Le quartier de la Toussaint, ses lumières, ses différents établissement et ces coins d'ombres.
Joé avait atterrit dans une ruelle sombre, il avait prit un portail lorsqu'il avait fait demi-tour en voyant ce qui restait de ses amis, quelques bout d'os, de vêtement, cela l'avait achevé.
Il avait mit les restes dans une petite bourse qui pendait à sa ceinture.
Le changement de lieu ne le fit pas réagir, il était perdu dans ses pensée, dans le remord de n'avoir rien fait et d'avoir survécu. Des ombres bouchèrent les deux sorties de la ruelle, Joé n'y prêta pas attention et les ombres virent bien qu'il était très vulnérable. Ils approchèrent lentement, le jeune homme remarqua un obstacle devant lui sans réellement le voir il fit demi-tour et vit le même obstacle, il regarda mieux, deux groupes de trois humains.
-Je n'ai pas d'argent. dit-il sans forcer.
La ruelle s'emplit de ricanement, il coincèrent Joé.
-C'est un joli collier que tu a là
-Et il a une bourse, le menteur
Ils dirigèrent leurs mains ver les deux objets mais furent repoussé par un mouvement de bras de Joé dont le visage montrait de la colère, ils ne pouvaient pas toucher ses deux objets. Il reçut un coup dans les côtes et un lui arracha le collier.
-Tss, aucune valeur. Il le jeta par terre et le piétina
Joé poussa un hurlement et se jeta sur le type en lui écrasant la tête contre le mur. Il prit le collier et la sacoche et les serra contre lui. Les représailles furent rapide, l'homme ne pouvait qu'encaisser les coups, ce qui lassa bien vite les assaillant qui le laissait incapable de bouger tant la douleur était présente. Lorsqu'il put marcher, il se remit un marche.
Il trouva un cimetière, il marcha à travers celui-ci, son corps lui faisait horriblement mal comme-ci des milliers d'épées le transperçait. Il trouva un vieil arbre, creusa avec ses mains un trou et y déposa les restes de ceux qui avait été ses amis. Il prit un morceaux de tombe brisé et grava leurs noms dans l'écorce, puis il quitta le cimetière.
Il vit quelqu'un au loin, mais continua à marcher dans sa direction, il était redevenu comme un zombie ne prêtant pas attention à son environnement, il se contentait de serrer le collier dans sa mains droite.