Un marché dangeureux(pv Don)

Kumiko n’était jamais vraiment sortie de la maison de son précédent maître. Elle ne connaissait donc que très peu la ville et ses environs. Pourtant, maintenant seule et abandonné, elle dut partir à la recherche d’un endroit où vivre et de quelque chose à se mettre sous la dent. Elle se promena durant des heures dans les rues de Nexus sans savoir où elle allait. Soudain, elle entendit du bruit. Un grondement sourd qui venait d’un peu plus loin. N’ayant plus rien à perdre, elle se dirigea vers l’endroit d’où semblait venir ce bruit. Après quelques minutes de marche, elle se rendit compte que ce bruit était en fait le mélange de sons que faisaient des centaines de milliers de personnes qui parlait en même temps. Elle continua à avancer jusqu’à ce qu’à l’endroit où était rassemblé tout ses gens. C’était en fait un grand marché. Un très grand marché. Il était si énorme que Kumiko n’arrivait pas à voir l’autre bout même en s’élevant sur la pointe des pieds. Une grande joie l’envahi. Ici s’était sur, elle pourrait trouver quelqu’un qui pourrait l’aider. Elle se fraya un chemin dans la foule en cherchant un visage particulièrement avenant. Mais, après quelque pas, elle vit quelque chose qui la figea d’horreur. Il y avait là de grande cage avec plusieurs Terranide enchainé. Ils avaient tous l’air immensément malheureux. Un grand humain bedonnant mais à l’air sauvage criait aux passants.

-Allé messieurs, dame! Voyez ces esclaves en parfaite santé. Ils ne sont pas chers!

Reprenant ses moyens, Kumiko courut vers la sortie. Elle fut cependant arrêté sec pas une main puissante qui lui agrippa les cheveux.

Désolé du retard

Un grand costaud borgne venait de saisir Kumiko par les cheveux et de la tirer en arrière en ricanant d'un air gras

-Alors ma belle ? On crois pouvoir s'échapper ? Tu va regagner la cage avec tes autres soeurs et plus vite que ça ! Mais avant ça jvais te récompenser un peu a ma manière pour avoir réussi a bleuser nos g...

Une main tapota l'épaule du grand borgne et un poing s'écrasa rapidement sur son nez pour l'envoyer au sol. Derrière lui un homme encore plus grand venait d'apparaître. Il avait la peau sombre et portait une lourde cape de voyage ainsi qu'un chapeau. Il regarda Kumiko au sol ainsi que son agresseur avant de lancer

"C'est mon esclave."

-Je ne crois pas non !

Cria le borgne alors qu'il soulevait son autre main : un moignon avec un crochet empalé dessus et chargea Don. L'esclavagiste ne bougea pas. Et au dernier moment une détonnation puissante retentit alors que la tête de l'homme volait en éclat et que son corps s'écrasait lourdement au sol. Kumiko si elle s'y connaissait pouvait voir dans la cape les reflets d'un magnum, une arme de la terre qui se rangeait dans son étui

"Quelqu'un veut encore faire des objections ?"

Sous le silence des spectateurs Don sortit un collier de sa besace, attrapa Kumiko par le bras et lui passa le lourd collier en fer autour du cou avant de tirer sur la laisse. Elle put alors le voir de plus près, un homme grand et bien batti, des yeux noirs comme la nuit et des cheveux de jais crépus.

"Allez viens."

Fit il en tirant la laisse

Kumiko se retrouvait maintenant dans une très mauvaise posture. L’homme qui l’avait déclaré son esclave était très grand et, d’après se qu’il venait de faire au borgne, très fort. Après plusieurs essais, Kumiko dut bien réaliser qu’elle ne serait jamais capable d’enlever le collier en fer qui lui enserrait la gorge. Ses petites mains délicates avaient toujours servie à faire des petites taches qui ne demandaient aucune force, seulement de la précision. Elle se débatie donc en espèrant que l’homme lacherait prise par mégarde. Mais elle eu beau se débattre ou cirer, l’homme restait imperturbable. Elle dut donc se résoudre à suivre l’homme qui continuait à avancer en tirant sur la laisse qui était relié au collier. Il la tira jusqu’à la sortie du marché. Rendu là, elle put parler sans crier, chose impossible avec tout ses gens qui parlaient et criaient à l’intérieure du marché.

-Heu…monsieur…Je me nomme Kumiko Kiyomizu. Puis-je avoir le nom de mon nouveau maître?

