un sauvetage inatendu [ pv Mach Bonin]

Lili s'occupait de préparer les boissons, alors que Mach était resté debout, la regardant faire, ou tournait son attention sur la décoration, jusqu'au moment où elle revint face à lui, avec les verres, remplit de jus d'orange. Elle en profita alors pour répondre à sa question, lui expliquant qu'elle vivait chez ses parents, mais qu'ils n'étaient jamais là où presque. Ce qui laissa l'ancien soldat se demander ce que pouvaient bien faire ceux ci pour laisser leur charmante fille se débrouiller toute seule. Surtout que Seikusu, d'après ce qu'il en avait vu depuis son arrivée était loin d'être une ville sûre.

- Ah bon, je suppose que vous en profitez bien en tout cas ?

Commenta t il alors, sans arrières pensées, mais pensant plutôt au fait que la jeune femme devait souvent inviter des copines à la maison, voir y faire des fêtes. Puis, elle s'assit sur le sofa et l'invita à faire de même. Mais comme à ce moment là, il se trouvait en face d'elle, et bien que ce n'était pas son intention, Mach put voir le string et l'entrejambe de Lili puisqu'elle n'avait pas prit l'initiative de croiser les jambes. Etait ce volontaire ou non ? Mach ne le savait pas, et ne chercha pas à le savoir d'ailleurs, alors qu'il la rejoint, s'asseyant à ses côtés, perdant donc cette vue, dont il ne se montra pas gêné, ou le cacha suffisamment bien pour ne pas inquiéter la jeune femme.

Ainsi, il fut soulagé quand elle le questionnant, puisque cela signifiait qu'elle n'avait rien remarqué, sans savoir si elle jouait l'aguicheuse volontairement ou non toujours. Cette fois, elle voulut savoir combien de temps le jeune homme avait passé en temps que soldat. Il prit une gorgée de sa boisson avant de répondre.

- Pour dire vrai, j'ai rejoints les rangs de l'armée à six ans. Mes professeurs à l'orphelinat pensaient que cela serait un bon moyen de faire sortir mon surplus d'énergie, sans compter que cela leur permettraient d'avoir enfin la paix.

Répondit il avec un sourire amusé, expliquant ainsi qu'il avait été loin d'être un enfant de cœur. Elle avait d'ailleurs apprit qu'il était orphelin, et outre l'âge de son intégration, cela pourrait aussi être une raison de la voir surprise, chose à laquelle il s'attendait un peu quand même, comme pour beaucoup de personnes à qui il l'avait dit. Et ce n'était pas un secret, et il n'avait aucune honte ou gêne à en parler.

Mais à peine eut il finit de parler, et boire une nouvelle gorgée, que la jeune femme reprenait la parole pour le complimenter, ce qui le fit sourire, avant que la suite, ne le fasse réaliser que celle ci lui avait finalement caché qu'elle savait très bien ce qui allait lui arriver, mais bon, ce n'était pas sorcier à comprendre non plus, et jouer celle qui ne le savait pas, pouvait aussi aider à passer à autre chose.

- Ce que je comptais faire ? Et bien, vu l'heure trouver un endroit tranquille où dormir je suppose !

Répondit il calmement, décidant de ne pas revenir sur le sujet de l'agression pour éviter de troubler davantage Lili, qui avait réalisé toute seule qu'elle s'était piégée elle même, vu l'hésitation qu'elle eut sur ses dernières paroles. Alors qu'il finissait son verre à son tour, quittant l'appui du dossier pour poser ce dernier sur la table basse.

alors qu'elle l'entendait enchainer une autre question après qu'elle lui est répondu qu'elle vivait pratiquement toute seule dans cette maison, mach lui demandant avec surprise qui supposait qu'elle devait bien en profiter dans ce cas là. lili un peut gêné ne comprenait pas le sens de sa question, qu'entendait-il par en profiter? alors qu'elle se remémorait la nuit passer avec la petite Abie, avec ces oreilles de lapin et son énorme sexe, ou bien le jour ou elle voulut ramener à la vie un pauvre chien mort dans son jardin, ou elle avait fait la rencontre de Kira.
prenant un instant pour répondre et s'évader de ses souvenir qui commençais à l'exciter à force de se les remémorer, elle lui répondit un peut hésitante.

heu... oui j'en profite... pour étudier et amener quelques copine le week end...

alors qu'elle lui posa la question à savoir combien de temps il avait passer à l'armée, celui ci lui répondit avec un sourire amusé qu'il avait rejoins les rangs de l'armée à l'age de six ans, c'était ces professeurs à l'orphelinat qui l'avait envoyer là bas puisque apparemment c'était un enfant surexcité.
être envoyer à l'armée aussi jeune n'a pas du être facile pour lui, en plus orphelin, il n'avait rien pour lui, ces aveux chagrina un peut lili qui regretta d'avoir poser la question.

