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Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

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Asuka Todoroki

E.S.P.er

Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

dimanche 29 décembre 2024, 16:37:14

Identité : Todoroki (轟), le rugissement, est la seule chose qu'il lui reste aujourd'hui de son père. Asuka (明日香), le parfum du lendemain, revêt aujourd'hui des connotations pour le moins ironiques.
Âge : 24 ans, née le 21 décembre 2000.
Sexe : féminin.
Race : E.S.P.er par les gènes que lui a transmis sa mère. Le don de l'empathie coule dans ses veines depuis la révélation de son pouvoir, il y a dix ans maintenant.
Sexualité : pansexuelle, elle reconnaît néanmoins que le feu ravage son bas-ventre avec nettement plus d'intensité devant les corps ciselés et forts des hommes. Les amantes et amants ont défilé, par dizaines, dans ses draps au fil des années, comme une revanche douce-amère sur les traitements qu'elle a subis à l'époque où elle n'avait la force de s'en défendre.

Physique :

La silhouette élancée et harmonieuse d’Asuka attire les regards, mais ce sont incontestablement ses courbes qui les gardent aimantés à son corps. Ses proportions semblent avoir été calculées pour éveiller des fantasmes interdits, façonnées au gré des envies les plus débauchées. La poitrine lourde mais fièrement dressée, aussi moelleuse que rebondie, et les cuisses suffisamment charnues pour ne pas jurer avec la courbe presque obscène de ses fesses, elle est néanmoins bénie par la silhouette en forme de sablier que lui confère son ventre plat et sa taille de guêpe. Ses bras fins et gracieux et ses jambes interminables complètent ce tableau captivant, source de désirs obscènes.

Mais si son corps attire incontestablement l’attention, c’est son visage qui captive. Les traits juvéniles, aux joues qui rosissent facilement sous l’attention, contrastent avec un regard des plus inhabituels. Le marron aux reflets écarlates de ses prunelles transperce ses interlocuteurs avec une douceur qui ne camoufle rien du danger qu’elles abritent, et lorsqu’elle prend un air innocent en battant ses cils charbonneux, elle n’en dégage pas moins une aura redoutable, qui présage d’un péril imminent.

Asuka revendique une certaine élégance, mais si elle a l’habitude de s’habiller avec des articles griffés, adepte des tenues qui coûtent à elles seules un salaire honorable, elle a surtout pour objectif de mettre ses vêtements au profit d’une apparence qui se veut irrésistible. Au quotidien, les tenues ne sont pas trop révélatrices et le tissu abondant, mais chaque pièce veillera à épouser ses courbes pour en trahir chaque relief. Au travail, lorsqu’elle reprend ses fonctions d’hôtesse dans un maid cafe, le maintien de l’élégance devient un véritable jeu d’équilibriste, les jupes se raccourcissant suffisamment pour dévoiler ses cuisses plantureuses et les décolletés se creusant au point de peiner à contenir son opulente poitrine. Elle incarne alors avec fidélité, et jusque dans les moindres détails, les clichés les plus à même d’éveiller le désir – des costumes d’écolière, de soubrette ou de poupée, suffisamment altérés pour dévoiler sa chair, complimentent son apparence pour le plus grand bonheur de ses clients.

Caractère :

Le cliché paraît grotesque tant il est revu, pourtant, l’image de mante religieuse semble avoir été façonnée pour elle.

Au premier abord, Asuka est tendre, ses manières exquises, son regard fuyant et ses paupières papillonnantes. Le rouge lui monte rapidement aux joues, et la vulnérabilité qu’elle dégage n’est que renforcée par la candeur de ses traits poupons. Elle l’a longtemps été, vulnérable, et malgré les ennuis que lui attirés sa fragilité, elle semble se raccrocher désespérément à cette facette de sa personnalité, qui est depuis longtemps sa façon de rentrer en contact avec l’autre.