 Il ne lui restait maintenant, qu’à espèrer que ce nouveau maître saurait s’occuper d’elle mais surtout, qu’il lui donnerait à manger. Car Kumiko n’avait pas mangé depuis des heures et elle mourrait de faim.

Don tourna un oeil vers Kumiko et repris sa marche. ignorant sa question. un maître n'était de toute manière pas obligé de donner des réponses a son esclave. Il ne lui avait pas authorisé a lui adresser la parole pour le moment, il la tira derrière lui, dépassant des badauds qui regardèrent d'un air pataud le grand homme partir avec la superbe terranide comme un vulgaire animal, mais elle put voir pire au fur et a mesure, par exemple, deux nobles discutant tous les deux montés sur une esclave comme un vulgaire cheval. Ou encore une autre qui suivait son maitre a quatre pattes, comme un vulgaire animal. Certaines esclaves sur les stand avaient eu les bras et les jambes coupés, les transformant plus ou moins en sac a baise, ni plus ni moins. Don ne semblait pas être l'un de ces types : il ne lui avait pas passé de menottes, ni de boulets aux pieds ni l'avait frappé pour le moment.

Entrant dans un grand manoir il tira sur la chaine de Kumiko pour la faire passer devant lui. Une terranide lapin vétue en costume de soubrette arriva et s'inclina respectueusement

-Bienvenue a la maison maître !

"Toilette cette esclave et ramene la moi quand elle sera propre.

-Oui maître. Sasha ! Alice ! Préparez le bain !

La lapine la regarda d'un air bizarre avant de saisir sa laisse et de partir a l'étage, sa queue se tremoussant derrière elle, emmenant la chatte dans la salle de bain, elle put tomber sur deux autres terranides, une chatte noire d'environ 15 ans et une chienne légèrement plus jeunes qui commençaient déjà a remplir le baquet d'eau chaude.

-Occupez vous d'elle, je dois attenter au repas du maître

Fit la lapine avant de redescendre. Les deux esclaves détachèrent le collier de Kumiko et la deshabillèrent, ne lui demandant pas son avis sur si elle voulait le faire elle même ou non avant de la laisser entrer dans l'eau. Rapidement les deux terranides se mirent a frotter la jeune fille, n'épargnant pas les endroits les plus intimes avec une cadence régulière. Au bout d'un moment, vu la proximité des deux servantes, la chienne chuchotta a l'autre

-(Ne fais pas ça...Tu sais que le maitre n'aimera pas)

-(Il n'a pas besoin de savoir)

Lança la chatte en embrassant la chienne sur la bouche dans le dos de Kumiko, la main de celle ci commença a se balader de manière nettement plus interessée le long de l'interieur de sa cuisse léchant le cou de la chatte blanche tandis que la chienne, capitulant devant sa collège, commençait a passer une main sur sa poitrine

Une fois rendu à l’intérieure de l’immense manoir où habitait son nouveau maitre, elle réalisa qu’il y avait beaucoup d’esclave dans cette demeure. Et, jusqu’à maintenant, elle n’avait vue que des filles. Et toutes de jolies filles en plus.
Elle n’eu même pas le temps de réaliser se qu’il se passait qu’elle se retrouva nue comme un vers dans un bain bien chaud. La chatte et la chienne qui l’avait déshabillé commencèrent à la laver. Rien de bien surprenant là dedans. C’était très habituel chez les nobles d’avoir des Terranides pour les laver et comme elle avait toujours été la favorite de son ancien maître, elle aussi avait eu droit à ce traitement.
Quatre mains  douces la frottait donc doucement avec du savon pour bien la laver. Mais après quelques minutes, la jeune fille réalisa que ces frottements commençaient à être un peu trop insistants sur certaines parties de son anatomie. La sensation de ces petites mains qui glissait doucement sur son corps était très agréable. Elle ne pensa donc pas à les arrêter.  Soudain, les Terranides s’arrêtèrent et se mirent à chuchoter quelque chose que Kumiko ne comprit pas. Une main recommença alors à frotter  l’entre jambe de façon, cette fois, tout à fait sexuelle. Une autre main se glissa sur ses seins pendant qu’une bouche lui embrassait le coup. Cela commençait sérieusement à exciter la petite Kumiko. La main de la chatte faisait de lent va et viens sur sa vulve et commençait à titiller le clitoris du bout des doits. Les mains de la chienne qui caressaient tendrement sa poitrine se mirent à lui malaxer les seins, jouant avec les mamelons qui durcirent instantanément. La chatte qui d’une main flattait encore le clitoris mais de plus en plus vite, enfonça deux doits de son autre mains à l’intérieur de Kumiko. Une vague de chaleur se rependit dans son bas ventre. Son souffle se faisait de plus en plus rapide et profond. Elle se retourna lentement pour faire face au deux jolies Terranides. Elle plaqua sa bouche sur celle de la petite chatte noire. Sa langue joua quelque instant avec celle de sa partenaire avant que Kumiko détache sa bouche d’elle pour la coller cette fois à celle de la chienne. Ses mains parcouraient le corps des deux jeunes filles avec envie. C’était une découverte pour elle que le corps de d’autre femme. Mais ce qu’elle ignorait c’était le plaisir qu’on pouvait en tirer.             

