Petites courses en ville

Ma maîtresse souriait... Mais pourquoi ? Etait-ce simplement au fait qu'elle trouvait incroyable que sa "caverne" puisse être si propre un jour, ou était-ce plutôt à cause de mes paroles... N'osant pas lui poser la question, de peur de ... de la froisser, je lissais ma queue, doucement, et l'époussetant. Car avoir fait le ménage et d'autres choses dans cette caverne poussiéreuse l'avait fait trainée dans une montagne de poussière, de toile d'araignées, et d'autres choses indescriptibles... Cette tâche fut presque plus compliquée par rapport au ménage fait avant. Les poils, non lavés depuis quelques temps, devenaient collant...

Mais dame Tania n'y pensa pas et prit une énorme poignée d'or. Celle-ci, assez immense pour l'achat que j'imaginais au départ, me prouvait, ou plutôt me faisait douter, que ma déesse n'avait pas vraiment le sens de l'argent... Ce qui était bête, c'était que moi non plus. La seule fois où je pouvais voir de l'argent avant, était dans les mains des acheteurs qui venait s'approprier des esclaves. Sinon, je me tenais loin des marchés et autres foyers de population. J'avais arrêté un nombre de fois impressionnant, vendu autant de fois, moins une, et je ne comptais pas recommencer cette expérience douloureuse.

Ne me laissant pas parler, et m'extasier à haute voix devant cette somme, donc, Dame Tania me glissa un petit baiser avec ses lèvres au gout indéfinissable, et me prit par la main m'entrainant dans cet endroit tant redouté : la rue.

M'agrippant à sa main avec force, je ne voulais surtout pas la perdre, que je sois bousculée ou que je trébuchais, un peu fatiguée à cause du ménage fait plutôt, je me reprenais le plus vite possible et la suivait. La grande dame me dépassait bien d'une tête, et on voyait la fierté avec laquelle elle marchait dans cette rue. Je l'admirais vraiment et j'étais très fier de mon statut à présent : j'étais l'esclave et le jouet de cette femme, dame Tania.

Arrivant devant un magasin de vêtements, plutôt luxueux, nous nous arrêtâmes, pour y rentrer. L'intérieur me surprit vraiment. Ce magasin était tout simplement immense. Les lignées de vêtements semblaient s'étendre à l'infini, et le nombre de lignées était aussi impressionnant. Sur le coté droit, je pouvais voir un escalier partant vers le haut, et juste derrière, le même mais partant vers le bas. Apparemment, ce que je voyais n'était qu'une petite partie de ce grand magasin.

Un peu perdue, ne sachant ni où aller ni que choisir, je préférai laisser le soin de choisir mes vêtements à dame Tania. Je lui collais véritablement au basques, pensant que si je la perdais de vue ici, je ne la reverrai jamais. Cela ressemblait à de la peur, la peur de l'immensité, des foules, mais surtout la peur de la perdre.

Nous nous engageons donc ensemble dans les ruelles de Nexus, terrain de jeu qui plus tot nous avez vu nous battre, et ou la jolie petite Pandora m'avait apprit tout son pouvoir et potentiel... Elle avait été capable de me mettre a terre, Moi, Tania Kirlenko, Vampire de second sang... Mais le plus important n'etait pas la... Non le plus important etait que desormais notre sort a toute les deux était lié... Avec elle, je n'avais plus besoin de chasser pour me nourrire, et sans moi, elle retomberait entre les griffe d'un autre esclavagiste, qui en ferait un objet de foire... Non que j'améliorais vraiment le quotidien de Pandora, mais au moins auprés de moi, elle serait protégée de toute forme d'agression. Mais une idée rapidement germa, idée que je préféré mettre de coté pour le moment, entrant finalement dans le premier magasin de luxe que nous avions croisé.

Poussant la porte de l'enseigne, avec ma petite protégée au bras, je salut discrétement les vendeuses, tentant d'étre aimable en présence de ma petite Neko. Alors l'une d'entre elle approche, avec son sourire commerciale, nous demandant ce que nous souhaitons voir ou essayer. Voyant trés bien que Pandora n'a que trop peu l'habitude de prendre des décisions pareil, je prend les devant, toisant la vendeuse.

