Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Se faire des souvenirs, tant qu’on le peut encore (OS / pv Tenshi Kazama)

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Été 2010. Quatorze ans déjà.

Gou Ryôrei, patriarche fatigué, veuf depuis longtemps et alors âgé de 78 ans, était encore de ce monde, le sourire aux lèvres. Il lui manquait bien quelques dents, certes, mais rien qui n’aurait su entacher ce parfait témoignage de sa joie de vivre.

Sa santé n’étant pas toujours au beau fixe, le vieil homme ne se doutait cependant pas un seul instant qu’il ne s’écoulerait que très peu d’années avant qu’il ne passe l’arme à gauche.

Entouré de sa petite famille -dont le nom se perdrait après lui puisqu’il avait marié sa seule fille-, de quelques vieux amis et voisins, celui-ci coulait des jours heureux. Jours qui ponctuaient une retraite calme et paisible, mais aussi amplement méritée, puisque concluant une vie de dur, très dur labeur.

Gou aimait s’occuper de son jardin, méditer, pêcher avec Honda -son voisin afro-japonais, de douze ans son aîné- dans le lac jouxtant sa grande demeure ancestrale mais, par-dessus tout, Gou aimait sa famille. Puisque Honda et lui n’avaient été toute leurs vies que les hommes d’une seule femme, ceux-ci aimaient bien sûr ricaner et échanger quelques anecdotes croustillantes, ou rire ensemble en reluquant les jolies filles mais… plus que tout au monde, notre vieil homme, lui, n’avait d’yeux que pour les siens.

Non pas qu’il fusse vraiment jaloux, ou quelque chose comme ça, Gou devait bien avouer s’être trouvé terriblement mal, près de vingt-cinq ans plus tôt quand, lui qui n’avait déjà plus d’épouse depuis des lustres, dut se séparer de sa seule et unique fille. La chair de sa chair.

Puisqu’il la savait plus belle encore que ne l’était sa mère, Gou, en père très protecteur qu’il était, sut évidemment que ce jour viendrait, où un homme, quel qu’il soit, l’emmènerait loin de lui. Il s’y était préparé, même. Mais cela ne rendit pas les choses plus simples quand, enfin, ce jour vint.

Et comme celle-ci, accompagnant son mari par monts et par vaux les premières années, s’éloigna peu à peu, Gou, son père, finit par se sentir très seul.

Fort heureusement, quelques années passant, la providence fit son œuvre.

Gou n’aurait pu être plus gâté par la vie que lorsque la chair de sa chair engendra à son tour, donnant naissance à sa petite fille, à un véritable petit ange nommé, à juste titre, Tenshi.

Lui n’aurait pu être plus heureux qu’à ce moment, devenir grand-père signifiant alors se rapprocher de nouveau des siens, de sa fille, de la fille de sa fille… signifiant également : se sentir entouré. À nouveau.

Les visites de sa famille ne se furent pas non plus plus fréquentes, de façon purement et simplement magique non, mais, aussi espacées qu’elles étaient, celles-ci finirent par durer de plus en plus longtemps.

Comme s’il était devenu père à nouveau, Gou gâta Tenshi, l’emmena jouer, pêcher et jardiner. Il la couvrit de cadeaux chaque fois qu’elle vint le voir en vacances et… tout aussi simplement, il l’aima, pour ce baume qu’elle mettait à son coeur fébrile et vieillissant.

Seulement voilà, les années passant, comme tout autre enfant avant elle, et après elle sûrement, la jeune fille grandit et en vint à s’intéresser à bien d’autres sujets, eût bien d’autres envies. Évidemment, du fait de son âge, celle qui maintenant devenait jeune femme, avait bien mieux à faire de son temps que passer des semaines à rallonge à moisir là, à la campagne.

Quoi de plus naturel ?
Gou le comprenant très bien, ne lui en tint jamais rigueur.

Les années s’écoulant, les visites se raréfièrent. Tenshi ne passa plus, ou presque. Pas plus que sa mère, trop occupée à la ville. Le vieil homme continua d’envoyer des cadeaux lors des fêtes, des anniversaires ou, tout simplement lorsqu’il espérait un peu de courrier en retour… et en obtint toujours ce qui, chaque fois, lui donna à sourire.

Trop occupée par l’école, par ses études sans doute, sa petite fille qu’il aimait tant ne passa plus et… il se passa presque cinq ans sans qu’il ne la revoie. Le pauvre n’avait même pas reçu la moindre photo. Il fallait dire aussi que jamais il n’en avait demandé. Il n’avait pas osé.

Ce n’était que très récemment que Gou avait eu de ses nouvelles. D’après la lettre envoyée par sa mère, la jeune fille, qui venait de fêter ses dix-huit ans, souhaitait célébrer l’obtention de son baccalauréat avec mention en s’offrant une année sabbatique, ou quelques mois de congés au moins, de quoi lui laisser tout le loisir d’arpenter le pays tout entier.

Fier d’elle, mais aussi très friand de cette idée qu’était la sienne, le grand-père s’était empressé d’adresser une réponse à sa fille, se proposant de l’accompagner, du moins un peu, histoire de la féliciter comme de récompenser son mérite. Le vieil homme avait proposé d’emprunter à Honda, son voisin, son camping-car, et de faire un bout de route avec la désormais jeune adulte, de sorte à partager avec elle tous ces coins du pays que, plus jeune, il avait adoré.

À sa grande surprise, Tenshi, comme sa mère, avaient dit oui. La jeune fille lui avait même répondu, dans une lettre, qu’il était hors de question qu’ils se séparent en milieu de chemin. Lui disant dans son courrier comme elle avait hâte de le revoir, celle-ci lui avait même proposé de passer les trois prochains mois en sa compagnie, au moins, de juillet à fin septembre.

