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Domestique infiltrée dans la cage du lion [ PV La Légion - Pyrrhus ]

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La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Une simple domestique, cherchant à s’engager, habituée à monter et à chevaucher comme un homme. L’esprit du feu n’y croyait goutte. Non. Bien que non, ce n’était pas vrai. Elle mentait sur un point ou un autre quant à sa personne. Mais bon, les flammes purifiaient les mensonges. Et elles purifieraient les siens, comme le reste. L’Eternel Ardant soit loué.

« Si tu sers bien, un jour, les tiens aussi reflèteront le feu de l’Eternel Ardant. Tu verras… ; et ce jour-là, tu te sentiras pleine d’une énergie et d’une vie nouvelle au sein de la légion… »

Il ne mentait pas, c’était clairement la suite logique. Mais encore fallait-il qu’elle atteigne un tel rang. Peu étaient les élus. Pour preuve, les individus ayant reçu ce don n’étaient pas légion, dans la légion. Mais qui savait. Ses desseins étaient hors de toute compréhension mortelle, n’est-ce pas ? Et même immortelle. Seul Pyraetus savait à quoi il fallait s’attendre. Et encore, parfois l’homme lion avait des doutes. De gros doutes.
 Il passa un bras autour de sa taille, la calant un peu plus contre lui, contre son imposante stature. La jeune Mielle, ou qui disait d’appeler Mielle ne semblait pas trop se défaire de cela, et elle disait elle-même trouver plaisant de se trouver en selle avec lui.

« Plus plaisant que la carriole, c’est sur… »

Il se moquait encore des bleus qui, livides, n’avaient plus rien à vomir. Déjà. Ah là là, ils ne feraient pas tripette, ceux-là.
Ils en venaient à des sujets plus sérieux, et plus importants. Les raisons de son allégeance. Son choix de rejoindre la légion. Elle ne donnait pas de réellement bonne raison, parce qu’elle sacrifiait beaucoup pour, au final, pas grand-chose… non, vraiment, ça allait lui faire du mal. Beaucoup de mal, quand elle le verrait. Mais le lion ne se sentait pas beaucoup concerné par ça. Loin s’en fallait. Il lui fit un sourire avant de finalement opiner du chef. Ses raisons à lui… eh bien… c’était délicat. Alors il rebondit sur ses propres raisons le temps de bien réfléchir à cela.

« Je ne suis pas sûr de pouvoir t’aider à retrouver la personne que tu recherches, mais si c’est en mon pouvoir, je te promets que je t’aiderai à la retrouver. Quant à partir loin d’où tu viens et ne jamais y retourner... je suppose que ce ne sera pas sûr, même si je ne peux pas te promettre de ne jamais te retrouver chez toi si je ne sais pas d’où tu viens…. Tu me le dirais ? »

Il lui sourit et finit enfin par lui répondre, concernant la raison du seigneur des nuées de servir l’Eternel Ardant.

« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours servi l’Eternel Ardant, j’ai mené mille fois mille batailles, et je suis mort des milliers de fois pour le Maitre de la Légion. Je n’ai jamais connu d’autre vie et ne souhaite en connaitre aucune autre. Car je lui ai offert ma vie, et je le laisse en disposer comme il le désire. Est-ce que cela te semble trop fanatique, ou trop endoctriné ? pourtant, ce n’est pas le cas… je suis pragmatique et réaliste. Il finira un jour u l’autre par attendre son objectif, et ce jour-là, ceux qui l’ont servi seront largement récompensé, au-delà de leur imagination. Est-ce que cette raison te parle ? »

Ça devrait bien lui suffire.

« Si la légion t’accueille en ses rangs et que tu fais tes preuves, je te raconterais une histoire sur le sujet. »
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Après avoir avoué qu’elle trouvait les yeux de Flambe magnifiques et qu’en effet, ils lui plaisaient beaucoup, Topaze put l’entendre lui répondre que si elle était une bonne servante de la légion, peut-être qu’elle aussi un jour aura le privilège d’avoir le feu de l’Eternel Ardant qui se refléteront dans ses jolis pupilles dorées, ce qui lui assignera une nouvelle vie au cœur de la légion. Ne sachant vraiment quoi répondre à tout cela, la jeune femme noble se contenta de hocher doucement la tête en écoutant l’homme derrière elle qui la maintenait contre lui, avant de poursuivre la conversation sur le fait de savoir si elle trouvait cela plaisant de monter à cheval à deux pour la première fois de sa vie, ce qu’elle répondit à l’affirmative un peu timidement.

Mais quand elle entendit le chef des jeunes soldats rebondir sur son aveu pour tacler dans une moquerie les jeunots dans la carriole qui étaient bien malades après leur soirée arrosée, elle ne put s’empêcher de rire doucement à cela tant c’était bien trouvé et touché, hochant doucement de la tête de nouveau en fermant les yeux en esquissant un sourire amusée. Puis la conversation reprit un cours plus sérieux alors qu’elle venait à parler des raisons qui la poussaient à rejoindre la légion.

La jeune femme noble avait décidée d’être honnête en partie, dire ses raisons sans trop s’étendre dessus, se disant qu’elle se devait d’être un minimum sincère dans cette affaire car ça ne servirait à rien de bricoler un mensonge qui ne tiendrait pas la route et sonnerait faux, en tout cas à ses oreilles à elle. Puis elle n’avait pas envie de mentir une énièmes fois, encore et encore, comme elle le faisait depuis des années en arborant l’identité de son frère, étant obliger de mentir à tort et à travers au point de lui en donner la nausée. Non, là elle voulait être un semblant honnête, même si elle mentait sur son identité, elle ne voulait pas mentir sur les raisons qui l’animait de se lancer dans cette mission suicide dont elle était parfaitement consciente mais qu’elle était prête à prendre le risque, n’ayant plus rien à perdre au final, pas même une famille qui l’aime ou des amis ou même encore un petit ami, donc elle jouait le tout pour le tout.

Alors qu’elle s’était laissé tomber contre le terrannide lion, la noble demoiselle déguisée en domestique avait relevé sa tête vers lui, le regardant après lui avoir révéler donc les raisons qui l’animait à rejoindre la légion mais lui demandant en retour les raisons qui l’avaient animé lui à la rejoindre, curieuse d’en savoir plus à son sujet tout simplement. Mais au lieu de lui répondre, l’homme qui la tenait par la taille rebondit de nouveau sur ses paroles, venant à lui dire qu’il ne pouvait rien lui promettre mais que s’il pouvait l’aider, il le ferait, tout en lui demandant ensuite en souriant est-ce qu’elle lui dirait d’où elle vient s’il lui demandait, pour l’aider justement à ne pas retourner là-bas, ce à quoi elle répondit sans hésitation.

« Oui je vous le dirais si vous me le demandiez… »

Était-ce risqué de lui dire d’où elle venait ? Et est-ce qu’il ferait le lien avec sa famille s’il en avait déjà entendu parler ? Elle l’ignorait et elle savait que c’était risqué, mais dans un sens si elle ne voulait plus retourner là-bas, il était vrai qu’elle devait lui dire d’où elle venait pour éviter de se retrouver en ce lieu qu’elle semblait vouloir fuir plus que tout au final. Donc, il n’y avait pas le choix finalement et s’il lui demandait elle lui répondrait sans la moindre hésitation, quitte à ce qu’elle soit découverte, elle en prenait le risque sachant qu’elle avait une chance sur deux d’être découverte ou pas, c’était un coup à jouer après tout se disait-elle.

