Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

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Lisbeth

Humain(e)

Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

mardi 13 juillet 2010, 11:47:27

Quelle journée ! Lisbeth détestait son travail de bibliothécaire. Surtout les jours où tous les idiots de la ville semblaient s’être donné rendez-vous. Même l’homme qui avait passé une partie de l’après-midi à l’observer lui était apparu comme antipathique. Bien habillé certes mais c’était tout ce qui était acceptable chez lui. En rentrant chez elle, Lisbeth avait pris une douche brûlante. Debout, face à sa fenêtre, elle sentait l’eau glisser le long de son corps. Machinalement, elle caressa son sexe. Le contact des barres de métal sous ses doigts la rassuraient. La soirée s’annonçait douce. Lisbeth décida de s’offrir une balade. Un rapide tour dans sa garde-robe pour choisir sa tenue : string et soutien-gorge en dentelle violette, un kilt ultra court noir qui dévoilait le bas de ses fesses quand elle marchait et un chemisier mauve. Ainsi parée, elle prit la direction des bois après avoir enfilé une paire de bottes à hauts talons. Pas le plus pratique pour marcher dans un bois mais Lisbeth tenait par-dessus tout à son apparence.

Arrivée sur place, Lisbeth pu apprécier l’air frais du soir. Il lui fallut quelques minutes pour s’apercevoir qu’elle était suivie. L’homme de la bibliothèque ! Et il n’était pas seul, deux hommes l’accompagnaient.

*Bonsoir mademoiselle DINOSTHIS. Votre mère et votre futur époux m’envoient vous chercher.

Lisbeth le foudroya du regard avant de poursuivre sa route. Elle se retrouva très vite entourée par les trois individus.

*Veuillez avoir l’obligeance de me laisser passer

L’un des hommes ricana. Celui qu’elle avait déjà croisé dans le journée reprit la parole.

*Vous n’avez pas d’autre choix que celui de nous suivre. Croyez-moi, je serai navré de devoir utiliser la manière forte pour vous y contraindre.

*Soyez un bon toutou, allez donc dire à ma mère qu’elle n’a qu’à se marier avec ce porc si elle tient tant que ça à unir nos famille.

*Mademoiselle… un tel langage est indigne de vous.

Pendant qu’ils discutaient, les deux autres s’étaient approchés sans que Lisbeth ne s’en rende compte. Ils la saisirent chacun par un bras pour la forcer à avancer. La réaction de la jeune femme ne se fit pas attendre. Elle se pencha et mordit au sang celui qui était à sa gauche. Il la lâcha en poussant un cri.

*La salope, elle m’a mordu !

Lisbeth le regardait en souriant. Le second l’envoya valser au sol. En tombant, le kilt de Lisbeth révéla ses fesses bien fermes. L’homme qu’elle avait mordu se précipita sur elle.

*Je vais te faire passer l’envie de me mordre sale pute !

Il commença à la frapper violemment. Etourdie, la jeune femme ne vit plus qu’une chose à faire et hurla à l’aide.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 1 mardi 13 juillet 2010, 13:43:26

Pour une fois, en sortant du quartier de la Toussaint, Mach avait décidé de prendre par le parc pour se ressourcer un peu, ou du moins avoir une sensation d’oppression liée à la cité différente que celle qu’il pouvait avoir depuis plusieurs jours.  En effet, l’espace plus ouvert, moins pollué et plus coloré que la nature offrait aux hommes était dans un sens bien plus revigorants que les rues parsemées d’immeubles de  tailles plus ou moins haut. Ainsi, le jeune homme marchait de façon plus sereine, et non sur ses gardes comme cela pouvait être le cas dans une rue, ou un voleur pouvait surgir n’importe où. Sans compter les autres obstacles que pouvaient rencontrer Mach dans un tel lieu.

Cependant, le déserteur ne marchait pas en regardant le paysage comme pouvait le faire les autres promeneurs. Lui se contentait de profiter du calme ambiant, et de l’aura de fraicheur qui l’entourait. Enfin, tout cela, jusqu’au moment où il entendit un appel à l’aide, qui fit repasser ses sens à l’état d’alerte. Se dirigeant alors vers la zone d’où venait le cri, Mach plaça une main sous sa cape, prête à sortir son arme, bien qu’il ne sache pas ce qui l’attendrait. Etait ce une attaque à main armée, un simple vol à la tire ou une agression ? L’ancien soldat l’ignorait puisqu’il n’avait toujours rien dans son champ de vision.

Son allure s’était donc accrue, pour pouvoir arriver sur les lieux plus rapidement, pour voir, et éventuellement aidé la jeune femme en détresse. Mach pouvait voir défiler les arbres, jusqu’au moment où il vit se dessiner une sorte d’esplanade avec des bancs, et un peu mieux éclairée que le reste du parc, qui avait été laissé aux faveurs de la nuit. Diminuant alors son rythme, pour éviter qu’il ne soit repéré, et agir complètement par surprise, ce qui était une vieille habitude, l’ancien soldat observa la scène.

Il put donc voir une jeune femme au sol, ventre contre la terre, qui tentait de se débattre face à trois agresseurs. L’un d’eux, celui en face d’elle, semblait être assez calme pour le moment. Mais, s’était loin d’être le cas de ses compagnons derrière, dont l’un ne tarda pas à passer au dessus de la demoiselle, écartant les jambes, pour faire passer celles de la jeune femme au milieu, alors que son regard semblait en dire long.

- Ben tiens, comme si j’aurai pu penser à autres choses comme agression !

Chuchota Mach, avant de se déplacer, pour pouvoir agir de façon à s’en prendre directement à l’homme se trouvant au dessus de la jeune femme. L’ancien soldat fit donc son détour, tout en profitant des ombres, et en faisant attention de ne pas faire de bruit, pour se glisser dans le dos du groupe. C’est seulement à ce moment là, qu’il accéléra son rythme, pour courir et venir donner un bon coup de poing à l’homme « chevauchant » la victime.  Le coup à la tête prit l’homme par surprise, et lui fit suffisamment perdre l’équilibre pour venir percuter son camarade un peu plus loin.

La surprise fut de taille pour le trio qui en resta en partie bouche bée, alors que le seul qui aurait pu le voir venir n’avait pas eu le temps de prévenir ses camarades de toute façon.  Mach profita de la surprise pour sortir son arme et les menacer avec avant qu’ils ne décident d’agir. Son regard aussi, ne les quittait pas, et les regardait méchamment.

- Alors messieurs, comme cela on tente de profiter de la nuit et d’un parc quasiment désert pour abuser d’une jeune femme ?

Demanda t il, d’un ton qui ne les ménageaient pas. Bien sur, il ignorait leur raison initiale, mais les intentions de l’homme qui l’avait cogné étaient devenues légèrement évidentes. Mach se baissa alors aux côtés de la jeune femme, qui en plus d’être choquée, enfin surement, suite aux actes brusques de ses assaillants, serait peut être surprise par la façon dont l’ancien soldat venait d’intervenir. De sa main libre alors, ce dernier passa sous le bras de celle-ci, sans pour autant y mettre de forces.  En effet, son but n’était pas de la relever brusquement, mais plutôt de lui servir de soutien, alors que sa main armait tenait toujours en joug les agresseurs.

- Vous allez bien ?

Demanda t il alors d’une voix bien plus calme à l’attention de la jeune femme, sans pour autant qu’il lu ai porté un quelconque regard, ne voulant pas prendre le risqué de laisser une quelconque ouverture au trio d’hommes, d’agir et l’assaillir à leur tour.  Ainsi, s’il devait poser son regard sur elle, se serait une fois le problème résolu.
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Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 2 mardi 13 juillet 2010, 15:27:54

Lisbeth se rendit compte que son assaillant n’était plus sur elle. Un homme venait d’arriver. Le temps de reprendre ses esprits, elle ne comprit pas ses premières paroles. Puis elle sentit qu’on la soulevait doucement mais fermement.

*Vous allez bien ?

Le temps de reprendre son souffle puis la jeune femme lui répondit.

*Je vous remercie de votre intervention mais je crains fort que vous n’ayez mis les pieds dans une histoire qui ne vous concerne en rien.

