Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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« Coupez-lui la biroute », dit la truite, la pipe au bec. v. Jack.

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Dany

E.S.P.er

Charly :
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Voix robotique : dix secondes avant l'explosion de la bombe.

Le chien et le bouclier courent aussi vite qu'ils le peuvent pour rejoindre leur vaisseau, au milieu d'un entrepôt au toit ouvert. Ils slaloment entre les cadavres et les employés apeurés, qui n'ont pas encore eu la chance de fuir. Au-dessus d'eux, une dizaine de vaisseaux flottent déjà vers le haut, des brigands prenant plaisir à les insulter maintenant qu'ils sont en sécurité.

Voix robotique : sept.

Dany et Charly avaient une mission très spéciale sur une autre planète que la Terre et Terra, la planète magnate. Dans le plan orbital de Terra, la planète magnate servait à la production de ressources ; les employés n’étaient que des esclaves qui creusaient toute la journée dans d’immenses mines pour en extraire des pierres servant à diverses fabrications. Il s’avère qu’un employé a trouvé une pierre qui n’était pas comme les autres : cette pierre est considérée comme l’une des plus belles merveilles du monde par les grands collectionneurs. Sa couleur ne ressemble à rien de ce que l’on peut voir actuellement ; il n’y en a que deux qui ont été découvertes jusqu’à présent, et elles sont gardées sous haute sécurité depuis des années.

Voix robotique : cinq.

Cette nouvelle pierre a directement suscité la convoitise de nombreux collectionneurs, qui se sont empressés d’engager des mercenaires pour récupérer ce précieux joyau. Dany et Charly ont été engagés par une femme, Dame Scintilla, comme elle se fait appeler sur Terra. Elle leur a mis à disposition un vaisseau, des plans, des armes, et tout ce dont ils pourraient avoir besoin pendant leur voyage.

Voix robotique : trois.

En arrivant sur la planète, c’était déjà un champ de bataille entre les différents groupes de mercenaires. Il n’y avait aucune pitié entre eux, tant les récompenses promises étaient importantes. Dany et Charly allaient tout faire pour réussir leur mission. Le sang coulait à flots, que ce soit celui des brigands ou des employés. La pierre, soigneusement emballée, passait de main en main jusqu’à arriver à un gros groupe de mercenaires. Une trentaine d’individus armés jusqu’aux dents, avec un énorme symbole de truite arc-en-ciel avec de longues moustaches dessiné sur leur vaisseau.

Voix robotique : deux.

Le groupe qui détenait cette pierre n’allait pas l’abandonner, sacrifiant les soldats les plus faibles en les utilisant comme kamikazes pour stopper le chien enragé qu’était Dany. Ils savaient qu’ils ne pouvaient pas rivaliser avec cette folle furieuse. La marchandise en main, ils devaient fuir en lui mettant des bâtons dans les roues. Et le dernier bâton n’était pas des moindres : une bombe, confiée par leur client pour réduire en cendres cette planète et les autres mercenaires. Un cadeau accroché à un kamikaze qui n’hésita pas à appuyer sur le bouton avant de se jeter du vaisseau.

Voix robotique : un.

À la voix robotique qui s'était enclenchée, et en voyant la taille de la bombe, Charly et Dany savaient qu’ils devaient fuir le plus rapidement possible. S'ils arrivaient à atteindre leur vaisseau, ils allaient pouvoir continuer la course-poursuite dans l’espace.

Voix robotique : zéro.

Le souffle de l’explosion fut dévastateur, creusant le sol jusqu’au noyau de la planète et s’élevant dans le ciel pour foudroyer les vaisseaux qui n’avaient pas été assez rapides pour s’échapper. Il carbonisa toutes les personnes au sol, sans qu’elles puissent sentir la douleur ni leur mort, tant c’était rapide. Mais ce ne fut pas le cas pour tout le monde. Charly, le bouclier, protégeait sa sœur en se plaçant derrière elle, le temps qu’elle prenne sa forme de défense. Ils n’avaient pas eu le temps d’atteindre le vaisseau et devaient faire face à l’explosion. Charly, dont le corps était à toute épreuve, ne craignait aucune explosion. Dany avait également une protection grâce à son pouvoir : elle solidifia ses os au maximum et les fit sortir de son corps le long de sa colonne vertébrale. Une prison d’os se forma autour d’elle, tandis qu’elle se recroquevillait sur elle-même, voyant le visage de Charly devant elle, la couvrant encore.

Charly : on se retrouve vite.