Mais ensuite Flambe répondit à sa question en lui racontant les raisons qui avait fait qu’il avait rejoint la légion de l’Eternel Ardant, lui disant qu’il avait toujours servi la légion aussi loin qu’il s’en souvienne, qu’il avait mener des milliers de batailles et qu’il était également mort autant de fois. Topaze l’écoutait avec une grande attention, sa tête contre son torse relevée vers lui, ne se rendant pas encore compte de cette proximité entre-eux visiblement, tant elle était hypnotisé par ses yeux que ses paroles.

Même si elle ne laissait rien paraître, quelque chose l’avait fait tilter dans ses paroles : il ne lui parlait que de sa vie au sein de la légion, comme si sa vie d’avant n’avait jamais existait ou comme s’il avait vécue toute sa vie dans la légion finalement. Cela l’intriguait mais elle ne le trouvait bizarrement pas fanatique ou endoctriné, juste très dévoué à la légion, se disant qu’à côté d’elle il faisait vraiment serviteur de la légion dédié corps et âme, comme ce qu’il parlait un peu plus tôt.

« Non, je ne vous trouve rien de tout ça Sire Flambe… Vous croyez en un futur nouveau et être prêt à tout pour que cela se réalise, je ne trouve pas cela fanatique ou endoctriné. Je trouve ça plutôt noble même… Tous le monde n’est pas prêt à se donner corps et âme pour ça, ce n’est pas donné à tous le monde je pense et je trouve ça admirable ma foi… »

Déclara t-elle en le regardant avant de fermer les yeux en esquissant un sourire, venant rajouter.

« Quant au fait d’être récompensé au-delà de ce qu’on peut imaginer, je n’ose pas l’imaginer je dois avouer mais c’est peut-être parce-que tout ce qui peut être lié à cela comme les richesses, les terres, la vie éternelle et tout un tas d’autres choses extraordinaires ou fascinantes ne m’intéresse pas vraiment… J’ai toujours été un peu bizarre de ce côté-là, les récompenses n’ont m’ont jamais attirer pour être honnête, mais je comprend l’intérêt qu’elle suscite chez les autres en revanche. »

Ajouta t-elle en rouvrant les yeux, riant doucement d’elle-même en avouant être bizarre avant d’hausser un sourcil en entendant la suite des paroles de l’homme à la somptueuse chevelure et aux yeux de flammes qui la captivait, penchant un peu sa tête en arrière tout en restant contre lui en le regardant, intriguée par cette histoire qu’il lui racontera si elle fait ses preuves.

« J’espère alors être suffisamment bien pour avoir la chance d’être retenue et entendre cette histoire Sire Flambe. »

Répondit-elle en finissant par esquisser un sourire en hochant doucement la tête tout en la laissant toujours légèrement pencher contre son torse, avant de se mettre doucement à rougir en se rendant compte qu’ils étaient vraiment tout proche l’un de l’autre.

« Ho ! Je… Navrée je… Je crois que je me suis laisser aller sans m’en rendre compte… Pardon ! »

Dit Topaze en s’excusant tout en s’apprêtant à redresser doucement sa tête pour se replacer normalement, sauf si on ne l’a laissait pas faire car après tout y avait pas de mal et c’était peut-être pas si désagréable d’avoir la demoiselle logée comme ça contre soi puis elle ne risquait plus de tomber en cas de nouvel incident ainsi installé aussi non ?

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La jeune femme était calée pour le seigneur Flambe, en elle, et il fallait reconnaitre qu’il ne trouvait pas cela désagréable. La position eut été meilleure qu’elle aurait pu sentir une envie qu’elle aurait probablement trouvé très déplacée. Mais en l’occurrence, la position évitait ce désagrément pour elle. Cela n’empêchait pas. Dans tous les cas, sentait-elle la chaleur qui pulsait sous la surface. Il avait la peau, les mains, bien plus bouillants que n’importe quel être de chair et de sang. Il était autant fait de feu que de chair.

« Alors je te le demande Mielle, d’où viens-tu ? »

Voilà, elle allait me dire où elle ne voulait pas retourner, pour ne jamais se retrouver forcée d’y aller. Ou alors au contraire, pour assister à la réalité de la légion, une pluie de cendre et un silence de cimetière. L’un des deux... ou les deux, ou aucun. Enfin bref, telle était la seule solution qu’il fallait envisager. Il lui fit un sourire et vint doucement caresser ses cheveux d’une main. Elle était calée contre lui, et s’était presque un peu laissée aller. Oui, définitivement, Pyrrhus la garderait pour lui, cette petite, elle serait parfaite dans le rôle de servante et plus encore. Oui, très bien. Sa propriété personnelle, aurait-on pu dire.
Sa réaction sur la dévotion du lion lui attira un sourire, en même temps, le lion la comprenait. Elle ne connaissait de la légion que la beauté. Dirait-elle pareil en constatant que derrière eux, il ne restait jamais que ravage et charbons ardents ? Non, sans doute ne s’y attendait-elle pas. Enfin, elle le comprenait sans doute très vite, sitôt arrivés dans le camp, même, puisqu’à cet instant, elle aviserait de la situation. Mais si elle voulait servir, alors elle servirait. Ou elle se briserait ? C’était une possibilité aussi, oui.
En tout cas le courant passait bien. Et il fallait reconnaitre que la sentir blottie comme ça…
En tout cas, elle semblait sous le charme et il garda son bras autour de sa taille, l’empêchant de s’écarter quand elle sembla réaliser qu’elle s’était blottie.

« Ne t’excuse pas, tu es bien installée et c’est tout ce qui compte ma belle. Et promis, en temps utile, je te raconterai l’histoire de la légion… mais je crois qu’on va accélérer un peu l’allure, et laisser la cariole derrière, ma belle. »

Il lui sourit, et d’une pression des genoux, le lourd destrier accéléra un peu, entamant un rythme plus rapide pour rejoindre le bosquet, où un transport magique nous attendait pour accéder au campement. Le transport magique mis en place au lieu des traditionnels griffons nous ferait gagner huit jours de chevauchée. On aurait dit un brasier, ou l’image d’un brasier.

« Voilà le portail qui nous mènera au camp. Considère ça comme une forme de rite de passage. Il va falloir te jeter dans les flammes. Et moi je t’attendrai de l’autre côté. »

Le lion sauta de selle, l’aida à descendre et, avec le cheval, avança vers les flammes.

