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Indigène et homme à la pelle.

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Alguna

Indigène et homme à la pelle.

dimanche 17 janvier 2010, 22:16:06

Alguna venait de se faire attachée les poignée dans le dos, avec une corde faisant office de mord, dans sa bouche, c'est comme cela que les exilés partaient, soi disant pour que la nature les jugent coupables ou non de leurs fautes. c'est surtout pour se débarasser des gêneurs ou ds personnes pouvant chambouler les traditions, comme Alguna l'a fait en survivant.

Elle devait selon la tradition marcher pendant une journée dans le désert, sans boire ni manger. Si la nature la jugeait innocente elle serait sauvée, sinon, elle serait dévorée par les vautours et autres créature charognard.

Aussi elle marcha en suivant la course du soleil, plusieurs fois elle tomba, mais elle utilisa sa force brute pour se relever et continuer à marcher. Elle ne fit pas de pause, malgré que ces muscles la fasse souffrir, elle avait confiance en la nature, car elle savait qu'elle ne méritait pas de mourir. Elle transpira énormément trempant sa tenue c'est à dire un soutient gorge en lin rouge et une culotte de la même matière et couleur.

La matinée fut très courte, l'après midi, elle dut courir pour fuir des animaux sauvage, car elle en pouvait pas combattre dans ces conditions, cela nous amène au soir, là où le désert est le plus cruel par son froid, alors quand on est trempée, c'est la mort assuré si personne ne vient à voter secours, surtout en petite tenue.

Alguna vit un oasis, le premier de sa journée et sentant la mort arriver, elle voulut avoir son dernier repas, même si c'était de l'eau, elle marcha lentement vers le lac, usant ces dernière force et d'un coup ces jambes se dérobèrent, la faisant tomber tête première dans l'eau, risquant de la faire mourir de noyade.

Elle ne pouviat plus se relever, aussi elle attendit calmement la mort, tentant de ces dernière force à faire reculer cette échéance le plus loin possible.

" Avoir les cheveux court pour uen femme sont le signe de la honte de la tribut. "
" Être chassé du village est pour moi un signal m'indiquant l'exil. "

Sandji

Humain(e)

Re : Indigène et homme à la pelle.

Réponse 1 dimanche 17 janvier 2010, 22:41:50

Il y a beaucoup de créatures dont le désert sers de tombe. Combat, mort de faim, de soif, étouffé par la chaleur et les milles et uns danger du désert, surtout celui-ci, connu pour être proche du royaume maudit d'Ashnard.

Des loups garous et autres monstres difformes, voilà ce que constituait le sommet de la chaîne alimentaire de ces terres désolées... Tout du moins, à l'exception de certains personnages. Car oui, il existe bien plus dangereux, heureusement bien moins répandu.


" Sandji s'ennuie... "

Parlant tout seul afin de se divertir, ce monde loufoque lui avait encore joué un tour, de retour dans ce désert ennuyeux à mourir, avec juste du sable, des arbres mort et des monstres comme tout décor. Heureusement qu'ici, le plus dangereux prédateur après la déshydratation c'était lui.

Et même si il était plus fort que n'importe qui, la faim et la soif pouvaient bien avoir raison de lui. S'étant séparé de sa chemise et son manteau qu'il portait sur le dos, traînant mollement la pelle, la chaleur durant la journée avait été insoutenable, et le froid qui commençait a couvrir le désert finirait bien par lui refiler un rhume. Heureusement que là, juste sous son nez, se dressait une oasis, vers laquelle il accéléra le pas... Peut-être qu'il trouverait ENFIN des noix de cocos dans les palmiers ?


" Mmmmh ? Hé, du poisson ! Y'as des poissons ! "

Les remous et les éclaboussures provoqués par Alguna en pleine noyade avait bien dû faire penser au blond qu'un banc de barracudas se cachait là dedans. Fonçant droit dessus, il plongea ses mains dans l'eau et se saisit des bras d'Alguna, pensant aux nageoires, qu'il tira avec force pour la remonter:

" Hé, c'est un fameux celui... "

Tirant d'un coup sec, il tomba en arrière, faisant tomber Alguna sur le pauvre Sandji torse nu, le couvrant d'eau, étant extirpée de la flotte après son action. Et en regardant de plus près...

" ...Tiens, t'es pas un poisson toi ? "

Même pas une sirène. Décidément la pêche n'est pas simple comme sport.

Alguna

Re : Indigène et homme à la pelle.

Réponse 2 dimanche 17 janvier 2010, 22:57:15

Alguna commençait à avoir les poumons qui la brulait de l'intérieur, elle laissa d'un coup la peu la submerger et elle paniqua, chose qui lui fut fatal, elle ouvrit la bouche et comme les poumons étaient presque vide, elle bu la tasse. Elle serait morte noyée si à ce moment précis Sandji ne l'avait pas confondue avec un banc de poiscaille.

Un fois à l'air libre elle régurgita un peu de flotte d'une toux un peu roque, malgré le bâillon devant sa bouche. Elle regarda son sauveur et ne rigola pas du tous, elle ne savait pas qui était cette personne, ce n'était pas quelqu'un de son village, mais il semblait ne pas être un adulte, cela se voyait à sa façon d'agir. Elle pivota son corps pour ne plus être sur Sandji et se trouva à côté.