Les os se refermaient pour construire un sas hermétique que rien ne pouvait briser, tandis que les explosions continuaient. La planète s’auto-détruisait jusqu’à une détonation plus forte, projetant tous les débris dans le vide de l’espace. Y compris Charly et Dany. Le bouclier se mit comme en hibernation : en l’absence d’air, son corps décida de gérer les ressources par lui-même, le plongeant dans un profond sommeil. Pour le chien, enfermé dans son énorme carapace blanche, c’était autre chose. Dany était encore consciente, mais ne pouvait rien faire. Elle devait attendre qu’on la retrouve, si possible, le plus rapidement.

Dans le noir, sans aucun son provenant de l’extérieur, Dany ne savait pas ce qu’il se passait. Les brigands avaient récupéré le corps de Charly pour l’offrir à leur client, pensant que ce serait une bonne idée vu la résistance et la force de l’homme. Ils avaient essayé de retrouver Dany sans succès. L'explosion qui avait eu lieu attirait forcément les curieux, et les brigands avaient décidé de partir avant d’avoir des problèmes. Autour des débris de la planète, des vaisseaux de toutes les nations commençaient à arriver pour des raisons diverses. Peut-être que l’un d’eux ramasserait Dany en se demandant ce qu'était cette énorme masse blanche, ou bien que des rayons thermiques puissants remarqueraient qu’il y avait de l’activité sous cette coque épaisse.
La sœur.



Le chien.


Jack Marston

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Jack est un ancien militaire et le premier officier du Masterclass, un vaisseau de chasseurs de primes. Il sert sous les ordres du capitaine Spike Masters, avec qui il a déjà servi dans l'armée.
    C'est le bout-en-train de l'équipage, mais aussi son arbitre.
En réalisant la situation, les habitants de la planète condamnée étaient parvenus à envoyer un ultime signal de détresse. Personne n’avait eu la moindre chance de sauter dans un appareil pour tenter de fuir. Seuls quelques opérateurs vissés devant leurs communicateurs hyperondes avaient pu enfoncer le bouton de transmission et lancer un ultime S.O.S. Puis, le silence total.

Les aventuriers solidaires et les ouvriers en mission dans les champs d’astéroïdes du système avaient foncé dès l’arrêt du signal, arrivant un à un face à l’horreur des blocs de roche gigantesques et du cœur en fusion qui, doucement, s’éteignait pour devenir un noyau brut de métaux rares dur comme le diamant qui servirait d’ancrage gravitique aux restes de ce qui était, un instant plus tôt, une planète malade mais vivante.

Les secours improvisés avaient vite réalisé que tout espoir était vain et ils commencèrent à se scruter et à s’invectiver à la recherche d’un responsable, d’une explication, de justice. Des vaisseaux militaires avaient commencé à arriver et avaient voulu calmer la situation pour, en fait, prendre le contrôle de la zone, dont les rocs renfermaient toujours les richesses encore inexploités de l’ancienne planète. Mais leurs intercepteurs avaient rencontré ceux d’autres armées, venues avec la même intention, et des face-à-face tendus entre escadrons et croiseurs avaient fini par provoquer une réaction diplomatique et le retrait des forces à des points déterminés de l’orbite.

Le limbo dans lequel se trouvait désormais ce territoire permettait à des curieux, à des chasseurs de trésors et à d’autres de se glisser à l’intérieur du champ. Parmi eux, un chasseur de primes solitaire, coupé de son équipe à la recherche d’un vieil ami. Jack avait profité de la première occasion pour s’infiltrer et, depuis, il balayait les roches et blocs dérivants à la recherche du moindre signe, balayant sur tous les spectres et toutes les fréquences possibles avec ses capteurs de pointe qu’il utilisait pour la traque des fugitifs.

« Allez, Rook ! Je sais que t’es un malin. »

Mais il devait se résoudre au pire. Après des heures de recherche, il n’avait rien trouvé et il baissait lentement les bras.

Jusqu’à ce qu’un signal léger soit détecté.

« C’est quoi ça ? »

Il se concentra sur la détection, perplexe, mais plein d’espoir, et l’ordinateur lui avança avec un faible niveau de confiance la présence de vie droit devant, dans un roc à la dérive.

« Putain ! Tiens bon ! Qui que tu sois, tiens bon ! »

Jack mit les gaz pour s’approcher et ralentit progressivement en approchant, se plaçant en trajectoire parallèle avec le rocher avant de confier la navigation à l’ordinateur. Les trajectoires orbitales restaient chaotiques et il devait aller vite pour récupérer ce survivant potentiel avant qu’un autre objet ne fauche l’un ou l’autre. Il alla enfiler en vitesse une combinaison isolante souple et un casque, avant de fermer la cloison étanche entre le cockpit et la zone de repos. Il vida l’air et ouvrit la porte latérale et se retrouva face au roc, qui semblait juste flotter là, devant lui, alors qu’autour d’eux c’était un enfer de corps à la dérive volant en tous sens et se percutant violemment.

