Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Franz Nielsen

Créature

Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

lundi 09 août 2010, 14:53:50

Une nouvelle se répandait dans la ville, une femme offrait une belle somme d’argent à qui saurait lui ramener sa fille. Je ne me serai pas intéressé à cette offre outre mesure, vue que je dispose maintenant de plusieurs compte en banque bien fournit, mais en plus de toucher un beau paquet d’argent, la fille en question est particulièrement intéressante. En me renseignant je suis tombé sur une photo de cette jeune femme, elle s’appelle Elisabeth DINOSTHIS, elle a une vingtaine d’année, et un corps sur lequel il me tarde de poser les mains.

En faisant jouer mes relations et mon pouvoir, j’ai pu trouver l’adresse de plusieurs femmes qui viennent de s’installer à Seikusu, et qui correspondent à la description d’Elisabeth. Je prends la forme d’humain que je me suis construite, sous cette forme je reste très baraqué, 2m03 pour 97 kilos, une montagne de muscle. Je m’habille avec un costume noir et blanc, et des lunettes de soleil noires, un look typique des agents de sécurités ou des agents du FBI américain. A l’intérieur de ma veste un pistolet magnum repose dans son étui, qui est plus là pour impressionner qu’autre chose. C’est ainsi que je commence à me rendre aux adresses que l’on m’a indiqué. Les deux premières n’étaient pas habité par la jeune femme en question, quand j’arrive à la troisième, la femme est absente, je me décide de l’attendre au pas de sa porte.

Quelques minutes plus tard, j’entend des bruits de talons claquer sur le sol, puis je vois la silhouette d’une femme correspondant à Elisabeth, après quelques nouveaux pas, je peux la reconnaitre parfaitement, c’est bien elle. Décidément, c’est encore mieux que sur la photo… Je risque de bien m’amuser.

Elle pose son regard sur moi, et à l’air de se demander ce que je fais devant sa porte. Je reste calme, sans aucunes attitudes offensives.

Mademoiselle DINOSTHIS. Je dois vous parler.

Je ne veux pas la faire fuir tout de suite, je ne dis donc rien de l’objet de ma venue

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 1 mardi 10 août 2010, 08:58:55

Lisbeth s’était promenée une bonne partie de la journée. Elle avait flâné en ville et fait un peu de lèche-vitrine. Ce matin-là, avant de sortir, elle avait passé une robe très courte faite en crochet et de couleur noir. Son ensemble de lingerie, composé d’un string et d’un soutien-gorge était de couleur bordeaux. Il était donc plus ou moins visible sous sa robe mais Lisbeth s’en moquait. Après tout, elle était plutôt bien faite et ne voyait pas pourquoi elle ne le montrerait pas. Comme à son habitude, elle portait des bottes en cuir et pour une fois, ces dernières étaient de la même couleur que sa lingerie. Le regard des hommes sur ses courbes alléchantes ne la dérangeaient pas et Lisbeth trouvait même cela très flatteur.

Après plusieurs heures de promenade, la jeune femme se décida à rentrer chez elle. Ces derniers temps, elle sortait de plus en plus souvent dans la ville, histoire de se fondre dans la masse et d’être moins repérable. Même si les sbires de sa mère semblaient avoir abandonné la partie, nul doute pour Lisbeth qu’ils referaient surface un jour ou l’autre. En attendant, maintenant débarrassée de ses entraves, il arrivait à la demoiselle d’aller s’abrutir dans les bras d’hommes de passage dans le quartier de la Toussaint. Mais ce soir, elle aspirait juste à lire un bon livre en dégustant une tasse de thé. Arrivée devant son immeuble, elle composa le code et entra. Encore trois étages à monter et elle serait chez elle.

Sur son palier, Lisbeth eu la surprise de découvrir qu’un homme l’attendait. Costume sombre, tranquillement appuyé contre le mur, il était immense. La jeune femme lui souria tout en se demandant ce qu’il faisait là.

Mademoiselle DINOSTHIS. Je dois vous parler.

Ses premières paroles furent pour l’appeler par sa véritable identité… Un homme de main de sa mère ! Ne laissant pas paraître son trouble, Lisbeth vint à sa rencontre, ses clés d’appartement en main. Elle réfléchissait à toute vitesse. Il fallait qu’elle parte.

*Bonjour, si cela ne vous ennuie pas, j’aimerais mieux que nous discutions à l’intérieur de mon appartement. Certains voisins sont un peu trop curieux voyez-vous.

Tout en parlant, Lisbeth avait ouvert la porte et s’était effacée pour laisser l’homme passer. Ce qu’il fit de bonne grâce sans rien dire. Sans réfléchir, la jeune femme referma la porte et la verrouilla, laissant l’homme à l’intérieur de chez elle, et s’enfuit en courant. Elle n’avait pas la moindre idée de où aller et s’engouffra dans la station de métro au pied de chez elle et sauta dans une rame qui partit aussitôt.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 2 mardi 10 août 2010, 19:45:43

La plantureuse jeune femme s’avance vers moi calmement, et m’invite même à entrer. J’ai tout loisir d’observer son corps, qu’elle sait mettre parfaitement en valeur. Pas mal pour une vierge… Enfin, on dit qu’elle est vierge, mais à la voir ça paraît invraisemblable. En tout cas, je ne pensais pas que le contact serait aussi facile, avec une femme qui se sait traquer par sa mère. J’entre dans l’appartement, puis j’entends la porte se refermer, et le bruit de la clé la verrouillant. Je me retourne brusquement, et comprend bien trop tard, que je suis entrain de me faire rouler.

Mademoiselle DINOSTHIS ?!