Là encore, le vieux Gou n’aurait pu être plus ravi.

Ne pouvant toutefois plus conduire, étant trop frêle, trop fatigué pour cela, c’est ce vieil Honda, lui-même, qui prit le volant de son camping-car, ce matin de juillet, pour emmener son ami auprès de sa petite-fille, tout près de cette vieille station-essence perdue en pleine campagne.

Heureux comme tout alors qu’ils traversaient le pays comme deux jeunes aventuriers, Gou et Honda rirent aux éclats des heures durant, le premier trépignant à l’idée de découvrir quel joli brin de femme était désormais Tenshi. Honda, comme à son habitude, ne put s’empêcher de lâcher quelques commentaires parfois salaces, mais Gou n’en dit rien, heureux surtout de savoir qu’il allait retrouver la chair de sa chair en bonne santé.

Arrivés à la vieille station sur les coups de midi, les deux papys s’installèrent sans gêne sur le parking, dépliant leurs deux petites chaises de campings, qu’ils posèrent à-mème le bitume, en attendant leur passagère et future colocataire, pour les trois prochains mois au moins.

Le vieil Honda, quatre-vingt dix ans, la pipe au bec, sifflant presque chaque fille qui passait, en ricanant, ne cessa de demander à son ami, durant de longues minutes :

« Est-ce que c’est celle-là ? »

« Non. » lui répondait alors Gou.

« Celle-là ? T’as vu, elle est plutôt jolie… »

« Non, ce n’est pas elle. » lui répondit encore Gou.

Frottant sa barbiche blanche avec insistance, le vieil homme plissa les yeux, finalement inquiet de ne pas voir arriver sa petite fille, quand bien même cela faisait des heures que tous deux s’étaient assis en plein milieu du parking, à deux pas de la porte du petit camping-car d’Honda, ouvert.

Le grand-père alluma sa pipe.

« Elle est rousse, ma p’tite fille. Une jolie rousse je t’ai dit. Tu t’souviens pas ? T’as dû la voir à la maison plusieurs fois pourtant… enfin, ça remonte, c’est sûr. Une petite rousse, toute fine. »

« Peut-être… mais jusqu’ici je vois pas de rouquine. Peut-être qu’elle s’est teint les cheveux depuis. Ça fait combien de temps que vous vous êtes pas vus ? »

Le vieux Gou frotta de nouveau sa barbiche en prenant l’air de réfléchir. Regardant partout autour d’eux, Honda, ce vieil homme noir ventripotent, lui, finit par poser les yeux vers l’intérieur de son petit camping-car, certainement pas prévu pour deux personnes.

« Où est-ce qu’on va l’installer, la p’tite ? J’ai qu’un seul matelas là-dedans, t’as bien vu. On est déjà bien serrés rien qu’tous les deux, alors… »

Se retournant vers son ami, le vieil homme rétorqua :

« Hmmm… nous n’aurons qu’à prendre les deux canapés entourant la table, non ? »

« Tu n’y penses pas ?! Et mon dos, alors ? Et le tiens ? »

« Voyons voyons, Honda… on a fait pire que ça, tu ne crois pas ? Laissons donc aux jeunes et aux dames le privilège des bonnes nuits de sommeil. Nous en avons eu assez. »

Grommelant, Honda croisa les bras puis reprit :

« Hmpf… soit. C’est bien parce que c’est toi. »

Le sujet clos, Gou croisa les bras à son tour, prenant une position en tous points similaires à celle prise par son ami, sans même s’en rendre compte.

De nombreuses minutes passèrent encore, aux abords de cette vieille station-service de campagne, mais rien ne vint.
Il faisait chaud, alors les deux se servirent un peu d’eau. Le temps leur semblait long, alors ils se mirent à jouer aux cartes, attendant de pied ferme leur petite retardataire…
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Tenshi Kazama

Humain(e)



TENUE : https://zupimages.net/up/24/35/q3kn.jpeg

pour les jeunes filles, la famille c’était quelque chose de sacré, une tradition dans le respect et des grands-parents et des parents et c’est pour cela que depuis septembre enfance, il était important de passer une bonne partie des étés avec son grand-père qui était complètement conquis par sa petite fille pour lui faire découvrir tous les centres d’intérêt qu’il pouvait t’avoir et qu’il pourrait éventuellement transmettre à la jeune fille. Mais comme toutes les bonnes choses, il y avait des fins et petit à petit, elle s’éloigne de la maison familiale avec sa mère pour poursuivre son chemin de vie et grandir dans une ville avec tous les services nécessaires pour l’apprentissage de son éducation.

Tenshi pense souvent à son grand-père et qu’elle devrait être davantage attentive à ses besoins. Malheureusement, quand on était adolescent, on était toujours sous l’emprise des parents et on pouvait pas vraiment faire ce que l’on voulait. Même si la chose pouvait être louable mais elle se promet que quand elle serait bien plus grande, elle se rattraperai avant de regretter la disparition de son grand-père car généralement c’est quand on a perdu quelque chose qu’on se met à cogiter sur ce qu’on aurait dû faire, et la belle rousse ne voulait pas être dans ce schéma

Elle avait donc fait le choix de faire un Road trip avec son grand-père et apparemment un ami à lui. C’était important qu’il continue de garder les liens fraternels qu’il pouvait t’avoir et en plus de cela elle pourrait profiter de lui donc c’était une pierre. Deux coups plutôt intéressant. Tenshi fait des rendez-vous à son grand-père sur un parking prêt à prendre la route. Elle avait fait en sorte que ce soit une amie qui vient de la déposer pour ne pas laisser son véhicule de manière à déterminer dans un endroit presque désertique. Elle avait gardé un petit uniforme d’étudiante qu’elle affectionne beaucoup. Mais comme elle avait bien grandi, elle les formes qu’elle possède désormais sont plutôt imposante. Malheureusement, très peu de vêtements lui tombe comme un gant mais il fallait faire avec

Elle arrive enfin sur le parking et reconnaît très bien la silhouette de son grand-père devant un camping-car et sûrement son ami, vu qu’il s’était bien installé confortablement sur une chaise. Pour l’attendre, elle remercie son ami avant de descendre du véhicule pour prendre sa valise. Elle laisse ses talons aiguilles claqué contre l’bitume avec une démarche chaloupée. Elle se dirige vers les deux hommes.

