Un nouvel élève....[Pv : Henrietta]

Je commençais mon court comme tous les jours depuis que j'avais été envoyé à Kyoto. Je commençais à préparer mes fiches avec tranquillité. Dehors il faisait un temps à ne pas sortir un chat dehors, et aussi il faisait assez froid alors que dans la classe je baissais le thermostat pour avoir justement moins chaud.

-DDDDDRRRRRRRRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNGGGGGG !!!!!

Voila la cloche qui sonnât et je rangeais deux, trois trucs dans mon sac avant d'aller chercher mes élèves dans la cour, il étaient sous le pré-haut comme tous les autres m'attendant pas forcément avec impatience, en même temps il fallait dire que dans leur "classement des profs les plus chiants et stricte" j'arrivais dans la tête de liste, mais il faut les comprendre avoir un professeur qui a un caractère aussi froid que la glace sibérienne en pleine hivers il y a de quoi de dire que ce prof est stricte mais bon je ne trouvais pas vraiment aussi stricte enfin bref... J'allais prendre la classe et l'emmena dans la salle de physique-chimie.

Je commença le cours comme d'habitude en expliquant ce qui allais se passer pendant les deux heures de cours avec moi et programmer des expériences "marrantes" quand je fut interrompus par le principale du lycée qui me présenta un nouvelle élève je vis aussi que tous les élèves s'étaient mis à faire les con.

-Bon vous devriez vos taire si vous ne voulez pas ne pas avoir d'expériences !


Et tous se tus car je faisais toujours se que je disais et ne me laissais jamais impressionné par une bande de gamins immatures. Le principale fit entré un ou plutôt une sur le cou de la vue mais le principale m'expliqua en dehors de a classe qui était-ce et pourquoi le nom.

-Bon présente toi à ta classe jeune homme.

J'entendis tout de suite les élèves jaser sur son physique féminisée et son prénom aussi très féminin.

-Laisse parler ce sont les abrutis de la classe pas vraie les gars ?

-Mouai... firent-ils en baissant la tête

-Bon maintenant tu peu te présenter.

- Bon je crois que tout est en ordre monsieur Guredina Henrietta, je dois vous avouer que votre prénom risque d'en choquer plus d'un. Nous sommes bien d'accord entre nous sur les terme de votre acceptation ?

Je savais pertinemment que je jouais serré, mais il valait mieux recommencer ma vie de manière normale, plutôt que de continuer à faire des boulots qui risquent de m'attirer plus d'ennui encore.

- Oui madame la directrice, je promet que si mes notes ne suivent pas je m'en remettrait à votre jugement.

- Et ne faites surtout pas de grabuge, car je le saurais tôt ou tard.

- Oui madame la directrice.

- Bien je vais vous conduire à votre classe, elle est composée de 50 % de fille et 50 % de garçons, en tenant compte de votre présence.

Je la suivit donc un peu en retrait, des lycées se mirent à me lorgner, du fait de ma tenue scolaire ils savaient que j'étaie un homme et non une femme ce qui m'attira les foudres de  certains et l'admiration d'autre.

Puis vint enfin le moment de vérité, je vis le professeur de physique-chimie, comme je suis nouveau je ne savais pas encore qu'il était l'un des plus strictes de l'établissement. Il me semblait jeune, mais comme je ne connaissais pas comment se passait les études, car je ne suis jamais allé dans une école ou un lycée. Fort heureusement j'avais lu le règlement et il ne semblait pas aussi stricte que dans le centre, à cette pensée je secoua ma tête, la directrice vit le mouvement et me demanda.

- Cela ne va pas ?

Je répondis avec un sourire.

- J'ai juste un peu le traque.

Le professeur me fit entrer et je put admirer ceux et celle qui allait être dans ma classe, déjà les filles eurent une réaction positive en chuchotant des choses qui ne semblaient pas négatif, je pouvais voir dans leurs yeux un sentiment que je ne connaissait pas trop. C'était comme des chat voulant capturer la souris que j'étaie. Cela eut comme réaction d'avaler un peu de salive dans ma bouche, j'ai chaud et ma gorge est serré, cela doit être le tress de se trouver dans une situation nouvelle où l'on ne peut pas avoir prise.

J'étaie tellement intimidé par ce nouvel environnement que je n'entendit même pas les sarcasmes venant des garçons.

-Bon maintenant tu peu te présenter.

Je reprend pied sur terre et ne cache pas ma surprise.