ah... je suis désoler de vous avoir poser cette question... tout ces souvenir doivent vous mettre mal à l'aise...

mais mach la rassura desuite en lui disant qu'il n'avait aucune honte ou gêne d'en parler, ce qui rassura lili qui lui reposa une question juste derrière à savoir ce qu'il comptait faire si il ne l'avait pas sauver.
mach lui répondit que vue l'heure qu'il était il se serait mis à la recherche d'un endroit ou dormir, le pauvre jeune homme n'avait pas d'endroit ou dormir, lili se dit qu'elle pouvait bien lui offrir un lit pour la nuit après ce qu'il avait fait pour elle et sans hésiter elle lui demanda.

et bien vous n'avez plus besoin de chercher, je vous offre un lit pour la nuit, je vous doit au moins sa, en plus il est déjà tard, aller accepté... accepté...

lui demanda-t-elle en venant lui prendre sa main entre les siennes

Mach était donc chez Lili et discutait avec elle. L’ayant d’abord questionné sur sa maison, et le fait qu’elle profite de l’absence de ses parents pour s’amuser, la laissa un peu hésitante, comme si elle avait interprété de travers le commentaire, alors qu’il n’avait pensé qu’à quelques jeux et fêtes entres copines. C’est d’ailleurs la réponse qu’elle apporta avant d’écouter une partie de l’histoire et s’en trouver désolé, bien qu’il lui avait fit qu’il n’y avait pas de problèmes avec cela. Mach n’était pas du genre à s’apitoyer sur son sort ou son passé, tout comme il ne pensait pas à son avenir.

Quand à la réponse qu’il avait fournie sur ce qu’il comptait faire s’il ne l’avait pas sauvé des griffes de ces brigands, elle ne tarda pas à répondre, d’un ton plus assuré cette fois, qu’il n’avait plus besoin de chercher un lieu où dormir. En effet, revenant encore une fois sur cette question de dettes pour lui être venue en aide, Lili lui proposa de dormir chez elles ce soir là, en guise de remerciement.

- Ce n’est pas nécessaire, je ne veux pas vous importunez…..

Commença t il à dire en guise de réponse, malgré l’insistance des propos de la jeune femme. Mais, il ne finit pas sa phrase, quand elle vint prendre une de ses mains entre les siennes. Il sentit alors la peau douce des petites mains de la demoiselle, qui avait une main plus fine et délicate que lui en tout cas. Sans compter qu’elles n’avaient pas connu la même rudesse de vie et le même entretien.

- … D’accord, mais je veux être sur que je ne vous dérange pas ? Que direz vos parents s’ils venaient à rentrer sans que vous ne le sachiez et me trouvait ici ?

Il se ferait certainement des idées sur leur relation, cela n’en faisait aucun doute. Et leur colère serait surtout dirigée vers leur fille, puisque le soldat les impressionnerait sans doute trop pour qu’ils cherchent la provocation. Et même si une fois encore, il venait à prendre sa défense, il doutait que ceux-ci décident de le croire si facilement.

alors que Mach semblait tout d'abord hésitant à accepter l'invitation de lili à rester dormir, son attitude changea radicalement lui demandant si vraiment sa ne la dérangeait pas et si au cas ou ses parents rentreraient pendant la nuit, ce qu'elle leurs dirait comme explication par rapport à sa présence ici.
lili toute contente qu'il accepte son invitation lui répondit avec un grand sourire au lèvre.

non rassurez vous mach vous ne me déranger pas et si mes parents revienne pendant la nuit et qu'il vous trouve je leurs expliquerais se qui c'est passer, que vous m'avez sauver des griffes de brigands qui me voulait du mal, je suis sur qu'ils comprendront.

alors que lili regarda l'heure.

bon il se fait tard, venez je vais vous montrez ou vous dormirez.

alors qu'elle traverser le salon, elle l'amena jusqu'à sa chambre, alors qu'elle arriva prêt de son lit, elle se pencha en avant prenant quelques choses sous son lit, mais la manœuvre offrit une nouvelle fois une vue imprenable sur les fesses de lili dont la jupette ne cachait pas grand choses et Mach pouvait aisément voir les petite fesse de lili avec son string qui lui rentrait dans la raie, elle tira vers l'extérieur pour sortir de sous son lit un matelas, ce matelas servait quand son amie Kira venait dormir chez elle et donc celui ci était imprégner de l'odeur de lili ainsi que son amie, plaçant donc le matelas entre le lit et la porte d'entrée de la chambre, elle se tourna vers Mach.

voilà vous dormirez là... bon si vous voulez prendre une douche, aller y, c'est cette porte.

lui dit-elle en montrant une porte qui se trouvait dans la chambre elle même.