Grand père !!!! Monsieur Honda…je présume… je suis tellement heureuse que tu puisses m’accompagner pour ce petit périple cela fait tellement longtemps. Je suis tellement désolé de ne pas avoir été plus présente mais promis je vais me rattraper.

Toujours respectueuse, elle s’incline devant les aînés de la famille Seyki offre une vue magnifique sur son décolleté mais elle était loin d’imaginer que ça pourrait faire travailler les hormones d’un membre de sa propre famille. C’est pour cela qu’elle ne s’était pas embêté dans le choix de ses vêtements, puis elle arrive devant son grand-père pour venir lui déposer un baiser sur sa main comme le veut. La tradition familiale, avant de se redresser

Je crois que vous êtes bien installés, du coup je vais me laisser guider par votre programme et m’adapter à votre rythme. Tant que l’on peut faire tout ce qu’on a envie. C’est le principal. Après si vous le voulez je peux aussi conduire pour vous soulager mais on va passer un chouette moment, j’en suis sûre. … je peux déposer ma valise dans le camping-car. ?
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Combien de temps les deux vieux bonshommes avaient-ils passé là-dehors ?
L’histoire ne le dit pas. Quand bien même ceux-ci multiplièrent les parties de cartes, celui-ci leur sembla… interminable. La jeune Tenshi avait du retard et cela n’était pas au goût du vieil Honda, qui crut un temps s’être fait avoir.

Quand soudain, après quelques embrassades résonnant en cet espace plus que vide, désert si l’on peut dire, vinrent résonner, plus fort encore, le claquement de ces talons hauts, faisant écho jusqu’à travers la forêt.

On aurait pu croire alors, que s’avançait, à toute hâte, une infirmière au beau milieu de son service.

Gou leva la tête le premier, blémissant, alors même qu’il venait d’apercevoir -il l’avait reconnue à sa longue chevelure rousse-, celle qu’ils attendaient tant, et ce depuis des heures.

En une démarche des plus chaloupées et des moins gênées qui soit, s’approchait alors la plus belle créature que Gou eût pu voir en près de cent ans. S’il s’agissait vraiment de Tenshi -il le sut alors-, alors celle-ci, malgré son jeune âge, avait déjà fini couronnée femme entre les femmes.

La voyant s’approcher, son propre grand-père se mit à rougir, tandis que son ami, plus vieux encore, lui assénait quelques coups de coudes.

« O-oooooh… T-Tenshi ? C’est vraiment toi ? »

Voyant cette belle jeune femme approcher et, Honda comprenant qu’ils venaient tous deux de ferrer la bonne, les deux hommes lâchèrent leurs cartes sans un bruit, ébahis par la vision qui venait de leur être offerte.

« C’est vraiment elle ? »

Comme venait de le faire Gou, peut-être plus subtilement, le vieil Honda ne se retint pas de poser les yeux sur cette sublime créature qui s’était soudain approché d’eux. À sa grande surprise, et ce au vu de cette tenue d’écolière qui ne lui allait plus, la jeune femme n’avait plus rien de… jeune… et méritait, plus que toute autre, de se faire appeler « femme ».

Presque intimidé, tout autant qu’il était d’un coup réveillé, le vieil Honda tendit une main en sa direction. Main que, malheureusement, elle ne semblait pas voir.

La plantureuse demoiselle courbant vite l’échine pour embrasser la main de son grand-père, un silence se fit soudain. Devant une telle beauté, tous deux, semblaient bien démunis… comme inexpérimentés.
Assis à côté de Gou, Honda pencha la tête d’un côté pour la regarder faire, profitant d’un décolleté tel que, il en était sûr, il n’en avait jamais connu de tel en quatre-vingt-dix ans.

Surpris, comme intimidé devant ce charme soudain, qui se présentait à eux, le pauvre Gou resta bouche-bée un instant.

Avant qu’Honda ne s’en mêle, il se leva toutefois d’un bond, suivant sa jeune protégée jusqu’à l’entrée du camping-car.

Derrière ses hanches si larges -deux fois celle de son épouse, au bas mot-, le pauvre ne sut quoi dire.

« É-évidemment ma chérie… fais comme chez toi. Viens, entre. »

Laissant la demoiselle entrer, Gou la suivit pas à pas, s’avançant tout doucement, suivi d’Honda, qui, étonnamment intéressé, se leva vite pour constater du remue-méninge qui pourrait bien secouer son petit havre de paix.

Difficilement, marche après marche, Gou suivit Tenshi.

« C-ce n’est pas très grand, c’est sûr, mais cela devrait faire l’affaire, ma princesse. Tu ne crois pas ? »

Pointant le joli lit à moitié défait, accollé à la fenêtre, il reprit :

« Tu dormiras ici. Ça te va ? C’est pas si mal tu sais ? »

Tenshi n’ayant fait qu’un pas et s’étant déjà approché du lit, trônant au fin fond de cette minuscule embarcation, Gou ne put se retenir, tant empreint de joie que de surprise… et d’excitation, en la regardant, le rouge aux joues :

« C’que tu es belle… Regarde-toi maintenant. Une vraie petite femme…. »

Combien de temps les deux vieux bonshommes avaient-ils passé là-dehors ?
L’histoire ne le dit pas. Quand bien même ceux-ci multiplièrent les parties de cartes, celui-ci leur sembla… interminable. La jeune Tenshi avait du retard et cela n’était pas au goût du vieil Honda, qui crut un temps s’être fait avoir.

