Divine Divinitée, Aphrodisiaque. [Aprhodite]

La lumiére apparut lentement, sondant le temps, sondant l'espace, pour doucement laisser apparaitre le portail, la porte d'accés au royaume des cieux. Une porte magique, comme peu de gens, peut en creer, mais ici, dans leurs monde, sur leur Olympe, rien n'etait impossible a ceux qui troné sur les cieux. La lumiére s'intensifia, avant de laisser passer son passeur, une ombre, sombre, noire, dans ce flot d'illumination, avant de se fermer totalement, redonnant a l'extérieur ses couleurs précédentes. La silouhette resta un moment immobile, avant de bouger lentement, pour peu a peu se laisser toucher par les quelques lumiére du soleil de cette douce journée en Olympie. Quelques rayons se refléterent sur l'armure étincellante de son proteur, laissant deviner de qui il s'agissait, un seul parmis les dieux pouvait porter cette noble facture, le Dieu de la Guerre, protecteur des Héros, defenseur de Sparte, maitre des Berserker.. Ares.

Le voila revenue en son pays, quittant pour un temps le monde de Terra, laissant les humains en tranquillité, du moins, pour un court moment.
Il avait decidé de trouver Aphrodite, seule dont il entendait le nom flirter dans la bouche des mortels. Zeus lui méme semblait avoir été oublié... Que se passait il? Pourquoi la déesse de l'amour, de la beauté et de la Luxure était sur toutes les lévres... Avait elle fait quoi que ce soit, ou bien les mortels commencaient a perdre leurs croyance, l'amour, seul sentiment qui survivra a l'humanité, rendant cette beauté, seule adulée par ces étre faibles...

Il traversa les jardins, centraux a tout les temples, a toutes les demeures Divines, et se dirigea sans romper vers celle de la plus belle d'entre les belles... Aphrodite etait celle qui possedait le plus de facilité a calmer le terrible guerrier, elle avait cette incroyable aura qui ne laissai personne de marbre, méme le roi des rois en etait sous le charme. Un mince sourire apparut sur les lévres du Maitre de guerre, tandis qu'il commencait a monter les nombreuse marches qui menait a la demeure de la divine Aphrodite. Elle pourrait facilement prendre le controle de l'olympe, tant son pouvoir de seduction etait puissant, manipuler Zeus, mettre en esclavage Hades, vider poséïdon de ses reserves d'eau... Les trois puissants etaient au pieds de la déesse, ne serait ce que pour avoir le droit de la contempler, la toucher, gouter a ses delicatesses. Seulement, tous la savaient Naïve, baignant dans son amour pour tous, préférant favoriser sa clarté et sa beauté, que de prendre les rennes de l'Olympe... Et si, la encore elle les manipulait?... Une question qui se posait, tard peut étre, mais qu'aucun n'avait eu la bonne intelligence de soulever. Mais Ares, avant d'étre une brute sans cervelle, etait un stratége, fin et posé.. Oui, Aphrodite avait plus de pouvoir qu'elle ne voulait le laisser croire...

Soudain, il fut stopper dans son elan par un main douce et fine qui lui saisit le bras... Tournant la téte, pour voir osé s'interposer a la volonté du puissant Dieu de la guerre, il trouva un visage doux et sublime... Une pretresse de la déesse Aphrodite. Il ne put que sourire, elle savait bien creer ses serviteurs... Maline Aphrodite, tu le rendra fou d'amour a étre ainsi...

"Je souhaite voir ta maitresse, conduit moi a elle."

Sans attendre de reponse, il approcha son visage de la jeune femme

"Et je ne supporterai pas un refus... Ni une attente trop longue. Va!"

Aphrodite ne savais pas ce qui était le plus comique, qu'Arès soit revenu ou bien qu'il ne se soit toujours pas demandé ce qu'une pretresse faisait aux portes de l'Olympe, ce qui était impossible puisque son temple se trouvait au pied et que seule elle avait le droit d'y demeurer. Ah Arès, elle l'aurait bien recrée a sa mesure lorsqu'elle aurait eu assez de pouvoirs mais pour l'instant, bien qu'elle soit très puissante, le monde où elle se trouvait ne lui donnait pas assez d'energie pour se créer un égal, c'était titanesque de créer un autre dieu, et pour celà il faudrait que les escarmouches entre les autres états créent des guerres colossales. Guerres qu'elle ne voulait pas voir arriver, car la guerre est également un tue l'amour. Et elle voulait conserver chaque petite parcelle de pouvoir que ce monde lui donnait, de manière égoiste, mais c'était normal, elle l'avait construit a partir de rien et l'avait vu se diviser comme une cellule. Elle méritait la place de chef de panthéon pour cette fois. Et elle n'aurais pas été plus heureuse que si Zeus avait été au pouvoir, enfin elle faisait ce qu'elle voulait.