La réponse que donna Mach à l’invitation de la jeune femme sembla ravir cette dernière, vu la façon dont elle se mit à sourire avant de répondre à sa remarque. Selon elle, il n’y avait rien à craindre, que ses parents arrivent pendant la présence du jeune homme ou non. Pour sa part, il pensait que se ne serait pas aussi facile, mais poursuivre le sujet aurait été vain et la regarda se lever avant de l’entendre lui dire qu’elle allait le conduire à sa chambre. A ce moment là, il pensait qu’il allait dormir dans une chambre d’ami, si bien que lorsqu’ils atteignirent leur but, il ne fit pas plus surprit que cela par la décoration de la chambre.

Par contre, ce qui allait suivre n’allait pas manquer de le surprendre. En effet, la demoiselle se pencha en avant sans aucune pudeur, ayant visiblement oublié la tenue qu’elle portait qui rendait pleinement visible ses fesses et son sous vêtements, même si dans le cas présent, s’était à peine si on le voyait, puisqu’il s’agissait d’un string. Mach ne put s’empêcher de rester quelques seconde sur cette vue des plus splendides, et cela commença même à l’exciter. Il n’avait donc aucun mal à imaginer comment les brigands s’étaient laissé tenter.

- Vous devriez faire lus attention quand vous vous baissez, surtout quand un homme se trouve juste derrière vous, et que votre tenue ne cache pas grand-chose !

Ne tarda t il pas à commenter, alors que Lili était en train de sortir un matelas de sous le lit. Il réalisa donc qu’il se trouvait dans la chambre de la demoiselle au moment où celle-ci lui dit qu’il dormirait là et que ‘il voulait se doucher, il pourrait emprunter la porte conduisant à la salle de bains.

- Dites, s’est votre chambre, non ? Ce n’est pas forcément des plus convenable pour une jeune femme d’inviter un homme qu’elle vient à peine de rencontrer à dormir dans sa chambre !

Qui aurait pu douter que Mach se montrerait aussi courtois quand on le voit ? S’était aussi une façon dérivée de calmer ses propres ardeurs, pour ne pas tomber aussi bas que les brigands précédents, en se rappelant sans cesse les règles de bonnes conduites. Sans compter que Lili semblait être mineure en plus.

- Par contre, je ne refuserais pas la douche, après avoir transpiré comme je l’ai fait.

Dit-il pour réduire un peu l’effet de ses propos précédents aussi. D’ailleurs, il ôta son tee-shirt, révélant par la même occasion son torse assez bien dessiné malgré quelques cicatrices de ci de là. Mais, la seule chose qu’il se permit de retirer alors fut ses chaussures, alors qu’il attendait la réaction de la jeune femme avant de se diriger vers la salle d’eau, où il lèverait le reste. On pourrait penser qu’il vient à se contredire lui-même, mais se montrer torse nu devant une femme n’avait pas forcément la même signification ou les mêmes ressentis chez les femmes que celles-ci montrant une partie ou la totalité d’élément de leur corps faisant envie au sexe opposé en général. 

alors qu'elle tirait le matelas de sous son lit, elle entendit mach lui dire de faire attention quand elle se baissait, surtout quand un homme était derrière elle, alors qu'elle portait une tenue qui ne caché pas grand choses, lili rougie à sa remarque alors qu'elle terminer de placer le matelas, elle se disait qu'il avait raison mais qu'elle n'avait pas encore l'habitude de faire attention à se comporté comme une vrai femme et a faire attention à ses mouvement avec des habit si cours.

se relevant avec le visage encore empourpré, elle lui indiqua qu'il allait dormir là, mais mach enchaina en lui demandant qui c'était sa chambre.

oui pourquoi?

il continua en lui disait que ce n'était pas très convenable pour une jeune fille d'inviter un homme qu'elle connaissait à peine à dormir dans sa propre chambre. lili réfléchie quelques secondes, c'était vrai que ce n'était pas raisonnable, mais si il avait voulut l'agresser ou abuser d'elle il l'avait eut plusieurs occasion depuis qu'ils étaient arrivé chez elle, lili se sentait en sécurité avec lui.

c'est vrai mais ... je me sent en sécurité avec vous et de toute façon il n'y à pas de chambre d'amie, la seule autre chambre qu'il y a, c'est celle de mes parents à l'étage.

sa réponse avait l'ère de suffire puisque mach lui dit qu'il ne refusait pas une douche après qu'il est autant transpiré, alors qu'elle le vit enlever son teeshirt, elle put admirer le torse musclé de mach parsemé de quelques cicatrices par ci par là, s'en doute dû au mission qu'il avait du faire pour l'armée, quand elle le vit retirer ces chaussures elle put là admiré la musculature de son dos, voyant ces pectoraux gonflé et les muscle de ces bras se contracter, tout ceci émoustiller quelques peut lili qui aimé bien les jeune homme bien musclé.
malgré que son visage soit marqué par le temps le rendant plus vieux qu'il n'y parait, le reste de son corps, enfin ce qu'elle pouvait en voir était tout bonnement parfait, ne le quittant pas des yeux jusqu'à ce qu'il ferme la porte de la salle de bain.