Quand soudain, après quelques embrassades résonnant en cet espace plus que vide, désert si l’on peut dire, vinrent résonner, plus fort encore, le claquement de ces talons hauts, faisant écho jusqu’à travers la forêt.

On aurait pu croire alors, que s’avançait, à toute hâte, une infirmière au beau milieu de son service.

Gou leva la tête le premier, blémissant, alors même qu’il venait d’apercevoir -il l’avait reconnue à sa longue chevelure rousse-, celle qu’ils attendaient tant, et ce depuis des heures.

En une démarche des plus chaloupées et des moins gênées qui soit, s’approchait alors la plus belle créature que Gou eût pu voir en près de cent ans. S’il s’agissait vraiment de Tenshi -il le sut alors-, alors celle-ci, malgré son jeune âge, avait déjà fini couronnée femme entre les femmes.

La voyant s’approcher, son propre grand-père se mit à rougir, tandis que son ami, plus vieux encore, lui assénait quelques coups de coudes.

« O-oooooh… T-Tenshi ? C’est vraiment toi ? »

Voyant cette belle jeune femme approcher et, Honda comprenant qu’ils venaient tous deux de ferrer la bonne, les deux hommes lâchèrent leurs cartes sans un bruit, ébahis par la vision qui venait de leur être offerte.

« C’est vraiment elle ? »

Comme venait de le faire Gou, peut-être plus subtilement, le vieil Honda ne se retint pas de poser les yeux sur cette sublime cré   ature qui s’était soudain approché d’eux. À sa grande surprise, et ce au vu de cette tenue d’écolière qui ne lui allait plus, la jeune femme n’avait plus rien de… jeune… et méritait, plus que toute autre, de se faire appeler « femme ».

Presque intimidé, tout autant qu’il était d’un coup réveillé, le vieil Honda tendit un main en sa direction. Main que, malheureusement, elle ne semblait pas voir.

La plantureuse demoiselle courbant vite l’échine pour embrasser la main de son grand-père, un silence se fit soudain. Devant une telle beauté, tous deux, semblaient bien démunis… comme inexpérimentés.
Assis à côté de Gou, Honda pencha la tête d’un côté pour la regarder faire, profitant d’un décolleté tel que, il en était sûr, il n’en avait jamais connu de tel en quatre-vingt-dix ans.

Surpris, comme intimidé devant ce charme soudain, qui se présentait à eux, le pauvre Gou resta bouche-bée un instant.

Avant qu’Honda ne s’en mêle, il se leva toutefois d’un bond, suivant sa jeune protégée jusqu’à l’entrée du camping-car.

Derrière ses hanches si larges -deux fois celle de son épouse, au bas mot-, le pauvre ne sut quoi dire.

« É-évidemment ma chérie… fais comme chez toi. Viens, entre. »

Laissant la demoiselle entrer, Gou la suivit pas à pas, s’avançant tout doucement, suivi d’Honda, qui, étonnamment intéressé, se leva vite pour constater du remue-méninge qui pourrait bien secouer son petit havre de paix.

Difficilement, marche après marche, Gou suivit Tenshi.

« C-ce n’est pas très grand, c’est sûr, mais cela devrait faire l’affaire, ma princesse. Tu ne crois pas ? »

Pointant le joli lit à moitié défait, accollé à la fenêtre, il reprit :

« Tu dormiras ici. Ça te va ? C’est pas si mal tu sais ? »

Tenshi n’ayant fait qu’un pas et s’étant déjà approché du lit, trônant au fin fond de cette minuscule embarcation, Gou ne put se retenir, tant empreint de joie que de surprise… et d’excitation, en la regardant, le rouge aux joues :

« C’que tu es belle… Regarde-toi maintenant. Une vraie petite femme…. »
« Modifié: jeudi 29 août 2024, 11:09:30 par Takezo O. Mamoru »
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Tenshi Kazama

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Ce petit périple n’était pas anodin, et les deux hommes étaient loin d’imaginer. Pour quelle raison elle avait décidé de partir faire ce petit Road trip après avoir quitté l’université. Elle essaye de trouver les meilleures parties pour avoir l’argent nécessaire pour se couler douce, mais en secret, elle avait commencé à ouvrir une chaîne de streaming pornographique, car la belle a développé un intérêt bien trop prononcé pour le sexe et de toute façon elle avait tout à fait le physique pour l’emploi et partir avec son grand-père lui permettait d’essayer de calmer ses ardeurs au bord de la nymphomanie .

Elle explore le camping-car en quelques coups d’œil jusqu’à se retrouver dans la partie du couchage. Il y a effectivement un lit, elle dépose sa valise dans un coin avant de commencer à l’ouvrir on pouvait clairement apercevoir les sous-vêtements affriolants. Puis elle se retourne vers son grand-père et son ami le sourire aux lèvres, avant de s’asseoir au bord du lit

- c’est parfait comme endroit pour dormir, mais je ne vois pas d’autres couchages est-ce que c’est normal ou est-ce que vous allez dormir tous les deux ?

En attendant sa réponse, il continue et vient la complimenter. Elle se relève alors pour tourner un peu sur elle-même afin qu’il puisse admirer la nouvelle plastique de sa petite fille.