Il attrapa un outil laser multifonctions, qu’il avait gardé d’Hypérion IV, avant de s’arrimer à la coque et de se lancer vers le roc. Il s’y accrocha, trouva une bonne prise, et commença à travailler, faisant fondre le roc méticuleusement afin de trouver ce qui semblait pris en-dessous. C’était absolument improbable, mais si ses capteurs avaient trouvé quelque chose, quoi que ce soit, il devait enquêter.

Il tomba vite sur une surface blanche et familière. La fine couche de poussière minérale s’étant solidifiée là se désagrégea en révélant ce qui avait tout l’air d’être un cocon osseux. Jack reconnaissait la matière minérale calcique constituant le squelette de beaucoup d’être vivants. Il en avait vu assez pour en être sûr. Il était circonspect, mais il savait son temps compté. Il tira sur la lanière le reliant au vaisseau et poussa le cocon à l’intérieur. Il entrait tout juste et il put se faufiler, refermer la porte, rouvrit la cloison et, retirant son casque, aller reprendre les commandes. Il brisa la trajectoire et rejoignit un coin plus tranquille, profitant de l’abri d’une des énormes masses de l’ancienne croûte planétaire pour s’y arrimer avec des ancres à pince et retourner examiner sa prise.

En y arrivant, il fut sidéré de voir que le cocon avait disparu et qu’à la place se trouvait une femme. Recroquevillée sur elle-même, elle resta immobile un instant avant de se mettre à bouger. Le vétéran, bouche bée, la regarda se redresser lentement et découvrir son environnement. Près d'elle, deux couchettes superposées, deux casiers étroits, une porte donnant sur des sanitaires absolument minimalistes et, là, dans la direction d'un poste de pilotage, un grand gaillard les yeux écarquillés, qui dut se faire violence pour réussir à prononcer quelques mots.

« C-ça va ? J’ai récupéré votre… Vous étiez sur la planète quand elle a explosé ?! »


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Dany

E.S.P.er

Re : « Coupez-lui la biroute », dit la truite, la pipe au bec. v. Jack.

Réponse 2 vendredi 13 décembre 2024, 21:15:10

Ô, le silence pesant de l'espace... Dany y avait droit alors qu'elle flottait au milieu des débris, enfermée dans son cocon de protection. Son organisme, habitué à des situations extrêmes, se mettait peu à peu au repos pour consommer le moins de ressources possibles en attendant qu'on la découvre. Ce réflexe, presque automatique, découlait de son passé tumultueux. Pourtant, contrairement à ce qu'elle croyait, son interlude flottant ne durerait pas longtemps. Rapidement, des pilotes arrivèrent, soit pour observer, soit pour piller les ressources, soit pour chercher d'éventuels rescapés du désastre... Autant de raisons qui allaient sauver Dany de sa dérive.

Ses yeux, clos pour économiser son énergie, s'ouvrirent brusquement lorsqu’elle sentit quelque chose heurter les os qui formaient sa protection. Le silence total et le froid intense qui l’entouraient confirmaient qu’elle était toujours dans l’espace. Elle ne devait pas quitter son cocon. Tout ce qu’elle espérait, c’est que, peu importe qui tentait de forcer sa coquille et pourquoi, cette personne irait jusqu’au bout et la ramènerait dans un vaisseau.
À l’intérieur de son cocon, Dany restait immobile, économisant son énergie au cas où l’inconnu renoncerait à percer sa coquille. Chaque seconde paraissait une éternité. Dans l’obscurité glaciale, elle savait que crier ou bouger ne servirait à rien : personne ne l’entendrait dans l’espace. Mais cette attente allait payer. L’inconnu persista, ramenant le sac d’os qu’elle était dans son vaisseau, où il le déposa sur le sol métallique.

Dany sentit enfin le sol sous elle. Elle ne flottait plus. Les vibrations des moteurs et des portes lui résonnaient dans les oreilles. Gelée jusqu’aux os, elle dut forcer pour briser son cocon, laissant tomber sur elle une étrange poussière. Ses os, sortant lentement de sa colonne vertébrale, réintégraient son corps dans une symphonie macabre. La glace collée à ses os les faisait craquer, donnant l’impression qu’elle se disloquait. Le froid lui transperçait les tripes, semblable à ce qu’on ressent en mangeant une glace trop vite : un éclair glacial traversant le cerveau. Ses muscles, contractés par le froid, semblaient lutter pour la maintenir en vie. Soudain, la porte s’ouvrit, et des pieds apparurent devant son visage.

Dany savait qu’elle devait bouger. Elle ne pouvait pas rester prostrée comme un chien battu. Avec un effort, elle leva un bras et s’agrippa à une couchette voisine pour se hisser. Ses mouvements étaient saccadés, mais elle finit par se redresser, atteignant presque ses deux mètres de haut. Soutenant son corps meurtri, elle gardait la tête légèrement baissée, ses cheveux cachant son regard.