"Nous devons refaire sa garde robe. Je veux voir tout, les Robes, les hauts les bas, les dessous, et méme vos plus jolie nuisettes."

La vendeuse ouvre grand les yeux, mais mon regard assassin finit de la convaincre que je ne blague pas du tout. Partant récuperer toutes mes demandes, j'améne alors ma douce vers les cabines qui sont trés reculé dans le magasin, a l'abris de tout regard indiscret... Si l'un d'eux pose les yeux sur elle, je ne pourrais me contenir... Arrivée la, j'ouvre le rideau, lui indiquant d'entrer... La vendeuse revient enfin avec ma commande, et je commence alors par le commencement... Les Dessous.

"Pandora... Il faut retirer tes vétement, et essayer ceux la a la place. Ensuite, tu me dira lesquels tu préfére, et on rapportera tout ca chez mo... Nous."

J'ai peu l'habitude encore de parler de "nous", mais je ne doute pas que ca viendra vite... Souriante, devoilant méme mes crocs, je regarde la jeune femme d'un air mi tendre, mi envieux... Mais je dois me controler, nous sommes dans un lieu publique tout de méme... Mais pandora me fait un effet monstre, c'était bien ce qui m'avait incité a l'epargner et la mener chez moi... Oui, aujourd'hui je ne regrettais pas ce choix...

Le sourire de la vendeuse était hypocrite. Je savais ce que c'était, après tout, J 'avais même souvent mis mon corps en valeur pour être vendu le plus vite possible, et échapper ainsi à la cage publique du marché. Sur le coup, cela me semblait normal, mais maintenant, il fallait avouer que je m'en voulais énormément. Cette horreur que j'avais accompli tant de fois naturellement, maintenant que je voyais une simple vendeuse nous sourire hypocritement, me faisait presque vomir. Rapidement, je détournais les yeux, aux bords d'une crise de nerf, et reprit mon souffle en serrant mon violon contre moi.

Une fois le calme revenu je reprenais le cours de la "conversation" qui avait eu lieu. Même si je ne connaissais pas tous le vocabulaire des vêtements, je trouvais que cela faisait vraiment beaucoup de pièces différentes pour une seule personne... Le regard de ma déesse évita toute critique ou remarque plus ou moins blessante que la commerçante aurait pu proférer. Ne disant mot, moi aussi, je suivis ma reine jusqu'à une cabine, dans le fond de l'énorme bâtisse.  Apparemment, dame Tania était très possessive, et ne voulait que mon corps ne lui appartienne qu'à elle, jusqu'au moindre regard.

Retenant un sourire, j'étais presque sûre que si elle avait pu, elle m'aurait enfermé dans une grande salle, où seule elle aurait pu entrer. Mais je savais qu'elle était gentille, tellement gentille et bonne avec moi que j'aurai peut être du trouver cela anormal, vu que je l'avais attaquée, mais bon, je voulais désespérément croire en elle. Je rentrais doucement dans l'abri, protégé par un rideau que la vampire tenait encore ouvert, attendant les ensembles que la vendeuse était aller chercher.

Une fois le tout posé sur un petit meuble, l'énorme tas de vêtements apporté semblait vraiment gigantesque. Sachant de moins en moins ce que je devais faire, je jetais un regard désespéré à ma maîtresse. Celle ci, avec son regard doux m'indiqua la marche à suivre, ce que je m'empressai de faire. Enlevant rapidement la robe, je ne portais rien du tout dessous, je n'en avais que très rarement porté, et n'en voyais pas non plus vraiment l'utilité, mais bon, c'était elle qui choisissait, après tout.

Je posais la robe plus loin à coté de mon violon sur lequel je laissais trainer mon œil protecteur. Et enfilai ce qu'elle appelait les dessous. Mon vocabulaire était vraiment, vraiment limité... Enfilant un ensemble de lingerie blanc, j'ouvrai le rideau d'un coup pour lui demander son avis. Je souriais vraiment, et ma seule volonté était de lui faire plaisir, j'avais été éduquée, et rééduquée ainsi. Mais cette fois, ce n'était pas vraiment à cause de cette éducation, j'éprouvais vraiment un amour sans borne pour ma dame.