Je n’ai comme réponse que le bruit de ses pas sur le sol, qui me font comprendre qu’elle est entrain de courir. Je frappe violemment du poing contre la porte de rage, je viens de me faire avoir comme un bleu. Mais heureusement, j’ai plus d’un tour dans mon sac, je regarde autour de moi, et mes yeux s’arrêtent sur la première fenêtre donnant sur l’avant de l’immeuble. J’attends quelques secondes, et je peux voir Elisabeth sortir, et se diriger en courant vers la station de métro. J’ouvre la fenêtre, puis je ferme les yeux pour me concentrer, ma stature de 2m fond pour laisser place à un pigeon, dont Seikusu grouille en cette période de l’année. Je m’envole et quitte l’immeuble en direction du métro, j’atterris dans une ruelle isolée, et reprend ma dernière forme.

Lorsque j’arrive à la station de métro, j’ai juste le temps d’apercevoir Elisabeth entrer dans une des voitures du train. Et il me vient une idée pour nouer le contact avec elle plus facilement, je monte dans la voiture précédent celle dans laquelle vient de monter la jeune femme, afin de ne pas attirer l’attention. Ce qui serait inéluctable si je faisais pénétrer mes deux mètres dans le même compartiment qu’elle.

Il est maintenant temps de mettre mon plan à exécution, je vais m’asseoir près d’un homme d’une vingtaine d’année, et commencer à parler à voix basse à son oreille. Après quelques hésitations de sa part, une liasse de billet de 50 000 yens que je mets dans sa main, vient lui faire hocher la tête en signe d’accord. Je lui explique ce que j’attends de lui, et pour le motiver, je lui promets la même somme d’argent quand il aura remplit la part de son marché.

Je surveille Elisabeth du coin de l’œil, et dès qu’elle quitte le train, nous lui laissons quelques pas d’avance, puis mon « acolyte du jour » et moi, nous la suivons discrètement. Elle sort du métro, et lorsqu’elle emprunte une voie un peu moins fréquentée, je fais signe à l’homme de passer à l’action. Il commence à courir en direction de la jeune femme, il l’agrippe brusquement, et l’entraine dans une petite ruelle.

Homme : Toi je vais te passer dessus tu vas t’en souvenir !

Il agrippe le haut de sa robe et à juste le temps de la déchirer pour dévoiler son soutient gorge et la naissance de sa poitrine généreuse. Que ma poigne puissante vient lui saisir le poignet, alors que discrètement de mon autre main, je lui glisse de nouveau 50 000 yens dans la poche.

Franz : Hep petit ? A quoi tu joues ?

Je passe ma main libre entre les pans de ma veste, pour venir saisir la crosse de mon magnum, et je pose l’embout de celui-ci sur la tempe du jeune homme.

Barres toi si tu ne veux pas que t’explose la cervelle.

Notre accord ne mentionnait pas mon revolver, mais si je lui en avais parlé, la peur sur son visage n’aurait pété réelle. Je relâche ma poigne, et le jeune homme se met à courir hors de la ruelle, la peur au ventre, mais avec tout de même 100 000 yens en poche. Et je me doutais, vue la situation dans laquelle Lisbeth se trouve, qu’elle ne va pas aller porter plainte à la police.

Je range mon arme dans son étui, et je me retourne vers elle. Je retire ma veste noire, pour venir en parer ses épaules, afin lui permettre de cacher les formes que la déchirure de sa robe avait révélées.

Eh bien… Vous avez de la chance que je vous aie retrouvé à temps… Peut être que nous allons pouvoir discuter maintenant ?

Je remonte mes petites lunettes de soleil sur mon nez, puis croise mes bras sur mon torse qu'on peut deviner très musclé, étant désormais recouvert d'une simple chemise blanche.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 3 mercredi 11 août 2010, 11:18:58

Une fois le métro parti, Lisbeth respira un peu plus calmement. Elle allait devoir déménager maintenant. Mais il était hors de question qu’elle quitte la ville ! Que sa mère le veuille ou non, elle vivrait la vie qu’elle avait choisi. Repensant à l’homme, la jeune femme se demanda dans quel état elle retrouverait son appartement… Elle qui avait fait tant d’efforts pour en faire un endroit douillet. Furieuse, Lisbeth décida de quitter le métro à la station suivante. C’est comme ça qu’elle se retrouva aux abords du quartier de la Toussaint. Sauf que la jeune femme n’avait pas la moindre idée de où elle se trouvait et ignorait tout de la réputation de cet endroit.

Lisbeth se retrouva à l’air libre et continua sa route tranquillement. Quelques boutiques de vêtements étaient encore ouvertes. Au fur et à mesure qu’elle avançait, la jeune femme se rendit compte qu’il y avait de moins en moins de monde. Les rares personnes qu’elle croisait ne lui inspiraient absolument pas confiance. Elle renonça donc à leur demander un peu d’aide. Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas l’homme arriver. Il l’attrapa avec violence et l’attira à l’écart. Agé d’une vingtaine d’années, il avait pourtant l’air d’un jeune homme de bonne famille. Jusqu’à ce qu’il déchire la robe de Lisbeth, révélant ainsi sa  poitrine.

Homme : Toi je vais te passer dessus tu vas t’en souvenir !

La jeune femme n’eut pas le temps de réagir. Déjà une main puissante venait de faire lâcher son agresseur.

Hep petit ? A quoi tu joues ?

L’homme qui était chez elle ! Comment avait-il fait pour la retrouver ? Lisbeth le regarda sortir une arme et la pointer sur la tempe de l’autre qui ne demanda pas son reste d’ailleurs et pris la fuite après le dernier conseil de l’inconnu

Barres toi si tu ne veux pas que t’explose la cervelle.