Lisbeth se dégagea lentement et entreprit de remettre sa tenue en ordre, comme si ce qui se passait ne la concernait en rien. Elle constata que son agresseur avait abîmé son soutien-gorge. Furieuse, elle le fustigea du regard.

*Je suppose que tu es content ! Regarde donc ce que tu as fait… Je vais devoir en acheter un autre.

Lisbeth enleva alors sa chemise pour se débarrasser de son soutien-gorge qu’elle alla tranquillement jeter à la poubelle avant de se rhabiller.

*Je vous laisse entre vous messieurs. Je vous souhaite une agréable fin de soirée.

Lisbeth s’éloigna tranquillement non sans jeter un coup d’œil à l’homme qui lui était venu en aide. C’est la première fois qu’elle le regardait. Elle frissonna de peur en découvrant son aspect physique. Finalement, elle aurait peut être du suivre les employés de sa mère… Il y avait quelque chose d’effrayant chez lui. Pourtant, sa tenue était celle d’un soldat. Brusquement, elle fit demi-tour et revint vers le militaire.

*Si vous pouviez avoir la délicatesse de me débarrasser de ces hommes, vous me rendriez un très grand service.

Sans même attendre la réponse de son sauveur, Lisbeth s’éloigna à nouveau. Sa jupe volait à chacun de ses pas, révélant par moment le chiffre gravé sur ses fesses. Lisbeth ne pensait déjà plus à l’agression qui venait de se passer. Quelque chose venait d’attirer son regard : un plan d’eau en partie dissimulé par les arbres. Voilà qui lui ferait du bien. Elle se dirigea donc vers lui.

Une fois sur place, Lisbeth apprécia la douceur qui régnait sur les bords du lac. Elle fit glisser son kilt, puis son string après avoir enlevé ses bottes. Nue, elle avança dans l’eau qui, à sa surprise, était assez chaude. Une fois de l’eau jusqu’en haut de ses cuisses, Lisbeth s’immergea totalement avant de se redresser. Dieu qu’elle aimait la sensation de l’eau glissant sur son corps, s’infiltrant partout. Ses pensées revinrent au soldat qui l’avait aidée. Qui était-il et d’où venait-il ? Après tout, ce n’était pas son problème. Lisbeth s’avança dans l’eau jusqu’à ce que cette dernière effleure la pointe de ses seins. L’élément aquatique avait toujours eu un effet excitant sur elle. Mais elle était condamnée à rester vierge. Il n’était en fait jamais venu à l’esprit de la jeune femme qu’il lui suffisait de faire enlever les barres attachées à ses anneaux pour régler ce détail une bonne fois pour toute. Elle nagea quelques minutes avant de venir s’allonger sur la berge. La tête en direction des étoiles, Lisbeth avait perdu le contact avec ce qui l’entourait. Perdue dans ses rêves, elle n’entendit pas l’homme approcher.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 3 mardi 13 juillet 2010, 23:42:30

Intervenant dans un conflit qui ne le regardait pas, Mach y était impliqué à présent. Ainsi après avoir libérer la jeune femme en détresse de son agresseur direct, celui-ci aida la demoiselle à se relever, bien qu’il lui fallut tout de même quelques secondes pour reprendre ses esprits et se servir du soutien qu’on lui apportait.  Une fois debout, la jeune femme commenta justement le fait que Mavh venait de se mêler d’une histoire dont il ne savait rien. Bien sur elle n’avait pas oublié les remerciements, ce qui reçu un simple hochement de tête voulant dire « y a pas de quoi ». Puis, alors que l’ancien soldat tenait toujours les hommes à distances, la victime ne sembla plus que se soucier de sa tenue, et sans gêne en plus.

En effet, il y avait quatre hommes autour d’elle, et la jeune femme vérifiait l’état de ses vêtements, la plupart sale, mais certains abimés à cause de l’agression.  Elle ne se priva pas de se plaindre d’un ton méchant à l’attention de l’homme responsable des déchirures sur le soutien gorge  qu’elle alla jeter, alors que sa poitrine était visible aux yeux de tous. Ainsi, si Mach la trouvait à son gout, il se garda bien de montrer cela sur son visage, son regard n’ayant fait d’ailleurs que survoler le corps de la demoiselle avant de le reposer sur les trois individus.

Ceux-ci par contre n’en loupaient pas une miette, alors qu’elle se rhabillait, tout en s’éloignant, leur disant au passage au revoir de façon assez méprisante. Voilà que le soldat devait gérer les trois personnes avec toute latitude pour agir. Il se demandait bien ce qu’il allait pouvoir faire d’eux, puisqu’il ne prévoyait pas d’user réellement de son arme, trop bruyante en l’état, puisqu’il n’avait pas mit le silencieux. Il se dit qu’il leur mettrait sans doute une bonne rouste si ces derniers ne fuyaient pas. Le jeune homme se demandait pourquoi ceux-ci n’avaient pas déjà prit la fuite, vu leur situation. La victime, pas si innocente dans son comportement revint d’ailleurs vers lui, lui demandant de la débarrasser de ces individus. Et il ne répondit que d’un sourire, se demandant si elle voulait vraiment qu’il les élimine ou un petit passage à tabac serait suffisant.

- Bon messieurs, vous avez entendu tout comme moi ce qu’a demander la dame ? Mais, êtes vous suffisamment stupides pour que je mette ses demandes à exécution ou préfériez vous déguerpir très loin ?
- Et qu’est ce que cela vous rapporteriez de lui obéir ? Travaillez plutôt pour nous ? Notre patron vous payera grassement.

Répondit l’homme qui semblait être le leader du groupe, celui qui s’était trouver devant la jeune femme et avait réceptionné son camarade. Mach ne put s’empêcher de sourire à la  proposition de l’homme, mais un sourire amusé, alors que ses camarades approuvaient d’un mouvement de tête.

- Et pour qu’elle raison votre patron veut cette femme ?
- Tout simplement parce que s’est sa huitième femme !

Lâcha soudainement l’homme que Mach avait cogné en arrivant. En tout cas, cela le surprit, mais le fit aussi rire. L’idée d’avoir plusieurs femmes étaient en effet amusantes du point de vue d’un homme, mais cela  les femmes ne devaient surement pas partager ce point de vue. Et il commençait à comprendre pourquoi celle-ci ne voulait pas retourner à ses côtés. Il redevint rapidement sérieux, alors que les trois gugusses se demandaient ce qu’il avait. Tout simplement que leur patron devait avoir plus d’hommes de mains qu’il ne pouvait sans doute l’imaginer, et donc il devait bien se ficher de ce que deviendrait ces trois là.

- Et si je venait à camper sur mes positions, et refuser votre offre ?

Demanda t il d’un ton froid, et menaçant, connaissant déjà la réponse du trio. Ceux-ci montrèrent étrangement une once de courage, ou de folie peut être. En tout cas, ils prirent a question pour un refus, et l’un d’eux fit mine d’envoyer sa main chercher une arme dissimulée. Mais, avant que l’homme ne l’ai atteint, Mach tourna son arme dans sa direction et tira avec précision. En effet contrairement à ses brigands de bas étages, sa formation militaire lui avait apprit à tirer, et il était devenu un maître dans ce domaine. Si bien que la balle atteint son crane en plein front, et l’individu bascula en arrière, surprenant ses deux compagnons qui devinrent soudain plus hésitant. Mach espérait seulement que le coup de feu n’allait pas rameuter tout le quartier non plus.

- Alors messieurs, vous comptez toujours jouer les gros bras ?

Dit-il de façon provocante, puisque maintenant, il ne comptait pas laisser les deux hommes en vie, pour ne pas avoir de témoins. Bon, la femme pourrait l’être, mais il doutait fortement qu’avec son comportement, elle irait le dénoncer, alors qu’il lui rendait service. Les deux derniers agresseurs vivants comprirent sans doute ses intentions, et si l’un chercha effectivement à fuir, l’autre le chargea. Mach tira une balle qi atteint le dos du fuyard, le projetant au sol sur quelques mètres.  Mais, il était trop tard pour se servir de son arme pour l’autre, bien trop prêt à présent. Par contre son bras armé, servit à bloquer le coup de poing qu’il tenta de lui asséner, déviant le coup et déséquilibra l’homme. Temps que Mach usa pour sortir son couteau, et le planter dans la gorge de l’homme quand celui-ci passa à sa droite. Le laissant alors s’écrouler au sol, alors que le sang sortait en geyser de sa gorge, Mach se baissa, évitant ce dernier pour essuyer sa lame sur les vêtements du mourrant.