Normalement les dieux peuvent se reconnaître entre eux, mais il y a des dieux au grand pouvoir, les dieux majeurs et les dieux mineurs. En ce moment Arès n'avait pas plus de pouvoir qu'une divinité mineure, et elle, en force sur le plan dont elle était a présent la maitresse, avait le pouvoir d'une divinté majeure, par conséquent il ne voyait dans la servante venue l'acceuillir rien de plus qu'une humble servante, et ne ressentirais pas son aura divine tant qu'elle n'aurait pas voulu lui en faire part.

Elle etendit son pouvoir d'ailleurs pour tenter de réecrir les sentiments d'Ares et pour que celui ci ne se doute jamais de qui il avait en face, pour continuer son jeu. Mais il se revela moins maléable qu'elle le pensait. Il était le véritable Arès, et non une de ses créations qu'elle pouvait réecrir quand celà lui plaisait. Elle ne pouvait pas altérer son âme.

Soit.

Il ne verrais quand même pas qu'elle était ce qu'elle était. Devant Arès se trouvait une jeune femme blonde aux yeux bleux opulente comme on s'attendrais d'une prétresse d'Aphrodite. Elle mit un genoux a terre pour écouter ce que disais Arès, elle portait une robe de satin metant en valeur ses atouts.

Arès son amant était de retour...Et il n'y avais plus l'autre pour lui taper sur les nerfs. Bien. Elle se sentait d'humeur taquine, voyons voir combien de temps il allait mettre a deviner qui elle était

"Je m'excuse monseigneur, je ne suis pas digne de pénétrer dans le domaine des dieux. Ma maitresse a été informée de votre présence."

Elle marqua un temps et la main de la déesse de l'amour se dirigea naturellement au niveau de l'entrejambe du dieu de la guerre

"Puis je vous divertir en une quelconque façon?"

Lança t'elle d'un ton espiègle.

Le Divin de la Guerre ne pretta plus la moindre attention a cette servante, certes jolie, mais bien loins de valoir sa maitresse... Ares n'avait en ce moment, les pensées toutes uniquement tournés vers cette déesse qui tenait entre ses mains, la plupart des Dieux Masculin... Méme Appolon, le beau de ces dames, et de ces messieurs d'ailleurs, tant ce blondinet inculte avait des moeurs des plus libertines. Cela ne genait en rien la guerrier, méme si ce dernier ce demandait bien ce que pouvait trouver la bella Donna de l'Olympe, Aphrodite, a ce flambeur des hautes sphére des dieux. Un demi sourire a cette pensée, non, la déesse de l'amour méritée un homme, un vrai, un guerrier. Mais il serait trés effronté de croire que la déesse ne pourait se contenter que d'un seul et unique objet sexuel... Car il en etait ainsi, pour elle, les autres n'etait que des jouets, des pions qu'elle prenait au creux de ses reins, a qui elle prenait ce dont elle avait besoin, et finissait par jeter, ou ignorer.

Ares, parmis tout les pions de la déesse, s'estimait étre celui qui avait le plus de chance. Peu présent dans les fastueuses fétes des dieux, organisé généralement par ce saoulard de Dionysos, ou les complots et autres histoires de combines se formantaient... Mais c'etait aussi durant ces cérémonies, qu'Aphrodite jetait son devolue sur un dieu. Pour une soirée, une semaine, une année, un siecle, qu'importe le temps, ses victimes, méme si ces derniers ne s'estimaient jamais ainsi, finissaient fatalement par se voir éconduire par l'amour et la beauté.

Alors, il entendit la voix crystaline de la pretresse... Il ne tourna pas le visage, n'ayant que faire des paroles de cette servantes aux petits soins de sa maitresse, comment osait elle encore vouloir importuner le Dieu, préssé de revoir celle qui devait mijoter quelques chose ici bas... A bien y repenser, il se passait des choses tellement étrange en ce bas monde depuis quelques temps... Mais les autres dieux ne l'avaient pas ecouter. Si les humains finissaient par ne plus croire en eux, les Olympiens finiraient par disparaitre, tout simplement. Cela ne l'enchanté pas, mais ses fréres et soeurs semblaient se croire intouchables. Il avait donc decidé de venir parler a la seule qui ne connaissait pas ce declin la...

La voix génante de cette pretresse continuait a lui pourrir l'air. Mais il se retiens de la giffler, ou de l'envoyer de l'autre coté du jardin... Il ne venait pas mettre les jardins de la belle Aphrodite a feu et a sang, méme si l'insolence de cette petite blonde commençait a l'irriter. Il s'appreta a laisser sa main agir de maniére justiciére, mais il sentit a la place, une main volage se poser sur son entrejambe, l'effet de surprise fut total pour le guerrier, qui marqua un temps d'arret... Comment osait elle ainsi le toucher?... Lentement, un sourire se marqua sur le visage du Dieu... Elle avait du cran, ou Aphrodite avait formé a son image, ces muses du plaisir. Aprés tout, il n'allait pas se refuser le droit a un petit plaisir pour patienter a l'arrivée de son hote. Regardant la pretresse, il aquiesca de la téte.

"Oui... Tu le peux en effet."

