De passage sur l'Olympe {Privé Arès}

Sur l’Olympe tout était calme. Les doux rayons du soleil couchant inondaient les temples de marbre blanc de couleurs chaudes et pastel. Un éclair or fendit l’air et frappa le sol de la montagne sacrée. Une boule lumineuse de la même couleur apparut là où l’impact avait frappé. Dans cette sphère aux dimensions humaines, une silhouette se dessina et, à ses formes, on devinait sans peine qu’il s’agissait d’un corps féminin. Progressivement, la lueur dorée s’évanouit et seul le corps féminin demeura.

En se rapprochant, on pouvait détailler largement ce corps totalement dénudé de la nouvelle venue. Sa perfection, additionnée de sa présence en ce lieu saint, suffisait à dire qu’il s’agissait d’une déesse. De longs cheveux mauves recouvraient son dos et tombaient jusqu’à ses fesses marquées d’un D. La peau était sale et couverte de poussière mais laissait entrevoir quelques zones plus claires laissant supposer une couleur blanche rosée. Des seins ronds et fermes et un pubis dépourvu de la moindre toison attestaient de la totale féminité de leur propriétaire.

Une minute passa sans qu’elle ne bougea comme si le temps s’était suspendu tout comme ses yeux qui ne quittaient pas le grand temple blanc en face d’elle. Celui-ci était assez simple de conception des colonnes doriques entouraient le bâtiment et supportaient le toit. Des frises ornaient les murs évoquaient de multiples scènes guerrières. Devant la demeure, une statue imposante représentait une femme casquée et habillée d’une armure. Sa main gauche était posée sur un bouclier, l’autre main soutenait une petite statue de femme. Une chouette était posée sur son épaule. L’ensemble, bien que simple, était splendide.

Le jeune fille détacha alors son regard de l’ensemble et se mit à gravir les escaliers menant à l’entrée. Sans s’arrêter, elle pénétra alors dans la salle principale où une statue plus petite que celle de l’extérieur bien qu’identique se trouvait dans le fond. Un autel trônait devant elle où l’encens et la myrrhe brûlaient. Une petite porte de bois sculpté, se trouvant sur la droite de la statue, fut ouverte par la nouvelle venue. Elle donnait sur un petit vestibule où deux autres portes de bois donnaient sur des pièces différentes. Un banc de marbre séparait les deux. La porte de gauche donnait sur une chambre et celle de droite, qu’emprunta la demoiselle, donnait sur la pièce d’eau. Une fois à l’intérieur et sans attendre, elle pénétra dans le bassin, l’eau lui arrivant à la taille. Elle s’assit dans un des coins où des pierres disposées judicieusement permettaient de s’asseoir. Attrapant l’éponge naturelle qui jouxtait le bain ainsi que le savon, elle commença à frotter vivement sa peau.

*Vite ! Que cette odeur s’en aille. Quelle horreur ! *

La fille dans le bain n’était autre que celle représentée par la statue, la déesse Athéna réincarnée en Saori Kido. La pauvre demoiselle s’était vue kidnappée et vendue comme esclave sur le marché de Terra. Totalement droguée, la demoiselle avait tout accepté et s’était retrouvée la propriété d’une orc un peu spéciale qui en avait fait son esclave sexuelle. Une fois la drogue disparut de son sang, Saori s’était rendue compte de sa détestable situation et en se servant de ses pouvoirs s’était rendus sur l’Olympe, histoire de se requinquer un peu et surtout d’enlever l’odeur de l’orc sur elle. Une odeur horrible et tenace. Bien sûr, il n’y avait pas que l’odeur, il y avait aussi de la sueur et du sperme vu que la femelle était hermaphrodite et qu’elle s’en était donnée à cœur joie sur son esclave. Tout cela dégoûtait Athéna au plus haut point. Elle n’avait rien contre le sexe, elle aimait plutôt ça d’ailleurs mais la manière dont cela avait été fait dépassait largement ce qu’elle pouvait accepter sans compter sa honte de s’être ainsi laisser faire. C’était d’ailleurs surtout ça qui la dérangeait, la manière dont elle s’était laissée aller devant les multiples vices de l’orc et d’avoir apprécié ça.