- haaaann grand-père, tu es un vil flatteur…

La température dehors commence à grimper au fur et à mesure que la journée était en train de passer et des fois il faisait même meilleur à l’intérieur qu’à l’extérieur. Mais heureusement la tenue de la petite fille était assez légère. Bien que l’aurait voulu se changer, elle commence à défaire sa valise devant les deux hommes, qui voient maintenant de manière bien nette les différentes tenues qui semblent très peu pourvus de tissu pour certaines sans faire attention elle laisse tomber par terre en string au pied de son grand-père ne l’ayant pas remarqué, elle ouvre la petite armoire qui était en hauteur et à bout de bras, elle commence à ranger ses affaires, ce qui a pour but de faire remonter sa jupe jusqu’à la naissance de son cul qui démontre clairement  Que le string qu’elle porte était en dentelle et qui moule parfaitement sa chatte

- est-ce que vous voulez que l’on boit un verre pour trinquer à nos vacances en commun ? J’ai rapporté une petite bouteille de champagne pour nous retrouvailles grand-père

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Flattée par les doux mots de son grand-père, Tenshi fit un petit tour sur elle-même, offrant aux vieillards une sacrée vue sur ses courbes qu’aucun des deux n’était prêt d’oublier.

Il fallait dire qu’aussi gentilles fussent ses paroles, celles-ci n’étaient certainement pas que flatteries. Tenshi s’était tellement développée, depuis la dernière fois que son grand-père l’avait vue, que la jeunette avait désormais tout de la bombe sexuelle. Elle qui, jadis, était plate comme une limande, était désormais munie des plus grosses loches que les deux vieux avaient vues. Avec un décolleté tel que celui que lui faisait sa petite chemisette, il ne fallait pas être expert pour deviner comme ses seins étaient gros, plus gros encore que deux pastèques bien mûres.

Il y avait de quoi se régaler les yeux rien qu’en ne s’attardant que sur cette partie de son corps…

Et si l’on regardait plus bas, que dire alors de ses grandes et longues jambes, flanquées sous pareille petite jupette ?

Regardant par-dessus l’épaule du grand-père de la jeune femme, Honda, comme son ami, n’en manquait pas une miette.

« Mais pas du tout voyons… regarde-toi. Oh, tu dois en faire chavirer, des cœurs… hein ? C’est sûr. »

Ne la quittant pas des yeux alors qu’elle se dressait sur la pointe des pieds pour ranger ses affaires dans l’un des placards en hauteur, Gou continua, d’une voix plus discrète… pour éviter qu’Honda n’entende le reste de la conversation, qui tenait là du privé.

« Tu te protèges au moins, hein ? »

Honda n’ayant pas entendu, il se rapprocha, de peur de se sentir exclu de la conversation. Gou l’ayant bien compris, il se remit à parler comme à son habitude, se tournant vers son partenaire de toujours.

« Pas vrai qu’elle est belle ma princesse, hein ? Qu’est-ce que tu en penses Honda ? »

Époustouflé par la vue, Honda ne répondit pas tout de suite.
Se dressant sur ses petits pieds pour mettre au placard tout un tas de petites tenues, qu’il devinait aisément fines et faites de très peu de tissu, la jeunette lui donnait, sans le savoir, une vue imprenable sur un popotin qui n’avait pas son pareil…

Sa mini-jupe d’écolière remontant tout doucement le long de ses larges hanches, glissant tout contre son impeccable peau de pêche, se découvraient un peu les plus grosses fesses que le vieil homme noir avait vues, striées en leur centre par la ficelle d’un tout petit string coloré…

Chacune d’elle, de par leur taille, valait bien deux fesses d’une autre femme. Honda n’avait jamais rien vu d’aussi gros… d’aussi beau. Il s’oublia quelques instants en les regardant, mais fut vite ramené à la réalité par Gou, son compère, qui le sortit de ses songes en quelques coups de coude, attendant toujours une réponse.

« Pas vrai ? »

Se léchant discrètement les lèvres, Honda, même s’il chercha à vite se reprendre devant son ami, ne put s’empêcher de mater encore l’énorme cul de la belle et jeune Tenshi.

« Oh ! Ou-oui… une belle, belle femme blanche. Très belle. Ton grand-père a raison Tenshi… tu es… un régal pour les yeux. »

Gou n’ayant pas prêté attention au dessous qui venait d’échapper à la vigilance de sa petite-fille, Honda lui, qui n’avait pas quitté la jeune femme des yeux un seul instant, ne manqua pas d’y prêter un œil curieux. Se baissant pour ramasser le petit amas de ficelles fines qui trônait aux pieds de son ami, le vieil homme, faisant semblant de rien, s’empressa de le cacher au deux autres. Tirant sur l’élastique de son pantalon très ample, le vieil homme planqua le petit string dans son caleçon, tout contre son sexe.

Que la jeune fille se rassure : si Honda, malgré son âge, était encore plein de malice et d’ardeur, voilà bien des années que son énorme boudin noir -dont on pouvait deviner la forme à travers son pantalon tant il était épais- ne s’était plus levé.

S’assurant de ne pas avoir été vu, le vieillard reprit, entreprenant de répondre aux interrogations de la jeune femme.

« Tu peux dormir là, ne t’inquiètes pas. Il y a toute la place qu’il te faut. Comme je le disais à ton grand-père, nous, nous pouvons prendre les banquettes, juste derrière moi. Ça ne me pose pas de problème. »

Surpris de s’être fait voler sa réplique, Gou se tourna vers son comparse.

« Eh ! Espèce de vieux débris, haha… »

Poussant doucement Honda vers l’avant du véhicule, de sorte à laisser un peu d’intimité à Tenshi, Gou continua.