-Dame Tania, cela vous plait-il ?

Ma Pandora s'engouffre alors doucement dans la cabine d'essayage. Les vêtements rapporté par les vendeuse sont d'une bonne facture, même si pas encore au niveau de ce que je veux pour elle. Une aussi jolie enfant, mérité bien ce qu'il y avait de meilleurs en ce bas monde, et cela, je l'avais comprit simplement en passant un peu de temps auprès d'elle. Je ne comprenais par contre pas comment des êtres humains avaient put être odieux avec une aussi gentille jeune femme. Pandora était la pureté incarnée. J'étais le diable, elle était l'ange... Et tandis que je rêvasse doucement, le bruit du rideau attire mon attention. Je tourne la tête, pour lâcher un immense sourire a celle qui se présente devant moi dans une tenue des plus glamour. Pandora avait un corps fluet, et très maigre, mais avec une bonne alimentation, autre que la mienne certes, du moins pour l'instant, elle rattraperai très rapidement les kilos qui lui manquent pour avoir un corps de rêve.

Je me lève, pour inspecter la tenue blanche qui va a merveille avec la pureté que je me fait de Pandora. Je fait brièvement le tour de ma jeune esclave, et tout sourire, je me reporte face a elle.

"C'est superbe! Ça te plait?"

Je n'attend pas sa réponse, et commence a ajuster les bretelles du soutiens gorges qui ont tendances a foutre le camps. Très vite, nous passons d'autres modéles, des nuisette aussi, des robes, longues, courtes, des chaussure, de quoi trouver a ma Pandora, un style qu'elle affectionnera. Une fois les choix déterminé, je tombe sur un ensemble noir, des dessous dentelles, qui ne cache que trés peu de choses sur le mannequin en présentation. Souriante, mes canines se dévoilant alors subtilement, je demande a la vendeuse de récupérer ma taille, de quoi faire un essayage rapide. Elle m'améne le tout, et je demande alors a Pandora de m'attendre devant la cabine ou je m'installe pour l'essayage. Mais trés vite, je ne parvient pas a attacher le soutiens gorge dans mon dos... Soupirant, le posant sur le banc de la cabine, j'entrouvre légérement le rideau, et demande a Pandora de venir m'aider. Elle entre alors dans la Cabine, que je referme aprés son passage. Face a elle, Seins nue, je lui montre le soutien gorge.

"Peux tu m'aider a l'attacher mon ange?"

Bizarrement, j'attendais avec un peu d'appréhension l'avis de ma déesse que d'habitude. Ce n'était pas la première fois que je m'habillais, mais la plupart du temps, c'était selon la fantaisie d'un maître ou d'une maîtresse, et je ne faisais que subir platement leur regard. Je me moquais éperdument de leur avis, puisqu'ils m'avaient habillé selon leur choix. Leur plaisir dépendant de mes capacités à leur faire plaisir, et aussi et surtout des ordres qu'ils donnaient. J'avoue parfois avoir devancé leur demande, mais c'était surtout par intérêt personnel, pour recevoir une plus grande portion de nourriture, une couverture, ou d'autres choses dans le même genre.

Là, c'était différent, je voulais vraiment lui faire plaisir, pour son propre plaisir, je ne cherchais rien à avoir, puisque ce que je voulais le plus au monde se trouvait devant mes yeux. Ma vampire. Ma maîtresse et mon amour. Intérieurement, je commençais doucement à changer, me prenant peut-être un peu pour une personne à part entière, enfin j'en étais encore loin, mais cette volonté de vouloir faire plaisir était mon désir. Pas une quelconque chose imposée par une personne tierce, c'était moi. Le sourire que je lui affichais alors qu'elle me complimentait sur ces dessous blancs, était empreint d'une joie énorme ainsi que d'un soulagement visible. Et c'est d'une fois tremblante pleine d'émotions que je lui répondis.