Redoublant d’effort, elle frotta encore plus vivement son jeune corps élancé qui commença à rougir sous le traitement qui lui était imposé. Après la peau, le visage puis les cheveux furent minutieusement et intensément lavés. Une fois satisfaite du résultat, la déesse reposa savon et éponge sur le rebord pour s’emparer d’un peigne de nacre et de s’employer à démêler sa crinière. Lissée et peignée, Athéna alla s’allonger dans un coin moins profond du bassin afin de profiter de l’eau parfumée pour se détendre un peu. Les yeux fermés, elle soupira en se disant que son cauchemar était enfin terminé.

L'olympe... Le calme légendaire du Mont Olympe devenait de plus en plus... Ennuyeux aux yeux de l'Homme qui se tenait devant l'entrée de son propre temple, contemplant les milles et unes richesses qui etaient étalés dans le domaine des dieux. Olympie etait une merveille de construction. Mais le Dieu en question s'agacé de le voir si... Calme! Il regrettait le temps de la guerre contre les Titans, ou ils avaient tous combattut leurs ancétres, dans le but d'enfin prendre le pouvoir... Mais aujourd'hui, ils n'etaient tous devenue que des feignant, regardant de temps a autre ce qu'il se passait sur Terre, juste au cas ou les Titans ce seraient echappés. Aujourd'hui, la monotonie avait prit la place dans le Coeurs des fiéres Dieux de L'olympe, et ils n'etaient tous que l'ombre d'eux méme... Poséïdon s'amouraché d'une Humaine, Hades faisait la sourde oreille, Zeus avait eu la subite envie de filer sur terre, explorer ce monde de pleutre en tant qu'un des leurs... Sous les traits d'une femme qui plus est. Un soupir de degout sortit des lévres du Dieu de la guerre... Arés.

Ses pretresses etaient en chasses des inconnus qui avaient assassiné il y a quelques temps un des dieux mineurs d'Olympe, ainsi, il etait seul pour contenir sa rage... Certes, il aurait bien put ordonner a une autre pretresse de le rejoindre dans sa couche, et s'adonner avec elle a quelques jeux pervers, mais méme cela ne lui donnait plus l'envie. Il s'ennuyé purement et simplement, et cherchait un moyen de desamorçer cette situation, par un évenement concret au sein de ce pays de Bisounours... Et ce fut l'Odeur putride qui effectua ce miracle dans la journée du Dieu de la Guerre... Une odeur reconnaissable pour lui, qui avait prit la téte d'armée Elfs pour combattre les hommes verts qui degageait ce genre de désagrément... Mais ici, sur Olympie, qui avait bien ramené pareil senteur, au risque de voir l'un d'entre eux se facher pour de bon...

Un sourire apparut alors sur le visage fermé du Guerrier, qui retrouva enfin la provenance de l'odeur Orque... Le temps d'Athéna. Ainsi, la Déesse avait eu quelques mésaventures sur Terra... Il retourna rapidement dans son temple, cherchant du regard, le crystal de voyance, cadeau d'Héra pour service rendut... Il finit par y mettre la main dessus, et reprit le cours des événements passés pour la déesse de la stratégie... Il etait trés difficile pour quiconque d'echaper au regard de ce Crystal, plus encore quant vous aviez une puissance comme celle d'Athéna... Decidement, il allait de surprise en surprise en regardant les images qui defillaient sur le précieux outil... Ainsi, elle avait été esclave. Un rire sortit d'entre les lévres du Dieu Guerrier, alors qu'il s'élancé vers le temple de la "Victime"... Voila enfin un événement interessant ici, il ne comptais pas le manquer.

Forcant l'allure, il fut interromput par des servantes de la Déesse... Stopper un Dieu etait deja outrage, et dangereux, Arreter Arés relevé de la folie pure et simple... D'un geste, le Dieu les mit en garde... Elles s'écartérent pour le laisser passer, a regret, sans doute pensant a la sentance de leur maitresse, mais qui serait bien moindre au chatiments du Dieu de la Guerre en cas de colére. Il arriva enfin aux bain, ou deja se détendait la revenante du jours. Il la regarda un instant, profitant du spectacle offert a ses yeux. Mais rapidement, un applaudissement retentit dans la tranquillité des bains... Arés s'en donné a coeur joie, avant qu'il ne capte le regard de sa Soeur...

"Sublime Voyage sur Terra a ce que je vois... Tu en a garder les... Comment dire... Senteurs Locales"

Il rit de plus bel, laissant tomber alors sa propre tenue, pour venir se glisser a l'autre bord du bain, ordonnant a une pretresse de lui amener du Vin, ce qui arriva trés vite entre ses doigts.