Posant sa main sur les cheveux couleur de blés, il serra un peu sa méche, l'approchant de son entre jambes deja tout excité, a l'idée de revoir les courbes de sa maitresse d'antan...

"Occupe moi, le temps que ta maitresse arrive."

Aphrodite voyait bien qu'Arès était sur le point de la gifler, oserais t'il seulement?Oserais t'il risquer de contrarier son hôte?A c'est vrai...Arès n'avait aucune idée de ce qui se passait, et il cachait sa peur de la disparition derrière son agressivité naturelle...Il pensait que son père, ainsi que ses frères les dieux lui ferait un bon acceuil une fois qu'il aurait franchi les grilles du mont Olympe. Mais ils ne seraient pas là.

Bien sur, elle pourrait en créer et faire croire a Arès que l'Olympie était toujours peuplée de ses habitants, mais elle n'était pas dupe, il restait un dieu, il découvrirait sans mal le pot au rose, mieux vallait lui mentir sur ce qu'était devenu les dieux. Si il savait qu'il était le seul survivant il aurait réclamé une part sur un trone qui ne lui appartenait pas...Ah Arès...Il avait du survivre grâce a la volonté que les humains avaient a se faire la guerre...Si il était demeuré auprès d'elle la construction de Terra lui aurait pris bien 1000 ans de plus...La guerre aurait détruit tout ce qu'elle avait crée par amour...

Oh Arès, pourquoi fallait t'il que tu sois un dieu de la guerre?Avec un corps comme ça et tes muscles tu pourrais éviter de massacrer mes croyants tout de même...Ca serait la moindre des politesses sachant maintenant que ton pouvoir est loin d'être égal au moins

Quoi qu'il en soit Aphrodite s'affaira, continuant a jouer avec Arès sans qu'il ne s'en rende compte. Elle savait quel mépris celui ci attribuait aux servants, aussi ne se douterais t'il surement pas de qui elle était...un bon moyen de voir comment Arès se comportait avec quelqu'un qui n'était pas également de sang divin. Elle allait beaucoup aimer ce jeu elle en était certaine.

Arès ne perdait pas de temps et déjà il la saisissait par les cheveux. La blonde leva ses yeux bleux vers Arès, elle daignait le regarder directement, elle savait que ça l'indignerais autant que ça l'exciterais

"Je suis entièrement dévouée a votre bon plaisir monseigneur."

Elle s'occupa d'ôter le membre d'Arès en un temps éclair, l'experience du déshabillage n'était pas inconnue a une pretresse d'Aphrodite après tout. Déjà elle commença a lécher le membre d'Arès de manière plutôt sensuelle. Evidement Aphrodite se retenait. Si elle avait iradié de son pouvoir normal a présent, Arès serait déjà en train de la prendre, et si elle avait été un homme de lui faire une fellation. Eh oui, Aphrodite était assez puissante, retenir son pouvoir ne lui posait pas de problème

"J'espère que vous apprécierez mes talents monseigneur."

Fit elle avant de commencer le véritable travail, creusang ses joues pour créer la suscion. Elle se limitait de manière volontaire. Elle était aux yeux d'Arès juste une humaine expérimentée, pas enormement, mais assez pour montrer qu'elle avait eu un petit nombre d'aventures.

La pretresse approcha docilement son visage de petite humaine de l'entrejambe du dieu. Ce dernier eu un sourire presque satisfait, la contemplant de haut, comme il se devait avec l'ego demesuré de ce divin guerrier. Il pouvait a présent sentir le souffle chaud sortir des lévres de l'esclave d'Aphrodite, tandis qu'elle sortit son membre en un rien de temps, fidéle a la connaissance qui etait enseignée ici par la maitresse des lieux. Aphrodite, ou comment vous rendre fou un homme, quel qu'il soit, en un instant. Aprés avoir eu le privilége de gouter a la peau de cette déesse sensuelle, les autres pouvaient rapidement apparaitre comme fade, et sans interet. Elle avait rendut des hommes puissants, des intellectuels méme, totalement hors controle, realisant des projet a la demande de cette créature de réve, de fantasme, d'Utopie.
Tandis que ses pensées allaient en des flots lointains, une sensation agréable le ramena bien vite en Olympie. ses yeux se posérent de nouveau sur la pretresse, qui commencait deja a donner quelques coups de langues, des mouvement lents, et gourmands, comme il les aimait parfois... Un legers soupir, a peine audible sortirent de sa bouche, alors que sa main carressait la téte de cette blonde soumise...