se dirigeant ensuite sur son lit, elle s'assit et ouvrit sa table de nuit pour sortir son journal intime et y marquer ce qu'il lui était arrivé pendant la journée, écrivant sa mésaventure de ce soir jusqu'au moment ou mach était rentrer dans la douche marquant ses penser, qu'elle l'avait trouver très beau et sexy , qu'elle aurait bien voulut voir un peut plus de son anatomie et que vue sa musculature il devait être une bête au lit.
sur ce journal intime lili marqué tout ce qui lui arrivait et donc aussi toute ses aventures, de sa première fois à maintenant.
alors qu'elle entendait la porte de la douche s'ouvrir à nouveau, elle déposa son journal sur son lit et s'écria.

c'est à mon tour...   

Se retrouvant dans la chambre de la jeune femme, Mach n’avait pas montré de gêne particulière. Mais, il avait fait remarquer à Lili que son comportement pouvait l’être pour les hommes, dans le cas où elle se baissait sans pudeur, dévoilant ses parties les plus intimes. D’autres part que s’était pas non plus des plus convenables pour un homme et une femme de dormir dans la même pièce alors qu’ils venaient à peine de se rencontrer. Quant elle se releva, et se tourna vers lui pour lui répondre, l’ancien soldat ne manqua pas de remarquer les rougeurs sur ses joues, et il se dit que peut être ne pas mentionné qu’il avait vu ses fesses et un peu plus encore, aurait été préférable. Mais d’un autre côté, la jeune femme le saurait pour la fois d’après.

Celle-ci lui répondit donc avec un peu d’hésitation, que si elle faisait cela, s’était aussi parce qu’elle se sentait en confiance avec lui, et avec certains hommes, cette annonce aurait pu les troubler, mais Mach resta calme. Mais, elle avait enchaîner sur l’explication qu’il n’y avait pas de chambres d’amis, juste celle de ses parents et la sienne. L’homme aurait pu alors dire qu’il dormirait sur le canapé du salon dans ce cas, mais ne le fit pas. Cela aurait peut être pu montrer que malgré la confiance qu’elle lui portait, Mach avait peur de se laisser tenter à faire un truc aussi bas que les brigands.

Il annonça alors qu’il prendrait bien une douche, ne contredisant pas Lili pour une fois, et s’était mit torse nu avant de se diriger vers la salle de bain, pieds nus également. Il ne se préoccupait pas, bien qu’il puisse en parti le sentir, du regard que la jeune femme lui portait. Il entra alors dans la salle de bain, et finit de se dénuder avant de se glisser sous la douche, avec un jet d’eau assez chaude, pour vraiment retirer la transpiration et la crasse qui s’était accumulée.

Il sortit alors une dizaine de minutes plus tard de la pièce d’eau, avec seulement son boxer sur le cul, et une serviette autour du cou, sans doute parce qu’il avait oublié de la redéposer. Il vit alors la jeune femme poser un livre sur son lit, et dire qu’elle allait à son tour sous la douche. Mach esquissa un léger sourire, avant d’y rendre la serviette, quand elle passa à ses côtés. Puis, alors qu’elle disparaissait dans la pièce voisine, le jeune homme se rapprocha des lits, voyant que le livre en question n’était autre que le journal intime de la demoiselle.

*Ce n’est pas très malin de laisser traîner son journal ! Quelqu’un de malveillant pourrait le lire !*

Pensa alors l’ancien soldat, alors qu’il ne comptait pas le lire. Et il ne le toucha même pas, ne serait ce que pour le déplacer sur la table de nuit par exemple. En effet, Lili aurait vite imaginé qu’il l’avait ouvert, si elle ne le trouvait pas au même endroit. Et avec les secrets que ce derniers pouvait contenir, aurait piqué une sacrée colère. Mach se contenta alors d’aller s’assoir sur la chaise du bureau scolaire de la jeune femme attendant qu’elle revienne, pour savoir ce qu’ils pourraient faire ensuite, ne serait ce que se coucher et dormir, puisque la soirée avançait tout de même elle.

quand elle l'entendit sortir et dire précipitamment que c'était son tour en jetant son journal intime sur le lit et sautant de celui ci, le voyant sortir elle put admirer presque entièrement son corps seulement recouvert du boxer, des gouttelettes ruisselaient encore sur son corps musclé alors qu'il avait encore la serviette autour du coup, avançant vers lui, mach lui tendit la serviette qu'elle attrapa en passant tout près de lui en lui faisant un grand sourire.