« Ne t’y trompe pas, ce sont de vraies flammes., alors rejoins moi vite… »

Inutile de préciser qu’il passa l’air de rien, avec le cheval, sans que l’un ni l’autre ne fasse quoique ce soit. Tout au plus les flammes leur léchèrent le corps. Il en irait cde même pour elle, mais… disons que sa tenue ne risquait pas de survivre à la flambée…
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Alors qu’elle était bien blottie contre Flambe, la jeune demoiselle noble pouvait sentir sa main chaude par-dessus ses vêtements tandis qu’il la tenait contre lui pour qu’elle ne bouge plus. Tandis qu’elle termina de répondre à la positive au chef des jeunes soldats qui lui demanda si elle lui dirait d’où elle venait s’il lui demandait, Topaze se fit la réflexion qu’il devait sûrement avoir une température corporelle haute pour sentir autant la chaleur que dégageait sa peau au travers des tissus de sa robe, se mettant à rougir doucement à d’autres pensées qui s’invitèrent d’un coup sans prévenir, pensées embarrassantes même mais qui fut chassées autant par la question du beau terrannide lion que par son beau sourire.

« Je viens de… la ville-état de Terra… Nexus… »

Répondit-elle en regardant l’homme aux magnifiques yeux de feu contre lequel elle était blottie, rougissant légèrement tout en se faisant doucement caresser sa longue chevelure de neige par Flambe en ne le quittant pas un instant du regard, attendant une réaction ou un mot de sa part avant de poursuivre la conversation sur les raisons qui avaient fait que le chef de cette petite troupe avait rejoint la légion, raisons que la jeune demoiselle aux prunelles dorées avoua comprendre en parlant de la beauté de son engagement et de croire en le changement du monde.

Mais voilà, Topaze finit par se rendre compte tout en admirant Flambe qu’elle était très proche de lui, finissant par comprendre qu’elle s’était laisser tomber bien contre lui et qu’elle était très bien installé même. Se rendant compte de cela, la jeune demoiselle déguisée en domestique s’excusa en se préparant à se redresser, mais elle put sentir la main de l’homme à la crinière de lion laisser son bras autour de sa taille tout en la retenant doucement, venant ensuite lui demander de ne pas s’excuser et la rassurer par de douces parles en l’insistant à rester ainsi, faisant doucement rougir un peu plus la jeune femme aux cheveux de neige.

Écoutant la suite des paroles du terrannide lion sur le fait qu’il lui raconterait en temps et en heure l’histoire de la légion, avant de rajouter pour la prévenir qu’ils allaient accélérer la cadence, la noble demoiselle hocha doucement la tête deux fois pour signifier quelle avait bien compris tout ce qu’il lui avait dit et qu’elle était prête pour la montée en vitesse de la monture.

La demoiselle bien blottie contre le chef des jeunes recrues qui la maintenait contre lui tandis que le noble destrier entama son accélération dans son trot qui se transforma en rapide galop, ils arrivèrent rapidement sans embûche à un endroit des plus étranges, une sorte de place où se trouvait un grand brasier qui dansait au milieu du paysage. Il se dégageait de cette énorme mur de flammes une aura mystérieuse, énigmatique mais aussi attractive, presque hypnotique tant par la magie qui s’en dégageait que la danse des braises qui se déroulait devant eux.

Alors qu’elle admira cette chose extraordinaire à ses yeux, Topaze put entendre les explications de Flambe à son sujet, lui expliquant que ce brasier géant était en fait un portail et qu’elle allait devoir se jeter dans les flammes en guise de rite de passage. Ne semblant absolument pas paniquée après ce détail, la jeune femme aux prunelles d’or hocha doucement de la tête après les paroles de l’homme à la chevelure majestueuse, se laissant aider ensuite à descendre de la monture par ses soins, son cœur se mettant à battre légèrement en prenant sa main avant de se retrouver dans ses bras pour mieux descendre du destrier. 

Une fois au sol, la jolie fausse domestique regarda l’impressionnant terrannide lion avançait vers les flammes en tenant le cheval par les lanières des rênes, l’écoutant attentivement avant qu’il ne disparaisse dans cet immense brasier ensemble, la mettant en garde sur le fait que c’était des vraies flammes et lui demandant de la rejoindre rapidement.

« Très bien… Je ferais au plus vite alors Sire Flambe… Merci… »

Répondit-elle en hochant la tête même s’il ne pouvait pas la voir, le regardant se volatiliser dans les flammes qui dansaient encore plus sous leur passage, les englobants prédiques telle une étreinte en leur sein. 

Après cela, la jeune demoiselle s'approcha doucement de cet étrange portail brûlant dont elle ressentait toute sorte d’énergies s’en dégager. Étrangement, sachant que c’était pourtant des vraies flammes et pas juste des illusions magiques, elle ne ressentait aucunes craintes et n’avait pas peur d’être blessée. C’était peut être un début de folie ou d’uns conscience de sa part, mais quelque chose au fond d’elle lui disait qu’elle ne craignait rien tant qu’elle n’avait pas peur et traversait en restant calme. 

Puis, ni une ni deux, Topaze finit par pénétrer enfin dans les flammes, se sentant entourait d’une immense chaleur intense, pire que les journées les plus chaudes en pleine été et canicule dans le désert sous le soleil tapant. C’était brûlant et si chaud mais la noble demoiselle ne se laissa pas distraire par ses ressenties et poursuiva son avancée dans les flammes qu’elle sentait frôlait sa peau voire la caressait même, comme si sa peau était à nue. Ce qui fut vite le cas en fait et elle ne se rendit compte de cela que une fois de l’autre côté, en passant une main sur l’un de ses bras en ouvrant de grands yeux surprises en sentant sa peau et non le tissu de la manche de sa robe. 

Baissant doucement la tête vers son bras, la jeune femme put constater qu’elle était entièrement nue et se mit a rougir tout en passant ses bras autour d’elle pour se cacher. Ainsi on pouvait mieux se rendre compte de son corps élancée et si fin, de sa peau lisse et si claire sans aucuns poils a part quelques un au niveau de son intimité blanc comme sa longue chevelure lunaire. On pouvait également voir qu’elle n’était pas pour autant sans formes et qu’elle avait quelques muscles légèrement dessinés sans être disgracieux bien au contraire, montrant qu’elle devait être sportive mais qu’elle avait de bien jolies courbes féminines malgré ça avec une bien jolie paire de hanches et une jolie poitrine bien ronde. 

Mais on pouvait aussi voir qu’elle avait des marques de bleus au niveau de sa poitrine sur les côtés et un peu dessus également, montrant que celle-ci devait être malmenée, ce qui était en effet le cas puisque la demoiselle bandait quasi quotidiennement ses seins pour dissimuler le fait qu’elle était une femme et ainsi se faire passer pour son jumeau en se déguisant en homme. Mais la demoiselle ne se rendit pas compte de ce détail, l’oubliant presque et constatant qu’elle était estimèrent nue devant Flambe, essayant de cacher sa nudité comme elle pouvait avec ses bras en baisant doucement la tête tout en ramenant quelques mèches de cheveux devant son corps pour se couvrir, les joues rouges et le regard rivé au sol.  