- Ha ..  euh ...

Je regarde la classe qui me fixe en retour, se présenter c'est bien, mais que dois-je dire en vérité. Tant pis on se lance et l'on verra bien.

- Je m'appelle Henrietta Guredina ... Enchanté de vous connaître.

- Je m'appelle Henrietta Guredina ... Enchanté de vous connaître.

Bon il n'y avait plus qu'a le placer, devant comme m'avait dit la directrice.

-Bon David lève la main. dis-je en français.

David ? me direz-vous. C'est un élève qui est au Japon pour approfondir sa connaissance de la langue nippone et en plus c'est un français.

-Bon Henrietta tu va vers le garçon qui lève la main ça sera ta place maintenant.

Je le vis aller prendre sa place et commença mon cour, cette fois-ci c'était sur les puissances atomiques, je faisais mon cour comme d'habitude surveillant le nouveau venu, réprimandant les personnes de derrières qui le bizutaient. Après ce que m'avait dit la directrice j'étais pensif, maintenant nous avions débuté les premières expériences avec du souffre, sulfate de cuivre mais malheureusement des élèves s'amusèrent à se lancer de la poudre de cuivre et malheureusement le pire arriva quelqu'un se le prit dans les yeux et bon mon boulot maintenant était infirmier/policier. J'expulsa les perturbateur chez la directrice et passa les yeux du blesser sous l'eau.

Il dit quelque chose dans une langue qui ne mettait pas connut, aussi j'essayai de deviner ce qu'il avait dit en regardant l'agitation dans la salle, un élève leva la main, donc le professeur avait sans doute demandé à quelqu'un de se porter volontaire pour quelque chose.

-Bon Henrietta tu va vers le garçon qui lève la main ça sera ta place maintenant.

C'était donc ça, je laisse un soupir s'échapper de ma bouche, libérant le stress accumulé. Par contre j'étaie dans le premier rang, ce qui me gênais grandement, mais cela ne fut pas le plus dérangeant. En effet je ne comprit pas le terme puissance atomique et sortie discrètement le livre de chimie pour regarder ce que c'était, c'est alors que j'eus un frisson dans le cou, je tourna rapidement la tête pour voir un ds garçons se moquant de moi brandir sa règle dans le but, sans doute, de frapper mon dos, si le professeur n'était pas intervenu à chaque tentatives de ces garçons immature je serais déjà sur eux pour les désarmer et sans doute leurs déboiter les épaules, ce n'est pas joli, ni réglementaire, mais mon instinct de survie était comme ça.

Puis vint un autre danger, des élèves jetaient ce que le professeur appelait sulfate de cuivre, je connaissait ce métal qui pouvait se révéler dangereux dans le corps humain. Un élève se lit à pousser un gémissement, il venait d'avoir de la poudre dans les yeux, la situation fut rapidement maîtrisé et je vis que le professeur pouvait être autoritaire et bienfaisant. C'est alors que mon corps me prévins d'un danger, décidément les lycée c'est dangereux. Un objet se dirigea vers ma tête et d'un revers de la main je dévia sa course au sol, au bruit c'était métallique, mais j ne dévia pas mon regard vers le sol, cela aurais été laisser une ouverture, puis un élève fit tomber sa gomme à mes pieds, j'étaie partie pour le récupérer et le rendre à la personne concernée, mais cette dernière se mit devant ma paillasse et je lui donna sa gomme avec un sourire, je n'avais aucune raison de me montrer froid envers les autres, cela Ariane ne l'aurait pas accepté.

Le cours reprit et au bout de cinq minutes,  j'eus la tête qui avait des vertiges, c'est alors que je sentit un courant d'air sortir d'un robinet, je comprit très vite  le tour qui m'avais été joué, la personne avait tourné la valve contenant un gaz  que je n'étaie pas en état pour nommer, je fis mine de me lever, forçant sur mes bras qui tremblaient sous l'effort demandé.

- Je ne me sent pas  ...

Puis le monde sembla trop flou et se fut le noir complet, j'étaie tombé dans les pommes, la dernière chose que je me souvient ce sont les rires de certains et l'inquiétude des autres.