L’homme se retourna ensuite vers la jeune femme et lui offrit sa veste pour se couvrir. En fait, il la lui passa d’autorité. Puis, comme si la situation était normale, il s’adressa enfin à Lisbeth.

Eh bien… Vous avez de la chance que je vous aie retrouvé à temps… Peut être que nous allons pouvoir discuter maintenant ?

La jeune femme le foudroya du regard avant de jeter la veste à terre.

*J’ose espérer que vous n’attendez pas de moi que je vous remercie ! Vous êtes encore plus stupide que votre apparence ne le laisse supposer. Comment je vais me faire rembourser ma robe maintenant que vous avez laisser partir mon agresseur ?

Ouvrant son sac, Lisbeth fouilla quelques instants avant d’en sortir une épingle à nourrice d’une dizaine de centimètres entièrement décorée. Tranquillement, elle l’installa sur sa robe de façon à la refermer. Une fois fait, elle reporta son attention à son interlocuteur.

*Vous attendez quoi ? Il ne vous est pas venu à l’esprit de courir après cet idiot pour le forcer à me payer une nouvelle robe ? Après tout, puisque vous l’avez laisser partir, c’est vous qui allez me rembourser. Cela vous apprendra à réfléchir un peu avant d’agir.

Lisbeth attrapa la carte du magasin dans son sac et la lança sur la veste.

*Je n’ai pas besoin de vous donner mon adresse… Allez m’acheter une nouvelle robe ! C’est un ordre.

Le caractère capricieux de la jeune femme ressortait toujours quand elle était en colère. Sans plus se soucier de l’homme, elle fit demi-tour et s’éloigna.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 4 mercredi 11 août 2010, 17:51:51

Voilà exactement le type de femme que je ne peux pas supporter, que je veux faire souffrir. Ce sont les même que dans mon enfance, qui se croient supérieur aux autres parce qu’elles ont un physique avantageux, où parce qu’elles ont des parents richissimes. Je dois m’employer pour ne pas en finir tout de suite avec elle, mais je prendrais beaucoup plus de plaisir en prenant mon temps, et en jouant avec elle.

D’une arrogance et d’un dédain rare, elle ne remercie même pas la personne qui vient de lui éviter un viol, et elle se met même à hausser la voix et me faire des reproches. Si elle pense avoir trouvé un nouveau larbin, elle se trompe. Alors qu’elle me tourne le dos pour partir, je dégaine à nouveau mon revolver, et lui saisit le poignet de l’autre main pour la plaquer fermement contre le mur. Avec un regard calme qu’il en est effrayant, je pose l’embout de mon revolver sous son menton, et parle d’une voix grave à son oreille.

Ecoutes moi bien petite garce. On a deux façons de faire. La méthode douce : on discute et je te ramène calmement chez ta mère. Ou l’autre qui risque de beaucoup moins te plaire.

Je resserre un peu plus ma poigne sur son poignet, et la fixe du regard. Elle vient de me faire perdre 100 000 yens pour rien, même si ce n’est pas grand-chose pour moi, je compte bien les lui faire rembourser jusqu’aux derniers centimes.

Si je n’étais pas arrivé, tu serais sans doute entrain de te faire violer, alors la moindre des choses c’est d’être reconnaissante, plutôt que de te préoccuper de ta robe. Et puis vous pensez vraiment qu’un type qui tente de violer une femme à de l’argent ? Si c’était le cas il serait allé voir certaines dames qui lui auraient posé moins de soucis contre quelques billets, donc n’espérez pas qu’il puisse vous rembourser.

Toujours en soutenant son regard, je marque un temps d'arrêt, avant de lui demander si elle est prête à coopérer.

Alors ? On a fait son choix ?

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 5 jeudi 12 août 2010, 15:10:59

Lisbeth avait fait à peine trois mètres qu’elle se retrouva plaquée au mur et le canon d‘une arme sur la gorge. Son sauveur n’avait visiblement pas apprécié la manière dont elle s’était adressée à lui. Il s’adressa à elle tranquillement.

Ecoutes moi bien petite garce. On a deux façons de faire. La méthode douce : on discute et je te ramène calmement chez ta mère. Ou l’autre qui risque de beaucoup moins te plaire.

Lisbeth se contenta de sourire. Si cet idiot pensait lui faire peur, il se trompait. Selon les critères de la jeune femme, elle avait déjà subi le pire donc rien de ce qu’il pouvait lui infliger ne l’effrayait vraiment. D’ailleurs, elle ne l’écoutait que d’une oreille.

Alors ? On a fait son choix ?

Ainsi donc il ne savait pas quoi faire d’elle. Lisbeth éclata de rire en entendant la question.

*Me ramener chez ma mère, quelle ironie ! De toute façon, je n’ai pas le choix visiblement alors peu importe la méthode mais sachez que je ne me laisserai pas faire. Non mais regardez-vous un peu ! Il vous faut une arme pour être certain que je ne bougerai pas en dépit de votre carrure ! Pardonnez-moi, mais du coup, vous ne m’impressionnez pas du tout. Alors, faites comme vous voulez, de toute façon, j’ai déjà enduré le pire qu’il puisse être donc ce que vous pourrez me faire me laisse indifférente.

Lisbeth marqua une pause avant de continuer.

*Vous ne savez rien sur ma famille sinon vous n’auriez pas l’idée aussi stupide de m’y ramener, même pour de l’argent. Surtout que ma fortune personnelle dépasse de loin celle de ma mère. Mon père y a veillé. De plus, je ne discute pas avec les gens qui pointent une arme sur moi, c’est un manque d’éducation flagrant cette façon de faire !

