Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

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Val’Arrinian

Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

vendredi 05 novembre 2010, 15:11:58

Il marchait depuis plusieurs heures, le village de son « ami », ou plus précisément, d’une de ses relations de travail avec qui il avait beaucoup eu affaire. Et c’est justement pour cela qu’il allait le voir. Il portait sur son dos un gros sac à dos de toile rempli d’objets d’origines plus ou moins frauduleuses, allant de la belle montre en argent au collier de perle. Il ne transportait rien de lourd, ni de trop fragile, juste ce qui s’écoulait facilement. Avec son contenu, il aurait de quoi vivre sans difficulté pendant les cinq prochaines années. Mais il était trop généreux, il en donnerait à des mendiants,...

Il avait prévu aussi ce qui lui servait de laisser passer, une demi-douzaine de bonnes bouteilles d’un hydromel qu’il avait fait lui-même, pendant son petit moment de tranquillité, en prévision de ce jour. Il avait volontairement surchargé de miel l’eau pour qu’il soit très alcoolisé, car plus il en avait dans le sang, plus il revoyait ses prix d’achat à la hausse pour un verre de plus. Méthode honteuse, peut être, mais c’était son seul moyen d’avoir un prix équitable, et éviter l’arnaque. Il en avait soupé, pendant un bon moment il s’était fait floué, alors il estimait qu’il était plus que normal qu’il floue un peu les autres à son tour.

Il frappa trois coup, puis un, puis deux, et il posa deux bouteilles d’hydromel au sol, et se retira dans l’ombre du grand creux d’un arbre voisin, prévu à cet effet. Ces bouteilles servaient un peu comme un signal de reconnaissance. L’étiquette était un code. Di son contact sortait et rentrait les deux, il devait le suivre avec un peu de décalage, la porte ne serait pas fermée, di il n’en prenait qu’une, il devait attendre qu’il prenne l’autre, si il n’en prenait pas, il valait mieux s’en aller. Un code discret, un code efficace, un code » connu d’eux seuls.

Un homme de petite taille, mais de panse assez développée sortit, vit les bouteilles au sol, regarda vers l’arbre creux, comme s’il essayait de discerner la présence du voleur dans les ténèbres de la nuit, puis il rentra une bouteille, et récupéra l’autre une dizaine de minutes plus tard, laissant sa porte entrebâillée, l’invitant donc à entrer.

A pas de loup, il se glissa dans l’ouverture sans faire grincer les charnières, referma doucement la porte derrière lui. Il retira sa cape de voyage noire comme les ténèbres qui recouvraient de leur manteau  ce monde. Il se dirigea ensuite, sans aucune forme de politesse dans le salon de son hôte, déposant le sac à ses pieds.

« Mon cher Val’Arrinian, cela fait si longtemps ! Presque six lunes que je ne t’ai pas vu ! »

Pure hypocrisie, il savait parfaitement, les deux le savaient très bien et chacun jouait son rôle dans cette comédie, mais elle était importante, le premier qui parlerait franchement risquait de se trouver en position de faiblesse dans les négociations.

« Comment va mon plus fidèle client ? Ce cher Eltarnon ? C’est vrai que cela faisait longtemps ! Je dois avouer que vous me manquiez un peu ! Les bons acheteurs sont rares de nos jours, et aucun ne vous arrive à la cheville tant en intégrité qu’en honnêteté sur les prix proposés. »

« Tu me flattes mon jeune ami, mais nous parleront affaires demain, ce soir, fêtons la joie de nos retrouvailles ! J’ai cru entendre dans ton sac sonner le doux bruit du nectar des dieux disparus ! »

« Oui, je vous ai apporté une demi douzaine de bouteilles d’hydromel, mon meilleur ! Et fait maison en plus ! »

« Et bien, qu’attends tu pour le sortir, l’heure estr à la beuverie ! »

Et voila, il était tombé dans le piège, il allait boire, boire, boire jusqu’à plus soif, puis il entrerait dans le vif du sujet pour obtenir le meilleur prix. Il se pencha, sortit les quatre autres bouteilles du sac, fit sauter le cachet de cire du bouchon pendant que l’autre posait deux chopes sur la table. Val servit les deux à raz bord, le regardant boire cul sec en sirotant du bout des lèvres la sienne. Si sa relation tenait l’alcool, lui pas, il devait faire attention.

« Ah ça fait du bien par là ou sa passe ! » Il s’en resservit un verre. «  Et bien, bois, fait pas semblant ! Il est vachement bon en plus ! Bois ou tu vas m’offenser, et il n’est pas bon d’offenser son hôte ! »

Non, c’était lui qui s’était fait piéger. Il n’avait pas le choix, et dut vider trois chopes dans la soirée, vu la taille des chopes, autant dire qu’il voyait un peu trouble, et ne marchait plus droit. Son interlocuteur en revanche, avait bu tout le reste des quatre bouteilles pour atteindre le même état.

« Je…je t’ai préparé la chambre d’ami ! » Puis avec un œil lubrique, il ajouta : « Et il y a même un p’tit cadeau pour l’hydromel ! Je suis sur que ça te plaira, elle n’est pas droguée car j’aime quand ell, et de celui-ci e se débat la nouvelle, mais si tu préfère, regarde dans la table de nuit, faudra attendre un peu mais bon ! »

Val traina son sac plus qu’il ne le porta jusqu’à sa chambre, heureusement, il n’y avait pas d’escaliers, tout était de plain pied, sauf la cave. Il ouvrit la porte de la chambre et compris ce qu’il avait entendu par cadeau, et il comptait bien en profiter. Une jeune femme aux cheveux parme était attachée.  Ses poignets étaient noués à ses chevilles dans une position assise dans doute inconfortable. Elle avait les cheveux en bataille, des traits fins, de légers cernes, comme si son hôte ne l’avait pas beaucoup laissé dormir ces derniers temps. A son cout était ajusté un collier alliant le cuir et le métal auquel était attaché une sorte de laisse qui descendait et se perdait entre ses magnifiques seins parfaitement adaptés à ses gouts et finissait sur son ventre plat. Il ne pouvait de là ou il était apercevoir son intimité, cachée par ses longues jambes fines. Elle avait une peau blanche qui mettait tout en valeur chez elle.