Je continuais le cour après avoir rincé les yeux de l'élève qui, il faut le dire sens ait prit plein la tronche. Donc je continuais mon cour tranquillement toujours en surveillant d'un œil autour de Henrietta qui se leva et de suite je lui demandais de s'assoir mais je vis rapidement qu'il ne se sentait pas très bien et avait du mal à tenir sur ses jambes, d'ailleurs le pire arriva, il tomba littéralement dans les pommes ce qui me fit lever et aller vers lui, puis je sentit autour de lui alors que tous les élèves regardait et j'avais réussi à détecter une odeur de gaz, du monoxyde de carbone, le pire des gaz qui n'ait jamais existé car il est incolore et normalement inodore mais j'avais mis un léger parfum dans la bombonne  pour pouvoir le détecter  et tout de suite mon réflexe fut d'évacuer la salle puis d'aller ouvrir les fenêtre avant de prendre sur mon dos Henrietta et on se retrouva tous dehors, je décida de le poser contre le mur avant de faire passer un savon à toute la classe et là oui on pouvait "m'appeler 'le prof le plus sévère" car toute la classe sauf Henrietta qui était plus la personne qui avait subit mais un élève vint vers moi pour me dire que c'était de sa faute et non d'une personne de la classe et bien sur toute la classe était affirmative au dires de leur camarade.

Ma décision final fut de donner deux heures de cols pour faire des cours supplémentaires à Henrietta alors que le reste auraient une définition à copier 100 fois chez eux puis je fis rentrer toute la classe une fois qu'Henrietta était réveillé, enfin pouvoir terminer ce cour ! quand la sonnerie se mit à retentir, il était l'heure de la récréation, je décida de garder Henrietta pour lui expliquer que je lui mettais deux heures de colles ce soir.

-Bon Henrietta je me vois dans l'obligation de te mettre deux heures de colles, enfin plus du rattrapage, car j'ai bien vue que tu ne savais pas de quoi je parlais donc je te ferais un cour en accéléré et comme cela tu sauras de quoi nous parlons en classe.

Mon réveil ne se fit pas la meilleur des conditions, j'avais l'impression d'avoir dévalé une pente, mon corps était un peu douloureux et j'avais encore la tête qui tournait, sans compter les légères nausées qui m prenais de temps à autre, mais j'étaie assez fort pour contrôler ce dernier élément.

Même si j'avais le teint pâle je me remis à sourire, pour ne pas inquiéter les autres et surtout le professeur, je me lève pour suivre les élèves, mes pieds pèse une tonne, sans doute fallait-il encore un peu de temps pour que le gaz que j'ai inhaler disparaisse, aussi je ne fais pas de mouvement brute, essayant d'être le plus fluide possible et ne pas forcer de trop.

Dix minutes plus tard mon état était redevenu normale, j'avais fait mine d'avoir oublié l'incident, d'après le visage des autres élèves ils se sont fait sermonnés pendant que j'étaie dans les vapes, si j'avais la gorge qui ne me serrait pas j'aurais bien voulut demander au professeur de retirer sa punition pour les autres, après tout je n'avais pas fait attention, donc d'une certaine manière c'était ma faute.

Le cours se passa sans autres incidents, mais cette journée m'avait apprit une chose, ce qui avait fait de moi ce que je suis maintenant ne semblait pas plaire aux japonais, mais il était hors de question que je change pour leurs plaire, ce style de vie, mon apparence je le devais à ma mère adoptive et l'amour d'une mère est un trésor que nul ne peut marcher dessus facilement.

La sonnerie signifia la pause, je fut le dernier à sortir car je rangeais mes affaires avec soin, je pouvais voir dans la poche avant la collier de ma mère et son ruban vert, les deux seules traces de l'existence d'Ariane.

J'allais partir, mais le professeur me demanda de venir pour m'expliquer qu'il m'avais mit deux heures de colles, j'allais demander pourquoi, quand il expliqua la raison, apparemment je n'ai pas été assez discret et il avait vu que j'avais du mal, beaucoup auraient crié aux scandales, mais moi je lui répondis en souriant.

- D'accord, je viendrais. Je vous dis donc à tout à l'heure.

Je n'avais aucune raison de le détester, il voulait m'aider, mais je ne savais pas pourquoi il semblait toujours dominer la situation, il semblait cacher quelque chose.

La suite des cours se passèrent sans moi, j'avais fait un détour à l'infirmerie pour bien récupérer de ma mésaventure avec le monoxyde de carbone, ce gaz je le connaitrais maintenant, une chance que le professeur est vite agit, sinon j'aurais put y passer. Je ne passa qu'une heure à l'infirmerie, le reste du temps je fus sur le toit du lycée à sentir la caresse du vent qui venait du nord.