La jeune femme cessa de parler tout en soutenant le regard de son agresseur. Avant de lui envoyer une gifle magistrale de sa main libre. Idée folle certes mais Lisbeth n’y pensa même pas. N’ayant pas l’habitude d’être contrariée, elle ne comprenait pas qu’un homme ose le faire. Et comme d’ordinaire, la jeune femme agissait sans penser aux conséquences que pouvaient entraîner ses actes.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 6 jeudi 12 août 2010, 18:38:46

Quand la gifle vient claquer contre ma joue, je suis à deux doigts de lui casser le poignet. Elle continue dans son arrogance, et elle à le dont de me mettre hors de moi. Mais s’il y a une erreur qu’elle a commise, c’est de me dire qu’elle était bien plus riche que sa mère. Au diable la prime pour la ramener chez elle, je vais la faire souffrir comme jamais, et faire partir cet air arrogant de son visage. Elle va payer pour toutes les filles capricieuses de mon enfance, pour toutes les filles de riches qui se sont moqués de moi, et me traitait d’horrible monstre. Je replonge d’un coup mon regard vers elle, que sa claque m’a fait quitter. Et mes sourcils se froncent doucement, alors que je range mon magnum dans son étui.

Finit de jouer…

J’agrippe le pan de sa robe rafistolée par une épingle à nourrice, et je tire violement dessus, en plus de rouvrir la déchirure, je la prolonge, jusqu'à ce que sa robe soit totalement ouverte. Ses formes couvertes par ses sous vêtements s’offrent à moi. Toujours en la plaquant contre le mur, je passe ma grosse main sur sa poitrine généreuse, et je soulève son soutient gorge pour la dévoilée. Elle est vraiment impressionnante, et je ne résiste pas à l’envie d’empoigner ses seins et de jouer avec. Mes pouces passent sur ses tétons, alors que je viens lui voler baiser, puis en faisant glisser mes lèvres sur sa joue, je murmure à son oreille :

Ta liberté va te coûter cher… Je vais faire partir l’air supérieur sur ton visage à jamais petite garce…


Je descends une de mes larges mains vers ses fesses, que je malaxe sans ménagement, avant de saisir l’élastique de son string, et de commencer à tirer dessus. Je l’étire de plus en plus, le tissus rentrant dans la fente de son sexe, jusqu'à ce qu’il se déchire, et que je jette le string en lambeaux à terre. Et lorsque je baisse la tête pour regarder son sexe, je suis surprit de le voir recouvert de plusieurs anneaux. Décidément cette fille de riche est surprenante… Je passe la paume de ma main sur son sexe, puis commence à la frotter doucement dessus. Mon autre main continue de presser son sein gauche entre ses doigts, ses seins sont vraiment géniaux, ils ont beau être gros, ils ne tombent pas pour autant, et offrent une fermeté et une douceur incroyable. Mon pouce continue de jouer avec son téton, alors que je descends mon visage vers le sein laissé libre, et je laisse glisser ma grosse langue dessus, laissant de la bave sur mon passage. Je viens donner des coups de langue sur son téton, avec de commencer à l’embrasser, en le pinçant de temps à autre entre mes lèvres.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 7 vendredi 13 août 2010, 10:37:23

Visiblement, l’homme n’avait pas apprécié la claque. Lisbeth le vit ranger son arme et froncer les sourcils. Autant elle appréciait ne plus sentir le canon de l’arme contre sa gorge, autant le regard de l’homme n’annonçait rien de bon. Ce que c’est premières paroles confirmèrent.

Finit de jouer…

D’un geste brusque, il déchira la robe de Lisbeth de haut en bas, révélant son corps et la lingerie qu’elle portait. L’une de ses mains s’empara de ses seins pour les libérer de son soutien-gorge. Lisbeth ne réagissait pas. Il était évident que cet homme allait la violer. Il l’embrassa de force avant de venir lui murmurer à l’oreille une phrase dont la jeune femme ne retint qu’une chose : après elle serait libre.

Ta liberté va te coûter cher… Je vais faire partir l’air supérieur sur ton visage à jamais petite garce…

L’homme tira sur son string, le faisant entrer entre ses grandes lèvres. Lisbeth sentait le tissu glisser sur ses anneaux et contre toute attente, cela lui plaisait. Le string finit par se déchirer sous la pression et la jeune femme vit l’homme le jeter à terre. Puis, il baissa les yeux et visiblement, les anneaux que la jeune femme portaient le surprirent. Lisbeth sentit l’une de ses mains caresser son sexe pendant que l’autre continuait à s’occuper de son sein gauche. Toujours immobile, la jeune femme se laissait faire. Quand la bouche de son agresseur s’empara de son autre mamelon et commença à jouer avec, Lisbeth ne put retenir un gémissement. Elle devait se rendre à l’évidence, la violence de cet homme l’excitait. Ayant les mains libres, elle fit glisser sa robe au sol, aussitôt rejointe par son soutien-gorge. Il ne lui restait plus que ses bottes. Nue, dans les bras d’un homme qui comptait abuser d’elle, Lisbeth se sentait bien.

*Je… Je ne connais même pas votre nom…

Une partie d’elle tentait bien de se révolter mais le taux d’humidité de son sexe suffisait à prouver que Lisbeth aimait être forcée ainsi. En effet, privée pendant des années du plaisir charnel, la jeune femme était devenue particulièrement réceptive à tout contact sexuel. Les yeux mi-clos, Lisbeth laissait l’homme prendre possession de son corps. Elle releva la jambe droite et vint appuyer celle-ci contre la cuisse de l’homme, lui offrant ainsi un meilleur accès à son sexe. Son bassin ondulait au rythme des caresses de l’homme. De la jeune femme capricieuse, il ne restait quasiment plus rien. La seule chose qui importait pour elle à ce moment était le plaisir que l’homme lui procurait. Elle pouvait sentir sa cyprine s’écouler doucement de son vagin.