Et dire qu’il avait toujours rêvé de posséder une esclave, mais il n’en avait jamais eu les moyens ! Il sourit à cette pensée, ferma la porte à double tour, ce qui lui prit une bonne minute, ne serait ce que pour mettre la clé dans la serrure, puis il fixa la jeune femme et d’approcha, en murmurant de manière parfaitement aufible pour elle : « Je sens que je vais m’amuser moi ! »

Saori Kido

Dieu

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 1 dimanche 07 novembre 2010, 11:11:07

« Allez toi, viens par là ! »

La jeune fille aux cheveux violets releva la tête alors qu’elle se faisait apostropher par son nouveau propriétaire. Une fois que Don s’était bien amusé avec elle, il l’avait revendu comme tout bon esclavagiste qui se respecte. Elle avait alors était vendue à un gros type aux activités pour le moins douteuses qui avait de multiples fois abusé d’elle. Miss Kido ne s’en était jamais plainte, bien au contraire. Les aphrodisiaques combinés à sa libido débordante n’avaient fait que rendre les choses plus agréables.

Cependant, depuis près de deux jours l’homme n’avait pas jugé utile de lui redonner une dose d’aphrodisiaque la mettant en état de manque. Un état qui l’empêchait de se rendre compte de tout et donc d’utiliser ses pouvoirs. Elle était juste un peu moins consentante sur tout ce qui concernait le sexe.


« Lève-toi ! »

Obéissante et craignant les corrections, Saori se releva et suivit le type qui la conduisit à la salle de bain où elle put faire une rapide toilette avant que son propriétaire qui s’était copieusement rincé l’œil ne l’attrape par le bras pour la trainer vers l’une des chambres de la maison. La jeune déesse résista un peu mais sans plus. Elle n’en avait guère envie.

La porte ouverte, elle vit que la chambre était assez semblable à celle où elle avait déjà été utilisée. Un lit de bois, une commode, une chaise, de multiples bougies mais quasiment toutes éteintes.


« Allez entre ! »

L’homme gras la poussa à l’intérieur et elle se retrouva sur le lit ce qui fit glousser le type. Il la suivit de près et saisit une corde qui trainait par terre. Probablement laissée là volontairement.

« Je préfère t’attacher. Simple précaution, je n’ai pas envie que tu prennes la poudre d’escampette vu ce que tu m’as coûté, ma belle ! »

Il empoigna Saori et lui imposa une posture où ses pieds et ses chevilles étaient liés.

« Reste tranquille, j’ai un bon ami qui risque de venir alors je veux que tu sois très gentille avec lui »

La jeune fille le regarda un peu étonnée. C’était la première fois qu’il l’offrait à un autre que lui. Ça devait vraiment être un très bon ami. Quoiqu’il en soit, l’homme lui lança un regard entendu avant de claquer la porte derrière lui et de la laisser seule. Saori réfléchit un moment. Elle n’aimait pas restée seule et surtout pas en tenue d’Eve et attachée. Elle avait froid. Sa peau rosée devenait de plus en plus pâle au vu des minutes qui s’écoulaient. 

Elle espérait que l’homme arriverait vite. Non pas qu’elle souhaitait se faire prendre, quoique, mais au moins il la détacherait et elle pourrait se mettre sous les couvertures. Encore en phase de manque, elle ne pensait qu’à subvenir à ses besoins primaires.

Des pas se firent alors entendre dans les couloirs faisant dresser l’oreille à miss Kido. Les pas n’étaient pas réguliers ce qui lui fit hausser les sourcils. C’était étrange. L’homme semblait tituber. Lorsqu’il entra dans la pièce, la jeune déesse comprit qu’il était totalement ivre. Elle commença alors à essayer de se libérer. Les hommes ivres pouvaient être particulièrement brutaux et elle détestait ça. Le jeune homme eut un sourire qui ne plut guère à la demoiselle et elle aima encore moins quand il ferma la porte à double tour.


« Je sens que je vais m’amuser moi ! »

Les paroles du nouveau venu finirent de la faire paniquer. Il comptait « s’amuser » avec elle et elle n’était pas idiote, elle se doutait bien de ce que cela voulait dire. Même si elle aimait le sexe, la violence n’était pas forcément son point fort. Elle se fit alors presque suppliante.

« Ne me faites pas de mal ! »

Val’Arrinian

Re : Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 2 dimanche 07 novembre 2010, 13:58:03

« Ne me faites pas de mal ! »

Elle avait employé un ton presque suppliant, mais dans l’état ou il était, faire la différence entre un ton et un autre n’était pas forcément des plus aisés, mais au delà de ça, pour qui se prenait cette esclave pour lui parler sans autorisation ? Ne lui avait on jamais appris les bonnes manières ? Agir ainsi, c’était une honte envers son propriétaire, et puis de toute manière, il ferait ce qu’il veut. En un sens, l’entendre presque suppliante avait augmenté son désir de ne pas y aller tendrement, il n’avait aucune envie d’être doux, bien au contraire. Pour toutes ses raisons, il la gifla. Il n’y mit pas beaucoup de force, juste assez pour qu’une marque rouge apparaisse sur la peau de son jouet, le premier qu’il ait eu.