Une fois les cours finit je me dirige vers la salle que le professeur de physique-chimie m'avait indiqué et toqua à la porte, puis l'ouvrit en disant.

- Me voilà monsieur.

Ma journée se continua comme toutes les autres avant, avec un peu d'agitation de temps en temps mais rien de grave comparé à ce qui s'était passé au par avant. La sonnerie finale retenti et comme un troupeau de bœuf ils se ruèrent sur la porte pour sortir. J'allais vers la partie "labo" de la salle en attendant Henrietta et aussi pour préparer ce que j'allais lui faire faire, je préparais de l'air liquide, j'avais ms ma blouse blanche et des lunette spéciales et des gant de protection quand Henrietta arriva dans la salle. Je l'invita à venir vers moi.

-Bon Henrietta nous allons faire des expériences et grâce à ces expériences je vais t'expliquer le cour de demain, donc nous allons travailler sur les propriétés de l'air, donc état gazeux, solide et liquide.

Je lui montrais les propriétés de l'air tout en lui expliquant les moyens pour faire cela, la température etcétéra... Une heure après je l'avais mis à la table la plus proche du labo pour lui faire copier des choses que la classe avait déjà faites pour qu'il apprenne chez lui pour le prochain cour et donc puisse participer, surtout qu'il y aurait peut-être un devoir en classe, en groupe pour travaux pratique. Il sera avec une fille car je fais toujours des groupes mixtes pour éviter que ça bavarde trop hors-sujet.

Je continuais à dicter quand un caillou vint perturber le calme en fracassant une vitre, je vint vers cette vitre quand un démon me poussa violemment et s'introduit dans la classe, je trébucha et me fracassa contre un bord de bureaux se qui m'assomma légèrement avant qu'il aille vers Henriette.

Je pris le temps de comprendre chaque mécanisme chimique et physique des expériences, c'était assez facile, car mon cerveau avait apprit depuis longtemps à mémoriser chaque chose dans ses moindres détails, c'est ce qui m'avait souvent sauvé la vie dans le centre et dans le bordel, aussi une fois les explications données et l'expérience faites sous mes yeux, il ne restait plus qu'à apprendre les terme techniques et le tour était joué, seulement il était certain que le professeur ne se contenterait nullement  de deux heures, les rendez-vous risques d'être monnaie courante pour que j'ai le niveau.

C'est alors que mon corps se figea, je ne pouvais plus bouger un muscle, mon corps était complètement paralysé par quelque chose, c'est alors que la vitre se brisa, le professeur voulut voir quelle était la personne qui avait commit ça et une main inhumaine l'éjecta comme s'il ne pesait rien, c'est alors que j'eus une sueur froide, la créature n'avait rien d'humaine, elle ressemblait aux démons de mes cauchemar, mais c'était impossible, les démons et autres monstres ne pouvait pas exister, il me fixa avec ces yeux jaune et sa voix résonna dans ma tête, elle me fit l'effet d'un fouet.

*Viens donc à moi petite humaine.*

Je recule d'un pas en disant.

- Je suis un garçon pas une fille, c'est dommage, hein ?

J'eus un léger rire nerveux, mais la voix résonna à nouveau.

* Cela peut se résoudre facilement.*

Il se jeta sur moi, je me cramponna à mon sac et sortie le collier, priant fortement pour que le mauvaise oeil le frappe, l'effet fut tout autre, il me saisit à la gorge, resserrant davantage sa main, je manquais d'air et ouvrit grand la bouche pour tenter de respirer, sa langue s'insinua dans ma gorge accentuant l'asphyxie.

Puis d'un coup le collier se mit à émettre une lumière rouge qui frappa la créature de plein fouet, le bras qui me tenait à la gorge disparut, me laissa tomber au sol, je me mit à tousser c'était rauque mais je reprenais de l'air, c'est alors que le collier me fut prit de force par la créature qui réussit à le prendre non sans qu'il y ai une odeur de brulé.

* Tu vas me le payer sale garce en étant à mon service.*

Il me saisit à la mâchoire pour l'ouvrir et mit devant mes yeux une bille noire, je me débats comme une diable, mais plus je frappe plus mon corps semble s'engourdir.

*Avale ça mon mignon, tu te sentira mieux après.(rire)*

Il me le plaça dans la bouche, mais je résistait, il allait à tout moment l'enfoncer de force et je ne savais pas ce que cette bille allait faire.