"Je dois dire que tu pose bien a l'image Athéna... Surtout les moment ou cette puante Orque te fait des miséres... Quant je dis misére, entend par la ou elle te prend sauvagement, comme une simple esclave que tu etais."

Il léve son verre en sa direction, buvant le contenue cul sec.

"Je n'arrive pas a croire qu'Une déesse de ton rang a put tomber si bas... Et apprecier ça de plus."

Il croise son regard... On peut lire dans celui du Dieu, tantot de la compassion, tantot de la pitié.

Un léger sourire apparut enfin sur les traits de poupée de la jeune déesse. Son corps, et son esprit, se détendait dans l’eau chaude du bain. Enfin, elle commençait à se sentir mieux. Malheureusement, ce bien-être ne dura pas. Miss Kido se redressa soudainement en entendant des applaudissements. Elle jeta un regard colérique vers l’intrus qui avait osé entrer dans son temple et surtout dans ses thermes sans autorisation. Vu le visage hilare qui la regardait, la stature imposante et l’aura qu’il dégageait, Athéna ne mit pas longtemps à comprendre à qui elle avait à faire. Elle se rallongea alors dans son bain, sans faire plus cas de sa présence. Ça ne servirait à rien de lui dire de s’en aller ou de se mettre en colère, il ne partirait pas. Inutile de se battre donc.

« Oui, grand frère, et je m’en serais bien passée de ce petit séjour là-bas »

La jeune fille ouvrit un œil alors qu’elle entendit la toge du dieu tomber au sol. Elle vit son frère s’asseoir, nu, sur le rebord du bassin et presser une servante pour avoir du vin. Ses yeux se fermèrent de nouveau tandis que son corps cherchait à se détendre et qu’un soupir s’échappait de ses lèvres fines. Arès prenait un malin plaisir à lui rappeler sa… mésaventure.

« Tout le monde fait des erreurs cher frère, même les dieux. Et, pour ton information, je n’y ais prit aucun plaisir. J’étais juste droguée »

Son ton était devenu bourru comme celui d’un enfant prit en faute. Certes la demoiselle c’était faite droguée mais la drogue n’était pas seule en cause. Après les abus de Tatsumi sur elle, sans compter les rencontres hasardeuses, elle avait appris à aimer le sexe et avait même du mal à s’en passer. Mais ça, elle ne pouvait pas le reconnaître, surtout pas devant un autre dieu, qui plus est était Arès. Ils s’étaient souvent opposés par le passé, alors elle n’avait aucune envie de lui laisser un avantage sur elle.

« Et toi cher frère, quoi de nouveau ? Pas de combat, pas de bataille en perspective qui pourrait te faire quitter ma demeure ? J’apprécierai que tu t’en ailles et que tu me laisses me reposer ! »

C’était un peu illusoire de le demander mais bon, pourquoi ne pas essayer. Arès pouvait faire preuve d’un peu de bonté envers sa jeune sœur qui venait de vivre des heures si dures.

L'eau chaude du bain etait une bénédiction pour le Dieu Belliqueux, qui s'y installa doucement, regardant alors l'hote d'Athéna repliquer a ses phrases piquantes. Il ne put s'empecher de sourire d'autant plus, alors que la jeune femme cherchait a se défendre de son "crime"... Il etait drole de voir combien il etait simple de faire avouer une chose, en en ennonçant une autre... Précher le faux pour obtenir le vrai, voila l'une des spécialités du Dieu Guerrier, qui se delectait de voir sa soeur en victime délabrés et souillé par une orque. Une déesse qui c'est ainsi laissé vendre, et qui a servit de vide foutre a une créature aussi faible par rapport a elle... Il ne pouvait et ne voulait comprendre... Athéna, malgrés son jolie petit minoie, avait deshonoré le rang de Déesse en se laissant ainsi faire.

L'une des pretresses de la déesse de la sagesse, apporta enfin le Vin. Elle posa la coupe aux cotés d'Arés, tandis qu'il lui laissa sous entendre de les laisser maintenant en paix, et ce, sans objections possibles. Cette derniére s'éxécuta, laissant ainsi seuls les deux divinités, qui avaient de nombreuses choses a se dire. Athéna et Arés n'etait pas les plus proches de toutes les divinités d'Olympie, mais le dieu de la guerre avait toujours etait intrigués par l'amour que pouvait porté sa soeur envers les Mortels, nottement les humains. En recompense de son amour, ces derniers en vaient fait une esclave sexuelle, qui avait finit dans la couche d'une Orque assoifée de son corps... Logique en méme temps, quant on regarde la plastique parfaite de sa soeur..