-Hah...hah...maitre...maitre....

La lapine devait attendre au petit déjeuner du maître. Et c'est en effet ce qu'il faisait : il se mettait en bouche avant le plat de résistance alors que son esclave, allongée entre les mets a dégustés étaient en train de se cabrer sous les coups de pilons que lui mettait son maître, la tenant par les jambes alors qu'il allait et venait en elle et que la lapine retenait a grand mal ses cris. Ca avait été un de ses ordres : ne pas crier. Si la chatte avait entendu ça aurait pu nuir a son dressage. Pour le moment il s'occupait de la lapine qui se mordait la lèvre inferieure alors qu'elle laissait soudain partir un cri et que Don la fessait pour la punir. Se fichant éperduement de faire l'amour a son esclave au beau milieu de son salon, alors que ses autres soubrettes regardaient. Elles étaient passées par là aussi avant elle, et il savait très bien que tout ce qu'elles ressentaient a présent n'étaient pas du dégout, mais de la jalousie. Don finit par jouir dans la lapine tandis qu'elle poussait un râle et s'étallait contre la table. Se dégageant, il remonta son pantalon et lança

"Tu me remets tout ça en ordre, et vite."

Il se tourna vers la cage d'escalier et cria

"ALORS CA VIENS ?!"

Le rugissement de Don fit sursauter les deux terranides qui se dégagèrent de la chatte et s'empressèrent de la tirer du bain sans plus d'information, agissant comme des animaux terrorisés a nouveau, essuyant a la hate la chatte alors qu'elles lui donnaient des vetements, lui remettaient un collier et la faisaient sortir. Don savait très bien ce qu'il se passait. Il avait eu vent de l'insubordination de la terranide chatte, par sa propre compère qui était incapable de lui cacher quoi que ce soit...Il allait la punir en temps et en heure. Pour l'instant il fallait s'occuper de Kumiko. Lorsque celle ci descendit l'escalier, il n'y avait aucune trace de ce qu'il s'était passé, seulement Don dans un fauteuil en train de déjeuner

"Avance."

Lui dit il alors qu'il tartinait un toast, la regardant d'un oeil sombre

"Ton nom."

Un manquement a l'étiquette maître esclave aurait des conséquences regrettables...

-Hj-Je te laisse choisir tes vetements -Hj-

Kumiko était près de jouir lorsqu'elle entendit un cri puissant. Les deux jeunes filles avec qui elle s'amusait un instant plus tôt changèrent complètement d'attitude. Elles passèrent de coquines à complètement apeurées. La petite Kumi ne comprenait plus rien et commençait elle-même à avoir peur de ce qui avait rugit. Elle devinait que c'était probablement l'homme qui l'avait trouvé et amené ici et commençait à se dire que le traitement qu'il réservait à ses esclaves nétait pas des plus doux. Lorsqu'elle fut complètement sec, la petite chatte lui amena un vêtement. Une fois ce vêtement enfilé, elle réalisa que c'était une jolie petite robe blanche très sexy. Elle ne mit pas de soutien-mais enfila des petites culottes rouges. Finalement, elles lui attachèrent le collier en fer autour du coup. Et voilà elle était fin prête à se présenter devant son nouveau maître.

En bas l'homme, qui était tranquillement assit et sur le point de déjeuner, l'accueillit d'un simple coup d'oeil sombre suivit d'un "avance" sec et froid. Puis, il lui demanda brusquement son nom. Elle s'inclina devant lui pour bien lui démontrer qu'elle se soumettait entièrement puis lui répondit le plus simplement possible.