"Dame Tania... Si ça vous plait, ça me suffit largement ! "

Alors que je réponds, ses mains s'affairaient sur mes épaules, pour remettre les bretelles en place. Rapidement, je vois les vêtements, les essayant rapidement. Il y avait de tout. C'était impressionnant le nombre de choses complètements différentes que ce magasin renfermait. Et plus, même ! Je commençais à m'amuser. Cela faisait un espèce de mini défilé, avec pour seule spectatrice et juge ma vampire. Une fois ses choix posés sur plusieurs ensembles, même sur trop, d'après moi, dame Tania voulu essayer aussi quelque chose, et me demanda d'attendre dehors, le temps qu'elle mette le tout. Alors que je lissais tranquillement ma queue, toute ébouriffée par ces essayages, mon amour me demanda de venir l'aider, ce que je m'empressai de faire.

Rentrant rapidement dans la cabine, je failli lui rentrer dedans et m'arrêtai juste à temps, un spectacle magnifique s'offrait à moi, ses seins, encore dénudés juste en face de mon visage. Je résistai de mon mieux à la tentation de ne pas les embrasser, vu qu'elle ne m'avait rien demandé à ce sujet, et passait derrière elle pour lui attacher le soutien gorge qui cacherait cette belle poitrine. Que-dis-je ?! Cette magnifique poitrine ! Ceci fait, je repassais devant, sans trop faire attention, et fit dégringoler quelques cintres par terre. Rah ! Quelle dommage cette instant de pur bonheur où je pouvais toucher la peau de ma déesse, m'occuper d'elle, et la servir, gâché par des cintres mal posés, et par la maladroite que j'étais.

Rapidement, je me baissais pour les ramasser, mais au moment de me lever, j'eus l'idée de relever d'abord la tête, ce qui me fit la retrouver juste en face de son intimité, qui n'était pas, ou presque pas, cachée par le seul vêtement qu'elle portait. Lâchant les cintres, et les laissant retomber à terre, je restai un moment comme hypnotisé devant cet antre. Lentement, j'embrassais le haut de ses cuisses de mes douces lèvres, et remontait, frôlant sa peau, vers ce qui avait attiré mon attention, au départ. J'en viens même à écarter l'unique rempart qui me sépare de son intimité... Que fais-je ?! Brusquement toutes mes pensées me reviennent, me bloquant dans mon acte. Elle n'a rien demandé, si elle n'était pas d'accord, me punira-t-elle ?

Alors que ces questions me taraudaient l'esprit, je retombais doucement sur mes fesses, assise devant ma déesse, honteuse d'avoir laissé une pulsion me guider. Pourtant, je trouvais ça magnifique ...

Alors que je continuais a m'acharner sur la bretelle du soutiens gorge qui avait décidé de m'agacer, le rideau s'ouvrit, et une petite tornade fit son apparition dans la toute petite pièce. Un peu plus, et elle me rentrait dedans. J'en sourit, devant tant d'empressement. Mais elle resta alors un long moment a fixer ma poitrine nue devant elle. Une lueur de délice nait dans mes yeux. Il est vrai que Pandora est encore jeune et naïve sur ce principe la. Les plaisirs de la chaires sont pour moi une drogue, constante, une faim dévorante, et je ne peux me passer de contact féminin ou masculin. Pandora me fait d'autant plus d'effet, qu'elle est une petite chose fragile, et que mon coté perverse ressorte... Je suis tentée de lui offrir mes seins, en pâture a sa bouche délicieuse, mais je me retiens, je ne veux la forcer en rien, je ne veux pas ressembler au autres maitres ou maitresses qu'elle a put avoir auparavant...

Finalement, après un long moment qui me parait être une éternité, ma Pandora se glisse derrière moi, pour venir attacher mon soutiens gorge rebelle... Je la regarde repasser devant, prête a prendre ses lèvres dans un baiser sensuel et sulfureux. Mon désirs est présent, mon envie insistante, mais je me retiens, de manière a ne pas la brusquer. Elle a connu tellement de moment difficile, que je ne veux la confronter à cela. Mais avant que je ne puisse faire ou dire quoi que ce soit, les cintres volent en direction du sol, faisant chuter les vêtements qui se trouvaient dessus, dont les miens d'ailleurs. Je vois Pandora s'accroupir immédiatement, tandis que je souris devant tant d'innocence. Pandora est une beauté, une merveille, et mon cœur se serre chaque instant un peu plus devant tant de manière... Je l'aime, et aujourd'hui je le sais.