« On ne...on ne parle pas…sans…sans ma permission ! »

Sa voix n’était pas hésitante, mais elle était un peu balbutiante, l’effet de l’alcool sans doute. Puis il se pencha, vers elle et l’embrassa sans aucune délicatesse, écrasant ses lèvres avec les siennes. Non, il ne serait pas doux, il se ferait plaisir. Elle pouvait sentir son haleine imbibée d’alcool, assez chargée pour comprendre que la nuit ne serait pas agréable pour elle.

Il posa un genou à terre, pour avoir une position plus stable, et dégaina sa dague dans l’intention de la détacher, il approcha la lame effilée de ses liens, puis il stoppa son geste, sa main tremblait, malhabile, sans doute à cause de l’alcool. Au lieu de trancher les liens, il fit glisser le plat de la lame le long des fine jambes de l’esclave, de façon à ne pas lui entailler les chairs bien évidemment. Faut pas casser les jouets avant de s’être bien amusé !

Le plat glacé de la lame remonta depuis ses chevilles, longeant son mollet, puis, remontant l’intérieur de la cuisse jusqu’à son intimité, qu’il chatouilla du coté contondant de la lame avant de faire entrer sans aucune douceur ni même d’attention pour elle, dans cet antre de plaisir, dans ce qui semblait être à proprement parler le paradis du vice, le manche de son arme de poing, et ce jusqu’à la garde. Il détailla un peu plus son corps svelte en laissant son arme là ou elle était, si on observait ses yeux, on se demandait si il savait vraiment ce qu’il faisait, lui-même ne connaissait pas la réponse à cette question. Enfin, il retira l’arme de là ou elle était, et ce, sans plus de ménagement

Puis, partant de son intimité, il suivit de sa dague les contours de sa silhouette, se promenant sur ses reins, s’arrêtant sur ses hanches, pour, finir par rejoindre sa poitrine. De sa main valide, il alla chercher la lanière de cuir passant entre les deux atouts qu’elle possédait, puis ne fois la laisse, puisqu’il devait s’agir de cela, il en revint à son jeu avec sa dague. Il commença par plaquer le plat de la lame sur le téton gauche, puis avec le bord non contondant, se mit à jouer avec, le bougeant un peu dans tous les sens, avant de refaire de même à droite. Il leur avait fait décrire des petits cercles, des mouvements de gauche à droite,k des mouvement de horizontaux aussi bien que verticaux, mais il était temps de passer à autre chose.

Enfin, il remonta lentement la lame, partant d’entre ses mamelles, la main tremblant toujours autant, le long de la gorge jusque sous le menton, il s’approcha et lui murmura dans le creux de l’oreille :

« Montre moi que tu me désire, chienne ! »

Enfin, il sectionna les liens de la catin qu’il avait pour la nuit, puis attendit qu’elle fasse ce qu’il lui avait ordonnée, ne lâchant par pour autant son arme, au cas où elle tenterait quoique ce soit.

Mais elle devait l’avoir compris, si elle tentait ne serait ce que d’esquisser un geste qui pourrait lui laisser croire à un danger, elle souffrirait encore plus que si elle avait sagement obéi. Dans les deux cas elle souffrirai, mais dans l’un des deux cas, ce serait moins douloureux, et peut être même plus…plaisant.

Saori Kido

Dieu

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 3 mardi 09 novembre 2010, 23:15:19

D’un regard craintif, elle le regarda s’avancer vers elle et la gifle fut des plus inattendues. Sa tête vola sur le côté. Les larmes lui vinrent tout de suite aux yeux et commencèrent à couler sur ses jolies joues rosées. Non, son maître ne lui avait jamais dit ce genre de choses mais au moins, là, elle savait ce qu’elle ne devait pas faire avec lui. Tout proche d’elle, miss Kido put sentir l’haleine fétide et imbibée d’alcool. Elle détourna la tête, ça lui donnait presque la nausée.
 
Lorsque le jeune homme posa un genou au sol, elle s’étonna mais quand il sortit sa dague, elle frémit et essaya de se reculer contre les montants du lit. Mais que comptait-il faire avec ça ? La tuer ? Non, il avait vouloir s’amuser avec elle alors il ne la tuerait pas. Mais la crainte de la jeune déesse augmenta quand elle se rappela que certains hommes prenaient un pied terrible à labourer les chairs de leurs partenaires, surtout de leurs esclaves. Ça leur donnait un sentiment de puissance extrême. Ferait-il parti de cette catégorie ? Elle ne pouvait que l’imaginer.

Le jeune homme se mit alors à jouer avec sa lame, la faisant glisser le long de l’intérieur de ses cuisses. La déesse retenait sa respiration, craignant qu’un souffle de trop n’entraîne une coupure. Son angoisse augmenta alors qu’il remontait toujours plus vers son intimité. Mais que voulait-il faire à la fin ? Les larmes continuaient d’inonder son visage de poupée.

La lame joua un moment avec son intimité avant qu’il n’enfonce violemment le manche du couteau dans sa petite chatte. Saori essayait de maîtriser son angoisse mais ne faisait aucun geste craignant de gravement se blesser dans un endroit aussi sensible. Malheureusement pour elle, malgré la particularité de la chose, le manche stimulait allègrement son vagin qui commença à mouiller.