Les regards se croisérent... Son sang brula dans ses veines... Cette humaine, qui osait ainsi porter le regard sur lui... La jeune femme ne manquait pas de culot, et tout en respectant son cran, il sentait son membre se dresser d'autant plus. Elle avait ce petit quelquechose qui la rendait... Excitante. Levant la téte vers le temple de la déesse maitresse des lieux, Ares remerciat silencieusement celle qui avait apprit a cette gamine, l'art des coups de langue, et de la maitrise des gestes.
Méme ses paroles la rendait sensuels... Comme il aurait aimé, posseder lui méme un harem de femmes, des pretresses, toutes passés sous le bon soins et formation d'Aphrodite... Le talent de cette femme la, n'avait aucune limite. Bien que peu performante par rapport a sa maitresse, la sensation de la bouche de l'esclave se refermant sur le membre du Dieu de la guerre, le fit fremir, il laissa un nouveau sourire lui echapper des lévres, tandis que son regard etait toujours porté au loin en direction de la demeure de son hote qui semblait prendre un malin plaisir a le faire attendre.

Qu'importe, il avait trouvait un jouet, des plus amusant, et cette derniére engloutit alors son sexe, le suçant avec une bonne vigueur, montrant ainsi qu'elle avait du metier en la matiére. Comme il etait bon d'étre sous les coups de lévres d'une humaine parfois, méme si les déesses avaient des avantages en la matiére. Mais Aphrodite devait faire attention... Hephaïstos, le boiteux des forges, avait indiqué a Zeus la relation passionel entre le dieu de la guerre, et son oposée, la déesse de l'amour.
Le Roi des dieux avait tranché, imposant la rupture, et toutes relations que ce soit entre les deux protagonistes... Obliger Ares... Lui dicter sa conduite, a LUI?! A se souvenir, il serra de nouveau les cheveux d'or de la pretresse, avant de les caresser, tant ses mouvement de bouche le détendait incroyablement... Elle posa de nouveau une question, comme ces humaines pouvaient étre bavardes et curieuses... Il posa de nouveau ses yeux sur son visage d'ange, avant de lui repondre...

"Entiérement devouer... Voila qui est interessant... Continue en ce cas, nous verrons si tu es au moins aussi bonne que ne l'est ta maitresse en la matiére!"

Il rit légérement. Comment une humaine pourrait elle arriver a la cheville de la déesse?... tout en souriant, il se penchat un peu, retirant la bretelle de la fine robe de la servante, la faisant glisser le long de son epaule, pour delivrer une partie de sa poitrine delicieusement faite.. Les doigts du Dieu parcourir un moment cette epaule denudée, avant de glisser vers la naissance de son cou, pour entreprendre le voyage vers son decolté vertigineux... Sa peau douce, et son grain delicat... Elle etait... Parfaite.

Oulà, soit c'était elle qui était devenu trop forte, soit c'était Arès qui était devenu trop faible, peut être était ce même les deux car même en retenant un maximum de sa quintessence divine elle lui faisait encore de l'effet. Ah le pauvre Arès, elle allait le torturer jusqu'a ce qu'il ne soit plus en état de faire grand chose...Mais elle était sure qu'il apprecierais cette douce torture. Aphrodite eut un sourire sybillin. Qu'est ce qui l'empechait de faire d'un seul coup monter le plaisir pour qu'il soit insoutenable pour ensuite le reprendre ?Ah mais Arès se douterais bien de qui elle était dans ce cas. Et ca n'était pas a elle de se reveller a lui. Mais plutôt a lui de le découvrir...Ou de la découvrir...

Bref, Aphrodite était occupée a son travail. Elle avait été directe, franche, elle savait qu'Arès n'aimait pas s'embarasser d'une cour compliquée et aimait bien aller vers l'essentiel, c'était pour ça que depuis tous les temps il avait toujours été un de ses amants favoris. Lentement elle se mit a caresser son extremitée avec sa main tout en continuant les mouvements de suscion. Il lui tira les cheveux et elle eut un sursaut de désir a nouveau...Elle aimait bien quand son amant se faisait aussi entreprenant. Elle savait également qu'il aimait ce genre de relation entremélée de plaisir et de souffrance.

Quand il la questionna a nouveau elle interrompit ce qu'elle faisait, on ne parle pas la bouche pleine après tout et repondit avec un de ces sourire enigmatiques dont elle avait le secret

"J'espère que le service est a la hauteur de vos attentes monseigneur."

Fit elle tandis qu'elle massait son extrémitée de l'index quand elle sentit la main d'Arès la caresser et la dénuder elle revela un sein aux forme voluptueuses, rondes et ferme...Elle saisit délicatement la main d'Arès, après avoir touché a ce qu'lele touchait en ce moment, elle n'était plus a ça prêt dans le deshonneur et l'entraina vers sa poitrine, tandis qu'elle posait ses lèvres sur la main du dieu pour la baiser

Plus rien finalement n’avait d’importance que cette bouche experte sur son membre durcit. Ares, Dieu Olympien, grand créateur de l’immense guerre de Troie et de tant d’autre, soupirait de plus en plus de plaisir, en regardant agir cette prêtresse au service de son amante d’autrefois. Quel talent, cette bouche qui allait et venait sur son épée de chair était des plus goulue et des plus douces à la fois, un délice, un régale incroyable. Il voyait son membre disparaître presque totalement entre les lèvres de la servante, sentant sa langue jouer avec, tournant autour de cette chair si sensible de son arme biologique.
Pas de doute possible, Aphrodite avait le don de recruter les meilleures servantes, les plus habiles dans ce qu’elle représentait, l’Amour sous toutes ses formes.

