Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sam

Invité

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Passive devant l’attaque de Bleiz, Sam se vautra dans les cartons, mettant tout de même ses mains en avant pour éviter de s’éclater la figure. Là où elle eut de la chance, c’est qu’elle n’avala pas sa cigarette de surprise… Prudente face à cette éventualité, la délinquante éteignit celle-ci contre les cartons. Après toutes les gamelles, les coups de poings, les passages à tabac qu’elle avait subit, la maigre feinte de Bleiz la laissait ni chaude ni froide. La toute jeune femme qu’elle était était bien trop blasée de la vie, des hommes, des femmes… Des relations humaines en général.
Calme, elle se redressa et secoua la tête en arrière pour chasser les cheveux qui venaient obscurcir sa vision.


-Apparemment, là d’où tu viens ils ne t’ont pas appris à conjuguer convenablement un verbe. On ne dit pas ce n’est pas tes fanfaronnades qui vont me faire peur mais vos pétages de cable qui vont me laisser sur le carreau si je vous cherche de trop.

Sam n’était pas encore énervée. Elle ne payait pas de mine, mais c’était une personne qui, rien que pour faire chier son monde, pouvait être d’un calme affolant.

Bleiz

Humain(e)

Elle se releva sans problème. Après tout Bleiz avait fait en sorte qu'elle ne soit pas blessée. Malgré tout l'arrogance et le je m'en foutisme de la jeune fille commençais à l'ennuyer. Les préliminaires ne sont intéressant que pour les jeux de l'amour et non ceux de la guerre. Il était fatigué des faux semblants.

Encore une fois, que de la gueule. A pars avoir réussi à te dégager de ma prise et m'avoir fait reculé avec tes tours de passe-passe, tu n'as pas fait grand chose. Moi non plus te me dira mais c'est pas moi qui prétend pouvoir étaler l'autre en moins d'une minute.

Il ce posta à nouveau mais cette fois il s'était lassé de ce petit jeux.

Alors tu vas m'attaquer ? ou finalement c'était juste des menaces que tu n'es pas capable d'assumer ? ou alors tu compte attendre que j'en ai marre d'attendre et que je veuille me barrer pour m'attaquer dans le dos ? peut-etre que c'est comme ça que tu compte me battre "en moins d'une minute"
Les gens pensent que Bleiz est dingue... Il a juste eu la malchance de débarquer dans un siècle qui ne lui correspondait pas. Sa place est sur un champs de bataille de l'antiquité à faire tournoyer sa hache ou dans une arène romaine à brandir son glaive devant d'autres gladiateurs comme lui.

Sam

Invité

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Sam pouffa à la prise de parole de Bleiz. Un grand sourire, moqueur à souhait, paraît son visage sans qu’elle ne cherche le moins du monde à dissimuler au videur qu’elle se foutait de sa tronche sans la moindre gêne. Ses bras se croisèrent sous sa poitrine alors qu’elle se rapprochait lentement du videur, baissant la tête sur ses pieds en conservant son sourire, montrant clairement le peu de sérieux qu’elle attachait à cette situation.

-Si tu l’avais prétendu, en comparant ton gabarit et le mien… T’aurais eu l’air plus que ridicule.

Elle s’arrêta à quelques centimètres de Bleiz et leva ses yeux bleus iridescents dans sa direction. Elle souriait toujours, mais moins que moqueur, son sourire était maintenant provocant.

-Donne moi une seule bonne raison de t’attaquer ? Tes provocations à un rond ? Le fait que tu m’aies faite tomber ? Sans effet, trouve autre chose. Quant à t’attaquer par derrière, oui j’avoue que ça me tente assez.

Qui avait dit qu’il fallait être loyal ? D’un geste non chalant et apparemment inoffensif, elle saisit entre son pouce et son index un pan de manteau de Bleiz. Ses doigts en apprécièrent la matière, Sam apparemment intéressée, et puis… Combustion spontanée. Sam avait à peine ôté ses doigts que le manteau prenait feu. La jeune femme sauta sur cette occasion pour se baisser et faire un croche-pied digne de ce nom à Bleiz. A son tour de tâter les cartons. Elle ne s’arrêta pas là puisqu’elle n’hésita pas, ensuite, à grimper sur lui à califourchon pour marteler son visage de coups de poings.

Bleiz

Humain(e)

Sa chemise avait pris feu et il se retrouvais torse nue. Il l'enleva le plus vite possible pour ne pas être brulé et du coup ne pus empêcher la garce de lui faire un croche-pied.