merci...

rentrant dans la salle de bain, elle referma la porte derrière elle, mais pas à clé, tout en ce déshabillant elle se disait que mach avait vraiment un beau corps, même les cicatrices qu'il avait donnait un certain charme, qui ne laissait pas lili indifférente, d'ailleurs en retirant son string, celui ci était déjà imbibé de quelques goute de mouille, une fois nue elle fila sous la douche, se lavant pendant un moment avant de ressortir et de se sécher, une fois entièrement essuyé, elle se retourna pour prendre sa chemise de nuit, mais elle l'avait oublié, hésitant un moment avant de sortir dans la chambre avec seulement la serviette autour du buste, si celle ci tombait elle se retrouverais nue devant lui et après ce que mach lui avait dit tout à l'heure sur le fait de faire attention il valait mieux qu'elle joue la carte de la sécurité.
s'approchant de la porte et l'entrouvrant à peine alors qu'elle était nue derrière, elle demanda  gentiment à mach. 

mons... monsieur Mach... j'ai oublié de prendre des affaires, pourriez vous aller me les chercher s'il vous plais.

alors qu'elle le voyait toujours en boxer, assis au bureau sur lequel lili révisait ses cours.

vous voyer la commode sur votre gauche, c'est là... si vous pouviez me prendre une culotte dans le premier tiroir et dans le second en dessous ma chemise de nuit elle est violette...

dans le premier tiroir il y avait plus de string de toute sorte que de culotte, mais pas que, il y avait aussi des godes de toute forme et de toute tailles que sa maitresse Ishtar lui avait prêté pour qu'elle s'entraine.
dans le second tiroir il y avait sa chemise de nuit, mais aussi son costume de sorcière en lamelle qui ne couvrais que le strict minimum de son anatomie ainsi que plusieurs plug anal et boule de geisha de différente taille et forme eux aussi.
quand elle lui demanda ce service, lili n'avait plus en tête qu'elle avait toute cette attirail dans sa commode.

Mach eut droit à un remerciement de la part de Lili, quand il lui tendit la serviette alors qu’elle entrait dans la salle de bains. Le temps qu’elle passa à se douche, le jeune homme le passa à attendre tranquillement assis sur la chaise de bureau. Ainsi, il s’écoula une bonne dizaine de minutes avant que l’eau ne cesse de couler, indiquant que son hôte avait fini de se doucher. Mais, au lieu de sortir peu après, celle-ci prit la parole pour lui demander de lui sortir une culotte et une nuisette, car elle n’avait pas pensé à les prendre. Il eut de quoi être surprit, en se disant qu’elle n’avait sans doute pas l’habitude de recevoir un homme chez elle, en particulier dans sa chambre.

Il se leva alors de sa position assise, écoutant les explications de la jeune femme, et se dirigea vers la commode. Il ne tarda alors pas à ouvrir le tiroir où se trouvaient les culottes de Lili. Il aurait pu être gênée ou excité, comme la plupart des hommes et jeunes hommes dans cette situation, mais non, Mach conserva son calme et sortit le vêtement. Bien sur, il ne manqua pas de voir les gadgets qui se trouvaient dans ce tiroir, puisque ceux-ci n’étaient même pas dissimulés sous les sous vêtements.

* Et bien les jeunes sont de plus en plus précoces aujourd’hui !*

Pensa t il, en posant la culotte sur sa jambe, pour éviter de la poser au sol, ne sachant pas si ce dernier était propre ou non. Puis, il s’attaqua à l’autre tiroir qu’elle lui avait indiqué et chercha un peu la nuisette de couleur violette. Et encore une fois, il tomba sur d’autres ustensiles pour se donner du plaisir, alors qu’il sortait le vêtement.

* Eh ben, elle a une vraie collection ma parole !*

Continua t il dans ses pensées, sans pour autant avoir montré une gêne quelconque à la découverte de tout cet attirail. Refermant alors le tiroir et se levant, Mach se dirigea ensuite vers la porte de salle de bains.  Celle-ci était toujours entrouverte, montrant que la demoiselle attendait sa tenue, et l’ancien soldat ne se fit pas attendre pour passer la main dans l’ouverture pour tendre le sous vêtements et la nuisette à leur propriétaire.

- Tenez…Par contre, vous devriez peut être mieux dissimulé plus efficacement vos accessoires. Cela pourrait surprendre vos parents, s’ils venaient à ouvrir vos tiroirs.