Elle se mit sur ces jambes, avec de grande difficultés et marqua sur le sable avec le pouce de son pied droit.

- Moi Alguna, toi ?

Puis elle se mit en tailleur pour patienter la réponse, il faut dire que son bâillon ne l'aidait pas à communiquer et que ces bras étant attaché le long son corps, la corde compressant un peu la poitrine qui est assez volumineuse tous de même.

Alguna dévisageait Sandji, essayant de savoir si c'était un adulte ou un enfant.
" Avoir les cheveux court pour uen femme sont le signe de la honte de la tribut. "
" Être chassé du village est pour moi un signal m'indiquant l'exil. "

Sandji

Humain(e)

Re : Indigène et homme à la pelle.

Réponse 3 dimanche 17 janvier 2010, 23:12:56

Non, décidément, des poissons aussi gros on en trouve pas dans les oasis, encore moins les sirènes. C'est dans la mer qu'on trouve ça. Alors comment expliquer qu'elle était dans l'eau ?

Le plus bizarre encore, c'est qu'elle avait toutes ces cordes sur elle, même un baîllon sur la bouche. Peut-être un déguisement, de toute façon ce monde regorgeait de gens bizarres et complètement barrés, alors il ne fallait s'étonner de rien.

Pourtant elle n'avait pas l'air d'avoir fait exprès d'être dans l'eau. D'habitude, c'est le nez qu'on bouche avant de faire de l'apnée, pas la bouche...


" ... Ca va ? "

Pour toute réponse, elle s'était mise à gigoter pour marquer quelque chose dans le sable avec l'orteil, Sandji dût même bien pencher la tête pour déchiffrer l'écriture, malgré tout encore lisible.

" Moi... Al-gu-na... Toi ? "

Il leva le nez. Il fallait s'en douter, vu son accoutrement: c'était une indigène, une sorte de sauvage. Elle ne devait pas très bien comprendre leur langue alors ! Souriant d'un air niais, il se pointa du doigt avant d'articuler
 
" San-dji. "

Il regarda à nouveau les cordes, en se frottant le menton. Ils ont des coutumes bizarres mais amusantes, Sandji se demandait bien pourquoi ils portaient ça d'ailleurs.

" Dis, chez toi vous portez souvent ces trucs là ? C'est rigolo, Sandji peut en avoir ? "

Fit-il en pointant du doigt les cordages et le baillon. A Rome, fais comme les romains qu'on dit.

Alguna

Re : Indigène et homme à la pelle.

Réponse 4 dimanche 17 janvier 2010, 23:29:42

Algnua était certes une indigène, cela ne l'empêchait pas de savoir parler la langue des humains, elle sourit en entendant son sauveur lui dire son nom, même si elle aurait sans doute du mal à le dire. Elle écouta avec attention ce qu'il dit, puis eut un regard curieux, il était clair que le corps était humains, mais l'esprit était plutôt celui d'un enfant, comment réagir sans avoir l'air agressive.C'est alors qu'il y eut la question sur l'accoutrement.

Aussitôt elle marqua en grande lettre pour que cela soit visible.

- Moi Exilée, comme vous dire Bannir, attachée pour que exilée ne tente pas de fuir jugement de la nature.

On peut pas dire que la phrase mérite d'avoir une bonne note si elle était notée par un professeur quelconque. Puis elle eut une idée, bon c'était méchant mais autant être libre.

- Si Sandji retirer corde, Sandji les garder.

Autant dire que Alguna n'était pas aussi bête que les humains peuvent croire d'une sauvage, c'est aussi pour cela qu'elle ne c'est jamais fait prendre dans de pièges.
" Avoir les cheveux court pour uen femme sont le signe de la honte de la tribut. "
" Être chassé du village est pour moi un signal m'indiquant l'exil. "

Sandji

Humain(e)

Re : Indigène et homme à la pelle.

Réponse 5 lundi 18 janvier 2010, 07:02:52

Elle avait beaucoup de patience pour pouvoir écrire autant sur le sol. Mais heureusement que cette patience était là, Sandji et son esprit niais n'aurait jamais fait le rapprochement à ce qu'on lui ait mis tout ça CONTRE sa volonté.

Assis à genoux sur le sable, il la regardait écrire les lettres l'une après l'autre, avec une impatience difficilement dissimulable, analysant chaque mot et essayant d'anticiper la phrase pour aller plus vite.


" Ah... Euh.... Ils t'ont forcée a marcher ici alors ? Mais... C'est méchant, pourquoi on ferais ça ? "

Sandji avait tout de même gagné en intelligence et en connaissances depuis ses voyages, avait découvert pas mal de sociétés et son carnet de voyage allait afficher complet. Aucune surprise à ce qu'il fasse le rapprochement entre la situation et une coutume bizarre d'indigènes déglingués.

La deuxième phrase commençait à se former, et une fois finie Sandji put enfin comprendre ce que voulait Alguna, avec enthousiasme. Plantant sa pelle dans le sol, il s'en aida pour se relever et passa derrière Alguna, analysant les noeuds. Pas très simple à dénouer, mais avec sa force de brute épaisse et en tirant ou appuyant sur le bon point, c'était défaisable. Et donc après 5 minutes de casse-tête indigène, Alguna était enfin libre de son baîllon et des cordes, dont Sandji les replia sagement à côté de son manteau et de sa chemise. Ca fera un joli souvenir.


" Ca va mieux ? "


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