Mais Bleiz n'était pas genre à perdre à cause d'une simple chute. Utilisant ce qu'il avait appris, il la contrôla et en réduit les effets néfastes sur son dos. De plus ironiquement il avait attirés dans les cartons ce qui faisait qu'il n'avait absolument rien senti.

Ce qu'il sentit en revanche, ce fut Sam qui lui grimpa dessus à califourchon pour le ruer de coups. Malheureusement, c'était une suite tellement prévisible que Bleiz sut exactement comment réagir.

Avant même que le premier coup atteignent son visage, Bleiz le dévia d'une main et de l'autre, appuya sur son coude pour la faire ce pencher de coté. Contrôler le coude de quelqu'un, c'est contrôler une moitié de son buste. Bleiz prit ensuite appuis sur ses jambes pour la faire basculer et se mettre accroupis. Il appuya ensuite de la main qui ne contrôlais pas le coude sur l'épaule du dit coude pour la plaquer au sol, afin de rendre son bras bloqué par son propre corps. Son autre mains n'étant plus utile pour bloquer le bras il en profita pour saisir son autre poignet et le tordre sans violence mais de façon a ce que la paume de sa main soit dirigé dans la direction opposé de Bleiz afin qu'elle ne le brule pas.

Bleiz termina en appuyant son genoux sur le dos de la fille pour la maintenir au sol
Les gens pensent que Bleiz est dingue... Il a juste eu la malchance de débarquer dans un siècle qui ne lui correspondait pas. Sa place est sur un champs de bataille de l'antiquité à faire tournoyer sa hache ou dans une arène romaine à brandir son glaive devant d'autres gladiateurs comme lui.

Sam

Invité

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Ce que Bleiz n’avait pas prévu, c’est que Sam, au-delà du fait d’être particulièrement déterminée et enragée quand elle s’y mettait, était également d’une souplesse appréciable. Aussi eut-il droit au coup du scorpion, c’est-à-dire qu’une fois qu’il l’eut plaquée au sol, elle cambra ses reins en se donnant le plus d’élan possible, envoyant sa jambe droite munie d’une botte renforcée s’écraser dans la tronche du videur.
Profitant de son attention relâchée, elle se libéra et lui asséna un coup de poing en plein dans le nez, reculant ensuite avec précaution et enflammant ses mains. Certes, les cartons avaient été son salut, mais ils pouvaient aussi être la perte de Bleiz. Elle n’attendit pas qu’il se remettre d’aplomb pour envoyer une boule de feu sur le papier traiter, qui s’enflamma instantanément. Les couettes de Sam étaient défaites, ses cheveux étaient épars autour de son visage et ses poignets douloureux mais elle restait complètement impassible, les poings enflammés, prête à riposter à toute tentative du videur.
On aurait pu croire que ses yeux étaient fous, il n’en était rien. Ils étaient vides. Ils ne pétillaient pas, n’étaient ni méfiants ni apeurés. Ils étaient, juste.

Sam prit ses précautions et recula d’avantage. Ses mains firent mourir le feu bleu violacé qui les entourait et trouvèrent les élastiques qui retenaient ses cheveux. Avec la rapidité de l’habitude, elle défit ses couettes, prit une des lanières plastiques pour faire une queue de cheval et se servit de l’autre pour faire un chignon. Moins on aurait de prise sur sa chevelure, mieux ça serait…

Bleiz

Humain(e)

Alors ça, ça faisait mal. Bon l'angle improbable de la jambe faisait que le coup de l'avait pas assommé mais il le sonna tout de même assez pour qu'il relâche sa prise et qu'elle se dégage en lui donnant un méchant coup de poing dans le nez. Elle recula

Impressionnant!

Elle enflamma alors ses mains et enflamma les cartons en y envoyant une boule de feu

Très impressionnant!

D'une impulsion il se dégagea des flammes et ce retrouva debout devant cette jeune fille qui remettait ses cheveux en place en une queue de cheval et un chignon.

Je préférai les couettes. Mais bon je suppose que vous vous en foutez.

Il se mit en garde et ce prépara à attaquer. Face à un adversaire doté de ces pouvoirs, il devait prendre l'initiative pour l'emporter.