Finalement le manche fut enlevé et repartit à l’assaut de ses courbes avantageuses. Une nouvelle fois elle retint sa respiration, craignant toujours les coupures et les entailles. L’homme alla finalement s’amuser avec sa poitrine et plus particulièrement avec ses tétons qui se dressèrent sous la stimulation qu’il lui faisait subir.

Finalement, il lui dit ce qu’il attendait d’elle. Rien de plus, au fond, que ce que voulaient tous les hommes ! Il trancha ses liens et lui fit comprendre, arme à l’appui, qu’elle n’avait pas intérêt à tenter quoi que se soit. La fille ne comptait pas vraiment chercher à se défendre.

La demoiselle se laissa glisser au sol avec une grâce inouïe et se positionna devant le jeune homme. D’une main maintenant experte, elle défit la braguette et déboutonna le pantalon pour aller chercher le membre masculin. Doucement, elle se mit à le masser, le caresser pour e faire durcir entre ses doigts. Puis, c’est sa bouche qui vint prendre la relève. Elle se mit à goulument avaler la queue de l’homme, l’envoyant loin dans sa gorge. Elle faisait de puissant va-et-vient et aspirait avec plaisir ce membre qui lui était offert. Après tout, ça, ça ne la dérangeait pas, bien au contraire. Ce genre de choses, elle adorait. Sa chatte d’ailleurs devenait encore plus humide et sa mouille commençait à venir mouiller le haut de ses cuisses.


Val’Arrinian

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 4 mercredi 10 novembre 2010, 17:50:57

Enfin libre, la jeune et belle esclave se laissa glisser avec grâce jusqu’au sol. Son mouvement avait été fluide, beau, on voyait l’expérience de cette catin. Elle se plaça devant Val, au niveau de son entrejambe. En un tour de main habile, elle ouvrit le pantalon, tant au niveau de la braguette qu’au niveau du bouton, il dut surpris de son habileté, et tout cela, elle le fit pour s’ouvrir la voix vers ce que le jeune homme avait entre les jambes, elle le fit naturellement, pas plus gênée que ça par ce qu’elle faisait. Parmi les rares personnes avec qui il avait couché, aucune ne s’était montrée aussi débridée et ce dès le début. Cela lui déplaisait il ? Dans son état, il aurait eu du mal à ne pas apprécier qu’elle obéisse aussi docilement, plus lucide, il aurait sans doute aimé qu’elle li montre son désir de manière moins…rapide, mais bon.

Puis elle commença à lui masser lentement les attributs, caressant doucement pour que sa virilité gonfle et durcisse, ce qui ne tarda pas étant donné la manière dont elle s’y prenait. Ensuite, elle s’y attaqua avec ses lèvres, sa bouche, gobant le barreau goulument, sans vraiment prendre le temps d’y aller progressivement, elle l’envoyait, il le sentait, loin dans sa gorge, aussi loin qu’elle le pouvait peut être, il n’en savait rien, mais il sentait, et pouvait voir  que ses bourses ne faisaient qu’effleurer le visage de la chienne, comme si il manquait quelque chose pour qu'elle la gobe entièrement qu’elle semblait être devenue en si peu de temps . A moins qu’elle ait été toujours comme ça, ce qui, vu son talent, ne serait pas étonnant.

Maintenant l’engin dans sa bouche, elle faisait des va et viens rapides, puissants, sur l’outil de Val qui était gorgé de sang au maximum, sa taille était optimale.  Il avait devant lui une catin très, mais alors vraiment très douée, lui tirer du plaisir aussi rapidement, un vrai délice ! Si ça continuait, il n'allait vraiment lui troncher que la bouche, mais le reste l'intéressait aussi, et il voulait tester ce que c'était que d'avoir une esclave sou ses ordres.

Une envie commençait à se faire sentir au plus profond de ses entrailles, il la sentait venir, cette sensation que tout homme avait à un moment ou à un autre de la journée, et particulièrement quand on a bu récemment, et bien qu’il ait vidé sa vessie un peu avant de monter, le fond du verre qu’il avait bu peu après demandait maintenant à sortir de toute urgence. Bon bah vu qu’il était là, autant en profiter. Il empoigna les longs cheveux parmes de la demoiselle et tira dessus de manière à lui bloquer la tête, l’empêchant de reculer si elle avait tenté de le faire, son engin enfoncé aussi profondément dans sa gorge qu’il pouvait, ses valseuses bien calées contre son menton.

Il se soulagea alors du peu que sa vessie contenait. Pas grand-chose, mais bien assez pour trois ou quatre gorgées. Même une fois fini, il ne change pas de position, mais il lâcha sa pression sur les cheveux et se contenta de maintenir la position de l’esclave-putain,  tandis que de l’autre main désormais libre, il lui bouchait le nez.

« Avale moi ça ! Et plus vite que ça ! P’têtre que je m’amuserai à te faire un peu de bien après. »

Un ton froid, un ordre, oui il allait s’amuser, ou du moins faire ce qu’il voulait, et même si elle ne voulait pas avaler, sa position actuelle finirait par donner raison au jeune homme. Enfin, si elle voulait à nouveau respirer. Une fois qu’elle eut fini de tout avaler, d’un coup sec sur la laisse, il lui fit signe de le suivre, si elle tenta de se relever, il lui décocha une balayette au niveau des chevilles, lui rappelant alors son statut de chienne.

Il la mena à un baquet rempli d’eau fraîche disposée dans un coin de la pièce, à même le sol. L’empoignant par les cheveux, tirant dessus assez fort afin de s’assurer une bonne prise, et lui faire pousser un petit gémissement de douleur, pas vraiment prévu au programme, il lui plongea la tête dedans à plusieurs reprises, lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle.