"Des Erreurs?... Tu appel cela simplement une erreur Athéna?... Finir au griffes d'une mortelle. Allons allons, nous savons tout deux, méme si nos fréres et soeurs sont dupes, que tu as apprécié ton calvaire..."

Il eu un demi sourire, tout en buvant quelques gorgées de son vin. Il admira egalement le corps nue plongé dans l'eau de Saori, qui avait bien des atouts il fallait bien l'avouer. Méme si il etait en constant désaccords avec elle, Arés n'en restait pas moins un male, qui avait aussi des yeux, et qui savait admirer ce qui etait beau en ce bas monde. Il s'ecarta alors du bord, pour s'approcher lentement de la Déesse, se posant a coté d'elle, pour d'autant mieux la contempler. Il y trouva des marques laissés par la bestiole qui lui avait fait passer de sales moment... Méme si Lui et Athéna n'etaient pas en meilleurs termes, il se promit de lancer une expidition punitive contre cette Orque, afin de lui faire comprendre qu'on ne touche pas sans en payer le prix une Divinitée de l'Olympe.

"Non, rien de plus alléchant que ta mésaventure ma chére..."

il sourit a nouveau, posant sa main au niveau de son epaule, la ou une des marques se laissait entrevoir... Il comprit alors qu'en plus du sexe, Athéna avait reçut de bonnes corrections... Decidement, il ne pouvait supporter les mortels, méme si lui aussi pouvait étre friand de ce genre de sevice envers une de ses servantes, mais de la a le faire a une Déesse...

"Elle n'y a pas été de main morte... Mais le plus important dans cette histoire, reste ton addiction envers les plaisirs de la chair, et il a fallut que ce soit une créature qui te l'apprenne... Quel dommage, ici sur l'olympe, il y a tellement de Dieux qui auraient aimé t'apprendre ca."

Pour marquer ses dires, il griffa lentement son epaule, jusqu'a la naissance de sa poitrine.

Les yeux toujours clos, la déesse de la guerre et de la sagesse, suivait les mouvements d’Arès qui s’approchait d’elle tout en déclamant sur sa déchéance. Elle ne répliqua pas sachant qu’il n’avait pas totalement tort mais, contrairement à lui, elle continuerait quand même de défendre les humains quand à l’orc, elle considérait cet épisode comme clos. Elle ne perdrait pas son temps en représailles. Elle n’était pas belliqueuse ou vengeresse à la différence de son frère aîné.

La belle jeune fille frissonna au contact de la main du dieu sur son épaule châtiée. Elle rouvrit alors les yeux alors que le dieu contemplait son jeune corps. Il décréta que n’importe quel dieu aurait pu lui apprendre les plaisirs de la chair. Ses ongles s’enfoncèrent dans sa chair et il les fit aller jusqu’à sa poitrine laissant leurs marques dans sa peau. Athéna grimaça face à la douleur, assez légère quand même, et se redressa, d’un geste preste, elle claqua la main de son frère qui quitta son buste sous l’effet du choc.

« Ne fais pas ça ! »

Elle concentra ses pouvoirs et la lumière or la nimba à nouveau. Bientôt toutes les marques de sévices disparurent de sa peau, y compris celles faites par Arès. Son aura s’évanouit alors. Saori se redressa un peu de manière à s’appuyer contre le bassin en face de son grand frère. Elle ramena ses jambes sur sa poitrine qu’elle entoura de ses bras fins et rosés. Elle fixa le dieu de ses yeux bleu et sourie mutin aux lèvres.

« Quand au plaisir de la chair, les humains sont très doués. L’orc a été un mauvais moment, une erreur de parcours. Avec les autres humains, c’était très bien et je ne regrette rien. Je n’ai pas besoin d’un autre dieu pour m’apprendre, quel qu’il soit ! »

C’était une provocation évidente à l’encontre de son frère. Il y avait de grandes chances pour qu’il le prenne mal mais ça faisait des millénaires qu’ils se bagarraient, aujourd’hui ne serait pas une exception. Et puis, elle n’avait pas du tout aimé ce qu’il avait dit, ni sa façon de le dire, comme si ce qui c’était passé la rendait moins digne d’être une déesse ça, c’était intolérable pour elle. Elle qui avait défendu maintes fois la Terre, il osait la mépriser. C’est lui qui devrait avoir honte de sa conduite et de ses paroles !