Dit-il d’une voix calme, d’un ton normal, qui laisserait aisément comprendre à Lili qu’il n’avait ni été perturbé, ni choqué de voir cela, même s’il avait pu être surprit par l’intérêt que les jeunes gens portaient au sexe aujourd’hui, surtout en étant aussi jeune.

je le vis se déplacer vers la commode que je lui avait indiqué, de toute façon il n'y en avait qu'une, chercha un peut et le vis revenir vers la salle de bain, il passa sa main avec les habit par la porte entre ouverte, je les pris et l'en remercia.

merci mach...

mais quand celui ci rajouta que je devrez mieux dissimuler mes accessoires, qui pourrait surprendre mes parents il il ouvrait les tiroirs, la visions de tout se qui se trouvait dans cette commode me passa devant les yeux, je l'avais complètement oublier, je rougie pour la unième fois, mais mach ne put le voir puisque je referme la porte sans dire un mot trop honteuse.

je fini de me sécher et je m'habille avec ce que mach ma ramener, la culotte qu'il me choisi est une des moins osée qu'il y avait dans le tiroir, c'est une culotte blanche en coton avec des petit cœur rouge dessus, sa fait un moment que je ne l'avait pas mise celle là, il aurait put en choisir une autre, enfin bon je l'enfile et passe aussi la nuisette.
une fois prête je sort de la salle de bain, mach est toujours devant la porte et il peut me voir en chemise de nuit violette mais celle ci est transparente et peut facilement voir la petite culotte qu'il ma choisis et mes seins percé.
je passe juste à coter de lui et viens m'asseoir sur mon lit.

bon alors mach vous êtes fatiguer? vous voulez dormir ou faire autre choses?

je lui demande les jambe croiser, les mains en appui derrière moi et ma poitrine en avant.

Après avoir donné ses affaires à Lili, qui le remercia, refermant la porte de la salle de bains. Ce qui lui permit éventuellement de rougir à la remarque que l’ancien soldat avait pu faire sur les divers accessoires sexuels qu’il avait pu voir dans la commode. Il resta un moment à côté de la porte, s’adossant au mur, se disant que cela serait plus facile pour répondre à la demoiselle, alors qu’il dut attendre encore quelques minutes que la demoiselle se sèche et se vêtisse.

Quand cette dernière ouvrit alors la porte, pour sortir de la salle de bain, et passa devant lui, Mach se montra surprit, sans doute pour la première fois. En effet, la nuisette qu’il avait apporté à la jeune femme, s’avérait être complètement transparente, malgré ses teintes mauves. Ainsi, le jeune homme pu voir la culotte de celle-ci, et sa poitrine, de taille correcte. Il fut même surprit de voir qu’elle avait deux petits anneaux aux tétons, et se demanda bien pourquoi, elle avait pu décider de mettre ce genre de choses à cet endroit.

- Et bien, je n’aurai pas cru que cette nuisette était si transparente quand je l’ai sorti du tiroir !

Lâcha alors le jeune homme, alors que Lili s’asseyait sur son lit, adoptant une pose qui mit clairement son corps en valeur.  On aurait presque pu s’imaginer voir une femme prendre une position dominante, avec les jambes croisées, les bras servant d’appui, et mettant bien en avant ses formes. Elle demanda alors à son invité, s’il était fatigué où s’il comptait faire quelque chose de particulier pour s’occuper le temps que le sommeil vienne.

- Je dois avouer que je n’ai guère sommeil. Qu’avez-vous donc à proposer pour nous occuper et distraire, jusqu’à ce que ce dernier vienne ?

Demanda Mach calmement en se rapprochant lentement d’elle. En effet, maintenant qu’elle avait fini de se laver, et lui aussi, ils n’avaient pas forcément besoin de se trouver à deux mètres l’un de l’autre.  Surtout qu’il ne pouvait nier que la vue de la jeune femme était loin de le laisser indifférent. Et détourner le regard n’aurait ni été poli, en plus de laisser penser à la jeune femme qu’il avait une quelconque gêne, ce qui n’était pas le cas. Mas, il ne forcerait bien entendu pas la jeune femme à faire ce genre de chose, peu importait sa tenue. Elle avait ses goûts vestimentaires, qui étaient loin d’être déplaisants, et il n’avait aucun reproche à faire sur ceux-ci, puisqu’il n’en avait pas le droit. Ainsi, il ne pouvait que lui donner des conseils qu’elle n’était pas forcée d’appliquer. Ainsi, malgré le jeune âge de Lili, s’ils devait se passer quelque chose entre eux, cela serait du consentement mutuel.

avant que je ne m'assoie sur le lit, j'entendis Mach me dire qu'il n'avait pas penser que ma nuisette était si transparente quand il l'avait prise dans le tiroir, j'eus un petit sourire quand il me dit sa alors que je m'installe confortablement sur mon lit, peut être était-il trop préoccuper par les objets qu'il y avait dans le tiroir pour remarquer que ma nuisette était transparente.