« Je… Je… Je… Désolée, je… Je… Je crois qu’il y a eu un incident avec mes vêtements dans le passage des flammes… Je… Navrée d’être dans une tenue si indécente Sire Flambe…  »

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Le lion grogna en entendant Mielle dire venir de la ville de Nexus. Pour ce que ça valait il savait que Nexus serait probablement la dernière ville à tomber, à ployer le genou devant la légion. Ce ‘n’était pas un objectif immédiat. Et sincèrement, le jour où cela arriverait, il voyait mal quelqu’un d’autre que le Stratège faire tomber la ville, supporté par les trois autres légions. Difficile de penser que les chose se dérouleraient sas heurt sur le sujet. Donc il allait falloir tout le monde. Et pour qu’il y ait tout le monde, cela signifierait que tout le reste était tombé, sans doute…

« J’en prends bonne note. »

Ils arrivèrent au-devant du portail de flammes qui nous séparait des abords du camp/ un mage avait du sans doute se saigner pour le maintenir ouvert et il ne restait plus qu’à le franchir. Pour le général, cela ne posait aucun souci, pour elle par contre, c’était sans doute un peu plus particulier. Entrer dans un brasier, c’était contre-intuitif, sans doute, mais c’était sa première épreuve. Les flammes la dévoreraient et la recracheraient, la purifieraient, pourrait-on dire. Il fallait bien reconnaitre que cela avait de quoi faire peur. Toutefois, ce serait intact qu’elle arriverait de l’autre côté. Enfin, physiquement, mentalement, le fait de s’être jetée dans le feu et d’en ressortir comme ça, elle aurait sans doute une petite chose de différente dans son approche du feu et de la douleur. Ou pas, cela variait énormément selon les personnes.

Il regardait le portail, attendant de la voir passer. Il sut plus qu’il ne vit la jeune femme entrer dans les flammes. Il le sentit, et bientôt, il vit son côté pâle et clair se montrer. De longues jambes fuselées, un ventre qui révélait de légères marques d’abdominaux, des bras fermes, aux biceps et triceps bien dessinés.  Elle était une jeune femme qui avait subi un entrainement exigeant, c’était le moins que l’on puisse dire. Il regarda d’autres détails, voyant un galbe de sein joli, pas imposant, mais pas mal du tout, et un sexe surmonté d’une fine toison de la couleur de ses cheveux et de ses sourcils. Un poil de neige.
Aussitôt présente, elle se couvrit, et le lion vit les marques de bleus. Il savait pertinemment à quoi correspondaient ces marques. Elle devait se bander les seins pour aplatir sa silhouette. sans doute désirait-elle passer plus inaperçu, ou même se faire passer pour un homme, ce qui serait bien plus logique pour permettre de voyager et se déplacer sereinement.

Elle rougissait de gêne et de honte. Et le lion explosa de rire. Un rire  puissant presque tonitruant qui se répercuta dans les environs avec toute la puissance de son coffre. Et quand son hilarité fut passée, enfin, il put lui répondre, plus sérieusement, qu’il gardât un petit air amusé, moqueur presque, dans le regard.

« Quelle malchance. Mais c’est normal, le feu est le plus puissant des purificateurs. D’autres vêtements te seront donnés ultérieurement qui résisteront aux flammes. Mais ne te cache pas. Tu devrais être fière d’être ici. Tu devrais être fier d’avoir donné jusqu’) tes vêtements aux flammes pour la Légion. Tu ferais tout pour servir la Légion, le premier Tout, c’est de lui offrir ta pudeur. Livre-toi, corps et âme. Accepte de te montrer dans ce que tu es de plus simple et de plus pur. »

Autrement dit, elle allait devoir traverser la moitié du camp sans liquette. De quoi la faire se mettre elle-même à l’épreuve.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Une fois que Topaze fut passée dans le portail de flamme et en fut ressortie en ayant la surprise de découvrir qu’elle était entièrement nue, ses vêtements ayant été brûlés visiblement par le feu du passage magique, elle se mit a paniquée doucement tout en cachant sa nudité comme elle pouvait avec ses bras, s’excusant de se montrer dans une tenue si indécente devant le terrannide lion.

Alors qu’elle regarda le sol en rougissant de sa nudité et de la situation, la demoiselle cligna des yeux en entendant un rire dans les airs qui faisait écho dans les murs autour d’eux, lui conférant une intensité impressionnante sonore. Relevant timidement la tête, la jeune noble pouvait voir Flambe rire aux éclats pendant un petit moment, certainement fort amusé de la situation ou de sa réaction, ce qui fit rougir davantage la jolie blanche-neige qui se demandait si elle n’avait pas l’air peut-être un peu trop enfantine dans son comportement, la faisant déglutir doucement en se pinçant légèrement les lèvres.

Et quand elle entendit les paroles du chef de la petite troupe (qui était toujours loin derrière eux car la carriole n’était pas encore arrivée avec sa brochette de jeunes soldats nauséeux), Topaze hocha doucement de la tête pour dire qu’elle comprenait ses paroles tout en continuant de se pincer les lèvres, avant de les relâcher et de déglutir de nouveau pour reprendre la parole.

« Je… Je vois, soit… Entendu, je… Je… Je suis fière et honorée d’être ici et… Je serais me montrer digne d’être ici… »

Sur ces mots, elle essaya de redresser tout son frêle corps de porcelaine aux formes joliment dessinées et légèrement sculptées par ses muscles faits, relâchant ses bras qui la couvrait avant de porter son regard sur sa poitrine couverte de bleus, la faisant déglutir en voyant cela et en se disant qu’on allait sûrement lui poser des questions pour ça, ne sachant pas vraiment quoi répondre à cela si ça devait arriver, car elle n’avait pas prévue de se retrouver nue en faite.

Le rouge toujours un peu présent aux joues, la tête redresser ainsi que son corps bien droit dont ses bras longeait le corps, la jeune demoiselle essayait de faire bonne figure même si il était évident qu’elle n’était pas complètement à l’aise d’être à nue ainsi, comme une petite pucelle (ce qu’elle était en plus bien entendue). Puis doucement et timidement, elle se mit a marcher pour rejoindre Flambe et sa monture, venant se positionner près de lui tout en libérant le passage pour les prochains qui arriveraient sûrement se disait-elle.

Ainsi positionné près de lui, il pouvait admirer un peu plus son corps qu’elle n’essayait plus de cacher, même si ses joues rosées montraient bien qu’elle était un peu gênée de tout cela. De plus elle était toute silencieuse, ne sachant pas quoi dire en regardant un peu sur le côté, tout en se pinçant les lèvres de nouveau, visiblement un petit tic qui indiquait qu’elle était bien gênée en plus de la jolie couleur sur son visage diaphane.

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Elle avait un air très gêné, bien sûr, et qui ne le serait pas dans cette situation, mais il ne pouvait pas s’empêcher de rire d’elle, de trouver la situation cocasse ou autre. En même temps, elle devait bien reconnaitre que se retrouver nue au milieu d’inconnus, ça avait quelque chose de proprement surprenant. Heureusement, il finit par calmer son hilarité au bout d’un certain temps. C’était déjà ça. Et il allait falloir qu’elle se fasse à cette situation, car elle n’aurait pas de vêtements immédiatement, alors autant être fière  et digne sans pudeur, n’est-ce pas ? Au fond, qu’est-ce que c’était que de se foutre à poil ? Ce n’était rien, exactement… alors autant qu’elle s’y fasse. Toujours était-il qu’elle se redressa alors un peu, essayant de se montrer sous un meilleur jour.
Et elle se montra, avoua son corps à toute personne qui passerait ici, et le lion regarda, s’arrêtant bien sur les bleus, qui marbraient d’un jaune marroné  sa poitrine, mais aussi sur les aréoles et les tétons, si pales qu’ils auraient pu ne pas être différenciés du reste de sa peau. Elle ne se cachait plus même si elle était pivoine au niveau des joues. Je lui lion lui posa la main sur son épaule nue. Elle avait les lèvres pincées, et puisqu’il n’en comprenait pas le sens, il décida de l’ignorer.