Bon je finissais par me remettre de mon cou mais étais complétement paralyser. Je voyais Henrietta se débattre alors que le démon enfonçait une boule noire dans sa gorge mais je ne pouvais absolument rien faire même en augmentant ma force, mais je finis par pouvoir bouger ma main et provoqua un grand mur de glace entre le démon et mon élève qui avait avalé la boule sous la surprise et le démon qui se douta que c'était moi et il me prit à son tour par la gorge m'arrachant le dessus et tout en me serrant la gorge il me mit des petits cous de poings qui se ressentait quand même dans le ventre.

Je congela une de ses mains se qui en faisant exploser le glaçon autour la main se nécrosa devant toute noir, il me lâchât de douleur et je me repris un méchant cou derrière la tête se qui me fit saigner d'une oreille. Il retourna vers Henriette, il ne pouvait pas casser le mur de glace qui était plus résistant que le n'importe quoi car il était à -276°C ou zéros absolu puis il le contourna pour prendre Henrieta et le jeta vers moi.

Un râle de douleur sortit de ma gorge quand le démon me remit un coup dans le ventre.

Je vis un mur de glace nous séparer, la surprise fut telle que j'avale la boule noire, je la sent descendre et cela n'est pas bien agréable, je tente de recracher la boule, allant même jusqu'à tenter de me faire vomir, mais trop tard la boule est maintenant dans mon estomac, puis sans prévenir ce dernier me fit un mal de chien, c'était terrible, même la faim n'était pas aussi douloureux.

Puis je constate que mon buste prend du volume et qu'une poitrine de femme grossit, faisant sauter les boutons de mon chemisier laissant la poitrine féminine à l'air son mon regard ahurit, je touche mon membre, qui est inexistants. Je n'ose par mettre ma main dans le caleçon pour savoir ce qui s'y trouve. Le démon se met à rire et parle pour la première fois avec ces lèvres.

- Alors content ou devrais-je dire contente ?

Il se mit à rire, puis comme si cela ne suffisait pas mon corps fut parcourut de tremblement, une excitation inhabituelle s'emparait de mon corps, mon bas-ventre commençait à bouillir, laissa quelque chose d'humide tremper mon pantalon, ayant vécu dans un bordel je savais parfaitement ce que c'était. JE me mit à bégayer.

- C'est impossible, je suis devenue ... une fille ?!

-Amusant n'est-ce pas ? Mais cela ne fait que commencer.

Je vis le démon faire repousser ses bras et il me mit dos à lui, mettant ses mains sur mes seins et les pétrir sans ménagement, ce qui eut comme effet de me faire gémir, les femmes étaient aussi sensible que ça ? Puis sa main droite se mit à descendre vers mon pantalon, à ce moment là se fut la panique.

- Pitié .... ah ... Pitié, ne fait pas ... ça !!!!

Ma demande vint trop tard et je sentis l'un de ses doigts s'amuser à gigoter dans le vagin, c'était excitant et effrayant, excitant car je ressentais les sensations en tant que femme, mais aussi effrayant car si la situation perdurait je finirais par me faire violer par un monstre, sans compter que mon apparence allait sans doute en plus changer, ce qui disait que je courais un risque d'enfanter et je n'étaie pas prêt pour ce genre de chose, entre deux gémissements je demandais de l'aide, c'est à ce moment que le collier brilla d'une lumière aveuglante, je sentis mon corps lâché. Je m'évanouie sur le coup, c'était mon jour apparemment.

Je ratais la destruction du démon et la véritable forme du collier qui était une épée maudite, apportant la mort à quiconque se fait trancher par elle, l'épée fit mine de vouloir trancher Camus, mais pour une raison qui échappa à ce dernier, il ne finit pas son action, redevenant un simple collier.

[HS- Les effets de la boule noire sont effectifs pendant près de 96 heures, sauf pour l'effet aphrodisiaque qui ne dure que 48 heures, je compte en garder 72 pour de futurs rps. -HS]

Je commençais à me remettre de mon étourdissement quand en rouvrant les yeux je vis Henrietta avec une paire de seins, je commençais à être énerver mais je restais toujours avec un air de glace face à la situation même si un prof normal serait paniqué. Je décida de réveiller ma vraie nature de chevalier d'or du signe du verseau. Une lumière or fracassa encore une fois les vitres puis se posa pour découvrir une caisse d'orée avec des gravures dessus.