« Au risque de me répéter, tu es ici dans mon temple et je voudrais maintenant que tu quittes ces lieux afin que je puisse finir mon bain en paix et sans avoir à subir tes propos ou tes… gestes déplacés ! »

Elle n’avait pas changé de position mais ses yeux devinrent froids et son visage plus sérieux et même froid. Elle n’aimait pas l’attitude d’Arès et voulait le voir s’en aller.

« Si tu veux continuer cette discussion, tu attendras un peu. Moi, je ne suis pas d’humeur »

Athéna... La protectrice des humains, de cette terre qui allait de dépravation en dépravation le faisait beaucoup rire... Elle qui voulait les défendre envers et contre tous, c'etait retrouvé derniérement entre les mains de ses petits protégés, soumise a tous leurs sevices. Elle avait vu donc leur coté obscure, mais a eux, elle leur donné le pardon. Tellement facile. Athéna etait faible finalement, si faible. Une déesse comme elle aurait put étre une divinité majeur dans le panthéon Grec. Une deception de plus ou de moins, Arès n'en etait plus a cela prés concernant sa soeur... La préférée de Zeus n'etait qu'une catin soumise aux ordre des humains. En les protégeants, peut étre voulait elle simplement garder ses tortionnaires en vie? Cela fit méme rire le Dieu de la guerre, qui la regarda alors eloigner sa main. Une telle impunité chez une femme qui venait de passer des jours en esclave soumise et bien dréssée.

Il resta en place dans le bain, la regardant s'eloigner, tout sourire jusqu'a present, il ne tarda pas a elargir sur son visage, lamarque de son plaisir a ainsi remémorer certains passage de la vie delicate de la Déesse parmis ses petits chéris. Il etait si simple de l'agacer en fait...
"Ne me raconte pas de bétises Athéna, les humains ne sont méme pas en mesure de te combler réellement... Mais, je suis heureux que tu en sois si sure, ca t'evite de regretter."

Alors le fauve qui sommeil en Saori se reveilla doucement... Elle devenait plus tranchante, plus féroce envers lui. Decidement, il ne manquait pas de talent en ce qui concerne la colére, la création de batailles méme verbales. Oui, Arés n'avait pas perdu la main. Il fit le tour du bain, se redressant a peine, devoilant son torse nu a la jeune femme, pour s'en approcher enfin, comme un felin en quéte de sa proie.

"Ton Temple? Tu as déshonnoré les Dieux par ta conduite de Soumise Athéna! Droguée ou pas, tu avais les pouvoirs de détruire cette chienne Orque, et tu ne l'as pourtant pas fait! Faisant passer les Dieux pour des faibles!"

Il saisit alors la gorge de sa soeur, serrant de sa poigne, pour la faire approcher de lui, collant leurs corps a l'un et l'autre. Leurs Iris chargé de colére se trouvérent, pour s'affronter. Athéna etait puissante, mais en ces temps troubles, aprés ce qu'elle avait vécue, il etait peu probable qu'elle puisse faire quoi que ce soit contre le Guerrier Belliqueux.

"Crois bien que je vais faire payer ca a la Catin toute verte. Mais tu vas aussi payer Athéna... Toi aussi tu dois subir une leçon des plus importante."

Sans attendre, il plongea sa bouche tout contre celle de la déesse, la forcant, ce baiser imposé n'etait que la premiére phase d'une trés longue nuit auprés de son frére adoré. Il avait deja indiqué a ses pretresses de chasser le reste des servantes de la Déesse... Ils etaient seuls dans ce temple, et Arés comptait bien faire de sa soeur, Un véritable incarnation Divine... Pour son bien... Pour celui de l'Olympe, mais avant toute chose, pour son propre plaisir...

Sa main se posa sans ménagement sur l'un des seins de la jeune femme, qu'il massa avec fougue, pincant douloureusement son téton durcit.

"Est ce ainsi qu'elle t'a touché? Est ce ainsi que tu aimes les plaisirs?"