Soudain, l’arrêt de cette sensation merveilleuse le sortit de son petit nuage. Il posa un regard sombre sur cette femelle qui osait interrompre un jeu pourtant bien agréable pour le Dieu. Mais sa main prit rapidement le relais, comme pour ne pas abandonner totalement l’épée du seigneur. Il en eu un légers sourire, avant de laisser sa main se faire guider, jusqu'à ce sein subtilement dévoilé. Se laissant faire, comme rarement, il prit ce dernier en pleine main, le serrant d’abord avec délicatesse, comme pour faire les présentations, avant de glisser subtilement dessus, jouant avec, découvrant ce grain de peau plus doux encore que celui de ses épaules. Alors, la voix mélodieuse de la servante remontât aux oreilles du prince des batailles. S’il était satisfait ? Ho que oui… Mais a cette question, et a la suite de sa réponse, le Dieu eu soudain une drôle de révélation… Regardant plus attentivement les traits de cette magnifique femelle, tout s’installa dans son esprit.

Il ouvrit grand les yeux, tandis qu’il prenait en pleine figure, la véritable identité de cette personne accroupit devant lui. Comment n’y avait il pas pensé plus tôt ? Tout était pourtant si logique. Comment une prêtresse pouvait elle aussi bien agir avec un membre Divin ? Comment une simple humaine pouvait elle savoir comment faire tant de bien au Dieu de la guerre ? Un mince sourire se dessina peu à peu sur le visage sombre d’Ares, tandis qu’il prenait entre deux de ses doigts, le téton durcit de la fausse servante. Se penchant un peu vers son visage d’ange, il lui sourit, avant de pincer sauvagement ce bout de chair dur, un léger frisson parcourant la peau de la femme. Sans attendre, il s’empala de nouveau entre ses lèvres, tandis que son autre main saisissait les cheveux d’or de son amante, enfin démasquée.

« Le service est exceptionnel, comme toujours quant c’est toi qui t’occupe de moi… Divine Aphrodite ! »

Relevant un peu le visage de la Déesse, il sentait déjà le plaisir affluer, tandis qu’il venait de découvrir l’imposture. Elle avait voulut jouer, et cela avait fonctionné, mais désormais, il était des plus excité par le simple fait de savoir que sa déesse avait les lèvres sur son épée de chair. Sa semence ne tarderai pas a venir, pour un premier voyage au septième ciel, premier d’une longue série auprès d’elle. Qu’importe la raison première de sa venue, Aphrodite lui avait bien trop manqué, il comptait bien rattraper le temps perdu !

Ah, on commençait a avancer dans l'intrigue et Arès avait fini par se rendre compte du pot au roses. Bah, il n'était pas stupide, et elle s'attendait bien a ce qu'il le découvre. Aphrodite continua donc son oeuvre en laissant Arès instiller le plaisir dans cette enveloppe de mortelle. Un plaisir qu'elle avait oublié depuis longtemps. Elle se souvenait qu'elle, issue du membre coupé d'Ouranos, était la seule divinitée qui ne fut pas issue de Cronos a vivre dans le séjour des dieux. Et pourtant Zeus l'avait mariée a ce bon a rien d'Hephaïstos. Ce capricieux avait tant tempété qu'il lui avait donné sa main...Mais elle n'était pas sa possession. Et quand le dieu forgeron avait fait un filet pour les surprendre et pour supplier Zeus de briser l'union des amants il n'avait sucité que le rire des autres divinités.

Et notre honte.

Plus de ce casse pieds ici. Et plus de Zeus d'ailleurs. A présent seule dominatrice de ce monde de plaisir, elle se retrouvait a gater son amant favori comme au bon vieux temps, sans aucune contrainte. Arès la reconnut alors enfin et alors qu'il faisait ça il vint, maculant son visage de sa semence Aphrodite eut un sourire aguicheur.

"Je reconnais bien là la perspicacitée légendaire du dieu de la guerre."

Fit elle en le narguant avant de se reculer légerement. Alors Aphrodite apparut a Arès dans son entière quintessence divine. Une aura de puissance telle que si elle la déployait dans le monde des humains elle provoquerais une excitation telle que des milliers de personnes retourneraient a l'état primaire d'animal et tenteraient de la violer sur le champ. Seul un dieu était capable de faire face a la véritable forme d'Aphrodite sans en mourir de folie, et malgré ça la tache demeurait dure pour Arès, car lui avait perdu de son pouvoir, et Aphrodite avait multiplié le sien par cent.

La déesse de l'amour apparut alors a Arès dans des proportions parfaites, celle d'une agréable femme dans la fleur de l'âge aux cheveux d'un blond blanc et aux yeux grands et bleux ainsi qu'a la voluptuositée parfaite. Elle ouvrit ses yeux et regarda le dieu de la guerre

"Alors, qu'attends tu, ô Arès, pour me coucher dans ton lit?"