« Est-ce si dur que ça ? »

Il donna une claquer sur la croupe du cheval, le faisant s’écarter et révélant à sa vue le campement de dizaine de milliers d’hommes, de créatures. Les tentes s’alignaient si loin…. Et le sol semblait gris, sentait-elle la douce chaleur sous ses pieds, celle de la cendre encore tiède d’un brasier  de la veille ?
La main toujours sur son épaule, il la poussa un peu ene avant pour qu’elle fasse ses premiers pas dans le camp. Sentait-elle que la cendre ne s’accrochait pas à son corps, et qu’elle était aussi douce que du sable fin ?

« Miel, sache que je ne m’appelle pas Sire Flambe, mais que mon nom est Pyrrhus, seigneur des nuées, et général de cette légion. Alors, acceptes-tu d’entrer à mon service ? »

Il profita de l’élan donné pour regarder un peu ses hanches et ses fesses. Oui, une vraie petite perle de beauté. Elle me servirait bien, espérais-je.

« Tu n’auras pas à te bander les seins à t’en faire des bleus, si tu me sers. Tu es bien trop belle pour te contraindre à cela.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Elle s’était redressé et ne se cachait plus, mais une légère gêne persistait, bien indiqué par ses joues légèrement rosées et ses petites lèvres pincées. Ce n’était pas évident pour une petite pucelle de se retrouver nue devant quelqu’un, mais devant plusieurs personnes… Ça allait être un sacré parcours du combattant, mais elle y arriverait, elle avait les ressources en elle pour ça. Après tout, ce n’était qu’un défi de plus à remporter, une mission de plus à accomplir. C’est donc courageusement qu’elle avait rejoins les côtés du terrannide lion, se plaçant près de lui, sentant sa chaude et grande main se poser sur son épaule nue, la faisant doucement frissonner à ce contact de peau contre peau, qui étrangement l’aider à se préparer et à être prête mentalement à affronter la traversée du champs, lui donnant même le courage de lui avouer la raison de sa gêne.

« N-non… Ce n’est pas si dur… C’est juste… Pour être honnête avec vous Sire Flambe… Je… Je n’ai pas l’habitude de me montrer nue, c’est pour cela… Mais ça devrait aller. »

Regardant ensuite la monture partir au galop après avoir reçu une claque sur sa belle croupe, la demoiselle dans son plus simple appareil put voir le camps apparaître sous ses yeux et celui-ci était énorme vu les tentes alignées à en perte de vue. Déglutissant légèrement en fermant les yeux, poussant un long soupir, la jeune femme aux prunelles d’or rouvra les yeux, se disant que cela n’était qu’une épreuve à passer et que tout se passerait bien.

Pendant l’instant où elle avait les yeux fermés, elle avait put mieux sentir son environnement, cet air chaud autour d’eux, la température toute aussi chaude mais agréable étrangement et la cendre sous ses pieds qui réchauffa tout son petit corps nue, qui était si douce sous la plante de ses petons. Étrangement, l’ensemble de cette douce chaleur l’avait apaiser et la main chaude de Flambe, l’avait rassurée même si son petit cœur s’était mis à battre plus fort en la sentant se logeait sur son épaule nue.

À présent, elle faisait un pas en avant, pousser en douceur par le général de cette légion qui dévoila son identité à la belle demoiselle. Et avant qu’elle ne puisse répondre quoique ce soit, il lui demanda si elle acceptait de rentrer à son service tout en lui informant qu’elle n’aura plus à faire subir de mauvais traitement à sa poitrine, terminant par lui déclarer qu’elle était bien trop belle pour cela. Le rouge aux joues et son cœur s’emballant en entendant ses derniers mots, Topaze se sentit étrangement touchée par ses mots et une part d’elle avait même aimé les mots du seigneur des nuées, qui lui faisait beaucoup de bien même tout en la troublant paradoxalement.

Elle resta silencieuse quelques instants, dos à l’homme aux prunelles de feu, avant de se retourner vers lui, les joues toujours un peu rouges mais ne faiblissant pas, restant bien droite. La noble demoiselle fit une légère révérence de tête avant de s’incliner très légèrement, témoignant ainsi son respect à son futur supérieur.

« J’accepte de rentrer à votre service Pyrrhus. Merci de m’accepter parmi vous, et… Pour vos paroles… »

Se redressant ensuite tout en faisant un nouveau mouvement de tête pour le remercier autant de sa proposition que pour ses mots, ne le quittant pas des yeux tout en le regardant s’approcher doucement pour se mettre en marche sûrement pour la traverser du camp. Se retournant de nouveau pour se retrouver dos à lui, elle reprit la parole en le sentant proche d’elle, sentant son parfum et sa présence derrière elle.

« Je… J’ai… J’ai un aveu à vous faire Pyrrhus… Ou dois-je vous appeler Général ? » demanda t-elle en tournant légèrement sa tête pour le regarder en posant cette question, avant de reprendre la parole « Je ne me prénomme pas Mielle… Mais… Topaze… »

À cet aveu ses yeux tremblaient légèrement et son corps n’avait pas bougé d’un pouce, n’ayant pas encore entamer la marche vers le camps, attendant une réaction ou un mot de sa part, ayant peur aussi au fond d’elle que cela puisse le mettre en colère, ce qu’elle craignait étrangement car elle ne voulait pas ça. Pas qu’elle avait peur comme une enfant ou comme quelqu’un qui avait menti de devoir avouer ses mensonges et craindre les revers à cela, non. Elle avait plus peur comme quelqu’un qui craignait de faire de la peine ou perdre la confiance d’une personne importante pour elle, chose paradoxale car elle ne le connaissant pas tant que ça mais… Il se passait des choses en elle qu’elle ne comprenait pas et qui était incompréhensible pour le moment pour elle, mais elle ressentait que cet homme était différent des autres.

Donc, pour une raison qui lui échappait encore pour le moment, elle ne voulait pas lui mentir, peut-être qu’elle avait été encouragé ou influencer par sa propre révélation sur son identité ? Peut-être bien, mais elle avait la sensation voire le besoin de ne pas lui cacher son véritable prénom, comme si elle se devait de continuer à lui dire absolument la vérité sur sa personne après cette traversée dans les flammes et avant de commencer sa traverser entièrement nue dans ce grand camp.
« Modifié: mardi 22 octobre 2024, 12:07:16 par Topaze/Tobias De Ambre »

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La jeune femme, nue, n’avait pas le choix : elle devait se montrer à la hauteur, maintenant. Et, encore et toujours plus nue, elle allait devoir traverser le camp et supporter le regard de tous les soldats, de tous les serviteurs, de tous les esclaves. Mais cela ne gênait pas le lion. Elle était une « prise » de c elle dit alors accepter de rentrer au service de la légion, et de son général en particulier. Toutefois, il y avait des chose qu’elle allait devoir apprendre. Beaucoup.