- Vous voyez ce qui arrive quand on ne veut pas écouter les sages conseils de quelqu’un ? Vous n’aurez pas de seconde chance en tout cas.

Dit le soldat en se relevant, et leur tournant le dos, s’éloignant d’un pas si léger qu’il était inaudible. Tout cela n’avait tout de même prit que quelques minutes depuis le départ de la femme, et le jeune homme s’enfonça de nouveau dans les zones obscures, les zones gazonnées donc, qui n’avaient pas d’éclairage, du parc. Il ne pensait pas chercher la jeune femme, mais la trouverait tout de même. En effet, les clapotements de l’eau d’un lac tout proche attirèrent son attention. Quand il arriva près de ce dernier, il vit la demoiselle nue sortir de l’eau, et s’allonger sur la berge, dos au sol, et tête levée vers les cieux.

- A croire que vous cherchez vraiment à vous faire agresser jeune femme ?

Dit Mach d’une voix calme, alors qu’il regardait la surface de l’eau. Il avait parlé alors qu’il s’était rapproché de la jeune femme, son arme rangée depuis longtemps. Il se doutait bien qu’il risquait de l’avoir surprise, mais, si sa remarque montrait qu’il avait sans doute vu son corps, à la distance où il était d’elle à présent, elle pourrait voir qu’il ne la regardait pas. Ainsi d’une certaine façon, elle pourrait voir que ses intentions actuelles n’étaient pas d’abuser d’elles, bien que la situation s’y prête, mais sans doute plus de discuter de ce qu’il venait de se passer.

- Votre mari a vraiment huit femmes ?

Demanda t il toujours aussi calmement. Bon, ce n’était pas forcément la meilleure approche du sujet, mais, y en avait il une de correcte quand on avait vu la réaction de la demoiselle face aux émissaires de son époux ? D’autant plus que Mach venait de faire une erreur dont il ne pouvait deviner, n’ayant pas eu les informations correcte.
Ma Fiche : Mach Bonin

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 4 mercredi 14 juillet 2010, 18:29:12

*A croire que vous cherchez vraiment à vous faire agresser jeune femme ?

Lisbeth ouvrit les yeux et aperçut le soldat. Celui-ci regardait en direction du lac. Quelle idée ! Ses paroles ne laissaient planer aucun doute quant au fait qu’il l’avait pourtant regardée. Lisbeth se releva et entra de nouveau dans l’eau. Elle lui tournait volontairement le dos, rendant ainsi visible sa marque.

*Votre mari a vraiment huit femmes ?

Mais quels idiots ! Il avait fallu qu’ils parlent ! Lisbeth s’immergea intégralement dans l’eau avant de relever et fit lentement face au soldat. Ayant de l’eau jusqu’à mi-cuisses, il devait apprécier ce qu’il voyait. Sa mère avait appris à Lisbeth tout ce qu’elle devait savoir sur le sexe sauf une chose : la pudeur. Etre nue devant un inconnu était naturel pour la jeune femme. L'eau ruisselait sur son corps et elle aimait ça.

*Vous faites erreur, je ne suis pas mariée. Ces hommes, ceux du parc, travaillent pour ma mère et mon futur époux. Je me suis enfuie voilà bientôt deux ans. Ma mère comptait sur l’alliance de nos deux familles pour s’enrichir encore plus.

Lisbeth sortit de l’eau et vint se mettre devant le soldat. Elle parlait d’une voix détachée, comme si cette histoire ne la concernait pas. Tout en discutant, elle s'amusait avec les gouttes d'eau qui perlaient de ses seins. Elle les faisait tourner autour de ses mamelons.

*Il m’a violée… Ensuite, il a exigé que mon hymen soit refait et il a fait poser quatre anneaux sur chacune de mes lèvres. Une fois cicatrisé, il a mis des barres qui se croisent en X pour que personne ne puisse m’avoir a part lui. Je n’ai jamais réussi à les enlever sans enlever les anneaux mais eux, je les trouve jolis.

La jeune femme frissonna.

*Pardon, je manque à tous mes devoirs. Je m’appelle Lisbeth.

Donner sa véritable identité agaçait la jeune femme au plus au point.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 5 dimanche 18 juillet 2010, 20:51:35

Mach avait finalement rejoint la jeune femme qu’il venait de sauver d’un trio d’hommes à la solde de son futur époux. Celle-ci était visiblement en train de prendre l’air, voir un bain de lune, dénudée, comme si le fait qu’une personne puisse la voir ne la dérangeait pas. L’ancien soldat, s’était tout de même fait entendre quand il s’approcha pour éviter de la surprendre. Mais, cela sembla être malgré tout le cas, puisque la demoiselle entra dans l’eau en lui tournant le dos. Il ne s’en formalisa cependant pas, alors qu’il reprenait la parole pour commenter le fait qu’elle était, enfin allait être la huitième femme d’un homme. Et il comprit donc ce que représentait le tatouage qu’elle avait sur une fesse, et qu’il put voir plus distinctement avant qu’elle ne s’immerge.

La question sembla tout de même dérangée la jeune femme, qui sortit brusquement de l’eau aussi vite qu’elle en était entrée. Et le pire, peut être, était qu’elle ne semblait montrer aucune pudeur face à un homme qui pouvait voir le corps dénudé, et très tentant, faut bien l’avouer, de cette dernière. Elle lui éclaira donc la lanterne, et rectifia donc l’erreur qu’avait commise Mach. Alors qu’elle expliquait la situation à ce dernier. Il se demanda d’ailleurs un peu pourquoi elle détaillait cela à un inconnu, puisque rectifier la méprise, et les informations qu’on avait données à l’ancien soldat aurait pu suffire.

- Autant pour moi désolé. Vous êtes donc une femme courageuse pour vous opposez aux volontés de votre mère !

Commenta t l, en s’excusant dans un premier temps pour l’erreur qu’il avait faite. Pourtant, il ne cessa de regarder la jeune femme, fixant son regard sur son visage, alors que celle-ci sortait de l’eau et venait se mettre devant lui. Bien sur, il ne chercha pas à comprendre le détachement, bien qu’il fût facile de le faire, qu’affichait la jeune femme, alors qu’il tenta d’ignorer les gestes de celle-ci, sur son propre corps. En effet, ceux-ci avaient de quoi attirer bien des convoitises et faire monter l’excitation de l’homme, et en auraient poussé beaucoup à se jeter sur la jeune femme pour la violer.

Celle-ci continua alors son histoire, avouant quelque chose qui en général est très difficile à faire, puisque il s’agissait d’un viol. Mais, elle arrivait à le faire calmement, et à un inconnu en plus, ce qui le surprit. Bien sur la suite le fut davantage si bien qu’il mit du temps à répondre, alors que Lisbeth se présentait.

- Comment peut on traiter une femme de la sorte?

Laissa entendre, à la fois surprit, et un peu choqué. Bon certes, il pouvait comprendre qu’un homme veuille avoir huit femmes, mais les maltraiter de la sorte, s’était plus de la torture là, mais de l’inhumanité. Puis, il la vit frissonner, sans doute parce qu’elle était justement nue, et en extérieur.

- Je m’appelle Macharius Bonin, mais appelez moi Mach, se sera plus simple.

Répondit le jeune soldat de façon plus calme, bien que toujours un peu troubler par l’annonce de la jeune femme.  Mais, il se disait, qu’elle avait froid, et cela le fit penser un peu à autre chose. Il leva ses mains de façon à pouvoir détacher sa cape, qu’il empêcha de tomber en la prenant dans celles-ci. Il montra alors au grand jour son uniforme de soldat, et son arsenal, sans que cela ne le dérange, puisque Lisbeth, en avait déjà vu une. Il se rapprocha alors de la jeune femme, écartant les bras, pour détendre le bout de tissu.