Au fait, je sais que vous vous en foutez probablement aussi, mais je me nomme Bleiz. Je trouvais inconvenant que je sache votre nom et que vous ne sachiez pas le mien. Il souris alors et fonça dans sa direction

Il Esquiva les boules de feu qu'elle lui envoya comme si elles avait été des coups d'épée. Il arriva ensuite à distance de corps à corps et pris en main son cou, avant de passer derrière elle et en plaçant son autre bras derrière, de lui faire un prise qui lentement par manque d'oxygène l'endormirai sans la blesser.

HS/la partie en italique est modifiable selon ta réaction ;) /HS
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Sam

Invité

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Que ce furent aux compliments, aux remarques ou à l’annonce du nom de Bleiz par ce dernier, Sam resta de marbre. D’une part, effectivement elle se foutait de l’avis du videur sur sa coiffure. S’il pouvait émettre ou imposer son opinion quand elle était Nola, s’il payait, il n’avait aucune espèce d’incidence sur les choix de Sam. Quant au fait de se montrer impressionné par ses effets de pyrotechnie, le fait qu’il ne soit ni trouillard ni plus que légèrement bluffé (puisqu’il n’était pas resté Baba) la laissa supposer qu’elle n’était pas la première qu’il rencontrait, même si au fond, elle s’en moquait comme de sa première chaussette.
Quand elle le vit foncer vers elle, Sam ne sourcilla pas plus. Bleiz n’eut pas à esquiver de boules de feu, la jeune femme ne comptant pas user de quelque chose d’aussi aléatoire avec lui. Si elle avait voulu le blesser, c’est un jet de feu complet, qui aurait prit la largeur de la rue, qu’il aurait eut à éviter. Elle se prépara juste à esquiver ce qu’elle pensait être un coup de poing. Sauf que non. Ca n’était pas un coup de poing. Et si elle cru qu’avec un simple pas sur le côté elle pourrait s’en sortir, que Bleiz serait entraîné dans son élan et tomberait, rien ne se passa comme prévu et pire, son cou fut prisonnier et, étranglée, elle ne tarda pas à perdre connaissance, s’affaissant sur le sol humide et pavé.

Il était près de 5h30 du matin, et Sam venait de se faire avoir. Bleiz devait cependant en profiter pour la tuer, et vite, puisque son état d’inconscience, dû simplement au manque d’oxygène, ne durerait pas longtemps.

Bleiz

Humain(e)

Bleiz vit qu'elle avait perdu connaissance. Et ben c'était pas dommage. Il réfléchit un instant à ce qu'il allait faire. Il ne pouvais pas la laisser là. Être inconsciente dans ce quartier était le meilleur moyen de ce faire violer, tuer, mise en esclavage ou de ce faire piquer ses organes.

Il la souleva alors avec douceur et ce dirigea vers un bar réputé pour être ouvert toute la nuit. Il entra et s'arrêta une seconde pour toiser tout le monde du regard et faire comprendre qu'il était pas d'humeur. D'habitude il ne se faisait pas remarquer mais aujourd'hui il était accompagné et il devait s'assurer qu'on ne viennent pas les déranger. Il la posa sur une chaise et prit deux bières au bar.

Il attendit patiemment jusqu'à ce qu'elle se réveille en sursaut. Il tenta tout de suite de la calmer.

C'est bon c'est bon on ce calme mademoiselle. Je vous ai juste amené ici pour pas vous laisser dans la rue. Vous pouvez cramer le bar si vous voulez, je l'ai jamais vraiment aimé.

Il pris une gorgée de bière et se remit à parler.

J'espère que ça vous dérange pas j'en ais pris une pour vous. Je savais pas si vous aimiez la bière mais je trouvais impoli d'en boire une et de pas vous en proposer.
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Sam

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Emerger de la brume fût d’abord très lent, jusqu’à ce que la descente soit raide. Trop raide. Elle se redressa d’un coup, prenant une grande inspiration, les yeux grands ouverts et toussotant, ayant manqué de s’étouffer elle-même. Elle haleta, écoutant à peine ce que disait Bleiz. Rien de ce qu’il pouvait dire dans la minute n’était digne d’intérêt pour la jeune femme.

-Vous m’avez étranglée !

Et elle, elle avait faillit le faire cramer. Chacun ses vices. Sauf que dans le sens Sam/Bleiz ça lui allait, que dans celui Bleiz/Sam, tout de suite ça collait beaucoup moins bien. Colérique, n’ayant pas la moindre envie d’un petit déjeuner alcoolique, elle prit son verre et jeta son contenu à la tête de Bleiz, sans le moindre remord ni la moindre retenue. Elle rejeta sa chaise qui manqua de tomber sous l’impulsion des jambes de la jeune femme et elle prit la direction de la sortie en hurlant à travers tout le bar.