*Mmmm… Votre nom s’il vous plaît.

La jeune femme ne cherchait même plus à dissimuler ses gémissement. Elle ne souhaitait plus qu’une chose, être prise sur le champ par cet homme qu’elle ne connaissait pas.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 8 vendredi 13 août 2010, 14:44:36

Alors que je m’apprête à ce que Lisbeth se débatte, et cherche à s’extirper de ma poigne, il n’en est rien. Les insultes que je pensais entendre sont remplacées par des gémissements de plaisir, alors qu’elle remonte sa jambe le long de ma cuisse pour mieux m’offrir son sexe. J’ai dû mal à comprendre… Je suis entrain d’abuser d’elle, et elle semble aimer ça… On verra si ce sera toujours le cas, quand j’aurai forcé le rythme…

Elle me demande mon nom, comme si j’étais son partenaire, alors que je suis son agresseur !  Je retire mes lèvres de son sein, et remonte mon visage vers le sien avec un regard pervers.

Tu n’as pas besoin de connaître mon nom petite garce !

Je sens de la cyprine s’écouler de plus en plus de son sexe, alors que mes doigts viennent jouer avec les anneaux de ses lèvres intimes. Mon pouce vient chercher son clitoris, pour le caresser avec fermeté, alors que deux des mes doigts s’engouffrent dans son vagin humide, et commence à la pénétrer avec force. J’écarte ses parois, je les frotte, je les presse, ne leur laissant aucun répit avec toute la grosseur de mes doigts.

Au bout de quelques minutes, je retire mes mains de son corps, pour ouvrir ma braguette, et je fais sortir mon membre imposant et dressé. Avec ce corps, il atteint 23 centimètres.

S’il y a quelque chose que tu dois connaitre… Ce sera ça.


Je viens agripper ses cuisses sauvagement, pour la soulever, alors que je la plaque contre le mur avec mon corps. Son sexe se retrouvant juste au dessus du mien, sa cyprine commençant à goutter le long de mon gros barreau de chaire. Puis soudain, je la laisse descendre de tout son poids sur ma verge, alors que de mon côté je donne un coup de rein, qui la fait s’empaler littéralement dessus.

MHMM ! Voila ! Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es !


Je commence des mouvements de bassins puissants, mon membre coulissant avec force contre ses parois, jusqu’à ce que mon gland vienne taper au fond de son vagin. Je resserre la poigne de mes grosses mains autour de sa cuisses, accentuant progressivement le rythme et la force de mes mouvements.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 9 vendredi 13 août 2010, 15:39:42

Tu n’as pas besoin de connaître mon nom petite garce !

Décidément, cet homme n’avait aucune notion des convenances les plus élémentaires. Lisbeth se promit de lui en faire la réflexion dans un futur proche. Elle sursauta légèrement quand il prit possession de son vagin avec ses doigts sans ménagement. Il l’ouvrait avec force, ne lui laissant aucun répit. Lisbeth ondulait de plus en plus du bassin. Elle laissa échapper un cri de frustration quand il la lâcha. En entendant le bruit caractéristique d’une braguette, elle baissa son regard et découvrit la queue de son agresseur. Plutôt bien monté, pensa-t’elle sur le moment.

S’il y a quelque chose que tu dois connaître… Ce sera ça.

Plaquée violemment au mur, la jeune femme n’a guère le temps de profiter de la vue. Mais elle se rend vite compte que le sexe de son agresseur se trouve à l’entrée de son vagin. Maintenue par les cuisses, Lisbeth se retrouve dans l’impossibilité de bouger… Jusqu’à ce que l’homme la lâche et qu’elle s’empale sur son membre. Le souffle coupée, la jeune femme sent son sexe se déchirer sous la violence de l’acte et la douleur la submerge. Des larmes coulent le long de ses joues.

MHMM ! Voila ! Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es !

L’homme commence alors à aller et venir en elle, la forçant à s’empaler entièrement à chaque coup sur sa queue. Il faut peu de temps à Lisbeth pour qu’elle se remette à gémir de plaisir. Prenant appui sur les épaules de son violeur, elle entreprend alors d’accompagner ses coups de boutoir en basculant son bassin au maximum pour qu’il puisse la prendre encore plus profondément.

*Je… Je devrais… sans doute remercier… ma mère alors…

Entre deux respirations, Lisbeth tente de parler un peu. Sous le traitement infligé, son vagin ne tarde pas à la brûler mais l’homme ne ralentit pas la cadence, bien au contraire. Il semble avoir décidé de profiter de son corps au maximum. Lisbeth finit par le laisser contrôler les mouvements et en profita pour jouer avec ses tétons durcis de plaisir. Les années de privation imposées par sa mère font merveille et sous l’effet du plaisir imposé, la jeune femme se lâche peu à peu.

*Mmmmmmm…. Oui, continue…

Nul doute que si son agresseur savait par quoi la jeune femme était passée, ses réactions lui auraient parues somme toute normales. Mais Lisbeth ne perdait pas de vue ce que l’homme lui avait dit, à savoir qu’ensuite elle serait libre. Et sa liberté n’avait pas de prix.

*Baise-moi comme une chienne !