Fit il avec le même ton mordant

Aphrodite. Aphrodite elle même était désormais face a lui, accroupie devant son membre qui n’attendait que cela depuis des siècles, depuis que ces idiots d’Olympiens avaient mit un terme a leur union secrète, a cette douce et sauvage infidélité que faisait la divine Déesse a son handicapé de mari. Tous s’étaient moqués, tous n’avaient eu de cesse de rire, de les avoir trouvés nues, ensemble dans le lit conjugale. Mais aujourd’hui, ils allaient prendre leurs revanche, rattraper ce temps perdu ou ils auraient dut être ensemble, jouant a des jeux dont eux seuls avaient le secret. Tandis qu’il sentait les mouvements de son membre entre ses lèvres, sa semence finit par éclore, s’étalant sur le visage de cette servante dissimulant le véritable corps de sa déesse.

Alors elle le regarda, avec des yeux scintillants, avec un sourire dont elle seule avait le secret, qui avait le pouvoir de faire succomber n’importe quel male, de quelque nature qu’il soit, pour le faire glisser dans sa couche. Aphrodite, Reine des plaisirs et de ce sentiment étrange, venait a nouveau de montrer son incroyable talent dans ce genre de petit amuse gueule. Le dieu de la guerre la regarda un instant. Il finit par sourire lentement, tandis qu’elle se redressait pour se mettre a quelques pas de lui.

« Et je reconnais bien la, les qualités indéniable de la souveraine des délices Charnels. Coquine, comme au bon vieux temps ou tu changer chaque soir de formes, pour mon bon plaisir. Mais aujourd’hui, en ce moment, c’est Aphrodite que je désire. »

C’est la qu’il le sentit… Cette vague de pouvoir se déverser dans la pièce, dans toute sa puissance, dans une incroyable tornade. Quant avait elle acquit tant de puissance ? Depuis quant pouvait-elle déployer tant de désir chez un dieu ? Zeus lui même n’avait pas ce pouvoir, et quant bien même il l’aurait eu, impossible qu’Aphrodite puisse se servir de son pouvoir incroyable face à lui… Le dieu de la guerre resta un instant ébahi tant la surprise fut vive. Mais bien vite, son cerveau cessa de fonctionner, de raisonner. Une seule chose eue de l’importance… Ce désir inconsommable qui brulé pour cette déesse… Il la regardait. Intensément. Et à ses dernières paroles, il ne put se retenir d’avantage. Il s’approcha d’elle, et sans attendre, il l’enlaça avec fougue, portant ses lèvres tout contre celle de la sublime et Divine maitresse des lieux. Sa langue entra, cherchant sa jumelle, jouant avec, glissant le long de cette dernière, la frappant doucement, tandis que ces main venaient prendre ce qu’il restait de la tunique, pour finalement l’arracher entièrement, sauvagement, comme au bon vieux temps.

« je n’attendais que toi… »

Il se sentait à nouveau revivre, son désir au sommet de son paroxysme. Ses mains saisirent alors le fessier rebondit et ferme d’Aphrodite, et il la souleva, la plaçant tout contre son membre, sans pour autant fusionner avec elle… non, il devait d’abord la gouter, la découvrir… Il l’amena tout contre l’un des murs du temple, la plaquant avec passion, tandis que ses lèvres venaient gouter à son cou offert. Ses dents laissèrent des marques rouges, ses mains resserraient leurs prises, pour enfin la laisser glisser au sol, sur ses jambes. Doucement, il s’accroupie a son tour, et son visage disparut entre ses cuisses, goutant de son bout de langue, a ce sexe qu’il connaissait si bien autrefois.

Le jet de semance innonda son visage de multiples goutes pâles qu'elle reçut avec un rire petit rire espiègle, Arès était si faible ! Elle se rappellait du dieu a la vigueur infinie dont les prestations sexuelles pouvaient durer plusieurs jours d'affilée, voire plusieurs mois et maintenant il n'avait plus la force de s'opposer a elle, bien trop puissante, Aphrodite avait même du revoir son pouvoir a la baisse car si elle avait vraiment irradié de plus de force elle l'aurait tué. Elle avait vu a quelle rapidité le pouvoir avait fait effet sur Arès et s'était rapidement limitée, il était stupide d'ailleurs de sa part de s'exposer de la sorte, puisque sa puissance était un secret, mais pour une déesse exubérante comme Aphrodite, devoir se cacher en permanence suscitait beaucoup d'ennuis, et puis ça allait être la première fois en plus de mille ans qu'un dieu allait s'unir a elle sur son véritable corps, un dieu qu'elle n'avait pas crée et qu'elle ne pouvait donc pas altérer a sa guise pour le faire aller où elle voulait. Arès était peut être faible comparé a sa puissance d'antan ou a sa force actuelle, mais il n'en était pas moins un dieu. Et il n'en avait pas moins été son plus précieux amant, nul autre n'avait autant de fougue qu'Arès, et elle comptait bien attiser la flamme qui soufflait déjà dans le corps du dieu de la guerre. Ca faisait des siècles qu'il n'avait plus eu une partie de jambe en l'air digne de ce nom, l'envie et la frustration en lui devaient avoir atteint des points incroyables. Et elle était impatiente d'y être confronté