-Cramez-le vous-mêmes votre bar, et allez vous faire foutre avec votre bière !

Les poings serrés, elle donna un coup dans la porte qui s’ouvrit devant elle, et, recevant une claque du petit vent frais qui passait par là, elle sortit dans la rue et laissa la porte se refermer sur elle. Ne décolérant pas, elle marmonna, grommela que c’était une soirée pourrie et qu’elle avait hâte d’aller se coucher…

Bleiz

Humain(e)

Bleiz esquiva le jet d'alcool et la regarda s'en aller. Il se leva à son tour et parti en laissant un peu d'argent pour payer les bières. Il regarda l'assemblée et déclara

Et encore elle était de bon humeur là.

Il sortit et se dirigea vers son hôtel qui était au abord de la zone industrielle. Il passa par des ruelles que peux connaissait qui lui faisait souvent un bon raccourcis. Il arriva dans la ruelle ou bordais son hôtel et qui menait à la zone industrielle.
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Sam

Invité

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(Hj : Est-ce que pour les prochaines réponses, ça t’ennuierait de me faire des textes plus longs s’il te plaît ? Là je vais avoir du mal à répondre…)

Manque de chance pour Bleiz, Sam avait pris d’autre raccourcis qui eux la faisaient arriver perpendiculairement à la rue qu’il avait emprunté. Aussi, quand elle surgit de nulle part pour lui, du coin en fait, et que lui débarqua des profondeurs de la ruelle adjacente pour elle, comme elle roulait vite grâce à ses rollers, elle ne put l’esquiver et le percuta  de plein fouet, Sam se voyant partir en arrière dans un méli-mélo de jambes, de bras, de roulettes et autres trucs, allez savoir quoi.

Sonnée, ayant eu tout de même une petite frayeur, Sam laissa sa tête retomber sur le sol, à la recherche d’un second souffle. Elle le laisserait se relever en premier, elle-même avait mal partout à cet instant précis. Et elle se demandait, agacée, combien de tuiles allaient encore lui tomber dessus dans la journée… Journée, ou plutôt matinée. Soit donc journée de la veille ou celle qui commençait à peine. Celle qui commençait à peine semblait être la meilleure candidate, l’autre s’étant déroulée sans anicroches. Il n’y avait que depuis qu’elle avait quitté le club que les tuiles tombaient en averse…

Bleiz

Humain(e)

Le Choc fut violant mais ne fit pas tomber Bleiz. Il mit juste un genoux à terre, et pensant qu'on l'avait attaqué Ce mit en garde dans la direction ou il reçus le choc. Que ne fut pas sa surprise de voir qu'il s'agissait de Sam qui avait mit des rollers et qui lui était rentré dedans quand il était sorti de la ruelle. Elle était étendu par terre mais était toujours consciente. L'ironie de la situation amusa Bleiz. Il lui avait rendu son coup de poing sans le faire exprès.

Il s'approcha d'elle mais pas trop pour ne pas s'en reprendre une.

Vous croyiez qu'un jour on ce croisera sans que l'un de nous fasse de mal à l'autre ?

Voyant qu'elle ne se relevais toujours pas, Bleiz fit le tour de son corps pour ce retrouver au dessus de sa tête et qu'elle le voit.

Écoutez Sam on a tout les deux énervé l'autre, on à tous les deux blessé l'autre, est ce qu'on pourrait dire qu'on est quitte ? Je dit pas qu'on devienne les meilleurs amis du monde mais qu'au moins vous ne vouliez plus me crâmer comme un marshmallow à chaque fois que vous me voyez ?

Il marqua un temps d'attente et proposa.

Maintenant si vous voulez je peux vous aider à vous relevez, à moins que vous préfèreriez le faire toute seul ? Ce qui est parfaitement normal vus comment la matinée à commencé
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Sam

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Le contact visuel fut bientôt établit entre la barrique qu’elle avait percuté et elle, et ce qu’elle vit la fit lourdement soupirer de lassitude. Encore lui ? « Seigneur, pourquoi ne m’aimes-tu pas ? » comme l’avait si savamment demandé Bruce Nolan dans l’un des films qu’elle aimait. Parfois, le destin s’acharnait sur vous autant que vous pouviez vous acharner sur un chewing-gum pour le décoller de votre chaussure. Avec le destin, c’était plus ou moins pareil. Elle ne répondit pas à la question purement rhétorique de Bleiz, se disant qu’après cela il la laisserait tranquille, sauf que non.
D’humeur taciturne, heureusement pour lui le sport l’avait quelque peu adoucie. Sans ça, sa tête aurait déjà été le réceptacle d’un jet de flammes. Elle haussa un sourcil. Il faisait amande honorable… ? Soit. Elle tendit sa main, afin qu’effectivement il l’aide à se relever.


