Avec un plaisir non dissimulé, la jeune demoiselle continuait de sucer la queue maintenant bien dure de Bleiz. Elle alternait entre les coups de langue tout le long de sa verge et sur ses bourses, et la prise en bouche totale où elle faisait aller le membre le plus loin possible, jusqu’à sa gorge. Mais son amant finit par se retirer doucement de sa bouche et lui sourire.
« Maintenant ma petite Saori, je veux que tu me déshabille entièrement avec douceur. Puis tu monteras sur le lit et tu te déshabilleras d'une manière sensuelle pour encore m'exciter. Et pour finir tu vas te caresser le sexe devant moi pour te préparer à mon entrée »
Elle s’étonna un peu de la demande mais c’était au fond plutôt excitant. Il la dirigeait comme son majordome le faisait et ça elle aimait. Alors elle lui sourit et commença doucement à remplir son ouvrage.
« Hummmmm… Je ferais ce que tu souhaites… je suis à toi… au moins pour la soirée… hahahah… »
Un léger rire sortit de ses lèvres alors que ses mains habiles allèrent s’emparer du pantalon qu’elles firent descendre le long des jambes musclées. Miss Kido lui fit soulever alternativement les pieds pour le lui enlever. Puis elle passa au boxer qui fut à son tour enlevé avec douceur, lenteur et sensualité. Avec un léger mouvement de jambes, Saori se remit debout.
Elle se mit à tourner autour de lui comme un prédateur. Ses mains vinrent caresser la chemise grise et s’infiltrer sous la veste. Se postant derrière lui, elle fit glisser doucement la veste le long de ses bras pour la laisser choir au sol. Repassant devant lui, un sourire taquin affiché sur les lèvres, elle fit sauter les boutons les un après les autres en se servant de ses doigts fins et agiles. La chemise finit alors par rejoindre la veste par terre.
« Je crois que la première partie du contrat est remplie non ? »
La jeune déesse se recula vers le lit où elle monta juste après s’être débarrassée de ses chaussures, négligemment jetés au sol. Elle se mit à genoux et se mit à doucement déboutonner sa robe blanche sur toute sa longueur avant de la faire doucement descendre le long de ses épaules de poupée. Ses mains caressèrent doucement sa peau alors qu’à genoux, elle écarta les cuisses. Une des mains passa dans sa culotte et commença caresser son intimité lui donnant du plaisir et mouillant un peu plus son sous-vêtement.
Au bout d’un moment, ses mains remontèrent dans son dos et détachèrent son soutien-gorge qu’elle jeta vite au sol. S’asseyant sur ses fesses, elle enleva sa culotte et la jeta, elle, à la tête de Bleiz.
« Deuxième contrat remplit ! »
Se calant contre le montant du lit, les cuisses bien écartées, elle commença à se masturber de manière totalement indécente devant son amant.