"Alors c'est moi que tu aura"

Elle récupéra la semence dans la paume de sa main et la lécha délicatement pour n'en perdre aucune miette alors qu'elle se dévoilait sous sa nature véritable. Naturellement, après ce qu'elle lui avait fait il était logique qu'il soit aussi vif, aussi brutal, et c'était ce qu'elle aimait en Arès, la brutalité d'une véritable bête. Alors il se jetta sur elle pour l'embrasser passionement ce quoi Aphrodite répondit pour montrer a Arès ses millénaires de compétence dans le domaine, si elle était capable de faire jouir un mortel rien que par le regard, ou par un simple contact, inutile de dire les décharges que provoquaient ses baisers dans le corps d'Adès alors que leurs langues s'entremélaient et qu'elle profitait entièrement de la bouche puissante d'Arès. Il mit la main sur sa toge et l'arracha purement et simplement d'elle, la laissant nue comme un ver alors que la jeune femme gloussa un peu. La toge n'était là que pour la forme de toute façon, c'était toujours le costume d'Eve qu'elle préférait alors qu'elle répondait au dieu de la guerre

"Tu n'a pas changé Arès."

Fit elle avec un sourire alors qu'il posait ses mains sur son fessier dans le but de la pénétrer, il changea brusquement d'avis et fini par la plaquer contre un des pilliers de l'entrée. Aphrodite n'en rit que d'avantage, dans le temps il y aurait eu un attroupement, ils n'auraient jamais osé le faire ici même alors qu'ils pouvaient êtrre surpris par un autre dieu qui irait tout dire a Zeus ou Héphaïstos, mais Arès était tellement fou d'elle qui se fichait d'être vu. Il la mordit au cou alors qu'Aphrodite frémissait, elle aimait quand il se montrait brutal, elle aimait toutes les formes d'amour après tout, mais celle là plus que d'autres alors s'accroupissait il se mit alors a la lécher, Aphrodite ferma les yeux et profita un peu de ce traitement de faveur alors qu'il la gouttait pour la première fois depuis longtemps

"Mmh...Seigneur Arès, j'ose imaginer que vous maniez aussi bien votre langue que votre lance n'est ce pas?"

Lança Aphrodite avec un air taquin

Il sentait le feu brulait plus vivement que jamais en lui. Aphrodite, la déesse en personne etait enfin face a son regard de braise, enfin il convoité la plus belle femme de tout l'Olympe. Malgrés les siécle passé loin d'elle, malgrés sa puissance declinante, il ne pouvait que se rappeler a quel point cette déesse etait l'amour incarné. Loin de se sentir impuissant, il eprouvé tout de méme un certain mal a rester de marbres face a ses assauts langoureux. Oui, Aphrodite etait de loin la véritable incarnation des plaisirs, et lui, pauvre diable, ne tenait plus trop la route. Mais a son contact, il percevait un senblant de puissance revenir peu a peu. etait ce l'enivrement de pouvoir enfin de nouveau la toucher, ou simplement le fait de se trouver ici méme, dans le temple de sa Déesse, qui faisait bouillir le sang du Guerrier... Il n'en avait cure. Ce qui importait desormais etait son plaisir incalculable, que sa langue gouté de plein fouet... Le sexe de sa maitresse d'antan avait un gout de miel, et sa langue ne se lassait jamais de prendre ce jus delicat, pour en boire les quelques gouttes... La pointe de sa gourmande de langue, se pressa sur le bouton d'or que lui offrait Aphrodite, ses mains se plaquérent sur chacunes de ses cuisses, glissants lentement vers ses fesses magnifiquement sculptés, que ses mains rapeuses claquérent, juste pour le plaisir d'entendre sa chair repondre à la force de ses mains.

Il entendit sa voix, lancé a nouveau une phrase aguicheuse et pleine de sous entendut, comme elle savait si bien le faire. Cette muse des desirs n'avait aucunes egales dans cet art subtile, et encore une fois elle le montrait, par des mouvement gracieux des hanches, par des soupirs sensuels, par sa cambrure delectueuse. Sa langue quant a elle continuai sa redecouverte de son antre a plaisir, jouant le long de ses lévres inférieurs, entrant parfois en elle, comme pour venir y chercher un peu plus de nectar sucré. Ses mains continuaient leurs massages sauvages de son fessiers, laissant maintenant des marques rougeatre sur sa peau de nacre. Alors, remontant vivement son visage, il capture un sein entre ses dents, se collant tout contre elle, pour revenir prendre sa bouche dans un baiser sauvage.

"Toi non plus tu n'as pas changé Aphrodite, pour mon plus grand plaisir d'ailleurs."