La boite s'ouvrit découvrant une armure dans une drôle de position, c'était l'armure sacrée du verseau, elle se disloqua en plusieurs parties pour s'intégrer sur mon corps où les cheveux étaient devenus bleu azur et les yeux bleu océan. Une aura d'orée et aussi un grand froid s'abattit dans toute la pièce et le démon arrêta se qu'il faisait à Henrietta.

-Alors je commence à comprendre d'où vient ta maitrise de la glace.

Je joignais mes deux mais puis tendis mes bras pointant le démon, écarta légèrement les jambes et augmenta ma cosmos énergie.

- Par l'Exécution de l'Aurore !

Un grand rayon bleu partit à la vitesse de la lumière, le démon se le prit de plein fouet sans aucune esquive et il devint à son tour bleu/blanchâtre complétement congelé, il s'effondra par terre mais ce que je n'avais pas vue c'est que Henrietta avait  prit le coup aussi et s'écroula, tout de suite  je couru vers elle...enfin lui pour lui porter assistance, je mis ma cape sur lui pour la couvrir et commencer à la réchauffer puis je le blottit  contre moi...bon il faut avouer que la position était douteuse mais bon je n'avais pas le choix. J'amplifiais ma cosmos énergie pour le réchauffer.

Alors que j'étaie endormie, un cauchemar me prit d'un coup, celui d'un serpent m'enlaçant avec fougue et serrant de plus en plus.  Le cauchemar prit fin rapidement et mes paupières ne voulurent pas s'ouvrir.

J'avais froid, mon corps grelottait, mais le plus perturbant c'est que je sentais une chaleur venant de l'extérieur de mon corps pénétrer en moi, mon visage ne fut jamais aussi détendu, cela me rappelais les moment de tendresses avec ma mère adoptive, si elle entendait mes pensée, elle serait sans doute jalouse.

Puis je réussit à ouvrir mes yeux et vit le professeur contre moi, ma poitrine touchant le torse de ce dernier, cela était bizarre d'avoir des seins, je en me doutais même pas que cela apportait autant de désagrément, puis par une réaction qui me semble anormale, je coupe ce contact, en gardant la cape autour de mon corps comme pour m'en faire une barrière. Je n'ai moi même pas comprit pourquoi j'ai réagit ainsi et que je sens mes joues devenir rouge de honte.

- Il ... Il est où le monstre ? Et  c'est quoi ça ?

D'un geste hésitant je montre ma poitrine qui se voit à travers la cape que je sers fort conter moi et qui moule un peut la poitrine tout en retenant des gémissement, n'étant pas habitué à sentir l textile bougeant un peu sur mes seins.

- Vous avez un moyen de renverser le processus non ?

C'est à peine si je finit ma phrase que je ressent de nouveau es effets de l'aphrodisiaque, m'obligeant à m'assoir et retenir mes gémissements avec difficulté, c'est vraiment un cauchemar et pourquoi je rougis d'abord, je suis un mec pas une fille, mais j'ai maintenant un corps de fille, donc il faut que je change mes habitudes, cela veut dire ... Non il ne faut pas que je pense ça, sinon Ariane aurait honte de moi.

Pour l'instant je devais attendre que les effets de l'aphrodisiaque cesse. Ne sachant pas qu'ils perdureraient pendant encore 48 heures. Et je me sent embarrassé en sentant le liquide, sortant de mon vagin, couler le long de mes cuisses.

Je continuais à le  réchauffer le sentant grelotter à côté de moi, cela était bon signe. Il finit par se réveiller, ouf un grand soulagement pour moi mais il était encore faible, il recula de deux mètres environ.

- Il ... Il est où le monstre ? Et  c'est quoi ça ?

Je ne savais pas trop quoi répondre à cela.

-... Il est mort... Heu bah ça c'est une paire des seins...

Il gémissais à cause des sensations de la cape sr sa poitrine et aussi de l'aphrodisiaque qui faisait effet.

- Vous avez un moyen de renverser le processus non ?

J'avais bien un moyen mais...non pas de choses obscènes mais je pensais que c'était déjà un bon moyen pour éliminer l'aphrodisiaque.

-j'aurais bien un moyen mais....- je me murmura- Non Camus !-Puis je me remis à parler à voie haute- Déjà il faut que je termine de réchauffer ton corps qui n'est pas à bonne température, car tu risque un hypothermie...

Je revint vers lui puis le prit dans mes bras évitant de me coller trop à sa poitrine pour continuer à le réchauffer.