Je me lance pour m'accroupir avec elle, l'aider a ramasser les tissus, mais son visage est plus rapide, et elle se trouve face a face avec mon intimité. Nos regards ne se croisent pas, mais je sent alors une bouffée de chaleur m'envahir subitement. Elle fixe mon string de manière intense, et j'imagine déjà ses lèvres se poser dessus... Sa langue courir le long de mon clitoris. Mon imagination ne m'aide pas a me calmer, bien au contraire même, et tandis que je regarde cette jeune enfant, je me prend a rêver de la voir soumise a mes désirs les plus fous, les plus pervers. Obéissante et esclave des mes désirs de chaires... Mais je me reprend! Je ne peux être ainsi! Mais le geste que va faire Pandora, va finalement abattre mes dernières réserves. Je gémit quant je sent ses lèvres sur mes cuisses, je m'agrippe au rideau quant elle ecarte doucement mon string, sentant son souffle chaud sur mon intimité dévoilée.

Mais alors, tout s'arrête, et je la vois doucement se laisser tomber sur les fesses... Je ne comprend pas, je sent ma vulve en feu sous l'effet de ses baisers, doucement, ma Cyprine vient elle aussi s'ecouler. Je me mord les lèvres, ne voulant pas céder aux miennes de pulsions, mais très vite je ne peux me retenir d'avantage. Elle ne peut pas me laisser ainsi, me laisser en feu de désirs, en proie a mon envie qu'elle avait allumé. Je la regarde, et ma main va se poser sur mon intimité, écartant lentement mon string, pour de nouveau dévoiler mon sexe nue devant Pandora toujours accroupie devant moi. Mon autre main passe dessus, et m'arrache un nouveau gémissement tant je suis excitée. Je récolte un peu de mouille sur mes doigts, et l'esprit totalement enfoncé dans le plaisir, je les présente à Pandora, les glissant a l'intérieur de sa bouche. Mais cela ne me suffit plus a present, et sans attendre plus, je fais un pas vers elle, me retrouvant presque collé a son visage, le string toujours tiré sur le coté, mon intimitée toujours visible devant ses yeux Azur... Mon souffle est irrégulier, ma poitrine s'éléve avec une vitesse folle. Je le veux, ici et maintenant, et un seul mots parvient a sortir de ma bouche...

"L...Léche...Moi mon...Ange."

Alors que j'attendais, peinée de ma faiblesse, une punition pour m'être laissée avoir par de simples visions, le silence régnait. Je ne savais plus quoi faire. Le temps s'écoulait très lentement comme au ralentie, et j'avais l'impression que le silence durait longtemps, très longtemps. Opressant, et chargé de menace, voilà ce que je ressentais. Sa colère sourde pour ce que je pensais être ma faute, me rentrait dedans, et me blessait plus que je ne le pensais. Je l'avais déçue, je l'avais bien compris. Je n'étais pas digne d'être à ses cotés.

Ruminant mes pensées en silence, je sentis soudain une odeur reconnaissable et entendis comme un froissement de tissu. Peu après, un gémissement vient à mes oreilles, et je comprends qu'elle se donne du plaisir. Je ne comprends cependant plus ce que j'ai fait de mal. Pourquoi ne m'a-t-elle pas demandée de lui en donner ?! Est-ce pour me faire comprendre qu'elle n'a pas besoin de moi ? Mais rapidement l'odeur fruitée de ma chère et tendre déesse augmente en intensité. Rouvrant les yeux, je trouve ses doigts plein de cyprine devant mes lèvres entrouvertes. Une invitation. Voilà ce que je compris. Je goba presque entièrement ses doigts, alors que ma langue jouait avec le jus qui s'écoulaient de ceux ci.

Mais avant que je ne puisse montrer à quel point je lui étais dévolue, elle enleva ses doigts de ma bouche. Surprise, j'ouvrais grand la bouche et l'avançait vers leur nourriture, et je rencontrais à nouveau une surface bien connue. Comme elle s'était avancée d'un pas, la rencontre se fit plus forte que prévue. Dévorant des yeux cette surface aimée, je sorti ma langue, et vint titiller les grandes lèvres puis la plongeai dans son antre humide. Respirant à plein nez l'odeur de ce corps soigné, je devenais folle. A présent ma langue s'agitait, et titillait parfois en ressortant le clitoris, puis je le suçais entièrement, me concentrant sur cet objet de plaisir tandis qu'une fois de plus ma queue, à peine lissée, partait à l'assaut de l'anus de ma déesse. Passant doucement entre la dentelle et la peau, faisant bien attention à ne rien déchirer, elle rentra doucement à l'intérieur.