« Allons allons, prends le temps de défaire tes bagages, hein ? Allez viens, Honda, va plutôt faire chauffer le moteur au lieu de dire des bêtises. Prends le temps qu’il te faut, Tenshi. Nous trinquerons ce soir quand nous aurons trouvé où nous arrêter pour la nuit. Il y a quelques campings dans la région mais… il est déjà tard. Je ne sais pas si on y arrivera d’ici ce soir. »

Le vieil Honda s’exécutant sans broncher, il alla s’asseoir au volant et mit le contact, en vue d’un départ imminent, tandis que Gou, de son côté, finissait de ramasser les cartes et les chaises à l’extérieur.

Attendant son retour, Honda scrutait l’arrière du camping-car, le lit, depuis son rétroviseur intérieur.

« Mets-toi à l’aise ma chérie. Tu dois avoir chaud. La douche est juste là si tu as besoin, derrière cette petite porte. C’est pas très grand non plus mais… tant qu’on n’y va pas à deux… ça suffit très bien. »

Gou revenant enfin, il fit signe à son ami qu’ils étaient prêts à partir. Aussitôt, Honda démarra et, bien rapidement, le camping-car quitta le parking, en direction des vacances.

S’asseyant sur le siège passager, à côté de son ami, Gou observa le paysage défiler, de longues minutes durant.



Quelques heures plus tard, le vieil homme s’était endormi, tout sourire là encore. Passant par de petites routes de forêt, le camping-car zigzaguait alors entre les arbres.

Ne voulant pas quitter la route des yeux, de peur de rater un virage, Honda dit alors, sans non plus se retourner complètement :

« Tenshi ? Ton… grand-père m’a dit que tu avais eu ton permis ? Tu… tu veux essayer de tenir le volant, un peu ? »

Lui indiquant une place toute désignée, il tapota sur ses genoux, un grand sourire aux lèvres.

« Attention, tu verras hein… ça a pas l’air, mais les gros engins, comme ça, ça se manœuvre pas pareil. Qu’est-ce que t’en dis, tu veux essayer ? »
« Modifié: jeudi 29 août 2024, 13:44:57 par Takezo O. Mamoru »
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Tenshi Kazama

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C’était vraiment plaisant de sortir de son quotidien avec tous les prédateurs qui n’arrête pas de bander à droite à gauche que ce soit l’université ou devant ces vidéos pornos elle était en famille pour se ressourcer même si elle sait très bien qu’il y a un moment. Le sexe va Prendre le dessus et à ce moment-là elle devra trouver une solution. Elle remercie. Alors son grand-père pour l’accueil est fini de déballer ses affaires avant que le camping-car ne prenne la route

Honda lui avait gentiment proposé d’utiliser la douche pendant que son grand-père était en train de dormir. À point fermé. Elle lui répond que bien évidemment c’était avec plaisir et elle attrape ses affaires De Nuit. Elle prend alors la douche comme son habitude. Pour finalement ressortir la Camille était bien trop petite pour pouvoir se sécher convenablement, et elle se retrouve donc dans sa chambre qui n’avait pas de porte est bien ouverte jusqu’à l’avant du camping-car que l’ami de son grand-père pouvait pleinement, se raser, l’œil en la voyant toute Nue. Elle vient leur mettre un string noir et une sorte de chemise longue transparente. Qu’elle garde ouverte. Elle aime vraiment être à l’aise dans les endroits où elle passe et se dit qu’il n’y avait aucun risque avec deux grand-pères

Honda prends alors la parole pour lui proposer de venir conduire le camping-car. La jeune fille était vide d’expérience et elle sourit avant de venir à l’avant du camping-car. Pour regarder la route elle n’avait pas l’air trop mauvaise.

- oui en effet j’ai mon permis, j’aimerais bien essayer, ça a l’air vraiment marrant

Elle le regarde en souriant. Ça avait l’air assez cocasse, mais elle se prêtent volontiers au jeu. Elle vient donc s’asseoir sur ses genoux en positionnant bien son cul sur son entrejambe. Même si il était au repos, elle pouvait constater que les contours de sa queue avait l’air quand même assez impressionnant en terme de dimension, elle se mordille la lèvre, discrètement avant de poser les mains sur le volant et se cambre sur lui . Durant la petite route, il y avait quelques nids de poule qui font sauté sur lui et à cause de cela. Sa chemise qui était ouverte se décale pour venir libérer ses gros seins. Mais cela ne l’inquiète pas elle avait pas vraiment de problème de pudeur, et puis de toute façon qu’est-ce qu’il allait faire ils étaient tous les deux au volant Ils n’allaient donc pas risquer de créer un accident pour assouvir des petits fantasmes, mais elle était loin d’imaginer ce genre de choses

- je suis vraiment contente, c’est la première fois que je conduis un camping-car, mais en tout cas ça secoue bien plus que dans une voiture
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Voilà une petite qui n’a pas froid aux yeux, pensa le vieux Honda lorsqu’il aperçut la petite-fille de son ami Gou, qui sortait nue de sa toute petite salle de bain.

Le pauvre vieux faillit même faire une embardée, trop occupé qu’il était à se rincer l’œil depuis son rétroviseur. Honda avait aperçu le gros cul de Tenshi et, ça, ça lui avait fait quelque chose… quel choc ! Son coeur en avait fait des bonds.

Comprenant à sa façon de se comporter que la jeune fille n’était ni timide ni pudique, le vieil obèse ne s’empêcha pas de lui adresser un grand sourire, affichant bien largement ses très belles dents blanches.

« Ah ça tu es belle, hein… ah oui oui oui. Comme tu es jolie… »

Puisqu’elle avait accepté de venir s’essayer au volant, il lui fit signe d’approcher avec sa main.

« Allez viens. »

Devant tout de même se concentrer sur la route, Honda ne se tourna pas pour l’admirer, mais devina, à ce qu’il voyait du coin de l’œil, que Tenshi lui était revenue très peu vêtue.