Mais derrière ses airs ingénus, Asuka est redoutable, froide et calculatrice. Si sa naïveté a tendance à faire des siennes et continue de lui jouer des tours à une cadence affolante, l’entraînant régulièrement dans des situations qui menacent bien vite de la dépasser, ses penchants plus rationnels finissent par la freiner dans l’objectif de reprendre le dessus avant de perdre le contrôle. C’est un combat sans fin entre son cœur et sa raison, laquelle l’emporte presque toujours et lui a permis d’arriver là où elle est maintenant. Si la peur l’a longtemps habitée, les scrupules, la culpabilité et les regrets ne font désormais plus partie de son registre d’émotions, et Asuka verra toute opportunité à la moralité douteuse comme une façon de parvenir à ses fins, se souciant alors peu de qui sera blessé dans le processus. L’empathie fait partie intégrante de sa personne et les émotions des autres résonnent dans son être après avoir posé un simple regard sur ses interlocuteurs, mais elle a appris à séparer froidement les sentiments des autres de ceux qui naissent dans son propre cœur, lesquels sont devenus tristement superficiels. Seul le puissant moteur de l’envie l’anime au plus profond de son être : la soif de contrôle, l’appât du gain, le désir charnel sont autant de raisons qui l’ont poussée à commettre les actes qui ont façonné la personne qu’elle est devenue.

Histoire :

La violence a rythmé la vie d’Asuka dès l’instant où elle poussa son premier cri – le feu et le sang en ont teinté chaque chapitre jusqu’aujourd’hui.

1. le sang
Elle n’était pas encore en âge de former ses premiers souvenirs que son père redoublait d’ingéniosité pour lui témoigner la haine inspirée par cette enfant qu’il voyait comme un démon. Takahiro Todoroki détestait cette gamine dont la seule naissance lui avait coûté la vie de sa femme, morte en couches après avoir succombé à une hémorragie massive que rien n’avait su arrêter. Il détestait ses prunelles dont les lueurs incandescentes le confortait dans sa persuasion qu’elle était diabolique bien plus qu’elle n’était humaine, et détestait la façon dont ce détail de son apparence ternissait le portrait par ailleurs en tous points similaire à sa défunte épouse – pour Takahiro, il était véritablement insupportable de poser les yeux sur la gamine qu’il abhorrait et d’y voir sa bien-aimée, exception faite de ces iris de feu qui ne pouvaient être que démoniaques. Elle était pourtant loin de l’être, démoniaque : Asuka était une fillette à la douceur incomparable, en mal d’un amour parental qui ne lui avait jamais été prodigué, et toujours prête à redoubler d’efforts pour tenter vainement à s’en montrer méritante. Plutôt que des étreintes et des embrassades, elle grandit dans un quotidien rythmé par les coups et les insultes, incapable de susciter chez son paternel un autre sentiment que la haine viscérale qu’il nourrissait à son encontre dès le jour de sa naissance.

2. le feu
Elle n’avait que dix ans lorsque tout ce qu’elle avait connu jusque-là partit, littéralement, en fumée. Asuka s’était essayée à la cuisine, mais c’est la maison entière qui prit feu, et si elle ressortit relativement indemne de l’incendie, on ne put en dire autant de Takahiro, qui succomba rapidement à ses brûlures après avoir été transporté à l’hôpital. L’on aurait pu y voir la preuve que la gamine était démoniaque – mais pour elle, tout cela relevait de l’incident, et le chagrin vint occulter le soulagement d’être délivrée de son premier bourreau.

3. l'éternelle indésirable
Des bourreaux, il y en eut d’autres. La gamine fut placée en orphelinat, puis, les familles d’accueil se succédèrent, et toutes se valurent sur un point au moins : elle n’y était jamais bien traitée, et la violence qu’elle avait connue en grandissant ne tarda pas à la rattraper sous la forme de coups, de rabrouements, d’autant de sévices psychologiques et physiques qui n’avaient cesse de la renvoyer à sa condition d’enfant haïe. Douce et impossiblement déterminée à trouver une approbation qui ne viendrait jamais, Asuka ne cessait de ravaler ses larmes et de baisser les yeux en recevant ses punitions, mais rien n’y fit, la violence ne cesserait de s’abattre sur elle jusqu’au jour où elle s’enfuirait, à l’aube de ses dix-huit ans, le corps encore marqué de traces violacées.