La déesse n’appréciait nullement les commentaires et affirmations de son frère. Elle ne voyait pas forcément en quoi elle avait déshonoré l’Olympe. Après tout, elle était bien loin d’être la seule à prendre du plaisir avec les humains et l’orc restait toujours, selon elle, une grosse erreur. Elle l’observa alors qu’il s’approchait d’elle. Apparemment, il ne comptait pas la laisser tranquille. Un frisson la parcourut quand elle observa ses yeux. Arès avait déjà une idée en tête et cela n’augurait rien de bon pour elle le connaissant. Néanmoins, ses yeux bleus restèrent plantés dans ceux de son frère. Or de question de courber l’échine devant lui !

Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, il la saisit à la gorge, la soulevant pour la coller à lui. Elle agrippa de ses mains pâles le poignet de son frère pour le faire lâcher prise mais rien à faire, il n’était pas le dieu de la guerre pour rien. Il était taillé pour le combat. Miss Kido n’avait pas une chance comme ça.

« Lâ… lâche-moi ! »

Athéna avait de plus en plus de mal à respirer mais elle entendit très bien les mots qu’il prononça et elle s’effraya. Que contait-il donc lui faire ? Son frère le lui fit vite comprendre en s’emparant de sa bouche et en la forçant à l’embrasser. Saori chercha à lui échapper mais la main empoignant son cou ne lui laissait pas beaucoup de possibilités. Il finit par quitter sa bouche mais son cou resta toujours prisonnier tandis que sa main libre alla s’emparer d’un de ses seins, le malmenant avec plaisir. Arès prenait un plaisir évident à la maltraiter mais elle ne comptait pas le laisser agir à sa guise. Certes, elle était affaiblit mais pas totalement sans défense.

« Va au diable Arès. Or de questions que je fasse quoi que se soit avec toi ! »

La demoiselle concentra son pouvoir et se mit à rayonner d’une aura dorée. Même ses yeux changèrent de couleur, preuve de l’utilisation de ses pouvoirs divins. Un éclair se produisit et Arès fut envoyé à quelques mètres d’elle. Il retomba lourdement dans l’eau du bassin. Un sourire s’étira sur les lèvres de sa sœur qui se massait la gorge où les traces des doigts du dieu étaient bien visibles.

« N’espère pas me mettre dans ton lit ou ailleurs. Si tu veux une fille, prend donc une de tes prêtresses, elle en sera ravie ! »

Athéna, et son amour pour les bisounours... C'etait a cause de personnes comme elle que certains Dieux devaient étre comme lui. L'amour envers les mortels etait a vomir quant il etait a outrance. Malgrés les tords que pouvait avoir le Guerrier, Athéna avait franchit une ligne de non retour, elle s'etait laissé abusé par une créature mortelle, et pour cela, coute que coute, elle devait payer son erreur. Et il etait encore une fois de plus logique que cela vienne de lui, le mechant d'olympie... Le Seul capable de dire les quatres vérités aux dieux qui abusaient un peu trop de leurs statut. Mais a la differance des autres, Saori elle, avait oublié qui elle etait, et le rang qu'elle devait tenir.

Il sentit alors la masse de pouvoir l'entourer... Et il comprit, que la jeune déesse allait bien se rebeller. ENFIN il avait ce qu'il cherchait d'elle, un senblant de dignité... Il lui restait quelque chose de divin aprés tout. Il retomba lourdement dans l'eau, se relevant lentement, son corps, son visage trempé, l'eau coulant le longs de ses machoirs tendut de colére. Mais malgrés tout il réussi a sourire a la jeune femme.
Il prit une grande inspiration. Il savait qu'Athéna etait d'essence divine, et que techniquement, elle etait son égale.

Croisant a nouveau le regard de la jeune femme, Arés se posa sur le rebord de la piscine, totalement nu, face a elle. Il la detailla, se remémorant le contact de ses mains sur son sein, sur son antre... Il en sourit de plus bel, avant de croiser les bras.

"Enfin tu te reveil... Il etait temps que tu reprenne la place qui est la tienne. Au diable? Mais j'y suis deja, ma place c'est celle du grand mechant. Vous pouvez nous dire merci, a ma jumelle Eris et moi méme, sans nous, les humains ne prendraient pas conscience de votre bonté qui vous est si chére. Vous avez le beau role, tandis que nous, nous recoltons que la haine. Mais qu'importe, ce choix la je l'assume, mais n'ose pas me prendre de Haut Athéna, plus jamais."