-Je me nomme Kumiko Kiyomizu maître.

Puis elle se releva et ne put s'empêcher de l'observer. C'était un homme très grand et très bien bâttit. Même assit il la dominait en grandeur. De cours cheveux noirs ornaient sa tête et deux petits yeux s'encastraient. Kumiko trouvait qu'il avait plutôt l'air d'un homme fort de dehors mais faible dans la tête. Aussitôt cette pensée formulée, elle se frappa intérieurement.

*Il est interdit de penser du mal de son maître!! Il faut que je change de penser tout de suite!*

Elle regarda partout autour d'elle pour voir si elle verrait quelque chose qui pourrait lui changer les idées. Elle avait bien remarqué en entrant qu'il y avait beaucoup d'esclave, mais ici c'était encore pire. La maison en grouillait littéralement. Elle vit donc deux possibilités sur l'homme qui se trouvait devant elle. Soit c'était un homme immensément riche qui aimait être bien entouré, soit c'était un marchant d'esclave. L'un n'empêchant pas l'autre, elle opta pour les deux options. Elle voyait dans les yeux de chaque femme (car jusqu'à maintenant elle n'avait vu que des femmes) une terreur de leur maitre, mais aussi un petit quelque chose de plus profond. Elle avait toutes l'air de vouloir lui sauter littéralement dessus. Elle en fut très surprise. Comment autant de femmes pouvait vouloir le même homme? Elle se tourna de nouveau vers celui-ci. Il n'était pas sans charme elle devait bien l'admettre, mais à ce point...Bon et puis après, rien ne servait de se poser autant de questions. Elle n'avait qu'à attendre et elle aurait probablement, un jour ou l'autre, les réponses qu'elle voulait.

La robe: http://www.yxiana.com/compte/yy-kaonix-creezvotreboutique-com/images/MiniaturesAutomatiques/robe-epaule-sexy-blc.jpg

Don se massa le menton et regarda son acquisition comme un vendeur d'arts regarde le dernier tableau qu'il a acheté et constate si celui ci fait bien dans son salon, elle était plutôt mignone dans son costume, il pourrait en tirer un bon prix une fois qu'il aurait pris son du. L'esclavagiste restait calé dans son fauteuil, Kumiko semblait dressée mais il savait bien que parfois celà n'était qu'une apparence, une coquille protectrice lui permettant de survivre a sa vie d'esclave. La plupart du temps elle ne penserais qu'a fuir, comme elle pensait a fuir déjà au marché. Elle semblait avoir de l'experience dans le domaine qui montrait qu'elle n'était pas une sauvageone retirée des plaines mais bel et bien une esclave sinon née a Nexus, en service depuis un moment. Elle l'observa mais détourna rapidement le regard, montrant a Don qu'il l'intimidait déjà par sa présence, mais il avait perçu pendant une demi seconde une étincelle de défiance dans son oeil. Il allait a présent voir si cette étincelle allait allumer un brasier ou si elle s'éteindrait dans le flot de ses actions

"Tu es a présent a mon service Kumiko. Si tu es obeissante et que tu ne cause aucun problème tu sera nourrie logée et blanchie pendant toute la durée de ton séjour ici.."

Avant même de regarder ce que pensaient les esclaves Kumiko aurait pu remarquer qu'aucune des esclaves de Don ne portait de marques de coups ni d'affamement ou de saleté, et pour cause, il ne frappait pas si non nécessaire, et les esclaves se trouvant ici étaient les invendues les plus méritantes, celles qui ne risquaient pas de le poignarder dans son sommeil. Kumiko pour le moment ne pourrait même pas réver de prendre leur place aux yeux de Don. Il ne cherchait pas la beauté, elle était certes plus belle que ses esclaves, mais l'obeissance avant tout.

"Dis moi a présent ce que tu sais faire."

Fit il pour savoir les compétences aproximatives de sa marchandises. Une fois qu'elle lui eut dit ça Don se dit qu'il était temps de commencer son test. Avec un peu de chance ils pourraient tous passer un bon moment. Enfin surtout lui.

"Bien, voilà mon premier ordre : deshabille toi entièrement."

Lança l'esclavagiste qui ne se justifia pas sur le coup, en revanche il regardait Kumiko sans détourner le regard. En demandant ça il pouvait passer pour un pervers, mais il y avait également une raison plus poussée a cette demande : Don voulait voir si elle avait été marquée d'une quelconque façon par un autre marchand avant de continuer.