« Rince-toi la bouche ! »

Pendant qu’elle le faisait et sans lâcher la laisse, il commença à examiner sa personne de plus près, un peu comme un éleveur examinant du regard ses bêtes avant de décider des saillies, puis il suivit de la main ses courbes depuis les épaules jusqu’ aux différentes parties de son intimité, aussi bien du côté du sexe que du pot d’échappement. Flattant au passage la croupe de la putain dont il ne connaissait même pas le nom comme on flatterait l'encolure d'un cheval.

Partant des reins, il suivit la raie des fesse en un rapide effleurement de son sphincter anal et de son clitoris, puis quand il vit à quel point sa main était mouillée, il lui écarta les cuisses et commença à jouer un peu de la langue, léchant la cyprine qui s’écoulait avant de partir lécher la source de ces sécrétions, introduisant lentement sa langue là où le manche de son poignard était passé.

Saori Kido

Dieu

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 5 dimanche 14 novembre 2010, 20:56:47

Saori y mettait tout son cœur dans cette fellation. Pas tant par crainte des coups qu’il pourrait lui donner ou des mauvais traitements qu’il lui ferait subir mais bien parce que cela l’excitait. Sa petite chatte commençait à bien s’humidifier à chaque coup de langue qu’elle donnait à la verge maintenant bien dure. Ses attentions délicates avaient fini par porter leurs fruits. La queue de jeune homme c’était gorgé de sang et était en totale érection, ce qui promettait de bien agréable moment en perspective.

La jeune déesse était bien loin de se douter qu’il ne comptait pas gentiment prendre son pied avec elle mais d’en abuser de manière brutale et violente. D’ailleurs, il commença à lui mettre les points sur les « i » en attrapant ses cheveux et en maintenant sa verge palpitante au fond de  sa gorge. Saori pensa qu’il allait peut-être jouir bien que cela soit un peu précoce mais en fait, elle était bien loin du compte. Quand elle sentit les premières gouttes d’urine, elle comprit alors ce qu’il en était. La jeune fille chercha à se dégager mais elle était bien loin d’avoir la force nécessaire pour ça.

Tout ce qu’elle put faire, fut de bloquer le liquide dans sa bouche et éviter de l’avaler. Malheureusement, son tortionnaire voyait ça différemment. Il avait d’autres envies. La pression sur son crâne diminua mais ce fut son nez qui fut alors bouché. La demoiselle chercha à se dégager mais en vain. Toute sa bouche et sa gorge étaient prises par le membre et son nez bouché, ses options étaient limitées.


« Avale moi ça ! Et plus vite que ça ! P’têtre que je m’amuserai à te faire un peu de bien après »

La messe était dite, elle n’avait plus le choix. Les larmes coulant de nouveau sur ses joues, elle avala le liquide ignoble et son estomac protesta. Elle eut plusieurs haut-le-cœur mais par chance rien ne ressortit. Il finit alors par libérer sa bouche laissant échapper quelques gouttes d’urine qui coulèrent sur son menton et ses seins. Un coup brusque au niveau du cou lui rappela qu’il n’en avait pas fini avec elle.

Miss Kido voulut se remettre sur ses pieds afin de le suivre mais le jeune homme ivre la remit bien vite à sa place, à genoux, au sol, avec un mouvement de jambes. De cette manière, il lui rappelait où était sa place. Curieusement, ça elle avait déjà connu. Elle oubliait un peu trop souvent que ce n’était plus elle qui donnait les ordres, plus elle qui était la grande demoiselle Kido, petite fille du grand Mistumasa Kido et réincarnation d’Athéna. Là, elle n’était plus qu’une esclave sexuelle, une vulgaire catin qui n’existe que pour faire plaisir et donner du plaisir à son maître de quelques manières que se soit. Et là, son maître pour la nuit n’était autre que le jeune homme complètement bourré qui la tenait en respect.

Saori avança donc à quatre pattes jusqu’au baquet remplit d’eau qu’il lui désignait. Là, sans dire un mot, il lui plongea la tête sous l’eau. Les mains appuyées contre le baquet, elle cherchait à relever la tête mais Val’ faisait en sorte d’appuyer en sens contraire et de ne la laisser respirer que lorsqu’il le voulait.


« Rince-toi la bouche ! »

Un peu idiot comme demande vu qu’à chaque fois qu’il plongeait son crâne sous l’eau, elle se retrouvait dans la quasi obligation de boire la tasse. Le point positif de tout ça, c’était que l’eau empêchait son estomac de se révulser contre l’urine qu’il l’avait obligé à boire. Acceptant, il finit par la lâcher et Saori avala une nouvelle gorgée d’eau avant de se rincer la bouche à plusieurs reprises.

Pendant, ce temps les mains de l’homme prenait mesure de son corps. Il semblait vouloir la toucher de partout comme si ce qu’il avait vu avait besoin d’être confirmé de manière plus tactile. La demoiselle se laissa totalement faire appréciant se calme après la tempête ou avant le début d’une nouvelle. Curieusement, ses gestes étaient assez agréables et ne firent qu’augmenter le désir qui la prenait, surtout quand il se mit à caresser son intimité, à l’effleurer, la caresser.

Finalement, l’homme se plaça derrière elle et sa langue se fit exploratrice allant titiller son clitoris avant de venir s’immiscer dans son vagin faisant frémir la jeune déesse. C’était toujours aussi bon. Son vagin se contracta plusieurs fois de manière involontaire sous les différents coups de langue qu’il lui infligeait. Saori ferma les yeux et apprécia les caresses de sa langue.


