Le cavalier s’exécuta devant sa maîtresse, lui présentant son bel engin tout veiné digne des dieux et des démons les plus lubriques. La taille imposante de ce sexe qui venait de connaître sa première jouissance en compagnie de l’adorable ange, n’en finissait pas de prendre des proportions dantesques sous les coups de langue de la divine. Sa maîtresse le soumettait à une torture dont seule les anges du plaisir avaient le secret. Il se retint tout d’abord de gémir mais ne put bientôt plus étouffer ses gémissements. La langue voguait avec tant de délice qu’il ne pouvait reteindre des soupirs de plaisirs face à ce traitement…
« C’est si bon…ma maîtresse….Je ne savais pas que vous possédiez de tels pouvoirs….Utilisez vos seins aussi….Je…Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme là… »
Quand elle s’apprêtait à utiliser son opulente poitrine, du lait crémeux de ses obus se déposèrent sur sa verge agrémentant le salé de sa peau du lait de la belle, alors qu’elle le suçait avec autant d’ardeur.
« Votre lait coule le long de ma…bite, je…c’est bon…c’est chuad…je vais bientôt jouir… »[/b]