Il approcha a nouveau de la Déesse, pour se plaquer contre elle, son torse venant ecraser lentement ses seins, son sourire a quelques centimétres des lévres de Saori... Mais sans plus de cérémonie, il les plaqua, dans un baiser violent et aguicheur. Il aimait ce contact interdit, cette incestueuse attitude qui faisait de lui un Dieu a part. Il placa une de ses cuisses entre celles de la jeune femme, remontant et descendant celle la avec sensualité. Ses yeux se posérent a nouveau sur elle...

"Ose me dire que tu n'en meur pas d'envie..."

La jeune déesse se doutait bien que son grand frère n’apprécierait pas du tout de se retrouver les fesses dans l’eau, en position d’infériorité. Mais ses colères, elle en avait l’habitude. Après tout, ils se côtoyaient depuis des siècles. La belle l’observa se relever et nota, non sans une certaine satisfaction, la colère qui tirait ses traits. Par contre, le sourire qu’il afficha n’était pas bon signe. Il avait une idée derrière la tête.

Le dieu de la guerre passa devant elle et alla tranquillement s’asseoir devant elle, sur le rebord du bain. Il lui dévoilait toute la beauté de son anatomie masculine. Athéna chercha à en faire abstraction mais il fallait bien reconnaître que les plaisirs de la chair lui plaisaient énormément. Elle regrettait de s’en être privée pendant des années. Quelle idiote elle avait été !

Elle écouta son petit discours en se concentrant sur ses yeux bleus qui brillaient d’un éclat divin. Elle sourit à son explication. C’était une manière de voir. Le bien ne pouvait exister sans le mal, c’était certain mais Saori ne considérait pas cela comme une bonne excuse.

« Libre à toi de jouer le rôle du méchant si tu t’y sens bien. Pour ma part, je ne comprendrai jamais le plaisir qu’il y a à déclencher des guerres et des désastres. Si c’est cela le but de ton existence, je te plains cher frère ! »

Une nouvelle fois, il descendit du rebord de marbre et s’avança vers elle. Décidément, il ne comptait pas la laisser partir comme ça. Avec une rapidité impressionnante, il vint se coller à elle, la faisant frissonner. Elle sentait ton son corps de guerrier contre elle. Un corps de dieu parfaitement musclé et galbé. Un corps extrêmement tentant. Il vint alors l’embrasser sauvagement et elle se laissa faire. Elle sursauta en sentant une de ses jambes écarter ses cuisses et venir se frotter contre son intimité, venant l’agacer et l’exciter. Néanmoins, elle refusait de l’avoue surtout à lui.

« Je n’en ai pas envie. Je te l’ai dis trouve-toi une prêtresse. Elle sera infiniment plus consentante que moi ! »

Elle posa sa main sur son bras musclé et chercha à le dégager.

« Laisse-moi maintenant ! »

Athéna... Et ses réves de grandeurs et de bonté... La paix, l'harmonie. Desmots qui donnait au dieu de la guerre envie de tuer. Elle etait si naïve, si fréle. Leurs pére avait toujours eu sa préférence pour elle, san doutes pour ses formes généreuses, et son coté dominée... Etrange comme le vieux etait accro aux donzelles denuée de cerveau et de volonté. Mais qu'importe, elle venait de franchir avec lui un point de non retour, il etait temps qu'elle comprenne qu'il n'etait pas Zeus, ou encore Appolon, loin d'étre un gentil garcon, bien élevé. Elle avait prit bien trop d'aise avec lui, et il etait temps qu'elle comprenne son erreur. Il aurait été le premier a la défendre si le tribunal divin s'etait rassemblé pour ses soirées de debauches et d'orgie sur Terre... Mais aprés sa petite rébéllion méme pas mené a terme, le Dieu orageux compté bien lui montrer jusqu'ou il pourrait aller avec elle.

Il ressera sa prise, ne lui laissant plus la moindre place pour s'enfuire, leurs corps se collant l'un a l'autre, ses seins ecrasé contre le torse puissant du seigneur de Guerre. Il reprit trés vite ses gestes, plus brusques, moins, bien moins tendres qu'aparavant... Sa cuisse reprit alors son travail, se glissant sournoisement entre celles de sa soeur, frottant bien plus ouvertement maintenant son intimité qui brulait d'envie, méme si la trainée d'olympie refusait de l'admettre. Qu'importe, il lui ferait avouer d'ici quelques temps. Il recolla sa bouche contre la sienne, dans un baiser encore plus intense que le precedant, agacé par tant de veine resistance contre lui.