« Bien. »

Même s’il faudrait dans doute qu’il s’occupe de son langage, sans doute pour qu’elle ne l’appelle plus « Pyrrhus » tout court. Il y avait des comportements plus appropriés. Heureusement, quand elle reprit la parole, elle comprits son erreur.

« Seigneur ou général qu’importe, mais pas Pyrrhus tout court, c’est plus que malvenu. »

Elle avait cependant une confession à faire. Son prénom. Non plus Mielle mais Topaze ? Sans qu’elle ne puis le constater il leva un peu les yeux au ciel.

« Tu es au service corps et âme de la Légion. Ton nom n’a pas d’importance. Mais je préfère Mielle alors je t’appellerai ainsi. Le reste du temps, fais cmme tu veux. Ton identité, ta vie passée, n’a plus d’importance. Seul l’Eternel Ardant en a, au travers de la mission qui t’es donnée, à savoir, me servir. Nous sommes tous ses dévoués Servants, ses Esclaves volontaires. Vois-tu une objection à cela ? »

Il retira la main de son épaule et commença à marcher, la dépassant pour aller vers sa tente. Elle n’avait qu’à emboiter le pas, et ne pas s’éloigner. Car vus les premiers regards, ceux des gardes en faction qui se posaient sur elle, elle aurait droit à subir un sort peu enviable si elle s’égarait. Surtout dans cette tenue….

« Souris et ait l’air fier. Dis-toi que tu t’offres plus qu’eux. Ils offrent leur mort, pour la plupart. Toi tu offres ta vie. »

Et la « parade » commença. Presque une demie heure de marche dans un camp dont l’activité allait grandissante. Mais chacun prenait garde à s’écarter du chemin du général et s’incliner devant lui.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Après lui avoir dévoilé à son tour son identité, enfin, juste son vrai prénom tout en lui demandant au passage si elle devait plutôt l’appeler Général que Pyrrhus, Topaze écouta avec la plus grande attention le terrannide lion lui répondre qu’elle pouvait utiliser les titres qu’elle voulait tant qu’elle ne l’appelait pas par son prénom.

« Bien mon Général, je vous présente mes excuses pour ma faute. Je ne recommencerais plus. »

Le tout dit très solennellement en faisant une légère révérence de la tête en s’inclinant légèrement de son corps, la demoiselle reporta toute son attention sur le chef de cette armée. Il semblait n’en avoir rien à faire de son identité et avoua préférer même son nom d’emprunt avant de rajouter que son identité n’avait aucune importance puisqu’elle était désormais au service de l’Eternel Ardant.

« Mielle me convient tout à fait et je préfère utiliser ce nom pour ma part si cela vous convient… » faisant une nouvelle révérence en s’inclinant légèrement avant de secouer la tête à la négative en ajoutant « Je ne vois aucune objection à cela Général, qu’il en soit soit donc ainsi… »

Et alors que Pyrrhus retira sa main de l’épaule de la jeune femme en s’éloignant pour marcher en premier, Topaze le regarda s’éloignait avant de relever la tête en haussant un sourcil aux paroles qu’il lança avant de totalement vraiment s’éloigner d’elle. Même s’il ne la voyait pas étant dos à elle, elle hocha naturellement la tête pour dire qu’elle ferait comme il lui demandait, c’est à dire traverser le camps en étant fière et en souriant, même si pour le fait d’être fière c’était un peu plus compliqué vu la tenue dans laquelle elle était, mais soit !

La tête redressé et le visage bien droit tout comme son regard qui ne sauvait pas vers le sol, la jeune demoiselle noble à la longue chevelure de neige et à la peau diaphane complètement nue avança doucement mais sûrement sur le chemin dans le camps. Laissant assez de distance pour ne pas paraître impolie ni insolente envers le général de l’armée, elle n’était pas trop éloignée non plus, marchant donc à bonne distance de lui.

La marche n’était pas évidente et garder son sang-froid tout en ne laissant pas paraître sa gêne non plus. Tous ces regards sur elle ou plutôt sur son corps nue, dont certains regards en disaient gros sur ce qui se passer dans la tête de ceux qui la zieutaient n’étaient pas facile à soutenir ou à ne pas les laisser la déstabiliser, sans parler des légers sifflements ou jolies paroles qui pouvaient s’échapper de la bouche de certains de ces messieurs. Non, ce n’était vraiment pas évident mais elle y arrivait, elle ne faiblissait pas et marcher tranquillement durant tout le trajet qui était d’une bonne demi-heure.

Mais la route n’était pas encore finie même si la fin était proche certes, et c’est souvent quand on arrive à la fin qu’il arrive des pépins… Quoique pas toujours, mais là la demoiselle pouvait très bien sentir sur elle une main se posait sur son épaule avant d’arriver à bon port, étant presque arrivée à la fin de son périple, la poussant à tourner légèrement son visage vers celui ou celle qui avait décidé de l’interpeller, ignorant encore la cause de cette interpellation et ce qu’on lui voulait, espérant juste au fond d’elle tout en priant que ce n’était pas un type qui avait jeter son dévolu sur elle.
 

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La jeune femme devait rester fière, et montrer qu’elle savait l’honneur qui lui était fait. Qu’elle soit nue ne devait même pas  lui sembler important. De toute façon, le lion veillerait à ce qu’elle s’y habitue sans trop de problème. Le lion sentait la fraicheur des lieux, mais il ne fallait pas s’y tromper. Il faisait froid en comparaison de la fournaise qu’était le centre du camp. Fournaise à laquelle il était plus qu’habitué. Elle, elle devrait sans doute sentir la douce tiédeur et, peu à peu, la chaleur qui augmentait, comme si elle était une grenouille  dans un bon bain dont on montait la température petit à petit, comme pour l’ébouillanter.

Le trajet était fait en silence, et les deux avançaient sans se distancer l’un l’autre. Il ouvrait la voie, elle suivait. Il savait qu’elle suivait, et il marchait sereinement, salué par les hommes qui savaient à qui ils avaient à faire. Ceux qui ne le savaient pas, se faisaient rapidement reprendre par leurs camarades. Pourtant, à un moment, il sentit qu’elle ne suivait plus. Pyrrhus fronça les sourcils et se tourna. Des soldats l’avaient attrapé. Il ne s’agissait pas réellement de ses soldats à lui, mais une unité de monstres que l’Empereur de la fournaise avait « offerte » à Pyrrhus. On eut dit des peaux vertes du plus bas niveau. Un genre de gobelins à la peau parcheminée sombre au point d’en être d’un gris anthracite. Leurs yeux globuleux jaunes avaient été attirés par la jeune femme. Un sacré contraste que voilà.  Ils étaient quatre. Un lui avait attrapé le bras et les autres avaient refermé un cercle sur elle. Pourquoi étaient-ils encore là. Ils avaient été, il fallait le reconnaitre, efficaces pour la sape, mais maintenant, il n’en avait plus besoin ! sans prévenir, le lion revint en arrière et d’un violent coup de pied qui eut la délicatesse de faire craquer de l’os, il offrit un joli vol plané à l’une des quatre vermines.

