Repressions des crimes sexuels [PV Jezebel]

Mach s’était rendu dans le quartier de la Toussaint, et plus particulièrement dans un bar, où il savait qu’il pourrait trouver quelques boulots dans son domaine de compétences. Certes, ceux-ci étaient loin d’être légaux, mais, il ne savait rien faire d’autre, et vu sa situation actuelle, il ne pouvait pas rechigner sur ce genre d’emplois.  Mais, cette fois, la chance n’était pas avec lui, puisque tous les contrats intéressants avaient déjà trouvé preneurs, et il avait donc quitté le bar sans un mot. Le voilà donc à marcher au milieu de la rue, alors que la journée approchait de midi et que les rayons du soleil éclairaient et réchauffaient bien la ville. Quand soudain.

- AU SECOURS. A L’AIDE!

Une jeune femme appelait à l’aide, et cela attire l’attention de nombreux passants, Mach y comprit. Mach vit que les personnes tournaient toutes leurs attentions vers une ruelle étroite et sombre, sans doute la seule à posséder de l’ombre dans le quartier. Il put donc en déduire que l’agression avait lieu dans cet espace. Mais, personne ne semblait vouloir y porter assistance, au mieux quelques personnes sortirent leur téléphone portable pour appeler la police. Quand il arriva alors, il put entendre.

- La ferme traînée. Je vais m’amuser avec toi, et personne ne viendra t’aider !

Dit un homme, collant une femme contre le mur de la ruelle, la giflant avant de lui lécher le cou, d’un air vulgaire, alors que la demoiselle était répugnée et effrayée par ces attouchements, qui ne faisaient que commencer pour conduire au viol. Ce que celui-ci ne savait pas, s’était que Mach ne comptait pas rester indifférent contrairement ux passants à ses côtés. Il commença d’ailleurs à s’approcher à grand pas, levant le poing pour frapper.

- Ah tu crois çà ?

Dit Mach, en réponse à la Remarque précédant de l’agresseur. Celui-ci n’eut d’ailleurs que le temps de tourner la tête vers le nouveau venu, qui lui décocha ses poings en pleine face. La violence fut telle, que l’homme libéra la jeune femme, qui était des plus surprise, alors que son agresseur allait tomber sur une pile de cartons un peu plus loin. L’ancien se redressa, une expression assez froide sur le visage, et ne tarda pas à voir l’autre homme, assez inquiet. Mach ne s’était pas rendu compte en effet, que sa veste était à moitié ouverte et que le mouvement avait sans doute permit à l’homme de voir son arme à feu.

- Alors, on fait moins le fier quand on a de la résistance ?

S’était clairement de la provocation que Mach formulait, dans le but d’attirer l’attention sur lui, plutôt que sur la victime. Celui-ci avait d’ailleurs avancé suffisamment pour mettre la demoiselle derrière lui, niveau distance avec l’agresseur, alors que ce dernier se relevait d’un pas hésitant, se demandant s’il devait répondre à la provocation du nouvel arrivant ou tout simplement s’enfuir tant qu’il en était encore temps.

Jezebel  filait l°homme , qui était suspect dans plusieurs affaires de viols , depuis un bon moment. Jusqu°a maintenant il avait pas été impossible de prélever le moindre ADN provenant de l°agresseur en question , enfin sur les victimes oui , mais pas sur l°individu qui avait  refuser catégoriquement de collaborer avec les autorités policières.

Après avoir visité plusieurs sex-shop l°homme se dirigea vers une petite ruelle sombre du quartier de la Toussaint , l°endroit rêver pour tout les indésirables , rejeter et criminel de la ville. La policière le suivit donc , mais se qu°elle ne savait pas c°était qu°il l°avait repère et aussitôt le coin tourné l°agresseur lui asséna un coup a l°abdomen , histoire de bien lui couper le souffle et la plaqua sur un mur avant de se coller sur elle.

Jezebel qui normalement aurait réagi avec une violence surprenante pour sa stature vue une occasion en or pour coincé le salaud , elle s°abstint donc et se mis plutôt à jouer les victimes apeuré et à appeler a l°aide. Mais comme le suspect se mettait a l°aise et lui servait toutes les preuves dont elle avait besoin , un passant  , tout de même bien bâtie vue sa taille, intervint vite comme l°éclair . En quelque seconde l°agresseur se retrouva au tapis et Jezebel a  l°abris derrière son sauveur. La jeune femme ne s°e empêcher d°esquisser un sourire en pensant qu°au fond elle ferait peut-être une bien bonne victime vue ce qui se déroulait sous ses yeux , un passant comme  ca intervenant pour pour sauver la belle , plutôt charmant non. Mais le devoir l°appelait elle sorti son arme et s°avança à la hauteur du ¯héros¯ tout en pointant son pistolet vers l°homme au sol.

-Hé bien bravo monsieur , mais je n°ai pas besoin de vôtre aide pour me défendre et vous vous n°avez pas manqué une belle occasion pour vous  mêlez des affaires de la police.

Puis elle s°avança pour mettre le conard en état d°arrestation.

Mach marchait tranquillement dans les rues, lorsqu’il entendit un appel à l’aide, et se rendit sur place pour voir qu’un homme était en train d’agresser une jeune femme. Celle-ci, qui était, il faut l’avouer, très jolie, était coincée contre un mur, alors que l’homme montrait tous les signes qu’il comptait abuser d’elle physiquement. Voyant que personne ne réagissait vraiment, hormis quelques coups de fils à la police, ou pour filmer la scène. Bah oui, certaines personnes s’amusent à cela pour diffuser les vidéos sur le net, l’ancien soldat soupira, et s’engouffra dans la ruelle sombre d’un pas rapide.