« Hummmmmmmm… Ohhhhhhhhhh… Hummmmmm… »

A présent, miss Kido gémissait et remuait de la croupe sous les mouvements de langue de Val’. La mouille coulait de plus belle d’elle.

Val’Arrinian

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 6 lundi 15 novembre 2010, 13:04:14

Il sentit qu’elle appréciait les coups de langue qu’il donnait, son vagin se contractait régulièrement, elle aimait vraiment ça la putain ! Elle en voulait vraiment ! Après qu’il eut commencé à donner ses coups de langue, le flot de cyprine qui s’écoulait redoubla d’intensité. Elle en avait combien de litres en elle ? A croire qu’elle n’avait que de quoi jouer les putains. Et dire qu’elle n’était pas droguée. Il tentait d’imaginer ce que ça devait donner sous ses effets.

« Hummmmmmmm… Ohhhhhhhhhh… Hummmmmm… »

La catin était déjà en train de gémir, et plus que ça, il sentait se croupe faire de petits mouvements pendant que sa langue jouait sur son clitoris et dans son vagin. Vraiment chaude comme jeune femme. Il comprenait alors la valeur du cadeau pour la nuit. Il stoppa alors son geste, sortant la langue de l’endroit bien chaud où elle se trouvait. Il se releva, et sans ménagement, il hissa l’esclave sur son épaule, non sans peine il du l’admettre. Il tituba plus qu’il ne marcha jusqu’au lit, l’alcool se cumulant au poids, c’est qu’elle n’était pas légère la garce !

Enfin, il jeta son jouet sans douceur sur le lit, la tête manquant de pue l’un des portants en chêne. Puis il se pencha à nouveau sur son clitoris et le palpa de la main, entrant deux doigts à l’intérieur brusquement, la douceur ne semblait pas être de mise ce soir. Quand il les ressortit, ils étaient trempés.  Mais au lieu de passer à la phase suivante, il décida de jouer un peu, l’entendre gémir, l’entendre le supplier de la pénétrer.

Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, et de ne pas bouger. Puis, ne semblant pas se soucier de savoir si elle obéissait, il se retourna vers une commode. Il semblait qu’il lui avait dit que c’était là qu’il rangeait son petit matériel pour s’amuser avec ses esclaves. Il se demandait si elle se doutait de ce à quoi elle allait avoir droit.

Quand il ouvrit la commode, il trouva dedans, des objets dont il connaissait l’utilisation, d’autres dont il ne saurait probablement pas se servir. Enfin, il trouva un objet intéressant. Il s’agissait d’un cylindre d’une matière étrange, c’était plus souple et plus résistant que le bois ou l’acier, il ne connaissait pas les matières plastiques. Il y avait, tout au long de l’objet, comme des froufrous bizarres, et sur la partie plate, il y avait une sorte de loquet qui, quand il l’activa, créait d’étranges choses sur l’objet. Il se mettait à s’agiter tout seul, comme si il avait sa vie propre.

Il posa l’objet sur le lit, et se remit à jouer de la langue sur la fente de cette putain. Puis d’un coup de langue rapide, il remonta jusqu’à son anus et après une ou deux léchouilles, il se stoppa à nouveau, et ordonna à la fille aux cheveux de parme de se coucher sur le dos. Il prit l’objet, mit le loquet, et, il le fit remonter lentement, commençant par lui titiller l’anus avec l’objet, remontant le long de son intimité, très lentement, avant de le rentrer d’un coup sec et de le ressortir juste après. Grâce à cela, il était largement lubrifié, et il passerait partout. Il remonta lentement jusqu’à sa bouche.

A ce moment, il s’assit à cheval sur son bassin. Oui, il était lourd, mais ça il n’en avait rien à carrer. Lui pinçant le nez jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche, il lui dit :

« Allez hop ! Ouvre-moi ça bien grand, que je te donne un cadeau. » Un sourire naquit sur son visage, accompagnant ses yeux lubriques. »

Ainsi il lui forçait la main, même si elle ne voulait pas le prendre, elle finirait par manquer d’air, et ouvrir la bouche. Et dès que cette bouche s’ouvrit, il y fourra l’objet aussi loin qu’il le pouvait, sans retirer la fonction de vibrations. Puis, pour le maintenir, il enleva sa ceinture et bloqua l’objet dans sa position en l’empèchant de sortir, entourant la tête de la jeune femme au niveau de la bouche et faisant un nœud. Sensation peu agréable sans doute encore une fois, mais il s’en foutait. Il se rassit sur son bassin et lui donna un nouvel ordre.

« Donne moi du plaisir avec la main, quand à l’autre, et bien, je veux que tu l’enfonce lentement dans ton anus d’abord un doigt, puis deux, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’ils y soient tous. »

Pour faire bonne mesure, lui faire comprendre qu’il n’attendrait pas, il fit comme avec les chevaux, il serra les genoux le long de ses côtes, et donna un léger coup de talon qui se trouvaient au somment des cuisses. Il se releva juste un peu pour qu’elle puisse tendre le bras et aller faire ce qu’il lui demandait s’asseyant sur le bras, il n’avait rien à carrer de la douleur qu’il lui procurait, attendant que son autre main se mette au travail sur son outil.

Saori Kido

Dieu

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 7 jeudi 18 novembre 2010, 18:53:29

Saori remuait de plus en plus son petit cul, excitée par les mouvements de langue de son tortionnaire qui, pour l’instant, lui faisait le plus grand bien. Elle gémissait de plaisir sous les assauts linguaux du jeune homme. C’était incroyable comme elle pouvait être réceptive à ce genre de stimulation. Dès l’instant où on appuyait là où il fallait, miss Kido devenait une vraie chienne en chaleur, incapable de se réfréner. Elle mouillait de plus en plus mais soudain, il s’arrêta provoquant un léger cri de frustration de la part de la jeune fille qui commençait à prendre beaucoup de plaisir.
 