Ces mots à peine prononcés, Lisbeth ne put s’empêcher de rougir.
« Modifié: vendredi 13 août 2010, 17:39:40 par Lisbeth »

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 10 vendredi 13 août 2010, 17:11:12

Je souris sadiquement quand je vois des larmes couler le long de ses joues, mais bien vite le plaisir semble la submerger, et elle gémit de plaisir à nouveau sous mes coups de buttoir toujours plus puissants. Elle ondule même du bassin pour accompagner mes mouvements, avant qu’ils ne soient trop rapides pour elle, et qu’elle se contente de saisir ses seins pour jouer avec ses tétons. Je crois que je suis tombé sur une réelle nympho, elle est entrain de prendre se pied alors que j’abuse de son corps. Elle me demande de continuer, de la baiser comme une chienne, et je ne m’en prive pas.

Tu vas t’en souvenir petite catin !


Je me cambre lorsque mon sexe ressort du sien, afin d’avoir la meilleur allonge possible, pour le faire rentrer plus fort en elle. Nos bassins s’entrechoquent à chaque fois, mes bourses claques sur sa peau, je te tire même sur ses cuisses, pour plaquer mon gros barreau de chaire le plus profondément possible.

HMM ! Ouais ! Je vais te remplir !

Au bout de quelques minutes de coups de bassins effrénés, mon corps se crispe alors que je plaque ma verge profondément en elle, qui commence à tressauter, signe d’une jouissance imminente. J’effectue un dernière aller et venue lente, mais toute en puissance, avant que mon sexe ne libère d’épais filets de sperme en elle. Je soupire de plaisir alors que mon éjaculation dure de longues secondes, inondant son vagin de mon foutre.

Je prends le temps de reprendre mon souffle, avant de retirer mon phallus de son sexe, et de reposer Libseth à genoux à terre. Son visage est maintenant face à mon membre de moins en moins dur, et enduit de nos semences.

Tu caches bien ton jeu, t’es une belle petite salope enfait… Mais c’est bien beau d’avoir une belle bouche, et une belle paire de seins, mais encore faut-il savoir s’en servir…


Je la regarde, lui faisant comprendre que je veux qu’elle s’occupe de moi, si elle croit en avoir terminé, elle se trompe, je compte bien profiter d’elle et de son corps au maximum, avoir une telle poitrine à disposition est quelque chose de rare.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 11 vendredi 13 août 2010, 18:11:01

Visiblement, l’homme n’était pas contre la demande de Lisbeth. Il redoubla d’intensité et écarta ses cuisses pour entrer en elle encore plus profondément. Sa queue lui déchirait les entrailles à chaque pénétration mais Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. La violence de son agresseur décuplait son plaisir. Une dernière pénétration, plus lente que les autres, et la jeune femme sentit l’homme éjaculer en elle. Elle eut l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais d’ailleurs. Le temps de reprendre son souffle et il ressortit son sexe avant de la laisser glisser au sol. Lisbeth pouvait sentir sa cyprine mêlée au sperme de l’homme s’écouler de son vagin. L’homme la fixait alors qu’elle restait à terre.

Tu caches bien ton jeu, t’es une belle petite salope en fait… Mais c’est bien beau d’avoir une belle bouche, et une belle paire de seins, mais encore faut-il savoir s’en servir…

Lisbeth se contenta de sourire. Visiblement en forme son partenaire, elle qui croyait que les hommes avaient besoin d’un temps de récupération… Et vu sa position, elle savait parfaitement ce que cet homme attendait d’elle. Elle reporta son attention sur le membre luisant avant de l’engloutir. Elle resta ainsi, sans bouger, pendant quelques instants, se contentant de contracter ses mâchoires. Puis Lisbeth commença à aller et venir lentement sur le sexe, l’avalant entièrement à chaque fois. Sa langue tournoyait le long de la hampe en permanence. Avec sa main droite, elle caressa les énormes testicules. Lisbeth prenait son temps, accélérant progressivement la cadence de ses mouvements de tête au fur et à mesure que le sexe se durcissait. Elle le ressortit entièrement avant de se mettre à lécher les bourses de son agresseur. Ainsi positionnée, il devait avoir une vue parfaite sur la cambrure de ses reins. Lisbeth l’accentua volontairement. Elle gobait les testicules l’une après l’autre, les léchant avec ardeur. Puis elle revint sur la queue qu’elle lécha entièrement tout en regardant son agresseur. Avant de la reprendre en bouche et d’entamer une série de va et vient, le gland heurtant le fond de sa gorge à chaque fois.

Histoire de reposer ses mâchoires un peu, Lisbeth se redressa doucement de façon à ce que le sexe se retrouve entre ses seins. Elle commença alors à monter et descendre lentement, agaçant le gland avec sa langue à chaque fois qu’il passait à portée de sa bouche. Son regard ne quittait pas celui de son agresseur.

*Vous ne voulez toujours pas me dire comme je peux vous appeler ?

Après tout, il connaissait son prénom… Lisbeth garda le sexe entre ses seins quelques minutes avant de l’engloutir à nouveau. Elle allait et venait à un rythme régulier, accélérant de façon progressive. Sa mère lui avait toujours dit qu’aller trop vite dès le départ privait les hommes d’une partie de leur plaisir. A chaque fois que le sexe heurtait le fond de sa gorge, Lisbeth perdait sa respiration mais elle découvrit qu’elle aimait cette sensation. N’écoutant que son envie, elle prit la main gauche de l’homme et la posa sur sa nuque.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 12 dimanche 15 août 2010, 14:53:31

