Ses doigts poursuivirent leurs attentions, ils accélérèrent même, sentant la voie élargie par la chaleur et la pénétration facilitée par ce liquide exotique qu’elle déversait comme une source mystique. Elle lui en demandait plus, et il était là pour lui en donner plus ! Aussi sa main accentua ses mouvements alors qu’un troisième doigt la pénétrer, non pas dans le but de tendre ses parois internes qu’il savait particulièrement extensibles du fait de ses expériences multiples avec des créatures "surhumaines" en proportions. Il voulait simplement profiter d’un fait simple et incroyablement plaisant, ses doigts – au contraire d’un membre sexuel – étaient articulés. Aussi se mirent-ils à bouger avec expérience, explorant cette cavité si attrayante aux yeux des hommes, cherchant les points les plus sensibles, lesquels seraient les cibles de l’extrémité de ses appendices digitaux.
Il fallait qu’il fasse confiance à son extrême dextérité s’il voulait avoir la moindre chance de la faire jouir réellement et pas de façon "médiocre". Il sentait chez cette femme un caractère fort, fier, le genre de choses qu’un homme qui a vécu dans la tradition de combat se doit de reconnaître. Elle le prenait sans aucun doute comme un simple objet en cet instant, mais il voulait être plus que ça. Non, il ne voulait pas qu’elle le considère comme une personne, il ne s’en sentait pas la capacité et puis ça ne lui aurait rien apporté. Ce qu’il cherchait c’était son plaisir, sa réelle jouissance, car ce qu’il voulait c’était glorifier le corps pour compenser ce passé qu’avait sa famille. Celui de guerriers qui détruisaient les corps et tuaient. Il aimait trop les corps pour le faire la même chose…
Il voulait amener le bonheur dans les esprits par la satisfaction physique, afin de compenser les sombres idées qui avaient du naître des nombreux morts qui avaient pu être faits avec la science du corps dont il disposait à présent. Encore novice en matière de sexe, il savait se faire le maître des sensations. Les désirs n’étaient pas encore de la partie, mais le plaisir il arrivait à le faire apparaître. Tout en continuant de la sodomiser avec autant de violence qu’un ours et avec la cadence d’un colibri, il faisait montre d’une parfaite maîtrise de son corps. Capacité qui le rendait pourtant insensible à la douleur et au plaisir physique… Mais lui restait le bonheur de l’entendre en demander davantage et de la sentir toute chaude contre lui, pleine du bonheur de la chair. Ses doigts se mirent à pincer légèrement son clitoris, appuyant pour le compresser contre sa propre peau puisqu’il était bien trop glissant pour qu’il le saisisse réellement. De ses doigts adroits il poursuivait ses attentions digitales… Quant à sa queue, elle était presque en feu du fait de la friction de son petit cul sur sa verge.