- Vous permettez ? Je vous ai vu frissonné, et dans cette tenue, et ce temps froid, vous risquez d’attrapez fois sans protection.

 Dit-il calmement, n passant aux côtés de la jeune femme, attendant son accord pour lui mettre la cape sur les épaules pour la protéger du froid, même si cela ne serait peut être pas parfait.

- Sinon pour votre problème, au sujet de ses barres, vous avez déjà songé à demander de l’aider ?

Demanda t il à Lisbeth, en repassant devant elle. Peut être le pourrait il si cela n’avait pas été le cas ? Alors que si cela l’avait été, il pourrait essayer, mais, il faudrait tout de même qu’il en apprenne plus. Mais pour se faire, il faudrait que la jeune femme accepte celle qu’il pourrait lui apporter.
Ma Fiche : Mach Bonin

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 6 lundi 19 juillet 2010, 15:43:16

Le soldat parlait doucement. Lisbeth aimait le son de sa voix. Elle accepta volontiers la cape qu’il lui offrit, découvrant par la même occasion le nombre impressionnant d’armes que l’homme portait sur lui. Etrangement, elle n’avait pas peur. Mach, c’était son nom. Enfin pas tout à fait mais il semblait aimer le fait de se faire appeler par un diminutif comme elle. Il semblait écœuré par ce que Lisbeth venait de lui apprendre la concernant mais elle ne comprenait pas vraiment pourquoi.

*Sinon pour votre problème, au sujet de ses barres, vous avez déjà songé à demander de l’aider ?

Lisbeth releva doucement la tête pour enfin regarder le soldat dans les yeux. Bien sur qu’elle avait déjà songé à enlever ces maudites barres mais elle tenait à conserver les anneaux. Elle vint se placer à côté de Mach avant de s’asseoir à terre. Elle s’appuya contre sa jambe.

*Il y a quelque temps, j’ai essayé de les enlever… La seule chose que je sais, c’est qu’elles ont été posées après les anneaux et qu’il doit être possible de les enlever sans ôter les anneaux… Et je tiens à les garder, je les aime bien les anneaux. Si ma mémoire est bonne, il avait parlé d’un mécanisme à l’époque permettant de mettre les barres à sa guise…

Lisbeth faisait un effort de mémoire pour se rappeler ce jour maudit. Machinalement, elle s’était mise à jouer avec les barres. Qu’avec donc dit cet homme à sa mère ?

*Je me rappelle… Il disait qu’il suffisait juste de modifier l’axe de rotation de la barre pour l’enlever mais j’ai essayé dans tous les sens et ça ne marche pas.

Les yeux de la jeune femme se perdirent dans le vague. Elle revivait cette journée funeste. Malgré ses cris et ses supplications, son futur mari avait installé les barres en lui expliquant que dorénavant, Lisbeth serait sa chose. Et pour qu’elle ne l’oublie pas, il l’avait marqué comme une bête. L’humiliation de la jeune femme avait réveillé en elle une envie de se rebeller et c’est pour cela qu’elle avait pris la fuite.

*Mais pour répondre à votre question, je n’ai jamais demandé d’aide pour les enlever. Je n’y avais même pas songé en fait.

Lisbeth se releva et vint se coller contre Mach. Elle passa ses mains sur les armes qu’il portait.
 
*Je n’ai jamais vu un soldat aussi bien équipé que vous… C’est difficile de savoir tirer ?

La jeune femme était fascinée par les armes. Ses mains passaient de l’une à l’autre sans répit, caressant au passage le torse de Mach. La cape la gênant dans ses mouvements, elle l’enleva et la laissa glisser au sol. Un sourire éclairait son visage. Relevant la tête, elle fixa le soldat intensément. Etre nue dans les bras d’un homme qu’elle ne connaissait pas lui paraissait des plus naturels.

*Et vous, vous pourriez les enlever ces barres ?

Tout en demandant, elle avait pris la main droite de Mach pour la poser sur les barres en question, trouvant cela parfaitement normal. Après tout, si il lui avait posé la question, c’était certainement parce qu’il pouvait l’aider.

*Ce sera sans doute plus facile si je m’allonge…

Joignant le geste à la parole, Lisbeth s’allongea sur le sol en ouvrant les jambes, offrant une vue parfaite sur son sexe cadenassé. Elle souriait à Mach, espérant que lui pourrait enfin l’aider.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 7 jeudi 22 juillet 2010, 17:47:55

Lisbeth avait accepté l’aide et la cape de Mach, alors que celui-ci se montrait toujours une peu surprit de l’annonce qu’elle avait faite, sur ce qu’on lui avait fait endurer. Mais peut être que le plus surprenant était le naturel qu’avait la jeune femme pour parler de ces choses là. Elle ne sembla même pas surprise de voir l’arsenal que portait l’ancien soldat, généralement dissimulé sous sa cape, bien qu’elle ait déjà vu son arme à feu qu’il avait tiré pour menacer ses trois assaillants un peu plus tôt. Puis, pour aider le jeune homme sur la future tâche qui l’attendait, elle commença à expliquer le fonctionnement de ses barres, et la façon dont elles pouvaient être retirées sans toucher aux anneaux.

En effet, Lisbeth semblait vouloir conserver ceux-ci, sans penser que cela pourrait être un mauvais souvenir. Mais, cela s’était son choix après tout, bien qu’en les laissant, et si son futur mari lui remettait la main dessus, cela risquait de voir le schéma se reproduire avec de nouvelles barres. En tout cas, il ne la vit pas venir jouer avec, puisqu’elle avait la cape du soldat sur les épaules la recouvrant à présent,  comme si celles-ci pouvaient servir de pense bête, ce qui sembla marcher, puisqu’il apprit que celle-ci pouvaient tourner jusqu’à ce que le mécanisme s’ouvre et lui permette de la retirer sans toucher au dit anneaux les maintenant.

- Etrange, cela semble être un mécanisme assez facile. Bien qu’il doit falloir admettre que tenter de les retirer seule ne doit pas l’être tout de même.

Répondit-il calmement, se disant que cela ne devrait pas lui prendre trop de temps non pus, s’il suffisait de les faire gigoter pour que les barres sortent simultanément des deux anneaux posés sur chaque lèvre vaginale. Lisbeth avait eu un bref moment de passage à vide, son regard semblant perdu avant qu’elle ne revienne sur le fit qu’elle n’avait jamais pensé à demander de l’aide.  Juste avant de venir se coller au corps de Mach, caressant ses armes, commentant celles-ci. Il ne put s’empêcher de rougir légèrement des joues, alors qu’il baissait le regard vers elle, alors qu’elle venait de laisser tomber la cape au sol, se retrouvant à présent nue contre le corps d’un homme qu’elle venait tout juste de rencontrer.

- Il faut bien, surtout quand on est un mercenaire…Et je dirai que tirer n’est pas difficile, mais réussir à toucher sa cible, et qui plus est, là où on le souhaite, l’est davantage.

Mach parlait d’un ton calme, sans  montrer s’il pouvait se montrer gêner de la situation, ou même l’excitation qu’elle pouvait procurer. Celle-ci était d’ailleurs naturelle avec une telle femme, et son corps magnifique. D’ailleurs, il ne fit aucun doute qu’elle tenta de l’amadouer, ne serait ce qu’involontairement qui sait, pour qu’il l’aide à retirer ce qui l’entraver depuis déjà un moment. D’ailleurs, il ne lui fallut pas longtemps pour lui demander s’il allait l’aider.

- Bien sur, s’était le but de ma question précédente d’ailleurs.

Dit-il alors que leurs regards se croisaient. Mais Mach n’allait pas tarder à se montrer plus surprit que gêner véritablement, quand l’une des mains de Lisbeth, vint agripper l’une des siennes pour l’amener sur son entrejambe, et en particulier les barres. Mais, il ne ft que les frôler pour le moment, puisqu’elle reprit la parole, pour dire que cela serait peut être plus pratique en position allongée. Elle ne laissa alors même pas le temps à son bienfaiteur de sortir une remarque, comme quoi, ils pourraient peut être d’aller dans un endroit plus intimes, ou du moins à l’abri des regards. Non, elle se coucha et écarta les jambes, comme si elle s’offrait à Mach.