Une chose est sûr je ne m’attendais pas à tant d’entrain de la part de Lisbeth, et je dois aussi l’avouer, à tant de talent. Sans hésiter elle vient engloutir mon sexe avec sa bouche, le laissant à l’intérieur pendant un moment, alors qu’elle me regarde dans les yeux. Mon membre commence vite à se durcir dans cette étroite cavité buccale, alors qu’elle commence à faire aller et venir ses lèvres dessus. Sa langue m’arrache des gémissements de plaisir alors qu’elle danse autour de mon sexe, puis au bout d’un moment elle le retire de sa bouche. Mon phallus est maintenant parfaitement dressé, alors que sa langue passe sur toute la longueur. Bon dieu ce qu’elle est douée, je prends appui  d’une main contre le mur pour me stabiliser, je dois avouer qu’elle suce admirablement et qu’à ce train là elle me fait légèrement vaciller. Elle s’attaque maintenant à mes bourses, elle les lèches, les gobes, les suce, avant de revenir prendre en bouche mon sexe, et d’entamer une série de gorge profonde, qui m’arrache un long soupir de plaisir à chaque fois que mon gland tape au fond de sa gorge.

Ensuite, comme je lui ai demandé, elle retire mon membre de sa bouche puis se redresse, pour m’offrir sa sublime poitrine. Elle emprisonne mon sexe enduit de sa salive entre ses seins, et commence à le masturber entre. Alors que je sens mon gourdin coulisser entre ses globes de chaire doux et chauds, mon gland qui ressort à chaque descente de son buste, a droit à l’attention de sa langue, alors que le regard d’Elisabeth ne cesse de me fixer. Et là elle me redemande comment elle peut m’appeler, alors qu’en tant normal je l’aurai encore rembarrer, je dois avouer que sous de telles attention, je n’en n'ai plus l’envie.

Franz…

Je la fixe avec désir, je dois avouer que cette situation est rare, normalement les femmes sont contraintes de me faire ce genre de chose, c’est quelque peu nouveau pour moi d’en voir une le faire avec envie, c’est vraiment autre chose. Après les divines caresses de ses seins, elle retire son buste pour revenir prendre en bouche ma verge, la grosseur est loin de lui faire peur, et elle reprendre mouvements de vas et viens, qui se transforme bien vite en gorge profonde. Elle l’engloutit jusqu’à en avoir la respiration coupée, et le pire c’est qu’elle à l’air d’aimer ça. Elle vient prendre ma main gauche pour la pauser sur sa nuque, et après un regard échangé je comprends qu’elle veut que j’intensifie ses gorges profondes. Je suis totalement déstabilisé, mais cela me permettra de reprendre le contrôle d’une situation, qui était entrain de m’échapper.

Ca se voit que t’aime engloutir de grosses queues ma belle… Tu vas être servit…


Je commence à tirer sur sa nuque pour accompagner ses mouvements, mon sexe complètement engloutit dans sa petite bouche, et mon gland bien au fond, coupant sa respiration quelques secondes. Puis je relâche la pression de ma main pour faire ressortir mon membre de sa bouche, un épais filet de bave le reliant à ses lèvres. Je lui laisse quelques secondes pour reprendre son souffle avant de recommencer, mon membre frottant contre son palet, sa langue, jusqu’à être engloutit par cette cavité buccale. Je le laisse de plus en plus longtemps dans sa bouche, et quand je le retire, je lui laisse de moins en moins de temps pour respirer. J’accentue le rythme progressivement, enchainant les gorges profondes à un rythme infernal.

Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !

Après une dernière gorge profonde plus longue, je m’écarte et entraine Lisbeth à 4 pattes, dos à moi, pour qu’elle m’offre sa croupe.

HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.

Je pose ma main sur sa fesse gauche, que j’empoigne fermement, puis de ma main libre, je prends la base de ma grosse verge, pour venir passer mon gland enduit de sa salive le long de sa fente. D’un puissant coup de reins je la pénètre à nouveau, puis repose main sur sa fesse droite, pour commencer à la prendre sauvagement en levrette dans cette ruelle. Mon phallus écarte ses parois de toute sa grosseur, jusqu’à ce que mon gland vienne taper au fond de son vagin. Mes allers et venus s’enchainent à un rythme effréné, mes bourses venant taper contre ses lèvres intimes.

Pour une fois, mon plan de départ n’a pas du tout fonctionné, mais je dois avouer que ce qui est entrain de se passer est loin de me déplaire.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 13 dimanche 15 août 2010, 21:48:28

Son agresseur avait fini par lui donner son nom : Franz. Et à en juger par ses réactions, Lisbeth savait qu’il n’était pas insensible au traitement qu’elle lui infligeait avec sa bouche. Si elle avait pu, elle aurait souri. Mais vu la grosseur du sexe qu’elle suçait, c’était mission impossible. Franz avait compris ce qu’elle voulait et sa main commença à imposer le rythme, doucement au départ et de plus en plus vite et longuement ensuite. Au bord de l’évanouissement, Lisbeth était de plus en plus excitée. Le manque d’oxygène avait un effet dévastateur sur la jeune femme qui n’était plus qu’une femelle en chaleur. Et les mots prononcés par Franz augmentaient son plaisir.

Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !

Il la prenait littéralement par la bouche. Lisbeth ne cessait de gémir. Après une dernière pénétration plus longue que les autres, Franz la força à se mettre à quatre pattes. La jeune femme peinait à reprendre sa respiration.

HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.

Lisbeth sentit le sexe de Franz à l’entrée de son vagin. Sans ménagement, Franz la posséda et s’agrippe à ses hanches pour mieux s’enfoncer en elle. Lisbeth posa ses avant-bras au sol pour se caler et augmenter sa cambrure. Ainsi positionnée, le sexe de Franz s’enfonçait au maximum en elle. La jeune femme accompagnait les mouvements de Franz avec son bassin.