Il ne s'attarda pas sur le sujet qu'elle avait au contraire, beaucoup changé. Il pouvait sentir cette puissance qu'il ne lui connaissait pas. La Déesse de l'amour avait une aura qui aurait fait palir n'importe quel autre Dieu de jalousie. Il chercha un bref instant de plus a comprendre ce qu'il se passait ici, mais trés vite, l'appel de la luxure se fit le plus fort, et il reprit ses baisers torrides. Comme pour repondre a sa phrase coquine plus tot, il la retourna vivement, la plaquant face contre le pilier, se collant a son dos, ses mains glissant jusqu'au bas de ses reins. Son souffle saccadé par le desirs qui le submergé venant frapper la nuque de sa Déesse, Ares prit son membre d'une main, et sans attendre, le placant face au sexe d'Aphrodite, il la pénétra avec une rare violence. Combien il etait bon pour lui de de nouveau sentir cette humidité brulante lui entourer la Hampe, combien il fut transporté de plaisir de voir son membre engloutit par le sexe de sa partenaire. N'y tenant plus, il posa une main sur la fesse droite d'Aphrodite, et l'autre repassa devant, pour prendre d'une mains vigoureuse le sein de sa Maitresse.

Commenca alors de violent vas et viens, chaque mouvement appuyés par le claquement de leurs peau l'une contre l'autre, et les soupirs de plaisir du Dieu de la Guerre, qui se sentait enfin revivre auprés de cette desirable compagne... Comment avait elle put le laisser pour d'autre, pourquoi ne l'avait elle pas gardé comme amant privilégié? Ce soir, cette semaine, cette année, il allait a nouveau la conquérir, comme il auarait fait a un pays souverain ennemis....

Les rapports avec Arès étaient toujours...Tout feu tout flamme. Le dieu de la guerre savait s'y prendre pour mettre le feu a son champ de bataille...D'un sourire sybillin elle l'invitait a avancer le long des plaines encore verdoyantes et de venir les dévaster de ses armées si il l'osait. Elle ressentait a nouveau ce feu qu'Arès allumait a chaque fois qu'il s'étreignaient, la flamme était encore faible, mais le feu était bien là, les flamèches qui rallumeraient le brasier...Ces temps là lui semblaient bien loin a présent, une éternité les avait séparé depuis la dernière fois où ils s'étaient aimés et comme a chaque fois, plus la paix est longue, plus la guerre qui suit est violente. Un torrent d'émotion parcourut la déesse qui se laissa chavirer. Il n'y avait qu'un dieu pour avoir le culot de dominer lors d'une relation amoureuse avec un autre dieu, et il n'y avait qu'Arès pour avoir le courage de dominer lors d'un ébat avec elle. Sa langue contre son sexe lui rappella les souvenirs anciens du temps qui n'existait plus. Ce temps où il suffisait d'un regard, de l'un ou de l'autre pour qu'il rejoigne son amant dans son temple et s'adonnent au plaisir de la chair...Il allait falloir y revenir, Arès maniait si bien la langue qu'elle ne pouvait pas laisser ça s'envoler...

Il la caressa longuement et lui mordit le sein, Aphrodite loin de crier de douleur ou de gémir se contenta de petit rires, c'était comme si elle retrouvait un vieil ami qu'elle n'avait plus vu depuis longtemps. Il la pénétra alors et Aphrodite poussa un cri de douleur mélé a un cri de joie.

"Mmmmh..."

C'était ce qu'elle aimait chez son amant, quand il usait de toujours plus de force, de cette force qui aurait détruit des mortelles si ils les avaient prise de la sorte, derrière Aphrodite le pilier se carva de l'impact du dos de la déesse alors qu'elle se sentait renaître. Aphrodite aimait toutes sortes d'amour, et l'amour violent du dieu de la guerre la contentait tout aussi bien, elle aimait beaucoup ce rapport de force, sa poitrine se soulève au rythme des coups de bassin du dieu de la guerre et celui ci empoigne sa croupe et son sein pour les carresser fermement.

Elle n'a rien a faire, elle pourrait très bien rester là et laisser Arès lui faire l'amour divinement, mais il est temps d'y mettre un peu du sien. Tout d'abord elle commença par accompagner ses mouvements de bassins, appuyant chacun d'entre eux avec vigeur malgré sa position, ripostant a la force d'Arès avec une grande force avant de pousser malicieusement le dieu pour allongée sur lui.

"Alors Arès ? Serais tu devant une bataille que tu ne peux pas gagner ?"

Ils faisaient l'amour ici, devant le temple de l'Olympe, si il avait été un peu plus peuplé les dieux se seraient attroupés, mais peuplé ou non elle s'en fichait, il devait y avoir quelques dieux qui trainaient quelque part qui plus est, et le fait d'être observée pendant l'acte ne la génait pas.

Détaillant le corps d'Arès avec ses mains et avec une force aussi inatendue qu'impressionante elle le plaqua au sol pour continuer ses va et vien le long de la hampe de chair, le dieu de la guerre allait il se laisser vaincre de la sorte?