- En tout cas, je comprends un peu les raisons de cette torture qu’il vous a infligée, même si je ne l’approuve. En effet, vous êtes une très belle femme. Beaucoup d’hommes aimeraient avoir vos faveurs je suppose !

Celui-ci s’agenouilla alors, après ce compliment envers Lisbeth et son corps,  entre les cuisses de Lisbeth. Bien sur son regard se porta vite sur le sexe de celle-ci, et il n’avait guère le choix s’il devait l’aider. Au final, ce n’était donc pas une gêne qu’il fallait refreiner, mais son excitation, et il pouvait sentir son membre gonfler sous dans son pantalon. Levant alors un dernier regard vers Lisbeth, pour s’assurer qu’elle était prête, Mach a vit souriante. Il prit cela pour un accord, et vint placer ses mains sur la première des barres, qu’il commença à faire tourner. Il la fit tourner lentement dans un sens, puis dans l’autre, jusqu’à ce qu’il finisse par trouver les ouvertures de la barre permettant de la retirer, et le fit.

- Et d’une ! Ce n’est pas bien compliquer en effet pour une tierce personne ayant de la patience.

Dit-il calmement, en levant celle-ci, souriant, tout en regardant Lisbeth un instant, le temps de voir sa réaction, avant de se remettre à la tache et ôter les autres. Puis, il se remit au travail, son regard portant, autant sur les barres que sur le sexe de la jeune femme, puisqu’il n’avait aucun moyen d’éviter cela. D’ailleurs, ses doigts frôlaient aussi de temps en temps, els lèvres vaginales, ou légèrement l’intimité visible de Lisbeth, au rythme de ses mouvements. Le contact était agréable, et s’il ne le montrait pas sur son visage, le bas de son corps, lui s’était une autre affaire. Heureusement que dans leur position actuelle, et le fait qu’il soit encore habillé, permettait de le dissimuler.

- Voilà, enfin libre mademoiselle !

Mach dit cela avec un peu d’humour, le sourire aux lèvres, alors qu’il se redressait les barres dans une main. Maintenant Lisbeth pourrait faire ce qu’elle souhaitait, puisqu’il ne toucherait pas aux anneaux, comme elle le lui avait demandé. Et bien que l’idée de jeter les bouts de métal dans la rivière pour s’en débarrasser une bonne fois pour toute lui passa par l’esprit, il ne le fit pas, se disant que cela serait une pollution inutile.
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Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 8 lundi 02 août 2010, 12:48:51

Lisbeth regarda Mach s’agenouiller entre ses jambes. Elle lui sourit. Elle ne bougea même pas en sentant les doigts du soldat sur la première des barres. Il joua quelques instants avec avant de parvenir à la retirer.

*Et d’une ! Ce n’est pas bien compliquer en effet pour une tierce personne ayant de la patience.

La jeune femme se sentit soulagée de voir que finalement, quelqu’un allait enfin la débarrasser de ces maudites entraves. Elle sentait les doigts de Mach frôler son sexe par moment. Il était d’une incroyable douceur, qui contrastait avec la violence dont il avait fait preuve face aux hommes envoyés par sa mère et son futur mari. Ces caresses, mêmes furtives, procuraient une sensation agréable à Lisbeth. Détendue, elle se laissait faire.

*Voilà, enfin libre mademoiselle !

Mach se releva, les barres dans la main. Il avait respecté sa demande concernant les anneaux. Ravie, la jeune femme passa les doigts sur son sexe enfin libre. Elle s’attarda quelques instants, jouant avec les anneaux. Puis elle se releva et vint se mettre devant Mach.

*Merci beaucoup, jamais je n’aurais cru en être débarrassée un jour !

Sans donner le temps au soldat de réagir, Lisbeth se hissa sur la pointe des pieds et vint l’embrasser sur la bouche le plus naturellement du monde.

*Vous n’imaginez pas ce que cela représente pour moi Mach. Je suis enfin libre de faire ce que bon me semble de mon corps. Libre de l’offrir à qui je veux sans avoir à expliquer le pourquoi de la présence de ces choses. Et surtout… je vais enfin pouvoir mettre en pratique la théorie que ma mère m’a enseignée.

Tout en parlant, Lisbeth fixait Mach avec un sourire mutin. A quoi donc pouvait bien penser le soldat ? Elle s’éloigna un peu et entreprit de se rhabiller. Puis elle resta immobile et silencieuse quelques instants.

*Je sais qu’il est tard mais j’apprécie votre compagnie… Accepteriez-vous de passer la soirée avec moi ? Nous pourrions aller boire un verre… Je connais un bar très sympa. Je tiens à vous remercier pour votre gentillesse.

Lisbeth allait parfois passer ses soirées dans un bar qu’elle avait découvert pas hasard. Pas d’enseigne dans la rue, il s’agissait en fait d’un lieu de rencontre pour les couples illégitimes. La jeune femme avait été séduite par les lieux. Pas de grande salle mais une multitude d’alcôves sur deux niveaux que l’on pouvait fermer à sa guise pour plus d’intimité, le tout dans une ambiance des plus feutrées. Lisbeth avait sympathisé avec l’une des serveuses. C’est la raison pour laquelle elle se rendait dans ce lieu régulièrement. La population le fréquentant étant hétéroclite, Lisbeth savait que Mach passerait inaperçu, même avec ses armes. Et puis, elle avait envie de passer encore un peu de temps avec son sauveur.

*Je vous invite bien entendu… C’est le moins que je puisse faire pour votre aide.

Tout en parlant, Lisbeth ne quittait pas Mach du regard. Elle tentait de l’amadouer en lui faisant des yeux de biche.

*Et puis, j’ai peur de rentrer toute seule chez moi…

Dit-elle d’une toute petite voix en venant se coller à Mach.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 9 samedi 14 août 2010, 16:43:38

Mach avait donc réussi à retirer les barres qui entravaient le sexe de Lisbeth. Et il dut se retenir, malgré l’excitation montant en lui.  En effet, comment ne pas se sentir attirer par une si belle femme, surtout quand en plus, elle vous montre son jardin secret. Pourtant, bien qu’il put frôler cette zone dans son labeur, et les quelques frissons qu’il put ressentir en provenance de la demoiselle, l’ancien soldat ne se montra aucunement déplacer dans ses gestes ou ses propos. Et cela même quand il vit la jeune femme venir vérifier le travail, et caresser elle-même ses propres lèvres intimes.

Se relevant, Mach ne tarda pas à voir Lisbeth se redresser pour venir placer son visage encore plus proche de celui du jeune homme. Elle le remercia alors, avant de se rapprocher de son visage, venant l’embrasser. L’homme ne put cacher sa surprise, même s’il se laissa faire, trouvant les douces lèvres de la demoiselle agréable, même s’il fut assez court ce baiser finalement. Il n’avait pas eu le temps de répondre, et ne l’aurait toujours pas quand elle eut mit court au baiser, elle reprit la parole, pour énoncer ses projets, qui semblaient bien pervers visiblement, qui ne firent pas redescendre l’étonnement du jeune homme.

- Et bien, s’est tout un programme que vous envisagez là. Et avec un tel corps, je doute que beaucoup d’hommes ne vous résistent !

Dit-il avec un léger sourire, et un visage gai, ne sachant pas s’il était vraiment sérieux où s’il faisait un peu d’humour. Et cela même si ce qu’il venait de dire n’allait sans doute être que la vérité, vu la beauté de Lisbeth, puisque lui-même n’était finalement pas si insensible à la demoiselle. La jeune femme alla alors se rhabiller avant de regarder de nouveau en direction de son bienfaiteur, lui disant qu’elle appréciait sa compagnie, et lui proposa donc de passer la soirée en sa compagnie, l’invitant donc à boire un verre.

- Votre compagnie aussi m’est agréable, s’est donc avec plaisir que j’accepte votre proposition ! Et puis, cela dissuadera peut être d’autres hommes de vous approcher avec de mauvaises intentions !