Sans ménagement, l’homme la jeta sur son épaule et, après l’avoir portée de manière très peu assuré, Saori craignit plusieurs fois de finir sur le sol, il la lâcha sur le lit manquant de l’assommer contre le montant de bois. Par chance, sa tête le manqua à quelques centimètres près. A peine « posée » sur le lit, les doigts prirent la place de la langue allant caresser le clitoris avant de s’enfoncer profondément en elle lui arrachant un nouveau gémissement. Elle espérait plus mais lui avait d’autres projets.

A sa demande, elle se mit à quatre pattes. Elle le fit rapidement, appréciant cette position particulière. Elle sentit sa cyprine couler le long de l’intérieur de ses cuisses et sa petite chatte tressaillir d’envie. De nouveau, presque involontairement, elle remua son derrière comme pour l’inviter à venir s’en occuper mais il avait d’autres préoccupations. Un coup d’œil jeté par-dessus son épaule lui apprit qu’il farfouillait dans l’un des tiroirs de la commode. Il revint avec un gode de bonne taille. La jeune déesse en avait vu plusieurs depuis son déflorement mais elle préférait les véritables membres masculins que ceux en plastiques.

Il revint vers elle et, contre toute attente, se remit à lécher sa petite chatte brûlante et trempée. De nouveau elle gémit et cria presque lorsqu’il alla léchouiller son petit trou si réceptif aux caresses et pénétrations. Mais cela ne dura pas longtemps, la frustrant de nouveau. D’un geste additionné de paroles, il lui dit de se remettre sur le dos ce qu’elle fit rapidement, espérant plus de sa part. L’homme mit alors en marche le gode et le promena sur son anus et son intimité avant de, sans aucune once de douceur, l’enfoncer brutalement en elle, lui arrachant un cri mais un cri de plaisir.


« Ohhhhhhhh… oui… hummmmmm… »

Une fois de plus, cela ne dura pas. A peine entré que déjà ressortit, le gode déambulait de nouveau sur sa personne avant que le type ne finisse par s’asseoir sur elle de tout son poids. Elle eut mal vu qu’il ne prenait aucune précaution.

« Vous êtes lourd ! Ça me fait mal ! Relevez-vous un peu ! »

Ne lui laissant aucuns répits, il lui pinça le nez et « l’invita » à prendre l’objet vibrant en bouche. N’ayant pas la possibilité de refuser, elle ouvrit la bouche et le gode fut enfoncé profondément dans sa bouche à la limite de la faire vomir tant il était allé au fond de sa gorge. Miss Kido chercha à se débattre mais c’était peine perdue, il était trop fort pour elle. Pire, il retira sa ceinture et la passa autour de sa tête pour empêcher la chose en plastique vibrante de ressortir. Saori ne pouvait rien faire.

« Donne moi du plaisir avec la main, quand à l’autre, et bien, je veux que tu l’enfonce lentement dans ton anus d’abord un doigt, puis deux, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’ils y soient tous »

La demande la surprit un peu mais elle ne pouvait que lui obéir sous peine de choses bien pire. Malgré sa douleur et l’impression d’étouffer, sa main droite parti à la conquête du membre tendu vers elle alors que sa main gauche, dont le bras était bloqué sous son compagnon, alla à la recherche de son petit trou. Le point positif de tout ça et qu’elle allait vraiment pouvoir se donner du plaisir.

La main droite fit des mouvements de va-et-vient plus ou moins rapide selon ses envies, Parfois sur toute la longueur de la verge, parfois juste au niveau du gland. Quelques fois, les doigts allaient taquiner les bourses pleines du jeune homme. Alors que sa main droite s’occupait de la queue tendue, ses autres doigts allèrent titiller son anus palpitant. Il semblait n’attendre que ça. Les doigts allèrent cueillir une bonne dose de cyprine avant d’aller enduire son petit trou.

Sans vraiment attendre, trop impatiente pour ça, elle enfonça un premier doigt en elle entrainant un gémissement qui mourut dans sa gorge, bloqué par le gode qui lui maltraitait la bouche. Elle bougeait peu la tête pour éviter de l’enfoncer d’avantage et de mourir étouffée. Le doigt s’activa dans son petit trou faisant des mouvements de va-et-vient et dilatant l’endroit de manière à recevoir le second qui ne tarda guère et rentra sans trop de peine. Son anus était habitué à être dilaté par des queues de bonne taille donc ses doigts ne posaient pas trop de problèmes.

Son vagin produisait de plus en plus de cyprine qui coulait sur les draps du lit. Sa main s’activait de plus en plus sur le membre. Son plaisir montait de plus en plus et devenait difficilement contrôlable. Un troisième doigt vint s’insérer dans le petit trou avec un peu plus de difficulté mais la légère douleur disparut en à peine quelques minutes tant l’envie était forte. Les mouvements de doigts se firent plus intenses et plus profonds, lui donnant un plaisir terrible. Le quatrième doigt allait être dur à insérer mais miss Kido ne s’avouait pas vaincue. Se cambrant autant qu’elle pouvait avec son tortionnaire assit sur elle, le petit doigt s’enfonça alors dans son cul provocant un cri de la part de la fille qui était encore une fois étouffé. Ses mouvements se firent encore plus rapides et bientôt, elle ne peut plus attendre. L’orgasme vint la faisant jouir merveilleusement bien. Sa chatte libéra de multiples flots de cyprine qui inondèrent totalement le lit.