« Saloperies. Dégagez ! »

Et dire qu’il y en avait presqu’une centaine éparpillée dans tout le camp… des chapardeurs, des opportunistes, et des charognards…
Le général saisit le bras de la nouvelle arrivante pour la tirer vers lui.

« Ne t’éloigne pas, et ne te balade pas seule tant que tu es incapable de te défendre ou que personne ne sait qu’ils n’ont pas intérêt à retarder les taches de ma servante. »

Elle devait l’avoir remarqué maintenant. Les humains étaient minoritaires dans cette légion, les monstres, et surtout les demis humains se faisaient la part belle dans l’armée du seigneur des nuées. Et généralement, les humains semblaient un peu moins bien vêtus, ou avec moins de grade a priori. Oui, le lion faisait plus confiance aux demi humains ou monstres. Qu’est-ce que cela signifierait pour elle, c’était une autre paire de manche.
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Topaze/Tobias De Ambre

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Quand Topaze remarqua l’être qui l’avait attraper par le bras, elle cligna plusieurs fois des yeux, surprise presque que ce soit un monstre ressemblant à un gnome qui l’avait attrapé. Elle ignorait bien pourquoi il avait jeter son dévolu sur elle, se disant que ce type de créature n’était sûrement pas intéressé par son corps, en tout cas, elle l’espérait. Mais la noble demoiselle haussa un sourcil quand elle remarque que trois autres créatures semblable à celui qui la tenait vint l’encercler, la faisant légèrement déglutir en se demandant bien ce qu’il lui voulait.

La jeune femme noble aurait pu faire la causette, du moindre elle aurait pu tenter pour savoir ce qu’ils lui voulaient, en espérant qu’ils ne soient pas dangereux ou hostiles, mais elle n’eut pas le temps de tenter quoique ce soit car elle en vit un faire un sacré vol plané sur le côté, offrant une faille ainsi qu’en ouverture dans le cercle qu’ils avaient fait autour d’elle. Puis elle entendit ensuite la voix de Pyrrhus se faire entendre, provoquant chez les drôles de créatures vertes autour d’elle une sorte de panique qui firent éloigner les deux restants qui l’entouraient. Et quand celui qui la tenait par le bras croisa le regard du général du camp, il courba presque aussitôt l’échine en laissant échapper une sorte de crie étrange avant de relâcher le bras de la demoiselle qui se fit aussitôt attraper par le terrannide lion qui l’amena à lui.

Alors que les créatures s’éloignerent en regardant la demoiselle sur qui ils avaient jeter leur dévolu pour une raison mystérieuse, Topaze se retrouva presque collé à Pyrrhus après qu’il l’ait attiré contre lui, lui remontant les bretelles à cause de cet incident tout en informant ceux autour qui assistaient à la scène qu’elle était donc la servante du général du camp. Baissant doucement la tête en se sentant gênée de ce petit couac, le jeune femme aux yeux dorées hocha doucement la tête aux paroles de son supérieur.

« Bien reçu mon Général… »

Remontant la tête après avoir donner raison au terrannide lion sans broncher une seule fois que ce n’était pas sa faute, que si elle avait eut une arme elle aurait pu se défendre ou quoique ce soit d’autre, Topaze suivit ensuite Pyrrhus qui reprit donc leur chemin vers sa tente, relâchant le bras de la demoiselle qui s’assurait de bien rester derrière lui mais en restant à bonne distance pour ne pas trop le coller malgré cet incident.

La tête de nouveau haute et essayant de marcher fièrement sans se laisser distraire ou impressionner par les soldats présents sur le camp, la jeune femme à la longue chevelure de neige qui volait dans les airs à chacun de ses pas remarqua en effet la différence vestimentaire ainsi que la différence de traitement entre les soldats de l’espèce humaine et les hybrides et créatures. Elle ignorait la raison d’une telle différence, mais malgré la curiosité qui l’habitait pour la connaître, elle s’abstiendra sûrement de questionner Pyrrhus à ce propos, se disant que cela ne la regardait sûrement pas et que c’était même peut être déplacer de questionner ce genre de chose.

Mais la demoiselle sortit vite de ses quelques songes en arrivant enfin à la fin de son périple. Il n’y eut pas de nouvel incident lors de sa reprise de la marche au travers du camps et elle arriva donc sans encombre devant la tente vers laquelle se dirigeait son supérieur, le suivant donc comme il lui avait demander et finissant par pénétrer dans cette dernière. Se demandant bien ce qui allait à présent se passer après cette traversée entièrement nue du camps, Topaze attendait la suite des instructions ou explications de Pyrrhus qui était toujours dos à elle pour le moment et qui n’avait pas dit encore un mot depuis qu’il était venu à son secours.

La légion de l'Eternel Ardant

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Le reste du chemin se passait plutôt bien. Et du coup, elle se retrouva bientôt, après toute cette marche, devant une immense tente pavillon qui servait de quartier de campagne pour le seigneur léonin, et dont elle aurait à s’occuper. Elle avait suivi sans se plaindre et hormis l’incident des sapeurs, il ne s’était rien passé qui puisse prêter à conséquence ceci dit, et au pire, l’un d’eux avait eu le droit à un vol plané amusant à voir pour bon nombre. Certes, elle était passée pour la viande fraiche du général. Mais en même temps, est-ce que c’était vraiment faux ? Hum… pour Pyrrhus, non, cela ne pouvait pas l’être, servir corps et âme, cela inclut de servir en tout point, n’est-ce pas ?

« Voilà où je vis et où tu vivras. »

C’était plus clair, ainsi, non ? Il lui fit un sourire et lui donna une tape sur les fesses, pour la pousser vers ladite tente dont il écarta le rabat pour qu’elle entre. Le milieu était spacieux. A l’intérieur, de part et d’autre, attendaient deux terrannides en armure. Leurs traits étaient félins ils saluèrent d’un point sur le cœur qui fit résonner un bruit métallique.

« Voici Sachin et Kachin, ils sont de mes gardes personnels, si tu as un problème, tu t’adresses à eux. Ils ne sont pas bavards mais ils sont très efficaces. Ce seront aussi eux qui te déchiquèteront si jamais tu  décides un jour d’essayer de me tuer. »

Il avait dit cela d’un ton badin, banal, comme si le fait qu’elle puisse le souhaiter était quelque chose de complètement normal pour le lion. Et c’était exactement ça.

« Comme tu es à mon service, tu dormiras dans mes quartiers, c’est normal, tu mangeras aussi ma nourriture, et ainsi de suite. Je dirai de faire installer une paillasse et un paravent dans ma tente pour que tu puisses avoir un peu d’intimité et un lit. »

Oui, elle devait se douter qu’elle n’aurait pas beaucoup d’intimité, dans cette histoire. D’un autre côté, elle était là pour servir, et comme elle s’en rendrait bien vite compte, les humains n’avaient pas le meilleur traitement du monde. Mais elle, elle éviterait la majeure partie des brimades, en étant au service direct du général.