il répond à ma question alors que je regarde son torse musclé, qu'il n'a pas sommeil et me demande ce que j'ai à proposer pour nous occuper et nous distraire, je ne dit rien alors que je le voie s'approcher de moi lentement, bien sur ce n'est pas comme si je n'avait pas de jeux de société à la maison, mais je doute que sa l'intéresse, je me voie mal lui proposer un monopoly ou si peut être juste pour voir sa tête, mais le début de soirer à été remplis d'émotions, entre l'agression, mon sauvetage, le combat, tout sa mélangé ma très émoustillé, moi qui pensais qu'il exagéré dans les film, quand après une fusillade ou un combat, l'héroïne tombe dans les bras du héros et qu'ils finissent par faire l'amour.
en ce moment je suis dans le même état, un état d'excitation après cette bonne douche chaude, mais j'ai besoins de tendresse pour sentir que je suis encore en vie après t'en de frayeurs, en plus de sa j'ai put ramener mon sauveur à la maison un beau jeune homme grand et fort, comme ma dit Ishtar il faut que je multiplie les rapport pour gagner en expérience, mais bizarrement Mach ne semble pas vouloir faire le premier pas, il est peut être timide.

moi non plus je n'est pas sommeil, tout ces évènements mon bouleversé, heureusement vous êtes venue à mon secours.
je n'ai pas grand choses à vous proposez, vous savez...

je prend une mine triste presque au bord des larmes.

mais... j'ai besoins de réconfort, ... j'ai eu très peur tout à l'heure... et je n'ose imaginer ce qu'ils m'orraient fait subir... si... si vous n'étiez pas intervenue...

je me redresse et décroise les jambes en les gardant tout de même serrer, avant de tendre mes bras vers lui pour lui faire comprendre que je veut qu'il me prennent dans ces bras.

Les deux jeunes gens étaient à présent propres, et en partie dénudée l’un face à l’autre. Mach avait été surprit par la transparence de la nuisette, et devait admettre qu’il avait du mal à se défaire de la vision de la jeune femme, à qui il avait demandé ce qu’elle voulait faire pour s’occuper le temps que le sommeil vienne frapper à leur porte. Un long silence alors que Lili ne quittait plus son compagnon du regard non plus. Celle-ci revint alors sur les évènements qu’elle venait de vivre remerciant de nouveau son bienfaiteur, qui conserva une expression calme.

- Vous ne devriez pas ressasser les derniers évènements. Plus vite on les laisse derrière soit, mieux on se porte.

Répondit-il, alors que la jeune femme n’avait visiblement pas plus d’idées que lui pour occuper leur temps. La mine de son hôte s’attrista de nouveau, comme si elle ne parvenait pas à tirer un trait la dessus, alors qu’elle demandait du réconfort, se répétant encore un peu, d’une voix hésitante, comme si les larmes n’allaient plus tarder à couler. Il la vit alors décroiser les jambes et tendre les bras pour une requête évidente. Mach n’eut pas de mal à la saisir, puisqu’elle voulait l’enlacer, pour sans doute se sentir mieux, et avoir une présence rassurante à ses côtés.

Mach n’était pas tellement un habitué de ce genre d’embrassade, ce qui le fit prendre quelques secondes avant de se rapprocher de la jeune femme. Il se mit alors à genoux, pour se trouver à sa hauteur, et s’avança pour passer entre les bras de Lili. Ses mains passèrent d’ailleurs aux niveaux des hanches de la demoiselle pour venir refermer l’étreinte dans le dos, alors qu’il passait sa tête sur l’une de ses épaules, frôlant la joue de Lili avec la sienne.

- Le danger est passé, plus besoin de se montrer si inquiète !

Dit-il de façon un peu maladroite, alors que ses mains bougèrent lentement pour caresser le dos de la jeune femme, et la réconforter du mieux qu’il pouvait. Par contre, lui, avec le contact qu’il avait, ce n’était pas du réconfort qu’il sentait, mais son excitation, bien qu’il tente de la refreinait. En effet, dans leur enlacement, les deux corps étant collés l’un à l’autre, l’ancien soldat pouvait sentir la poitrine, et les piercings de ses seins contre son torse, et évidemment, cela ne le laissait pas indifférent. Ainsi, une bosse, pour le moment assez petite, se faisait voir au niveau de son boxer, alors que l’érection commençait à peine.