*Mmmmm… oui, continuez Franz…….. J’aime être prise ainsi…

A chaque coup de boutoir, Lisbeth avait l’impression d’être déchirée et l’ironie de la situation ne lui échappait pas. Elle, jeune demoiselle riche et arrogante, se faisait prendre comme une prostituée dans une ruelle sombre à la vue de tous ceux qui pouvaient passer par là. Sa cyprine coulait à l’intérieur de ses cuisses. Puisque Franz semblait calmé, la jeune femme décida de tenter quelque chose. Profitant d’un moment où Franz reculait pour mieux revenir en elle, elle se baissa au dernier moment de sorte que la verge tendue de l’homme glissa sur ses fesses.

*Attendez s’il vous plaît.

Sans chercher à se défaire de l’étreinte de Franz, Lisbeth se redressa et se tourna vers le mur pour y prendre appui avec les mains. Ainsi, elle se retrouvait à genoux, les bras tendus, la croupe cambrée à souhait rendant ses seins libres d’être utilisés. Tournant légèrement la tête, elle sourit à Franz. Ce dernier ne sembla pas lui tenir rigueur de son changement de position et entreprit de recommencer son pilonnage en règle. La jeune femme haletait tout en essayant de contenir son plaisir. Il fallait que Franz lâche ses hanches. Ne gardant que sa main droite contre le mur, elle posa l’autre sur celle de l’homme et l’attira sur sa poitrine. Une fois cela fait, elle fit de même avec l’autre. Les doigts de Franz se refermèrent avec force sur ses seins mais Lisbeth s’en moquait. Le bassin libre, elle augmenta ses ondulations de manière à faire ressortir le sexe de Franz à chaque fois qu’il la pénétrait. L’éducation de sa mère allait lui servir. Franz continuait à la prendre avec force et Lisbeth accompagnait ses mouvements sans problèmes. A un moment, alors que la verge de Franz était entièrement ressortie de son vagin, elle baissa légèrement ses fesses. Si bien qu’elle s’empala d’elle-même violemment sur la queue tendue. Franz força ainsi son cul sans rien pouvoir faire. La jeune femme hurla en sentant son anus se dilater sous la grosseur du sexe et s’enfoncer profondément en elle. Surpris, Franz s’arrêta.

*Mmmmmmmmmm non, ne vous arrêtez pas…

Pour l’inciter à continuer, Lisbeth commença à coulisser doucement sur le phallus et très vite, le plaisir reprit le dessus sur la douleur.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 14 mardi 17 août 2010, 17:47:11

Cette petite fille de riche à l’air d’apprécier que je la prenne dans cette petite ruelle, comme une vulgaire trainée. Elle me demande de continuer, et j’accélère mes coups de reins, je la prends avec plus de force en m’appuyant sur sa croupe. Puis au bout d’un moment mon sexe glisse sur ses fesses qu’elle vient de baisser, elle me demande de patienter, et vient prendre appui sur le mur. Elle m’offre d’avantage sa croupe, alors je ne lui tiens pas rigueur, et je reprends mes mouvements, ma grosse verge ramonant ses parois intimes.

Sa main gauche vient chercher les miennes, pour les amener une à une contre ses seins qui ballotent sous les chocs que j’inflige à son bassin. Ne soupçonnant rien d’autre que ses désirs pervers, j’agrippe cette grosse poitrine, malaxant ses globes de chaire entre mes mains. Son bassin est maintenant libéré de mon emprise, et elle commence à l’onduler pour accompagner mes mouvements. De ce fait mon barreau de chaire ressort entièrement et revient s’empaler fortement dans son vagin, comme si je lui donnais de véritables coups. Je ne retiens aucunement mes mouvements, si bien que lorsque Lisbeth baisse son bassin, je ne peux éviter son anus, dans lequel mon membre s’empale puissamment. Je sens ce petit trou serré ce déformer d’un coup sous la grosseur de mon gourdin, ce qui me surprend et m’arrache un gémissement de plaisir. Je m’arrête pensant à un faux mouvement de celle qui n’était désormais plus ma victime, mais ma partenaire.

AHMM ! Bon dieu ! Ton petit cul est serré…

"Mmmmmmmmmm non, ne vous arrêtez pas… "Me dit-elle, alors qu’elle reprend d’elle-même un mouvement de bassin, ses parois anales compressant ma grosse verge en allant et venant dessus.

MMM ! T’es vraiment une chienne en chaleur toi… Finalement je pense qu’on va bien s’entendre.


La situation s’était complètement retournée, je n’avais plus à aller chercher le plaisir de son corps, c’est elle qui prenait son pied à me l’offrir sur un plateau. Je pilonne littéralement sa croupe, mes bourses claquant contre son sexe à chaque coup. Je presse ses seins entre mes mains, puis je pince ses tétons.
Au bout de longues minutes, je sens mon corps une nouvelle fois proche de la jouissance. Je descends ma main gauche contre sa peau, pour atteindre son clitoris, que je commence à caresser du bout des doigts, alors que mes allers et venus redoublent d’intensité. Mes gros doigts passent sur les anneaux de ses lèvres intimes, avant de s’engouffrer à l’intérieur de son vagin. Seul mon pouce, reste à caresser son clitoris, alors que je suis entrain de lui prodiguer une double pénétration.
Vu que j’ai particulièrement apprécié ses initiatives, je pense qu’il est bon de collaborer avec elle jusqu’au bout.

MM ! Alors dis moi je suis sûr que tu as une préférence sur l’orifice que tu veux que je te remplisse ?!

Je gémis de plus en plus fort, mes muscles se contractent, et mon phallus commence à tressauter à l’intérieur du petit trou de Libseth.


Répondre
Tags :