Je ne me contenais plus, je n'en pouvais plus, je la voulais, terriblement, je voulais qu'elle s'occupe de mon antre, de moi, de tout. Mon corps etait brulant de désir pour Pandora, je voulais sentir ses lévres contre ma peau, maintenant je sentais ma mouille s'ecouler lentement de mon sexe brulant, mes yeux petillants lui reclamant de faire vite, de me lecher en toute urgence. Je lui offre mon jardin, et trés vite je sent sa langue jouer, caresser, sucoter entre mes cuisses, et mes gémissements commencent a s'echaper de mes lévres demandeuses... Sa petite queue de Neko se glisse lentement entre ma peau et mon tissus legers, mes fesses etant la cible, pour mon plus grand plaisir... Je me penche doucement, ecartant mes jambes par la méme occasion, lui offrant tout accés...

Je pose mes mains sur ses cheveux doux, la poussant a aller plus loin dans ses coups de langue, tandis que mon fessier est enfin pénétré, m'arrachant un soupir de pure bonheur. Depuis le temps que je souhaitais sentir ca, faire cela avec ma douce et tendre Pandora... J'ai peur, peur de la rendre sombre, et perverse comme moi... Mais en méme temps, si elle voulait vivre a mes cotés, je ne pourrais plus faire autrement, tant mon appetit sexuel n'a pas de limite..

"Hooo... ouiii... Pandora... Leche moi ma douce.. je humm.. te veux tant..."

La vendeuse pourrait nous entendre, mais qu'importe, je laisse sortir mes desirs enfin, plus de peur de la blesser ou de la choquer. Cette cabine devient notre univers, notre monde de plaisir et de luxure... Ma mouille s'écoule encore plus quant la jeune femme s'occupe de son clitoris.
Ma frénésir reprend alors le dessus, et la folie me guette quant je suis dans cet etat la d'excitation. Je sent sa petite langue jouer avec moi, mon regard posé sur elle tandis qu'elle s'affaire a me donner un plaisir rare. Etait ce la situation ou le lieu qui me mettais dans un tel etat, je n'aurais pas sur le dire, mais qu'importe finalement...

Je me laisse aller a mon plaisir, et secrétement, je me promet de faire de Pandora, une esclave sexuelle... Heureuse, je la rendrait, mais lubrique a la fois. Je me penche un peu plus dans la cabine, afin de lui offrir tout mon corps libre a ses coups de langue et de queue... Je frissone, et me caresse en méme temps mes seins en manques de sensations eux aussi, si bien que je prend les mains de ma servante, les posant sur ma poitrine, afin que ces derniers ne soient pas oubliés. Des mouvements de hanches accompagnes la queue de ma neko pour la forcer a entrer plus rapidement... Mais trés vite, je desire plus, tellement plus. Je reléve ma Pandora, pour l'embrasser avec une fougue peu comune, melangeant nos langue dans un balais harmonieux, me collant a elle, caressant son corps si petit, mais deja si desirable... Mes mains se font chaleur et coquines, et trés vite, j'enléve un a un les tissus qui pourrait me gener dans ma decouverte...

[Passage à la troisième personne pour ma part. Tu peux bien sûr continuer ainsi ! Je m'excuse encore pour mon retard.]

Les gémissements de dame Tania s'accordaient parfaitement avec le gout du jus qui sortait de son antre que Pandora s'empressait de boire, sans laisser une seule goutte s'échapper et tomber par terre. Après tout, ce n'aurait été que du gachis que de laisser une telle chose se produire. Alors que sa déesse lui faisait l'insigne honneur de la laisser boire à sa source, Pandora n'aurait pas été capable de l'accepter ? Non. Elle s'en sortait du mieux qu'elle pouvait, lui procurant le plaisir que sa maitresse désirait. Ses jambes, s'écartant laissèrent plus d'espace pour que la Neko puisse enfouir sa tête encore plus entre les cuisses de sa dame, mais aussi pour que sa queue puisse, elle aussi, s'amuser avec l'arrière train de son amante. Où étaient-elles, déjà ? Cela n'avait pas vraiment d'importance. Pour elle ne comptait plus que la partie du corps de Tania dont celle-ci lui avait permis de s'occuper.