Il se montrait souriant sur la fin, voulant faire sourire Lsbeth avec un peu d’humour, pouvant laisser ainsi croire qu’elle lui appartenait pour la soirée, alors que s’était loin d’être le cas. Mach avait d’ailleurs laissé de côté l’idée de dire qu’elle n’avait pas besoin de le remercier, pour ne pas qu’elle se sente obligée de quoi que se soit envers lui. Il se rapprocha alors d’elle, prêt à se laisser guider, vers ce lieu que la jeune femme appréciât et voulait montrer à l’ancien soldat, alors qu’elle tentait de l’amadouer avec son regard. Comment voulez vous pouvoir résister à une telle invitation.

- Je serai donc votre garde du corps personnel pour cette soirée, ou pour le temps que vous le souhaiterait très chère !

Lui répondit-il quand elle prit la parole pour exprimer ses peurs d’une voix douce et inquiète, alors qu’elle venait se coller à lui, permettant à Mach d’apprécier une nouvelle fois, certaines parties du corps de la demoiselle. Et quand il se décala finalement, ce ne fut que légèrement pour présenter son bras à sa compagne pour la soirée.

- Guidez moi donc jusqu’à votre endroit que vous appréciez, je suis votre obligé à présent !

Sur ses propos, Mach souriait, et tentait aussi de la rassurer, montrant qu’il ne comptait pas l’abandonner si elle ne lui demandait pas de partir, et qu’il ne comptait pas non plus faire quelque chose qu’elle n’aurait pas voulu.
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Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 10 dimanche 15 août 2010, 14:02:38

En entendant Mach accepter son invitation, Lisbeth fut ravie. Sans perdre de temps, elle se saisit du bras offert par le soldat et l’entraîna à sa suite vers la sortie du parc. La jeune femme en profita pour se coller à lui tout en marchant.

*Vous allez adorer ce bar Mach ! Mais avant, nous devons faire un détour par chez moi. Je ne peux absolument pas sortir dans cette tenue.

Sans donner le temps à Mach de répondre, elle s’engouffra dans un immeuble et monta au troisième étage. Elle ouvrit la porte de son appartement et entra, filant droit à sa chambre pour se changer. Le soldat présent, Lisbeth ne prit même pas la peine de refermer. Elle fouilla quelques instants dans son armoire pour trouver une tenue à mettre. Une fois celle-ci trouvée, elle ôté les vêtements qu’elle portait et se retrouva uniquement avec ses bottes. Le temps de passer une robe bustier s’arrêtant juste en dessous de ses fesses .et elle fit face à Mach en souriant. La particularité de sa robe était que de chaque côté de ses hanches, le tissu était remplacé par de la résille. Il était donc très facile de savoir que la jeune femme ne portait rien en dessous. Attrapant un blouson noir très court, elle entraîna Mach à sa suite.

*Allons-y, je vous ai promis un verre et nous allons le boire maintenant.

Ils se retrouvèrent dans la rue et la jeune femme prit la direction du bar. Les hommes qu’ils croisaient ne pouvaient s’empêcher de détailler la demoiselle mais la présence de son garde du corps les rendait particulièrement prudent. Lisbeth se demandait à quoi Mach pouvait bien penser. Finalement, la soirée s’annonçait agréable et elle avait bien l’intention d’en profiter. Après plusieurs minutes de marche, elle s’arrêta devant un hôtel particulier.

*Nous sommes arrivés. Vous allez adorer !

Lisbeth composa rapidement le code et pénétra à l’intérieur, suivie comme son ombre de Mach. Ils traversèrent une cour intérieure avant de se retrouver face à une lourde porte en bois. Lisbeth frappa et un colosse vint leur ouvrir.

*Bonsoir Jim, je te présente un ami.

*Bonsoir Miss, bonne soirée.

Il s’effaça pour les laisser entrer. A l’intérieur, une pièce immense s’offrit à eux. Une vingtaine d’alcôves, fermées ou non, étaient disposées un peu partout autour du bar. Dans certaines, des couples s’enlaçaient sans aucune retenue.

*Lisbeth ! Quelle joie de te revoir !

Une serveuse, à peine habillée, sauta sur la jeune femme et l’embrassa fougueusement avant de porter son attention sur Mach.

*Mais dis-moi, qui est donc ce beau garçon ?

*Un ami. On peut s’installer où ?

*Va à l’étage, vous y serez plus tranquilles.

La serveuse s’éloigna pendant que Lisbeth prenait la direction des escaliers. Montant devant Mach, il avait une vue parfaite sous sa robe. La jeune femme se dirigea vers l’une des alcôves et en ouvrit les portes. A l’intérieur, un canapé et deux fauteuils autour d’une table basse, le tout dans les tons pourpre. Lisbeth se laissa tomber sur le canapé. Ce dernier était très confortable. Elle regardait Mach en souriant. Elle s’installa tranquillement puis croisa les jambes.

*Nous y voilà. Venez donc vous asseoir, elle passera prendre notre commande plus tard.

Tout en discutant, Lisbeth avait appuyé sur un bouton situé sur le dessus de la table et les portes se refermèrent, les isolant entièrement. D’une main, elle invita Mach à la rejoindre sur le canapé.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 11 dimanche 29 août 2010, 18:48:45

Lisbeth sourit, ce qui illumina son visage et le rendit encore plus jolie, alors qu’elle venait se saisir du bras de son « garde du corps » à présent, en plus de son bienfaiteur, puisqu’il avait acceptait l’invitation de cette dernière. Leurs pas se firent alors cadencés et synchronisés, alors qu’il appréciait le contact avec le corps de la jeune femme venue se coller un peu plus à lui, et lui disant qu’il allait apprécier le bar où elle l’emmenait, mais qu’il faudrait faire un détour par chez elle pour qu’elle puisse se changer.

- Je n’en doute pas, bien que votre compagnie me suffise pour l’apprécier. Très bien, je vous laisse donc me guider.

Dit-il calmement, bien qu’un peu charmeur sur les bords sur sa première réplique. Mais, elle jouait aussi un peu sur ce fait de son côté, et le faire de temps en temps ne serait pas un mal pour lui, qui pourrait paraître froid et distant autrement.  Il ne fallut guère de temps pour atteindre l’immeuble où vivait la demoiselle et monter dans son appartement, avant qu’elle ne le lâche une fois dans le hall, pour se diriger vers sa chambre et se changer. Pendant le temps où il fit seul, Mach avança pour se retrouver dans le salon, et contempler la décoration, qu’il trouva jolie. Mais, sa vue revint vite, quand il vit la jeune femme sortir dans une robe des plus suggestive et excitante, donc on devinait aisément qu’elle n’avait pas de sous vêtements.

- Pfiouu, vous êtes magnifique….Je suis sur que vous allez attirer tous les regards !

Dit-il après un sifflement pour montrer qu’elle lui faisait un sacré effet dans cette tenue, alors qu’elle allait chercher un blouson noir pour dissimuler justement ses flans, et donc les indices sur ce qu’elle portait en dessous, laissant donc l’ancien soldat seul à connaître ce petit secret. Puis, il se fit de nouveau prendre le bar, et quitta l’appartement sous les propos de Lisbeth, comme si elle le lui rappelait leur promesse d’aller se distraire un peu ensemble devant un verre.

Dans la rue, alors qu’ils marchaient, comme on pourrait penser qu’un couple le fait, Mach ne manqua pas de voir les divers regards des hommes sur sa compagne. Ceux-ci finissaient souvent par le détourner, lorsqu’ils croisaient celui de Mach. Pourtant, ce dernier ne leur lançait rien de méchant comme regards, et ceux-ci se faisaient donc des films eux-mêmes sur la jalousie de l’homme au côté de Lisbeth. Bien qu’il s’amusait un peu, et était content d’être aux côtés d’une si belle femme. Cela rendit la marche assez courte, et le « couple » finit par s’arrêter devant le bar.

- Je n’en doute pas.

Dit-il alors qu’il vit sa compagne taper un code, signifiant qu’elle devrait être une habituée des lieux, avant qu’ils n’entrent. D’ailleurs le lieu devait avoir une sorte de double sécurité, puisqu’il fallut traverser une cour pour arriver devant une porte où ils durent se faire voir par un homme. Mach sourit, en pensant que cela pouvait se comparer à un lieu pas très légale, où un gardien s’assurait que seuls des personnes dans la confidence pouvaient entrer.