4. l’empathe devenue désirable
À seize ans, Asuka remarqua pour la première fois la façon dont la colère de son père d’accueil avait résonné en elle, différemment de tous les précédents. Elle l’avait sentie gronder dans son propre ventre avant qu’elle n’éclate de la bouche de l’homme aux traits durs, et s’était sentie trembler de tout son être sans savoir quoi faire de cette sensation étrangère. Le même phénomène se reproduisit, jour après jour, et elle ressentit ainsi, avec une intensité et une précision croissantes, les échos de leurs colères et de leurs joies. Dans le métro, un brouhaha d’émotions la frappait à chaque regard croisé avec un inconnu, et au lycée, elle se sentait régulièrement submergée par l’explosion confuse de sentiments qui était le propre de l’adolescence.

Il fallut près de deux ans à la gamine pour apprivoiser ce don pour le moins particulier. Si les émotions des autres continuaient de la frapper avec la même intensité, elle avait appris à canaliser la façon dont elle les ressentait, à les dissocier de ses propres ressentis, lesquels diminuaient proportionnellement en puissance à force d’être évincés par ceux étrangers qui venaient l’envahir. Puis, elle avait appris à jouer avec ces influx émotionnels, les moduler et les façonner avec une précision certes insatisfaisante, mais régulièrement suffisante pour parvenir à ses fins.

Ainsi, l’orpheline devenue vagabonde après s’être enfuie de sa dernière maison d’horreur apprit à manipuler et à séduire de ses grands yeux innocents. D’abord afin de voler ce dont elle avait besoin, d’escroquer ceux qu’elle rencontrait pour s’offrir un confort sommaire. Puis, alors qu’elle se faisait la main et que ses succès devenaient de plus en plus grisants, elle fut gagnée par une étrange folie des grandeurs, progressivement déterminée à s’offrir ce qu’elle voulait non pas parce qu’elle en avait besoin, mais parce qu’elle le pouvait. Elle était suffisamment séduisante pour faire chavirer les cœurs par la simple force de son sourire innocent et de son corps sculptural – pourtant, Asuka ne se priva pas de se servir de son talent nouvellement dompté pour conquérir et manipuler chaque homme sur lequel elle jeta son dévolu. Les unions se succédèrent, à une vitesse vertigineuse. À tout juste vingt-trois ans, la brunette au regard de braise avait quatre mariages à son actif, tous soldés par des finalités plus ou moins tragiques – il y avait ce banquier qu’elle avait convaincu de lui léguer pratiquement tous ses avoirs avant de le pousser à un divorce au cours duquel il ne se battit pour rien, rongé par la culpabilité artificielle qu’elle lui avait insufflée ; ce chirurgien qui lui avait cédé sa fortune avant de s’enfuir à l’étranger, poussé par une fausse soif de briller dans son domaine de l’autre côté du Pacifique ; ce notaire venu graisser son compte en banque avant de se découvrir, soi-disant, une attirance exclusivement pour les hommes ; et, enfin, cet héritier d’un immense empire immobilier qui lui avait offert un bien d’exception, projetant d’y vivre à ses côtés, avant d’en enjamber le balcon et de se précipiter du quinzième étage.

Ainsi, la mante religieuse prospéra, se nourrissant sans scrupules de ce que ces hommes pouvaient bien lui offrir, comme pour racheter les torts que lui avaient causés les hommes qui l’avaient forcée à grandir sans jamais avoir d’enfance.

5. la rédemption ?
La culpabilité et les remords ne faisaient plus partie du dictionnaire d’Asuka. Pourtant, le suicide brutal de son dernier mari, commandité par les insupportables émotions qu’elle lui avait insufflées, perturba la jeune femme tout juste suffisamment pour la pousser à lever le pied. L’envie qui la faisait avancer dans la vie n’avait pas faibli, mais Asuka décida de ne plus s’employer à des moyens aussi violents pour l’assouvir.