Ainsi, il arriva au niveau de l’homme peu après les dernières paroles de celui-ci, prenant lui-même la parole, juste avant de frapper violemment ce dernier au visage, alors qu’il fut totalement surprit. De se fait, Mach put se placer plus aisément devant la demoiselle agressée, pour pouvoir la protéger de représailles. Mais, celles-ci se feraient longues à venir, et cela laissa le temps à la jeune femme de surprendre l’ancien soldat.

Et de quelle façon, il fut surprit, lorsqu’il la vit se placer à ses côtés, arme au poing, dirigée vers l’agresseur, alors que le jeune homme avait tourné son visage vers la demoiselle lui adressant la parole. Celles-ci furent arrogantes et surprenantes, quand il découvrit qu’elle faisait partie de la police. En tout cas, il prit une position plus détendu, la laissant faire à présent.

- Et vous cela vous amuse peut être d’appeler à l’aide ? On ne jurerait pas que vous aviez la situation en main, il y a quelques minutes !

Mach se montrait assez froid dans ses propos vis-à-vis de la jeune femme, alors qu’il avait croisé les bras sur son torse, à présent lui-même adossé au mur. Il veillait tout de même à bien dissimuler ses armes pour ne pas attiré l’attention plus que cela pour lui.

- Bon, je concède qu’il faille parfois se montrer astucieux pour piéger un criminel, mais de là à appeler « A l’aide » et inquiéter d’autres personnes, qui se retrouvent être des dindons de la farce finalement, il faut pas trop abuser quand même.

Dit-il sans bouger de sa place, alors que la charmante policière allait procéder à l’arrestation.  Mais, il devrait quand même se méfier, car jusqu’à preuve du contraire, il était toujours considéré comme un déserteur par l’armée, bien que les recherches à son sujet se soient visiblement calmées, puisqu’il y avait quand même des affaires bien plus urgentes que le départ d’un simple homme.

Jezebel s’approcha du violeur, lui donna un coup pied en pleine gueule et se pencha pour lui passer le menottes, montrant son jolie petit cul a tout les badauds qui filmaient encore avec leur cellulaire. Puis elle se redressa et s’adressa au bon samaritain.

-Qu’est-ce que j’en ai foutre de vos jérémiade... venez m’aider à embarquer se conard et arrêter de vous plaindre...

Puis coupant les protestations de l’héroïque passant, la policière donna un autre coup pied a l’homme au sol, dans les cote cette fois ci et le remis sur ses deux jambe de manière assez brusque, histoire de lui faire encore mal.

-Ha et arrêter d’essayer de cacher je ne sais trop quoi, ca ne fait surement pas partie de ma juridiction ... à moins que se ne soit des photos de jeune fille mineur tacher par votre sperme...

Sur ce elle lui tendit la main et le regarda de la tète aux pieds pour la première fois. Il n’était pas si mal ... elle commença à s’imaginer des ... non restons professionnelle.

-Jezebel de la section des crimes sexuels, je vais avoir besoin de vous pour faire une déposition en passant.

Elle le regarda avec ses beaux yeux bleus en attendant la réponse.

Alors que Mach commentait les propos de la jeune femme policier, il put la voir s’approcher du criminel, et lui donner quelques coups de plus. Le traitement qu’il reçu ne put empêcher l’ancien soldat d’afficher un rire sur les lèvres. Peut être que cette jeune femme méritait son attention, et donc moins de reproches finalement. Surtout qu’en plus, pour passer les menottes, elle se pencha en avant, montrant une belle position, et vue sur ses fesses, bien que dissimulées sous un vêtement, qui fit siffler le jeune homme pour faire comprendre qu’il appréciait la vue. Et cela ne serait sans doute pas le seul bien que les autres badauds étaient à une bonne dizaine de mètres à l’entrée de la ruelle.

- Oui, madame l’agent…

Dit-il sur le ton de l’humour, alors qu’il se décolla du mur pour venir l’aider à trimballer le coupable jusqu’à son véhicule de service. Bien que ce dernier aurait tout de même reçu plusieurs autres coups entre temps. La demoiselle montra de nouveau son sens de l’observation lorsqu’elle prit de nouveau la parole pour demander à Mach d’arrêter de cacher ses armes, même si elle ne savait pas ce que s’était, expliquant que de toute façon, cela ne serait certainement pas un problème à régler par son service.  L’ancien soldat en fut encore surprit, la trouvant encore plus intéressante tout à coups, et vint l’aider à soutenir l’homme qu’elle venait de redresser.

- La dessus vous n’avez rien à craindre, je fais ce genre de choses qu’avec des femmes consentantes et en âge de le faire.

Dit-il calmement, d’un ton montrant son sérieux, alors qu’il avait tourné son regard vers le visage de l’agent de police, qu’il trouvait plutôt jolie, voir même très jolie, ce qui venait s’ajouter au caractère qu’il semblait déjà apprécier. Elle lui tendit alors une main en se présentant, ne le quittant pas des yeux, laissant Mach se dire qu’il devait lui plaire aussi.

- Mach, homme à tout faire d’une certaine façon ! Enchantée Jezebel. Très bien, je vous suis donc au commissariat alors !

Répondit-il calmement, accompagnant cela d’un sourire, et la prise de la main de la jeune femme dans la senne. Il trouva que la demoiselle avait la peau douce, et qu’elle laissait émaner une douce chaleur. Il s’était décrit d’homme à tout faire, ce qui n’était pas faux, puisque cela pouvait englober bien des choses. Ainsi, il n’attendait plus que celle-ci les conduise vers son véhicule pour les emmener au poste, même si les deux hommes n’auraient pas le même traitement en y arrivant.