Une fois à l’intérieur, Mach n’eut guère de doute sur ce que pourrait devenir la soirée, et le fait que sa compagne était une habituée. En effet, la pièce était pleine d’alcôve, pouvant visiblement se transformer en lieu privé, et sans doute insonorisé pensa t il, comme de nombreux couples, déjà en train de flirtaient le laissaient penser. Pour l’autre hypothèse, se fut une des serveuses des lieux qui la confirma, à sa façon de s’adresser à Lisbeth. D’ailleurs, vu le baiser qu’elle lui donna, nulle doute qu’elles avaient du aller bien plus loin dans le passé. Mach se contenta de la saluer, lorsque celle-ci le regarda, avant de les orienter vers une salle au premier étage.

- Et bien, je vois que vous avez souvent du venir vous amusez ici !

Dit-il légèrement amusé, alors qu’il suivait la demoiselle, ne lâchant pas des yeux celle-ci, par la vue sur ses fesses qu’elle lui donnait en montant les escaliers.  Il aurait été plus pervers, il aurait surement mit plus de marches entre eux pour voir l’intimité de celle-ci, vu que, rappelons le Lisbeth n’avait pas de sous vêtements. Mais, ce dernier aurait une brève vue dessus, lorsqu’une fois leur alcôve ouverte, Lisbeth s’assit sur le canapé, permettant une brève vue sur cette intimité avant qu’elle ne croise les jambes et l’invite à venir s’assoir. Mach sourit alors, et ne fut pas surprit de voir les portes se refermer derrière lui.

- Et que faisons nous, ou de quoi voudriez vous éventuellement parlé en attendant que votre amie vienne prendre nos commandes ?

Il s’était assit dans le même temps juste à ses côtés, presque à en toucher le corps de la jeune femme. Son regard était tourné vers elle, et pour plus d’aisance, un bras était venu se placer sur le dossier du canapé, passant derrière la jeune femme. Bon, les idées sur ce qui allait se passer ne manquaient pas, mais, le soldat ne comptait nullement forcer sa partenaire à faire quelque chose contre son gré. Même si vu l’endroit où elle l’avait emmené, elle attendait sans doute ce moment aussi.
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Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 12 vendredi 10 septembre 2010, 14:19:48

Lisbeth écoutait Mach en lui souriant. Elle vint se coller contre lui. Cet homme était décidément différent des autres. Lui demander ce qu’ils allaient faire ! Comme si le lieu où ils se trouvaient n’était pas assez explicite…

*Elle ne viendra que lorsque nous le demanderons… Vous voyez le bouton derrière nous ? Il suffit d’appuyer dessus pour qu’elle vienne. Et non, je ne venais pas ici pour m’amuser mais seulement pour vois Lucia, la serveuse que vous avez vue. En fait, c’est la patronne de ce bar et nous nous sommes rencontrées dans une boutique. Depuis, je viens parfois ici me détendre. Je sais que personne ne viendra me déranger.

Tout en parlant, Lisbeth avait posé sa main gauche sur la cuisse de Mach et la remontait doucement vers son entrejambe. Lisbeth gardait le regard baissé, ne sachant pas comment Mach allait réagir. La main de la jeune femme vint se poser sur le membre de son compagnon qu’elle commença à caresser doucement à travers le tissus.

*C’est vrai qu’il nous est arrivé de passer d’agréables moments ensemble mais vous vous doutez bien qu’avec mes barres, nous ne pouvions pas faire tout ce dont nous avions envie.

Parlant d’une voix douce, Lisbeth sentait le sexe de Mach durcir sous sa main. Au moins, ce dernier ne semblait pas indifférent. La jeune femme se laissa glisser au sol, s’installant à genoux entre les jambes de son compagnon. Elle n’osait toujours pas le regarder de peur qu’il ne lui demande de s’arrêter. Lisbeth libéra le membre de Mach avant de se mettre à le lécher sur toute la longueur. Du bout de la langue, elle agaça quelque peu le frein avant d’engloutir le sexe et de commencer de lents mouvements de va et vient. La jeune femme prenait son temps, savourant une liberté bien méritée et voulant faire plaisir à Mach. Pas un centimètre de la hampe dressée n’échappait à sa langue. Relâchant le sexe, Lisbeth s’intéressa aux testicules de son compagnon avec une certaine ardeur tout en continuant à le branler avec sa main droite. Cessant ce qu’elle faisait, Lisbeth se redressa lentement et plongea son regard dans celui de Mach. Ce dernier souriait. A genoux, les cuisses ouvertes, Lisbeth n’avait pas conscience de dévoiler son intimité aux yeux de son amant. Elle lui sourit doucement.

*Je suis votre, Mach. Je vous appartiens et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.

La jeune femme tremblait légèrement, pas de peur mais de désir pour l’homme qui l’avait libérée de ses entraves. Mach était aussi le premier homme qu’elle rencontrait qui n’essayait pas de coucher avec elle dans les deux minutes qui suivaient leur rencontre. Lisbeth avait l’habitude d’obtenir tout ce qu’elle voulait mais face au soldat, elle avait l’air d’une petite fille prise en faute. Son corps entier réclamait Mach.

*J’aimerais que vous soyez le premier…

A la fois honteuse et soulagée de l’avoir dit, Lisbeth se pencha de nouveau en avant pour avaler entièrement la verge tendue face à elle. Fidèle à ce que sa mère lui avait appris, la jeune femme prenait son temps, variant la pression exercée sur le sexe de Mach et la vitesse de ses mouvements. Sa main droite chercha celle de Mach et la posa sur sa tête. Lisbeth voulait que Mach la dirige, lui ordonne quoi faire.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 13 samedi 18 septembre 2010, 17:48:59

Mach avait donc décidé de tenir compagnie à Lisbeth ce soir, et les voilà dans un bar, qui était loin d’être comme les autres. Bien entendu, le jeune homme avait bien comprit ce qu’il se passait dans les alcôves, et les allusions de sa compagne étaient loin de le dissimuler. Mais, cela ne le fit pas changer d’expression, tout comme il ne donna aucun signe extérieur qui permettrait à sa partenaire de voir qu’il comptait profiter du moment pour s’amuser avec elle, comme si l’idée ne lui traversait pas l’esprit, alors qu’il continuait la conversation, assit aux côtés de la sublime femme, dont beaucoup envierait sa place actuelle à ses côtés.

Et bien entendu, ses pensées étaient tout autres, puisque l’idée avait bien germée en lui. Mais, contrairement à certains, il ne foncerait pas, n ne forcerait pas, sur Lisbeth pour avoir sa dose de plaisir. Et cela bien que l’une de ses questions sembla amuser la jeune femme, vu le sourire qu’elle lui lança en lui répondant. Dans ce domaine, elle serait d’ailleurs la première à faire le premier geste, qui ne fut autre qu’une main posée sur la cuisse de son compagnon, et se mit à le caresser.  Celle-ci ne tarda pas à monter sur l’entrejambe de Mach, qui ne put refreiner un frisson, non de peur, mais plutôt de plaisir, alors que sa compagne craignit visiblement sa réaction. Mais, d’une main, il alla doucement soulever le menton de celle-ci pour relever son joli visage, et qu’elle croise son regard, alors qu’elle prenait la parole à nouveau.

- En effet, mais je suppose que celles-ci étaient moins gênant avec une compagne féminine.

Dit-il calmement, alors que sa main glissa sur la joue de Lisbeth, son pouce caressant celle-ci. Sa future amante avait d’ailleurs elle aussi commencer ses propres caresses sur le membre du jeune homme, qui ne pouvait donc s’empêcher de durcir sous l’excitation et le plaisir qu’on lui fournissait. Mach ne cherchait d’ailleurs même pas à résister. Mais, avant qu’il ne puisse réellement entreprendre quelque chose il vit la jeune femme se glisser entre ses jambes, prenant une position à genoux, alors que sa main sur le sexe de Mach vint libérer ce dernier de son carcan de tissu de manière très lente, comme pour profiter de chaque instant, et faire durer le plaisir qu’il allait recevoir, et aussi bientôt partager, le plus longtemps possible.