Dany : J’y étais. Mon frère aussi…

D’un mouvement brusque, elle releva la tête, dévoilant un regard à la fois autoritaire et dangereux.

Dany : Il est où ? Tu l’as récupéré aussi ? Il était à côté de moi pendant l’explosion.

Elle fit un pas en avant, son corps lourd et marqué par le combat balançant à chaque mouvement. L’explosion, la lutte, et sa transformation n’avaient laissé que des lambeaux de sa tenue. Son pantalon n’avait plus qu’une seule jambe intacte, laissant l’autre dévoiler une culotte noire abîmée et couverte de poussière. Ses chaussures étaient éventrées, si bien qu’un orteil dépassait. Quant à son haut, il n’en restait rien. Les os qui étaient sortis de son corps avaient réduit en miettes le tissu qu’elle portait. Sa musculature impressionnante, marquée de nombreuses cicatrices, était désormais à nu. Sa poitrine généreuse, elle aussi exposée, se mouvait au rythme de ses pas ou des légères turbulences du vaisseau.

Dany : T’es avec ces enculés ?

Le froid embrumait son esprit. Si elle avait été pleinement consciente, elle aurait remarqué les détails du vaisseau : sa taille modeste, l’espace réduit, les couchettes superposées… autant d’indices que l’homme devant elle n’avait probablement rien à voir avec les mercenaires responsables de l’explosion. Mais dans son état actuel, Dany était comme un chien fou, prête à bondir. Heureusement, elle savait écouter. Si son interlocuteur restait calme et parlait, elle reprendrait rapidement ses esprits. Dany n’était pas du genre à s’entêter aveuglément ; elle savait se contenir. Enfin… maintenant. Il y a quelques années, elle aurait attaqué sans réfléchir. Heureusement pour le pauvre pilote devant elle, elle avait changé.
La sœur.



Le chien.


Jack Marston

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Jack est un ancien militaire et le premier officier du Masterclass, un vaisseau de chasseurs de primes. Il sert sous les ordres du capitaine Spike Masters, avec qui il a déjà servi dans l'armée.
    C'est le bout-en-train de l'équipage, mais aussi son arbitre.
On voyait beaucoup de choses dans l’espace, mais c’était bien la première fois que Jack voyait un truc pareil. Cette femme semblait bel et bien humaine. Elle avait un physique sacrément bien développé et avait pris cher, mais rien ne permettait de la distinguer outre ce cocon d’os qui lui revenait maintenant dans le corps, lentement, en lui infligeant manifestement une terrible douleur. Elle n’était clairement pas humaine, ou pas tout à fait du moins. Ce qu’elle était lui était donc inconnu et ça l’inquiétait, car il ne savait pas à quoi s’attendre de sa part. Logiquement, il se retrouva sur la défensive et, s’il avait été armé sur l’instant, il aurait probablement dégainé son puissant revolver, ou au moins ouvert le holster et saisi la crosse ; ce qui aurait été stupide. Il ne pouvait pas se défendre avec une arme à feu à une distance si courte. Elle serait sur lui avant qu’il puisse s’en servir.

Heureusement, donc, il était forcé à parlementer, et il le fit, tenant une main ouverte en avant pour la retenir, et l’autre en vue et ouverte, mais prête à agir au besoin, pour lui montrer qu’il n’était pas armé. Il était prêt à se défendre, mais il n’attaquait pas. Il recula d’un pas quand elle avança de son côté, et était bien trop occupé à penser à sa vie pour penser à mater ce corps certes meurtri, mais très plaisant à regarder dans d’autres circonstances.

« Les enculés ? Qui ?! Écoute, je… Moi, c’est Jack, et je suis venu chercher un ami dès que j’ai entendu parler de la catastrophe. Je n’ai rien trouvé. La planète a complètement disparu et ces cons de militaires se braquent pour savoir qui récoltera les cailloux, j’ai bien failli ne pas réussir à approcher pour seulement chercher. C’est un miracle que je t’aie trouvée, pour commencer. Il… »

Il soupira, l’air désolé, et souffla avec empathie :

« Il n’y a plus rien, là-dehors. Je suis désolé. »

Il laissa s’installer un court silence, voyant bien que l’inconnue écoutait, mais hésitait. Il pouvait encore se passer n’importe quoi. Elle pouvait au moins voir qu’il était sincère, et vraiment désolé. Il avait perdu un ami, et elle avait perdu son frère selon toute apparence. C’était un jour terrible, pour elle plus que pour lui, et il était impossible de dire comment elle y réagirait.
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