Ayant été « dressée » par son majordome au plaisir anal, elle pouvait jouir des deux manières, anale et vaginale, sans problème. Elle garda ses doigts enfoncés dans son petit trou et tentait de reprendre, avec de grandes difficultés, sans souffle.


Val’Arrinian

Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]

Réponse 8 mardi 07 décembre 2010, 18:01:11

Elle obéit directement, cette petite chienne était vraiment douée, mais alors très, très douée.  Sous lui, il sentait les muscles du bras, du poignet bouger au fur et à mesure qu’elle enfonçait ses doigts comme il l’avait ordonné. Et bien ! Elle avait l’habitude de se faire déchirer l’anus celle-ci ! Entrer tous ses doigts aussi facilement ! Et en plus elle en gémissait de plaisir. Ceux-ci étaient étouffés par l’objet dans sa bouche, mais des gémissements quand même.

Il regarda derrière lui. C’était une véritable rivière de cyprine qui s’écoulait, non, un torrent. Ce flot de cyprine ininterrompu montrait à quel point c’était une putain, elle ne devait faire que ça, et il n’osait même pas imaginer ce que cela donnerait si elle était droguée. Non ? il ne fallait pas l’imaginer, elle serait sans doute comme une machine. Et alors qu’elle enfonçait le dernier doigt, elle se mit à faire de beaux va et viens rapides, il sentait le corps de la jeune femme se tendre, alors il se pencha, appuya ses genoux sur sa superbe poitrine, transférant involontairement tout son poids dessus, l’écrasant donc par cette occasion, et retira la ceinture et le vibro, trop tard pour entendre le cri de la jeune esclave, mais bon tant pis, il voulait gouter à ses gémissements, qui ne seraient pas tous de plaisir il pensait. Enfin, elle jouit. Déjà ? Quelle putain !

Pendant ce temps, son autre main jouait avec son membre bien dur. Elle y allait de main de maître, elle montait descendait, taquinait les bourses qu’elle voulait vider, là, même Val se permit un petit gémissement de satisfaction.  Mais pendant ce geste, il attrapa la main et se dégagea, se levant sur le lit, et lui marchant sur l’abdomen en descendant maladroitement.

Avant qu’elle ne sorte ses doigts de l’endroit où elle les avait tous mis, il maintien la main, tout en la forçant à se mettre sur le ventre et lever la croupe vers lui, trop haut pour son engin, mais la pénétrer n’était pas son but à l’heure actuelle. Non, il avait d’autres projets, bien d’autres projets. Souriant, il empoigna le vibro et l’introduisit sans douceur, mais sans non plus être trop brusque, l’anus était très sensible, oh, non pas qu’il fasse attention à son bien être, mais plutôt parce qu’elle n’était pas sa chienne. La sienne, il en aurait rien eu à cirer de la blesser.

Puis il lui fit comprendre qu’elle devait de cette même main qui était enfoncée, le maintenir à l’intérieur. Puis, il se retourna vers la commode, et trouva ce qu’il cherchait, cela ressemblait à un dilatateur à tuyaux. Et ça lui donnait de mauvaises idées pour la chienne. Elle avait joui, et il comptait en profiter. Mais ce ne fut pas lui qui se retourna pour aller utiliser le dilatateur, mais un de ces clones, elle se retrouvait avec deux Vals sur les bras ! Enfin, ici plutôt sur le cul puisqu’ils semblaient avoir eu une drôle d’idée, une sorte de jeu.

Alors que le clone utilisait le dilatateur pour, petit à petit, élargir son sphincter anal, Val disposa sur le lit à côté une petite quantité de bougies bien grasses plus ou moins grosses, toutes inentamées. Cette cire grasse allait leur permettre de rentrer toutes seules, il suffisait de leur ouvrir un peu le passage. Mais avant de commencer à insérer la première des bougies, il retira la main de l’anus.

« Nettoies la avec ta langue, tu vas bientôt en avoir à nouveau besoin ! » Un sourire lubrique illuminait le visage des deux Vals.

Puis, alors que l’un jouait sur les parois de l’anus avec le dilatateur à tuyau glacé, l’autre commençait à enfoncer une bougie mèche la première, puis une deuxième, puis une troisième, et ce jusqu’à entendre le cri de douleur de la dilatation maximale qu’elle pouvait atteindre. Remplir l’anus avec tout ça  était bien drôle mais le plus divertissant, c’était encore était de l’entendre quand ils s’amusaient à enfoncer les bougies plus profondément avec le pied. Endin, cette envie leur passa. Mais rien n’était encore fini. Ils avaient d’autres idées en réserve.
 Ils lui ordonnèrent de se lever et de marcher un peu histoire se faire à avoir le cul bien bourré. Ils étaient amusés à l’idée de la voir marcher avec autant d’objets dans le derrière. En serait-elle capable ? C’était un peu comme un pari entre les deux Vals.

Enfin, une fois qu’elle eut réussi à donner raison à l’un des deux Val. Ils la forcèrent à se coucher à terre sur le sol froid, à même la cyprine qu’elle laissait derrière elle. Ils donnèrent encore un ou deux coups de pied dans les bougies, puis se placèrent chacun d’un côté, commençant à jouer avec les dents sur sa magnifique poitrine, commençant par sucer lentement les tétons avant de commencer à les mordiller, puis enfin à mordre, pas assez pour que le sang coule, mais juste de quoi laisser une petite marque, étendant peu à peu leurs morsures à l’ensemble du sein dont chacun s’occupait.
 

[HRP : désolé pour ce retard monstrueux, je suis impardonnable !]


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