Les mains de sa dame la faisant aller toujours plus loin, elle tendait sa langue pour la pénétrer toujours plus, tout en s'agitant. Suçotant parfois le clitoris de sa dame, le titillant, parfois même le mordillant sans mal, bien sûr, dans le but de lui faire ressentir sa présence. Elle était là, Pandora, et elle voulait donner du plaisir à sa dame. Sa queue, elle, avait enfin trouvé l'entrée et était passée à l'intérieur avec douceur. Enfin dans les entrailles de dame Tania, celle-ci faisait de léger mouvements circulaires tout en faisant des allers retours, presque tendrement. Les poils de la queue adoucissaient largement la douleur qu'aurait pu entrainer le frottement d'un autre objet, et pour une fois, Pandora était contente d'être une Neko. Agir ainsi avec sa queue, endroit particulièrement sensible pour les Terranides, lui donnait à elle aussi des décharges électriques qui parcouraient tout son corps. Alors que sa dame se cambrait, pour ressentir toujours plus de choses, celle-ci avait pris ses mains, pour que sa poitrine ne soit pas oubliée.

C'était une bonne idée, très bonne, même. Les doigts de Pandora, agiles par nature, étaient presque doués d'une vie propre, chose faite par la pratique régulière, -et trop présente- de son violon. Ceux-ci se mirent donc enfin à agir, ayant enfin une raison de s'occuper d'une chose. Parfois pinçant, effleurant, le bout de ses seins, ils volaient. Presque invisible, tant ils allaient vite, on ne voyait presque que la peau se déformer, ce qui faisait comprendre où les doigts avaient agis. Ils malaxaient aussi l'ensemble de la poitrine, n'oubliant pas un seul endroit de cette peau si sacrée.

Mais alors que Pandora mordillait à nouveau le clitoris de son aimée, la vendeuse eut la mauvaise idée d'ouvrir soudainement le rideau qui les séparait du monde extérieur. Surprise, Pandora referma brusquement sa bouche, oubliant ce qu'il y avait de si précieux entre ses dents. Ce qui était une énorme source de plaisir au départ, se transforma en une douleur pour les deux amantes. Physique pour sa déesse qui avait senti les dents aiguisées de Pandora s'enfoncer dans sa chair tendre, et psychologique pour la neko. Celle-ci avait blessé sa maîtresse. Se jetant à ses pieds, front contre le sol, la queue brutalement elle aussi enlevée de cette antre, et ses mains plaquées contre le sol, Pandora se figea dans cette position honteuse. Pour la vendeuse c'était simple. Si elle n'avait pas à punir ou à disputer une cliente, celle qui se trouvait à ses pieds n'était qu'une esclave. Et quel que soit le propriétaire d'un esclave, à Nexus, celui-ci pouvait être punis par tout le monde, non-esclave.

Ne voulant donc pas perdre une cliente qui allait sûrement acheter beaucoup de choses, au lieu de s'attaquer verbalement à la vampire, oubliant la véritable nature de cette femme, elle s'attaqua à la pauvre esclave, agenouillée. Posant le talon de sa chaussure sur la main droite de Pandora, et par une brusque rotation, celle-ci lui coupa la main. Endroit particulièrement fragile, la peau ne résista pas et se laissa ouvrir, laissant le sang s'échapper. Plutôt très énervée par cette simple chose qui avait dérangé tant d'autres client à cause de ses pulsions, elle lui donna assez de cou pour que Pandora glapisse et se renferme sur elle, se tenant les côtes. Une avait du se casser. Mais bon, après tout, c'était normal. Elle avait fait du mal à sa déesse, et avait dérangé des hommes et femmes qui valaient mille fois plus qu'elle. Les larmes aux yeux, elle n'osait bouger.