Je frissonne de crainte à ses paroles, elle a les moyens de me tuer et sûrement en claquant simplement des doigts. Je me tortille afin de pouvoir la regarder. La lueur perverse qu’elle a dans le regard me fait de nouveau peur et m’excite à la fois, j’ai toujours eu du mal à ne pas être flattée et excitée quand quelqu’un me montre de l’intérêt, et je peux dire que là il était évident que mon corps lui plait, même si c’est inquiétant qu’il s’agisse avant tout de mon anus.
Une laisse de plus, je la suis des yeux, je suis dans une position inconfortable et difficile pour moi de bouger comme je le souhaiterai. C’est mon pauvre Foxy qui est tenu ainsi, lui qui a toujours clamé haut et fort qu’il n’était pas un animal de compagnie. Elle tire sur la laisse bien plus gentiment qu’elle ne l’a fait avec moi, elle est donc aussi capable de douceur. Foxy lui trottine jusqu’à nous, ce faux frère ne résiste même pas ! Une nouvelle surprise quand elle parle dans la langue des renards.
*Ce n’est pas ma maîtresse, c’est mon amie*, répond mon amour de renard en la regardant puis en me regardant, *Et je sais qui tu es ... tu es Lust, tu es une déesse, la soeur d’Aphrodite*
Lust ?! Oh non par la déesse ! J’ai poussé une déesse dans l’eau ! Et en plus pas n’importe laquelle ! Une déesse réputée pour son sadisme et sa perversité. On dit que le mot luxure a été inventé pour elle ! Voilà qui m’inquiète encore plus, avant de remarquer l’excitation de Foxy, je suis toujours toute troublée quand mon compagne est ainsi en érection.
*Je sais aussi que nous ne pouvons rien faire contre toi ... que le mien c’est de profiter du moment ... alors je vais pas me priver*
C’est indication qu’il donne à la déesse mais qu’il cherche à me donner à moi aussi. J’aimerai bien pouvoir aussi facilement en profiter mais c’est pas lui qui est la source du jeu pervers de la demoiselle. Elle tourne son talon sur mon anus, la pression devient plus forte, je pousse un cri, je me contracte. C’est étrange, pas habituel comme sensation, pas des plus douloureux pour le moment mais terriblement effrayant et humiliant.
«Que ? Quoi ? Non ! Pitié non ! J’ai jamais ! Pas ça pitié ! Pas avec une chaussure, pas ma première fois ainsi»
Je me dandine au sol, j’essaie de me dégager mais rien à faire, je la sens qui appuie de plus en plus fort, la pression qui augmente. La peur grimpe en flèche elle aussi, je ferme les yeux comme si l’obscurité pouvait tout faire disparaître.
«AAAAAAAAiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!! AAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!»
Je pousse un cri déchirant, un cri qui résonne sur la place du marché. Le tissu a cédé, elle n’a pas écouté mes excuses ou ne les a pas accepté. Le talon aiguille de sa chaussure s’enfonce douloureusement dans mes entrailles, je sens mon anus se rompre et le sang chaud couler le long de ma raie. J’ai les yeux grands ouverts sous le choc, j’ai des larmes qui coule et je ne m’aperçois même pas que je suis entrain de pleurer. La pression disparait, je suis légèrement soulagée mais la douleur continue à me vriller l’anus. Avec un effort je reprends mon souffle et tourne la tête, je la vois retirer son pied mais laisser la chaussure en moi.
«Pitié ... j’ai mal ... retirez la ... s’il vous plait ...»
Elle ne m’écoute pas, elle s’occupe de Foxy, elle se regarde et se transforme en renard. Lui il est aux anges, il sourit et se dandine, suivant du regard la queue en panache de Lust qui l’hypnotise. Elle disparaît et c’est une morsure qui me fait sursauter à l’intérieur des cuisses. Je pousse un cri de peur, de surprise, avant de commencer à soupirer sous les dents de ma tortionnaire.
*Avec grand plaisir oh noble déesse*
Ce renard est trop pervers pour refuser je le savais bien ! Il la rejoint en deux bonds et commence à me mordiller les cuisses également, avant de venir lécher la limite de ma fourrure, juste à la naissance du short. Je commence alors à gémir, à soupirer d’envie et de plaisir. Cette sale petite bête connait parfaitement mon corps et sait comme me faire réagir au quart de tour, comme pour le prouver il vient mordiller mes fesses à travers le tissu de mon short et je pousse des couinements de délice mêlés de rires.
*J’ai déjà eu le privilège de la gouter ... oh bien sur toujours dans l’intimité de la chambre ... et seulement avec la langue, elle a toujours refusé plus ... mais je connais bien son corps ... c’est une perverse même si elle ne l’assume pas encore ...*, les paroles de Foxy sont pleins de promesses mais je ne sais pas si c’est pour moi ou pour la déesse qu’il les prononce.