Lui tendant une main pour l’aider et s’adossant au mieux dans son siège pour lui faire de la place, le vieux vicelard guida la jeune femme pour qu’elle vienne s’asseoir à son aise, avant qu’il ne lui refile les rênes de son bolide.

Le vieil homme gardait bien les pieds sur les pédales, mais la laissa faire, confiant, lorsqu’il se dessaisît du volant. Baissant les yeux, il observa l’énorme croupe qui, doucement, lui tombait dessus, se positionnant de sorte à ce que son gros engin vienne prendre sa place entre ces deux fesses dodues et presque nues.
Tenshi lui paraissait lourde… mais sacrément confortable.

« Oh… tu es bien assise là, hein ? Oui ? Mets-toi bien à l’aise. Oh lala, tu as de belles fesses, hein ? Moelleuses et tout et tout… »

Ne pouvant pas non plus rester là à rien faire, puisqu’il était encore en charge des pédales, comme du passage de vitesse, Honda dut vite retourner se concentrer sur la route.

La route étant particulièrement mauvaise dans cette partie des bois, le vieil homme ne put finalement faire autrement que sourire, et profiter, en sentant ces grosses fesses dodues rebondir sur son braquemart tout mou.

« Tu te débrouilles bien, hein ? Comme une cheffe. Tu as du talent avec les gros engins. Je suis fier de toi.

Puis vint une bosse. Sur la route malheureusement.
Malheureusement, quoi que…
Déjà peu maintenus par cette chemise fine qu’elle portait, voilà que les deux énormes nibards de Tenshi en sortaient soudain pour se faire la malle au dehors. Quand bien même Honda ne la voyait que de dos, il les vit très bien, pendre et balancer sur les côtés, puis de sa hauteur également, puisque le vieil homme était aussi plutôt grand.

Incapable de résister, d’en rester à la route, le vieil homme se tourna vers le vieux Gou pour s’assurer qu’il dormait encore, et bien profondément, puis en revint à ces gigantesques lolos qui ballotaient dans tous les sens, au gré des nombreux nids-de-poule qui pullulaient sur cette vieille route en mauvais état.

« Oulala… c’est beau ça, hein. Tu as de beaux seins. J’aime bien, ça. Ça oui. Une belle femme blanche comme toi, oulala… Ton papy a raison, les hommes doivent beaucoup aimer te courir après. »

Malicieux, Honda se mit à la faire sautiller doucement sur ses genoux, lui assénant de petits coups de bassins, rendus imperceptibles puisque la route les faisaient déjà sautiller tous les deux.

« Si j’étais plus jeune ah… ça oui. »

Regardant ces gigantesques seins balancer, il se racla la gorge un court moment, se disant qu’il valait mieux clarifier les choses plutôt que trop en dire. Tenshi n’était pas pudique, mais il ne faudrait pas qu’Honda fasse quelque chose qui serait aller trop loin. Pour un vieil homme comme lui, voir pareilles fesses toucher son engin était déjà une aubaine, il ne faudrait pas qu’il offusque ou vexe la jeune femme en faisant une bourde.

« Ça ne te gêne pas si Papy regarde tes lolos, hein ? J’en ai pas vus depuis longtemps alors… et des comme ça, en plus ? Jamais ! Si j’étais plus jeune, je t’aurais volontiers donné mon zizi, hein. Si tu vois ce que je veux dire. »

Posant ses mains sur le volant lui aussi, pour éviter de poser ailleurs ses deux mains libres, un poil trop baladeuses, Honda s’approcha doucement de celles de la jeune fille.

« Si seulement j’avais vingt ans de moins… héhéhé. Par une chaleur pareille… j’aurais déjà baissé mon pantalon, hihihi. À l’air libre, zou ! »

Comprenant qu’il ricanait un peu trop fort, le vieillard se calma rapidement quand il vit Gou bouger. Heureusement pour lui, se dit-il, son ami, qui dormait encore à poings fermés, s’était seulement retourné.

« Tu dois avoir la peau douce, hein ? Est-ce que tu veux enlever ta chemise comme tout à l’heure et laisser Papy Honda te masser les épaules un peu, pendant que tu conduis ? Laisser Papy te toucher… Il va falloir penser à te mettre de la crème hein ? Le soleil tape fort cet été. Si tu restes comme ça, tu vas attraper des coups de soleil tout partout. »

Doucement, peu à peu, Honda avait fini par poser ses mains sur celles de Tenshi.

Observant le bas côté de la route, il laissa un panneau signalant une aire de repos, prévue pour les voyageurs effectuant de grands trajets, capter son attention.

« Ça fait déjà trois heures que je conduis. On peut s’arrêter là d’ici une petite demi-heure pour faire une pause. Regarde dans la boîte à gants, devant ton grand-père. Il doit y avoir un tube de crème solaire et… je ne sais plus trop quoi d’autre. »
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Tenshi Kazama

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Tenshi devait avouer qu’elle était plutôt bien sur les genoux du grand-père assez bedonnant car il était obèse mais bizarrement elle qui avait l’habitude d’être accompagnée de mecs, bien foutu, bien trop parfait voir de l’authenticité. Viens titiller son excitation n’importe qui pourrait dire qu’elle n’était pas nette, mais elle tout ce qu’elle veut. C’est être heureuse dans sa vie et c’est pour ça, elle devait se frotter contre des plus vieux qu’elle, elle le ferait volontiers . Elle continue donc à rouler en écoutant les compliments du grand-père.