alors que je venait de ressasser mes craintes sur ce qui c'était passer dans les quartiers de la toussaint, mach me répondit calmement qu'il fallait éviter de ressasser les derniers évènements, que plus vite ont les laisser derrière soit et mieux on se porte.
il à s'en doute raison, mais je n'y arrive pas, j'ai besoin de réconfort et c'est pour cela que je lui tend les bras, il met quelques secondes avant de comprendre ce que je veut, je le voie dans son regard, quand enfin il s'approche, se met à genoux devant moi et m'enlace de ces bras musclés au niveau des hanches, j'en frémis de sentir ces bras puissant autour de moi, c'est si rassurant.
nos joues se frôles  alors que nous mettons chacun la tête sur l'épaule de l'autre, j'en frémis aussi alors que je passe mes bras sous les siens et cale ma tête sur son épaule, il sent si bon, je l'entend me rassurer et me dit que le danger est passé, que ce n'est plus la peine de se montrer plus inquiète.

alors qu'il me dit sa je sent ces mains qui me caresse le dos de bas en haut, sa me donne des frissons dans tout le corps.
inquiète je ne le suis plus quand je suis dans ces bras, ces caresses dans mon dos m'excite de plus en plus, j'ai envie de faire l'amour pour me sentir vivante, mais je ne sais pas si il voudra de moi, mais si je veut qu'il comprennent, il vas falloir que je face le premier pas, chose que je n'ai jamais faite.
de mes mains je lui caresse aussi son dos musclé et je descend jusqu'à ces fesses elle aussi musclé en passant les main sous son boxer pour venir les palper directement, en même temps je commence à lui donner quelques tendre baiser dans le cou tout en remontant vers son visage pour finir par lui baiser la bouche sans y mettre la langue pour autant juste avec les lèvres, je m'arrête, recule un peut le visage, j'ouvre les yeux et je voie dans son regard de la surprise.
gêne, je rougie et enlève mes main de ces fesses, tout en m'excusant.

... pardon... je n'ai pas fait... exprès... je pensais que je pouvais... heu...   

encore plus gêné d'essayer de donner une explication à ce que je venais de faire, je baisse les yeux et arrête de parler, attendant la réaction de Mach.

Se retrouvant presque nu dans la chambre d’une jeune femme, Mach tentait de la réconforter après avoir prit une douche. Il l’enlaça même à la demande de Lili, glissant ses mains dans son dos pour le caresser, et sa tête au dessus de l’une des épaules de celle-ci, en prononçant quelques mots maladroits surement, pour tenter de lui remonter le moral.  La demoiselle fit de même, se calant davantage pour apprécier ce contact. D’ailleurs, elle ne tarda pas à descendre ses mains sur les fesses de l’ancien soldat, faisait fi du boxer, ce qui ne manqua pas de surprendre le jeune homme. Lili avait même commencé à donner quelques bises dans le cou de Mach, et avant qu’il ne puisse réagir vint déposer ses lèvres contre les siennes dans un tendre et doux baiser.

Le jeune homme n’avait eu le temps que de placer ses mains sur les épaules de sa camarade, alors qu’elle s’écartait devenant rouge pour montrer sa gêne, alors que lui affichait la surprise.  Pas tellement à cause de l’acte lui même, mais peut être parce que Lili était mineure, et se montrait des plus précoces, ou du moins que leur différence d’âge ne semblait pas la perturber. A croire que le plus pudique des deux était justement lui. Mais, il reprit une expression normale lorsqu’il l’entendit bégayer pour tenter de s’excuser en baissant le regard, cessant tout contact physique avec Mach, ou du moins ceux qu’elle faisait de sa propre volonté.

 - Mais, tu n’as rien à te faire pardonner voyons. Se serait plutôt à moi de le faire.

Répondit-il calmement, sans lâcher ses bras, la maintenant à quelques centimètres donc. Cependant, il finit par ôter une de ses mains de là pour venir mettre l’index sous le menton de Lili pour soulever doucement son visage et lui faire croiser son regard, alors que sa an bougeait pour venir se poser délicatement sur la joue de celle-ci. Son regard à lui se faisait plus tendre, et prêt à se laisser aller à ce genre de chose.

- Mais, je ne ferais rien dont tu n’es pas sure d’en avoir envie, sinon, je ne vaudrais pas mieux que les voyous de tout à l’heure.

Dit-il avant de rapprocher son visage de celui de la jeune femme, et venir l’embrasser tendrement et doucement. Commençant simplement par coller ses lèvres à celles douces et chaudes, légèrement humides de celle de sa partenaire, Mach, vint ensuite faire jouer sa langue. Dans un premier temps, il la fit glisser sur les lèvres de Lili, comme s’il les gouttait et appréciait davantage leur goût. Puis, le jeune homme fit glisser celle-ci entre les lèvres de la demoiselle pour venir visiter sa bouche et caresser lentement et doucement la langue et les parois de sa compagne. La main sur le visage de Lili s’était d’ailleurs décalée vers l’oreille pour laisser plus de marge au visage du jeune homme, alors que le pouce caressait la joue de la jeune femme, et le reste des doigts restaient immobile sur le cou de celle-ci.