Son membre ne resista pas plus longtemps a ce corps si bien fait, et trés vite, il indiqua combien ce qu'il voyait lui plaisait... Commencant a se tendre d'envie, venant se coller a l'interieur d'une des cuisses de la pauvre Athéna, toujours coincée entre les bras puissant du Dieu Arès. Mais le jeu ne faisait que commencer.. Seulement, le bain ne se prettait pas vraiment a ce genre d'exercice, et d'une poigne de fer, il saisit les cheveux de Saori, la trainant derriére lui, la sortant du bain, pour la jeter a méme le sol, comme une vulgaire catin qu'elle etait. Il la regarda de toute sa hauteur, l'oeil froid...

"Tu as voulut montrer quoi?... Ta resistance? Ton corps parle pour toi Athéna... Regarde bien!"

Il rit doucement et reprit les cheveux de sa soeur dans sa poigne de fer, approchant son visage de son membre qui se tendait un peu plus... Alors, il le prit de son autre main, forcant le passage de sa bouche, qui tentait de resister malgrés tout... Veine tentative, quant enfin, le sexe du Dieu de la guerre entra entiérement. Il commenca a donner de violents coups de reins, sa main maintenant toujours les cheveux de Saori...

"Applique toi... Ou je te jure de te faire connaitre Mille souffrance, et tu sais combien je suis doué pour cela..."

Arès ne lui laissait aucune chance. Ses bras se resserrèrent un peu plus encore autour d’elle. Athéna se sentait prise dans un étau d’acier dans les bras de son frère. Dans le même temps, son genou continua de solliciter sa petite chatte qui ne cessait de s’exciter sous ces frottements. Néanmoins, elle ne voulait toujours rien lui dire alors que son corps, lui, commençait à s’échauffer.

Il bascula sa tête et l’embrassa de nouveau, brutalement. Dans le même temps, miss Kido sentit le membre du dieu de la guerre se redresser, fort, puissant, contre elle, contre son ventre blanc et ferme. Cela effraya la jeune déesse. Non, elle ne voulait pas, pas avec lui, son ennemie et son frère qui plus est ! Elle se tortilla de plus en plus pour s’échapper mais Arès était un guerrier et elle n’avait aucune chance face à lui.

Soudain, le dieu s’écarta d’elle et la jeune fille crut que son calvaire était fini. Terrible erreur ! Son frère n’en avait pas finit avec elle. Il avança vers le bord du bassin mais se saisit des cheveux mauves de sa sœur pour la trainer à sa suite.

« Non… aïe… tu me fais mal… lâche-moi… aïe, aïeeeeeeee… »

Ses cris de protestation ne firent ni chaud, ni froid au dieu de la guerre qui continua d’avancer, la trainant derrière lui. Des larmes coulaient de ses jolis yeux bleus mais elle ne pouvait rien faire, il était trop fort pour elle. Il la jeta alors sur le sol. Le contact du marbre froid la fit frissonner mais ce n’était rien comparé au frisson qu’elle eut en voyant la verge tendue et démesurée de son grand frère.

Bien que cela lui fasse mal de le reconnaitre, elle avait envie de lui, de son corps musclé. Son intimité était trempée et tressaillait d’envie mais non, elle ne voulait pas lui donner cette satisfaction.

Une nouvelle fois, il agrippa ses cheveux et rapprocha son visage de sa queue durcit et tentante. Athéna tenta de se soustraire à ce qu’il voulait la faire faire. Mais il était trop fort et elle, elle n’avait pas vraiment envie de s’en aller à présent. Elle protestait plus pour la forme qu’autre chose. Il la força et la verge finit par pénétrer sa bouche. La main comprimant son crâne l’empêchait de se reculer assez pour l’en extraire totalement. Elle n’avait d’autre choix que de se plier à lui, à ses volontés et à ses désirs.

Rendant peu à peu les armes, elle commença à faire des mouvements de va-et vient d’elle-même. Goutant le membre avec sa langue, sa bouche entière, appréciant le contact doux de la peau douce et veinée de la verge palpitante. Miss Kido commençait à sérieusement apprécié, trop certainement, le traitement de son frère aîné.