous ai dit à l’extérieur de l’entrepôt, c’était vrai, je n’avais simplement pas précisé Quand cette promesse faisait effet, et c’est dès maintenant, du moins lorsque je quitterai cette pièce, que ni moi ni mes hommes ne vous embêterons, à moins bien sûr que vous vous présentiez à l’audience… Rhabillez vous je vous prie…

Nous nous rhabillâmes tous deux et une fois vêtue, je sortis une nouvelle seringue. Je posai alors une main sur sa joue, pour que mon pouvoir puisse faire effet sur la jeune dame.

Vous comprendrez que je ne peux partir en vous laissant seule ici… Je vais donc vous injecter un somnifère, juste assez puissant pour que vous puissiez dormir jusqu’au matin, lorsque vous vous réveillerez, vous serez dans votre lit, vous croirez que ce n’était qu’un simple rêve.

Je fis donc entrer l’aiguille dans la peau de la jeune femme, injectant le liquide qui se mit à couler dans ses veines. Elle me tomba directement dans les bras, me laissant le soin de la soulever convenablement, puis sortir de l’entrepôt. Deux hommes m’attendaient à la sortie.

Nettoyez le bunker, toute preuve doit être détruite, les corps, foutez les à la flotte, avec du ciment, bien évidemment.

Bien monsieur! Votre voiture est avancée, comme vous l’aviez demandé!

Je remerciai l’homme et alla asseoir Arménya au coté passager, l’attachant avec la ceinture de sécurité. Je pris ensuite place au côté conducteur, conduisant jusqu’à la maison de la jeune dame. Il était tard, et tout le monde dormait, personne n’aurait donc regardé ce qui se tramait à cette heure. J’entrai donc à l’intérieur de son appartement avec un kit spécial juste pour ouvrir les portes verrouillées, puis je l’allongeai dans son lit, la couvrant avec les couvertures, elle ne prit pas de temps à se replacer dans une position confortable pour se rendormir. Je me penchai doucement à son oreille

Au plaisir de ne jamais vous revoir, Arménya.

En route pour mon appartement, je passai un appel assez urgent, enfin, assez pour que je doive réveiller le propriétaire du numéro en question. Une voix rauque et endormie répondit.
Allo?

Père, c’est Hiro. Vous direz à Hitovo de venir sur Terre demain, nous devons discuter…

La voiture, seule sur la route, fila vers le centre-ville, alors que je m’allumai une cigarette. Enfin fini…