Mais, quand elle commence à s’occuper de son sexe directement, Mach ne put s’empêcher de laisser entendre un faible gémissement suite au premier coup de langue de son amante. Mais, ce fut loin d’être le dernier, et après un bref mouvement de tête en arrière pour montrer avec peut être un peu d’excès dans le geste, le bien que lui procurait Lisbeth, celle-ci prit grand soin du membre du soldat, n’oubliant aucune partie de ce dernier, que se soit avec les léchouilles, les succions lorsqu’elle englobait le sexe dans sa bouche chaude et humide, ou même avec sa main, lorsque sa bouche venait s’occuper de ses bourses. Son regard se posa sur elle, et quand ses mouvements éloignaient son visage de son corps à lui, Mach pouvait voir brièvement l’intimité de la demoiselle, malgré la tenue, qui était remontée toute seule pour permettre cette position de Lisbeth.

-…hmm….En tout cas, je vois que je ne dois pas être le premier à qui tu offres une fellation….hmm…s’est très bon ce que tu me fais….

Dit-il le souffle court, puisque la jeune femme lui faisait beaucoup de bien, si bien qu’il n’aurait plus l’occasion, ou l’envie d’arrêter cela maintenant. D’ailleurs, ce n’était pas ce que Lisbeth souhaitait, puisqu’elle finit par donner une petite pause au jeune homme, puisque seule la main de la demoiselle s’occupa de son pénis, alors qu’elle prenait la parole tout en regardant Mach. Il se montra tout de même surprit lorsqu’elle se considéra comme l’esclave de son maître, avant d’y demander d’être le premier et recommencer sa fellation. Celle-ci fut différente, surtout qu’elle vint quérir une de ses mains pour la poser à l’arrière de sa tête, comme si elle voulait qu’il lui impose un rythme, et celui-ci fut assez lent pour le moment, et était en fait presque celui que la jeune femme faisait elle-même.

- Mienne ? Je dirai que s’est plutôt l’inverse actuellement, s’est moi qui suit tout à toi !

Dit-il avec un peu d’humour, clairement perceptible dans la voix. Mais, il était vrai qu’il ne pouvait pas faire grand-chose dans sa position, et se contenta d’amener la seconde main dans la chevelure de Lisbeth, qu’il caressa en même temps qu’il fit accélérer un peu plus, et en allant un peu plus profondément dans la bouche de son amante à chaque va et viens. Mais, ses gestes et regards montraient clairement qu’il faisait attention de ne pas faire quelque chose qui pourrait faire mal, ou étouffer sa compagne, retranscrit par des ralentissements de temps à autres pour lui permettre de respirer un peu tout de même.

Bien sur, il montrait son propre plaisir avec sa respiration, et parfois sa voix quand le mouvement des lèvres et de la langue de Lisbeth sur son membre étaient plus intenses. Puis, l’une des ses mains glissa de la tête vers le dos de la jeune femme dans une lente et douce caresse, comme s’il découvrait chaque recoin de cette partie du corps, malgré le tissu encore présent. Dans un lent mouvement, et un peu à contre cœur, il fit sortir son sexe de la bouche de sa compagne pour dans des gestes doux lui faire comprendre de se redresser. Ainsi, il la fit remonter jusqu’à ce que leurs visages soient à la même hauteur et que Mach viennent s’emparer des lèvres de la belle demoiselle. Il ne se priva d’ailleurs pas de faire glisser sa langue à l’intérieur de la bouche de son amante pour entamer un lent ballet avec celle de sa compagne.

Il l’enlaça alors de ses bras, collant son corps au sien, alors qu’il revenait s’appuyer contre le dossier du canapé. Ses bras dans le dos de Lisbeth vinrent alors caresser se dernier de ses mains, avant que celle-ci n’aillent découvrir les fermes douces et moelleuses de sa compagne. Il les caressa, et malaxa avec une grande tendresse, alors qu’il ne tarda pas à mettre fin au baiser.

- Il serait injuste que je sois le seul à recevoir du plaisir tu ne trouve s pas ?

Dit-il avec un sourire, alors que ses mains parcouraient ses fesses, son dos, et le haut de ses cuisses dans ses caresses. Sa bouche revint quérir les lèvres et la langue de Lisbeth dans un long baiser avec une vitesse de jeux de langues bien plus rapide cette fois. Notons aussi que son sexe en érection frottait aussi sur l’avant des cuisses, se glissant parfois entre selon les mouvements que faisait les frottements des deux corps l’un sur l’autre.
Ma Fiche : Mach Bonin

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Réponse 14 mardi 19 octobre 2010, 14:29:15

Mach semblait surpris de sa demande. Malgré tout, il commença doucement à lui imposer un rythme en la dirigeant avec sa main posée sur sa tête. Tout en douceur, le soldat s’imposait à sa partenaire. Lisbeth était aux anges. Heureuse de pouvoir enfin appartenir à un homme. Lisbeth suçait le sexe dressé avec gourmandise et avidité. Son corps entier réagissait et elle sentait son sexe commencer à couler légèrement entre ses jambes.  Les soupirs de son amant la comblaient. A son grand regret, Mach la fit se redresser pour venir à sa hauteur. Ses lèvres prirent possession des siennes dans une douceur infinie. Lisbeth ne pouvait retenir ses gémissements. Mach l’enlaça avant de l’entraîner contre lui et de se caler contre le dos du canapé. A cheval sur ses jambes, elle sentait sa verge frôler son intimité par moment.

*Il serait injuste que je sois le seul à recevoir du plaisir tu ne trouves pas ?

Pour la première fois, Mach la tutoyait. Il commença à la caresser sur l’ensemble de son corps. La jeune femme frémissait au contact des doigts de son amant. Il reprit possession de sa bouche, de façon plus impérieuse cette fois-ci. Lisbeth se laissait faire, s’offrant sans réticence aux envies du soldat.

*Je suis votre Mach… Votre plaisir suffit au mien…

La jeune femme avait murmuré ces quelques mots, ne voulant en aucun cas décevoir Mach. Elle commença à onduler lentement contre le corps de son partenaire, frottant doucement son vagin contre son gland. Comme une invitation muette à son amant, celle de la délivrer enfin de l’emprise de son passé. Lisbeth n’osait pas prendre le contrôle de la situation. Elle mourrait d’envie de sentir Mach en elle. Son corps entier le réclamait mais elle attendait sagement que ce dernier se décide.

*Je veux vous appartenir…

Lisbeth rougit en prononçant ces mots. Tout en parlant, elle avait relevé sa robe, découvrant ainsi ses fesses et son sexe annelé. Elle voulait que Mach la touche, qu’il la possède. Pour une raison qui lui échappait, la jeune femme avait une confiance aveugle en son partenaire. Depuis qu’elle s’était enfuie, elle n’avait eu de cesse de revendiquer sa liberté et voilà que maintenant, elle ne souhaitait qu’une chose : appartenir à cet homme. Troublée, Lisbeth plongea son regard dans celui de Mach. Le soldat pouvait y lire le désarroi, mais aussi cette envie qui dévorait la jeune femme.

Lentement, Lisbeth se releva puis elle appuya sur un bouton, sur le côté de la table, et la musique emplit l’espace clos dans lequel ils se trouvaient. Ondulant au rythme de la musique, les yeux mi-clos, la jeune femme se débarrassa de sa robe en gestes lents, la faisant glisser jusqu’au sol. Son corps nu offert au regard de Mach, elle continua à danser pour le seul plaisir du soldat. Puis elle monta sur la table basse. Lucia lui avait appris comment exciter un homme en dansant mais c’était la première fois que Lisbeth le faisait. Ses mains parcouraient son corps, caressant par alternance ses seins et sa vulve qui maintenant était complètement trempée, tout comme le haut de ses cuisses.

Lisbeth finit par venir se remettre à genoux entre les jambes de Mach. Sa bouche ne tarda pas à s’emparer de son sexe. L’avalant avec une gourmandise non dissimulée, la jeune femme enroulait sa langue autour de la hampe et agaçait le gland. Elle allait et venait dessus, l’engloutissant entièrement, le bout venant heurter le fond de sa gorge. Lisbeth ne cherchait même plus à cacher son plaisir, gémissant sans retenue. Abandonnant à regret le sexe du soldat, elle leva la tête en sa direction.

*Comment dois-je vous appeler ?


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