sensation humide, nouvelle, langueur dans son corps, ses reins... la sensation venait de ses seins que Kurumu était entrain d'embrasser et de lécher, comme elle même le lui avait fait un peu auparavant. C'était donc ça qu'on ressentait?
Là où la petite brise du sous-bois venait caresser sa peau humidifiée par la salive, elle sentait une douce fraicheur qui ne faisait qu'attiser son feu intérieur. Entre les lèvres de Kurumu, son téton était en proie à un véritable brasier de sensation nouvelles, qui se répercutaient dans tout son corps et coulaient comme une lave en direction de son bas-ventre.
Et puis la fraicheur de la brise remplaça tout à fait la chaleur de la langue, se répandit sur ses seins puis le long de son ventre, là où Kurumu avait tracé un sillon de salive qui se perdait dans son nombril puis s'arrêtait à la lisière de sa petite culotte de coton.
Amy laissa échapper un gémissement plaintif et ferma les yeux pour mieux se concentrer sur le langage de son corps.
Les dents de la jeune fille saisirent adroitement le tissus, tandis que ses doigts éffilés venaient se poser juste sur les lèvres d'Amy, là où le genou de Kurumu avait déjà provoqué des explosions de plaisir qui avaient rendu sa culotte toute collante! Amy gémit encore, renversa sa tête en arrière, alors que la main libre de Kurumu était revenue caresser ses seins tendus de plaisir.
C'est alors que d'une traction sèche de ses dents sur le tissus, elle arracha d'un coup habile la petite culotte d'Amy, qui sentit l'air frais du sous bois caresser sa fente brûlante, comme une langue.
Dans un mouvement inverse à celui qu'elle avait effectué un peu avant, Kurumu commença par poser ses lèvres sur celles de l'intimité d'Amy, précisant son baiser sur le clitoris douloureusement tendu de la petite adolescente. Celle ci ne put retenir un cri accompagné d'un spasme de plaisir incontrôlable, qui colla son bassin contre la bouche de Kurumu.
Au grand regret d'Amy, sa compagne détacha ses lèvres de son clitoris et remonta le long de son ventre vers sa poitrine, qu'elle prit le temps d'embrasser encore. L'instant était très langoureux, et Amy ne put se retenir, tout en gémissant, de caresser les flancs puis les épaules de la jeune fille, tandis que celle ci faisait courir sa langue le long de sa jugulaire, arrachant un soupir à notre jeune lycéenne.
Finalement, leurs lèvres se rejoignirent. Amy n'avait jamais embrassé personne, sans quoi elle aurait rendu son baiser à Kurumu, mais elle ne savait hélas pas exactement ce qu'elle devait faire. Elle était maintenant si troublée d'excitation qu'elle ne savait plus où elle en était...
Kurumu lui demanda alors si elle était prête à connaître le vrai plaisir. Tout son corps tendait vers la poursuite de ces sensations qui naissaient en elle et demandaient à être assouvie. Encore une fois, elle se dit qu'elle n'avait aucune raison d'avoir peur, elle était juste avec une amie, rien de fâcheux ne pouvait lui arriver et sa virginité serait préservée...
Kurumu annonça alors qu'elles iraient d'abord au rythme d'amy avant de passer au sien. Amy ne savait pas bien ce qu'elle voulait dire, mais devinait que son amie prendrait les choses en main et qu'elle ne pourrait plus faire marche arrière.
A ce stade, Amy ne pensait avoir aucune raison de vouloir faire marche arrière!
Les lèvres de sa compagne se scellèrent sur les siennes et sa main revînt caresser son sein, au grand plaisir de la lycéenne qui se mit à onduler du bassin sans s'en apercevoir...
Kurumu lui indiqua ce qu'elle était entrain de se faire avec son autre main, et lui demanda de prendre le relais.
Amy observa un instant, fascinée, les doigts de la jeune femme se perdre entre ses propres lèvres intimes, taquiner son bouton, explorer ses replis, avec une dextérité qui trahissait l'habitude. Amy ne savait pas si elle serait capable d'en faire autant, ni si elle avait vraiment envie de plonger sa main dans ces replis chauds et visqueux... tout son être espérait pourtant sentir les doigts de Kurumu la caresser, et il paraissait normal qu'elle la satisfasse... d'ailleurs Amy avait été élevée pour satisfaire les autres et se rendre utile. Elle désirait à nouveau plus que tout plaire à sa compagne.
Sa main hésitante s'approcha alors de l'intimité de Kurumu. Ses doigts, léger comme des plumes, se posèrent sur ses lèvres, là où la peau était d'une douceur incomparable. Elle remonta du dos de la main, et laissa le bout de ses doigt effleurer à nouveau le bourgeon de chair qu'elle sentit palpiter nerveusement sous la caresse.
Kurumu semblait impatiente et en vouloir plus, Amy plaqua alors toute sa main le long de sa fente, épousant toute sa longueur dans sa paume. Elle sentait le sang battre sous sa main, la pulsation du plaisir qui agitait tous les replis inexplorés.
A l'aveuglette, ne se fiant qu'aux infimes mouvements internes de Kurumu, Amy commença à laisser errer ses doigts entre ses lèvres. Les chauds replis les accueillirent, semblèrent même les engloutir pour les guider là où elle lui donnerait le plus de plaisir.
Son pouce s'était posé sur le clitoris. Amy avait bien remarqué précédemment que c'était ce qui donnait le plus de plaisir à Kurumu, et elle avait été un peu effrayée par la puissance des sensations qu'un seul effleurement pouvait donner. Elle y alla donc doucement, posant le gras de son pouce sur le bourgeon et le faisant tourner dans une caresse lente et appuyée, envoûtante.
Ses doigts continuaient de se perdre entre les replis des grandes et petites lèvres, inexorablement attirés par les muscles vaginaux jusqu'à l'entrée de la grotte humide, qui palpitait, comme si elle était animée de sa vie autonome.
Elle sentit simultanément son index puis son majeur se faire happer par cette grotte étroite et chaude, visqueuse de secrétions. Les mouvements du bassin de Kurumu s'étaient nettement accentué, et accompagnaient ses caresses comme une danse lascive.
L'attention d'Amy était entièrement tournée par ce qu'elle faisait, même si elle voyait moins de choses qu'elles n'en sentaient sous ses doigts.
Ses deux doigts, timidement, commencèrent à entrer dans le conduit béant de la jeune fille, guidés encore une fois par ses spasmes musculaires. La paume de sa main pressait plus fortement sur tout le long des lèvres, les écrasant délicieusement, pendant que son pouce continuait à agacer le clitoris.
Jamais Amy n'aurait pensé ressentir un tel sentiment de bonheur à caresser une fille!
Sans attendre les ordres de Kurumu, Amy décida de reprendre ses caresses buccales sur les seins de sa compagne, pour compléter ce qu'elle lui faisait avec sa main et ses doigts. Sa bouche se referma sur un téton, puis lécha l'autre. Elle les suçait maintenant alternativement, jouant de la langue pour faire rouler le petit bout de chair, pendant que ses doigts allaient et venaient dans le vagin de Kurumu...