-Alors d’une, tu vas arrête de me vouvoyer de suite. J’ai même pas vingt ans, allô. Ensuite, les marshmallow ça se fait braiser doucement pour être bons…

Américaine oblige, Sam était une spécialiste.

-Toi la seule chose que j’avais envie de faire, c’était de te flamber la tronche. Et ça m’étonnerait que t’aies aussi bon goût qu’un bonbon. Maintenant, j’veux bien que tu m’aides à me relever. Merci.

Enfin une parole un tantinet aimable… On y croyait plus.

Bleiz

Humain(e)

Il la vit tendre la main et lui demander de la tutoyer

Comme tu veux. C'est une manie chez moi de vouvoyez tant qu'on m'as pas autoriser à tutoyer.

Elle fit ensuite l'apoligie du marshmallow en profitant pour une nouvelle menace mais chose étonnante elle accepta son aide et dit même merci.

Pour les marshmallow je saurais pas vous dire, je suis plus cervelas vus que à la base je suis suisse. Mais je me doute que ça doit avoir meilleur gouts qu'une tête humaine grillée...ou en tout cas sentir meilleur.

Il la pris par le poignet et de son autre mais lui pris l'épaules il commença à la relever doucement.

Vous n'avez rien de cassé j'éspere ? Ce serait la honte que je vous ai cassé quelque chose par accident alors que j'ai à peine été capable de vous maitriser volontairement.

Il l'aida à se relever et essuya légèrement la poussière de ses vêtements. Il souria alors d'un sourire simple et sincère.

Bon et maintenant pour qu'on oublis tout ça si nous allions boire un verre ? Dans l'ancien temps de ce pays, les généraux ennemis buvaient quelquefois ensemble avant ou après la bataille histoire de discuter avant la conclusion. Ce serait une manière d'ajouter un peu de détente à la violence que nous avons connus plus tot ?
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Sam

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-Ca sent le sucre, tout simplement. L’art de la cuisson du marshmallow consiste à lui faire prendre une jolie couleur dorée à l’extérieur, pendant le cœur se liquéfie… C’est super bon. Mais horriblement écœurant. Quatre et tu gerbes tout ce que t’as mangé avant.

Réplique « dure » mais réaliste. Sam ne faisait pas dans la dentelle et les froufrous, ou rarement. Elle n’aimait pas la fausse pudeur et la candeur, c’était un obstacle au plaisir immédiat. En tous cas, elle ne savait pas ce qu’était le « cervelas » mais dans cervelas, il y avait « cervelle » et ça ne lui disait rien qui vaille. De la petite cervelle ? Un truc qui ressemblerait à de la cervelle ? Glauque… Enfin bref, il l’aida à se remettre sur pieds et une fois campée sur ses rollers, elle frotta ses vêtements et observa les dégâts. Rien de notable. Son tee shirt était déjà en loques de toutes façons, quant à son short… Et bien c’était du jean, il n’avait donc rien. Cool. Et comme au cours de son inspection elle n’avait eu mal nulle part, elle pu hocher la tête vigoureusement.

-Nan t’inquiète. J’ai la tête dure.

Ses yeux s’agrandirent légèrement de surprise cependant à la proposition de Bleiz. Dans le principe, elle n’était pas contre, au contraire. Mais à 6h du matin… Gênée, l’un de ses yeux se ferma alors que sa main se glissait derrière sa tête, en profitant pour défaire son horrible chignon.

-Euh… C’est gentil mais là comme ça, boire un verre… Trop pas. Les p’tits dej’ alcooliques c’est vraiment pas mon trip… Par contre, j’veux bien que tu m’offres un chocolat chaud et des pancakes avec du sirop d’érable ! C’est un peu plus cher qu’une bière, mais vachement plus nourrissant et nettement meilleur ! Et là t’es sûr que je t’enverrai pas l’assiette à travers la tronche. Je gâche jamais des pancakes.


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