« Alors, le camp est-il selon ton image ? » .
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Topaze/Tobias De Ambre

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Alors qu’ils étaient tout deux postés devant la tente pavillon après la traversée du camps, Topaze tourna sa tête vers Pyrrhus quand il reprit enfin la parole, lui annonçant que c’était ici qu’elle allait vivre tout comme lui. À cela, la noble demoiselle hocha doucement de la tête sans un mot en le regardant lui sourire après ses mots, avant de sentir sa main sur ses fesses en lui donnant une petite tape, la faisant légèrement sursauté et surtout rougir à ce geste, tout en se laissant pousser par sa main tapotante son fessard pour l’inviter à rentrer dans la tente dont le seigneur terrannien tenait le rabat écarté.

Une fois pénétré à l’intérieur de la tente, la jeune femme à la longue chevelure de neige qui cachait légèrement sa nudité rencontra les deux gardes personnels de son supérieur, les saluant donc par une révérence de la tête lors des présentations et explications faites par le terrannide lion. D’ailleurs, les derniers mots du général l’avait laissé perplexe, tout comme sa façon de le dire avec une banalité déconcertante, intriguant la domestique à en devenir qui sommeillait au fond d’elle.

Restant silencieuse, Topaze se contenta d’écouter sagement Pyrrhus poursuivre ses explications tout en l’informant au passage qu’on lui installera un petit coin afin qu’elle puisse dormir et pouvoir bénéficier d’un peu d’intimité, ce à quoi elle répondit d’un hochement de tête pour lui signifier qu’elle comprenait bien tout cela et le remercier pour ce traitement. Oui, elle avait bien compris en jetant un œil dehors lors de sa traversée dans le camps que les humains étaient en bas de l’échelle en terme de traitement et qu’elle semblait quand même avoir un traitement au-dessus du leur en étant près du général léonien, donc elle ne pouvait que lui en être reconnaissante, même si elle ignorait encore quels seraient exactement les tâches que lui demanderait son supérieur.

Et quand le temps des explications prit fin, Pyrrhus se tourna donc vers la jeune femme, venant s’enquérir si le camps était à l’Image de ce qu’elle avait imaginé. À cela, Topaze haussa un sourcil, avant de répondre respectueusement, passant ses mains derrière son dos comme un petit soldat face à son général, répondant donc d’une voix douce et sincère.

« Pour être honnête, j’ai déjà vu quelques camps de soldats, et celui-ci est vraiment immense, je n’en ai jamais vu d’aussi grand en revanche… Je ne m’attendais pas à une telle immensité. Mais cela ressemble fortement à l’idée que je m’en étais faite, oui. Enfin, hormis quelques détails si j’ose dire mon général… » bien droite en regardant son supérieur dans les yeux, elle poursuivit d’une voix calme « Je dois avouer que c’est la première fois que je vois si peu d’humains dans une armée et que je vois autant de terrannides animales si j’ose dire mon général… »

La demoiselle aux prunelles de miel ne disait pas cela à mal ou pour juger, non, cela s’entendait dans sa voix et cela se lisait dans ses yeux même. Elle répondait juste honnêtement à la question de l’homme à la crinière de lion, lui avouant au passage que c’était en effet la première fois qu’elle voyait une telle armée aussi grande et comprenant dans ses rangs un grand nombre d’humanoïdes animales, chose qu’elle n’avait pas vraiment vu jusqu’à présent. La raison de cela devait sûrement l’intriguait, mais la jeune femme et nouvellement domestique du seigneur ne lui ferait pas l’affront d’oser demander la raison de cela, car après tout, cela ne la regardait pas et puis elle n’avait sûrement pas à le savoir non ?

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Légion

Il semblait au seigneur de la légion qu’elle était particulièrement attentive à tout ce qu’il lui expliquait ; et il valait mieux. Dans le cas contraire, les choses deviendraient vite problématiques : aussi talentueux général qu’il soit, il manquait clairement de patience sur certains points. La formation du personnel, notamment. Donc ne pas le faire répéter était dans son intérêt sans doute.
Toujours était-il que maintenant que les explications étaient passées, elle pouvait vider sa tête de toutes les questions qu’elle pouvait bien se poser. Le lion s’attendait à des questions un peu précises, comme le fait de savoir quand elle aurait ses vêtements, ou ce qu’elle risquait si elle s’aventurait imprudemment dans le camp. Voire même d’autres questions plus terre à terre comme le repas ou la solde. Mais non.
En tout cas, le camp l’impressionnait et le général en était fier. Oh oui, la taille de son arée était immense et dire qu’il ne s’agissait que du quart de l’armée de la légion… pouvait-elle compter vraiment une telle force ? Non. Evidemment. Cette armée faite pour amener le feu et la cendre était assez nombreuse pour ravager le monde et, le seigneur des nuées en était sûr, un autre général naitrait tôt ou tard pour commander une force équivalente, et ainsi de suite. Jusqu’à ce que le monde ne soit plus qu’une terre de feu glorifiant l’Eternel Ardant.
Et au milieu du pourpre, de la flamboyance des flammes, elle pouvait se sentir faire un peu tache d’ailleurs, elle qui avait la peau de lait et les cheveux de neige. Elle serait bien vite dans le viseur de lieutenants. Il allait falloir s’occuper d’éviter ça. Il s’était trouver une servante, il était hors de question de la partager.

« Pourquoi devrait-il y avoir plus d’humains que de terranide ou monstres ? »

Parce que oui, il y avait des monstres, c’était l’évidence même. Elle avait bien failli en faire une triste expérience.

« J’ai voué ma vie au sauvetage des miens, à mettre fin à leur calvaire et à leur esclavage.  Il est donc normal que les humains comprennent ce qu’ils ont infligé aux autres, non ? »

C’était une partie de la vérité. L’autre était fondamentalement plus simple.

« Les terranide profitent d’une supériorité animale sur les humains. Les loups font d’excellent bataillons, les chats font d’excellents assassins, et ainsi de suite.  Nous avons même quelques terranide rhinocéros particulièrement doués aussi pour manier les marteaux de guerre. Et je ne parle même pas de terranide éléphants, ou bien d’autres espèces encore. L’armée est plus puissante, plus efficace, et respire d’une véritable envie de revanche ce qui aide le moral pour lutter contre les humains, ou même les elfes. »

Le lion eut un sourire en coin, amusé, alors, pour lui demander.

« Est-ce que cela t’inquiète, en tant qu’humaine ? As-tu peur de finir esclave ou à devoir à obéir à un ordre humiliant de la part d’un terranide ? »

La bonne réponse était qu’elle était offerte à l’Eternel Ardant et qu’elle le servirait de la manière dont on le lui permettrait, ou un truc du genre.
D’un autre côté, renoncer à sa nudité n’avait pas posé problème longtemps, alors perdre le reste…

« Est-ce que tu aurais peur de devoir renoncer à ton humanité si servir l’exige ? »
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