Une fois revendu l’appartement aux connotations sinistres, la mante se complut dans les plaisirs matériels qu’elle avait découverts depuis qu’elle avait commencé à s’acoquiner avec des hommes richissimes. Mais les portefeuilles de ceux-ci ne finançant plus ses activités luxueuses, Asuka dut financer, pour la première fois, son train de vie hors de prix, et les économies amassées au cours de ses mariages malhonnêtes fondirent comme neige au soleil. Au fur et à mesure que se multipliaient les pièces de haute couture dans sa garde-robe, les zéros sur son compte en banque disparaissaient, jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus que cette façade de marque pour dissimuler la pauvreté de ses fonds.

Elle n’avait jamais travaillé, la gamine – mais elle était pleine de ressources, et une nouvelle façon de susciter et de consommer l’envie se présenta finalement à elle. Inscrite à la faculté de psychologie de l’université de Seikusu, un choix qui ne manquait pas de la faire sourire, elle dégota un comme hôtesse dans un maid café en plein cœur de la ville afin de financer tant ses études que son train de vie inévitablement redevenu plus modeste. Soir après soir, la belle brune guette de potentiels clients, pancarte à la main dans la rue devant son établissement, et soir après soir, elle offre sa compagnie à celui ou ceux qui mordent à l’hameçon jeté par son regard de biche écarlate. Elle ne vend que sa compagnie, certes, et les regards chargés de désir que lui lancent les clients ne la font pas déroger aux règles de l’établissement, intraitable sur le comportement attendu à l’encontre des hôtesses dont le seul travail est le divertissement. Mais elle jubile de les voir saliver sur ses courbes presque révélées à leur vue, et y trouve un terrain de jeu inédit pour leur subtiliser un peu plus d’argent.

Comment avez-vous connu le forum ? un top-site ! J'ai hâte de rp avec vous, n'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez lier votre personnage à Asuka :-*
« Modifié: dimanche 29 décembre 2024, 18:28:38 par Serenos I Aeslingr »

Allen Tuatha Dea

Créature

Re : Ultraviolence - Asuka

Réponse 1 dimanche 29 décembre 2024, 16:53:50

Bienvenue ici

Serenos I Aeslingr

Modérateur

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  • Messages: 2422


  • FicheChalant

    Description
    Le Roi des Trois Royaumes et le personnage le plus influent d'Ayshanra. Derrière ses allures détendues et son sourire charmeur, Serenos est un homme dangereux et incontrôlable, et une constante menace pour les royaumes continentaux. Son mépris pour le protocole lui ont attiré le titre de "Roi Fou".

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 2 dimanche 29 décembre 2024, 18:28:23

Bon, alors, âge, c'est bon, physique, c'est bon, caractère, c'est bon, l'histoire, c'est complet...

Bon bah, va jouer, japonaise.

Asuka Todoroki

E.S.P.er

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 3 dimanche 29 décembre 2024, 18:45:14

Merci Allen !  ;D
Oh ouaw, c'est du rapide, incroyable !!! Merci beaucoup Serenos !  :-*

Draven Dairn

Avatar

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 4 dimanche 29 décembre 2024, 21:30:29

bienvenue !

Vance Dax

Humain(e)

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  • Messages: 9


  • FicheChalant

    Description
    Vance est né pour être une star, c'est une idole mascu, libertarienne et sigma qui s'étale sur la toile et pille tout ce qu'il peut des richesses du monde à son profit. Et comme le monde ne suffit pas, il s'est tourné vers Seikusu et ses failles. Et s'il peut vous consommer, il trouvera bien un moyen de le faire.

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 5 lundi 30 décembre 2024, 01:43:55

Bienvenue à toi ! :D

Nowi la Caméléone

Terranide

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  • Messages: 71


  • FicheChalant

    Description
    Une Terranide qui a soif d'aventures et de rencontres. Toujours partante pour s'amuser et découvrir de nouvelles expériences.

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 6 lundi 30 décembre 2024, 11:25:47

Welcome (une Yor ♥)

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Ultraviolence - Asuka [Serevalidonnée]

Réponse 7 vendredi 03 janvier 2025, 18:15:08

Bienvenue parmi nous jolie demoiselle, en te souhaitant de bien t’amuser ici \o/ !


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