- ha oui tu aimes vraiment mes formes, je peux vraiment m’estimer heureuse car je suis très contente d’avoir évolué dans ce sens car quand j’étais petite j’étais loin d’avoir ce physique, il semblerait que la nature ai choisi un meilleur chemin pour moi et je dois vous avouer mr Honda quand je sens votre bite au repos, elle m’a l’air terriblement grosse. Et en effet si vous aviez eu 20 ans de moi, j’aurais tellement voulu essayer. Je n’ai jamais eu de partenaire qui était noir mais je connais les rumeurs.

Elle aussi elle ne marche pas ses mots et comprend très vite que le papy était en train de baver. Littéralement sur elle bien évidemment ça la flatte et ça l’excite et puis après tout qu’est-ce qu’il y avait de mal à laisser un papy profiter de sa vie, car ça ne devait pas être très glorieux de se contenter d’une mamie, pourquoi ne pas exaucer quelques rêves elle continue de l’écouter sans dire un mot puis elle voit effectivement le panneau de l’aire de repos. Elle se laisse guider pour tourner et se stationner sur le parking.

- oui, c’est une bonne idée, je pense qu’on serait plus Alezes dans ma chambre, plutôt que sur ce siège qui est plutôt étroit

Elle se lève pour se pencher vers la boîte à gants et lui montre parfaitement le string dont la ficelle était en train de rentrer dans son intimité. Elle attrape donc le tube de crème solaire et prends la main du noir obèse pour l’entraîner avec elle. Discrètement dans la chambre, elle ne voulait pas réveiller son grand-père, ne connaissant pas encore ses petits secrets

Tenshy commence à se mettre tout nu, avant de s’installer sur le lit, face à lui en mettant ses bras au-dessus de sa tête pour bien lui exposer ses gros seins

- Tu veux que je me mette dans une position en particulier ? Mmmmh… Ça va me faire du bien que l’on masse mes gros seins car ils font bien leur poids.…
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Plus qu’impudique, Monsieur Honda découvrait alors que la belle et jeune Tenshi était même carrément dévergondée. Ce, pour son plus grand plaisir.

Il rit à gorge déployée en entendant la jeunette, de soixante-douze ans sa cadette, parler de son gros engin en des termes si directs. Aussi inattendue soit-elle, cette réponse avait le mérite d’être franche et cela l’amusait beaucoup.

« Oulala ! Toi tu es une bonne fille, hein ? Ah, c’est pour ça que j’ai toujours rêvé d’épouser une belle femme blanche comme toi, avec de gros nénés. Vous aimez ça les gros zizis tout noirs, hein ? Coquine. »

Souriant très largement, le vieil homme bifurquait, déjà impatient de se garer sur l’aire de repos, bondée de touristes de tous horizons.

« Tu aimerais savoir si les rumeurs sont vraies, hein ? Héhé. Je vais m’arrêter là, ici. Je peux te donner mon zizi si tu veux, hein. Si tu veux le toucher pour voir comment on est outillés, nous. Hahahaha… je plaisante, je plaisante. Mais c’est flatteur que tu m’envisages comme… partenaire, hahaha. Si seulement. »

Le véhicule à l’arrêt, au beau milieu d’un nouveau parking en lisière de forêt, Honda observa Tenshi, qui se penchait bien bas, récupérant le tube de crème solaire discrètement, aux yeux et à la barbe de son grand-père qui dormait à côté.

Les yeux rivés sur ses énormes fesses, tout sourire encore, le vieil homme dut se faire violence pour ne pas lui donner la fessée.

« Des belles grosses fesses comme ça… de mon temps, je t’aurais sodomisée très fort pour t’apprendre les bonnes manières. Avec ma grosse bite, là, comme tu dis… c’est pas des manières de parler à ses aînés, ça. »

Ricanant de nouveau, pour lui montrait qu’il blaguait là encore, le vieil homme se releva pourtant, plus que surpris, quand la jeune fille se saisit de sa main pour l’attirer jusqu’au fond du camping-car, à quelques mètres de là.

Se laissant faire, il la regarda se défaire de sa chemise, estomaqué, puis de son string, qu’elle laissa tomber au beau milieu du petit couloir les séparant de la chambre.

Monsieur Honda siffla doucement.

« Mets-toi toute nue, oui… Tu emmènes Papy dans ton lit, hein ? Attention, hein. Ce n’est pas comme ça que se comportent les filles sages… nan nan nan. »

S’arrêtant debout face au petit lit trônant au fond de la pièce, Honda se mordilla les lèvres, impressionné par le caractère bien trempé de la jeune fille. Décrivant du regard les contours de ses larges hanches, de ses jolis mamelons roses, puis l’intérieur de ses cuisses, il sentit comme cette vue lui ouvrait l’appétit. Un appétit… qu’il n’avait pas connu depuis des lustres.

Doucement, et de façon quelque peu hésitante, Honda tendit une main. Déglutissant bruyamment, voilà que le vieil homme appréhendait le contact avec pareille merveille.

Sa grosse paluche noire se posant sous l’un des seins de Tenshi, il se mit à le soupeser, évaluant son poids, sans pouvoir l’agripper pleinement tant il était gros.

« O-oh… c’est parfait. C’est bon, ça. J’ai jamais vu des lolos comme ça, moi. »

Se ravisant, replaçant son bras le long du corps, il s’avança d’un pas et s’assit au bord du lit, juste à côté de la plantureuse rousse.
Attrapant les plis de son très large t-shirt, le vieil homme dût se débattre un instant avant de réussir à s’en défaire, découvrant son large ventre noir, couvert ça et là de son épaisse toison blanche, comme l’étaient ses cheveux.

« Aaah… voilà. Voilà. Pardon j’avais chaud un peu, moi aussi. Si je m’allonge là, comme ça, est-ce que tu voudras bien te mettre au-dessus, à quatre pattes pour que je te les masse ? Ce sera plus facile pour moi comme ça, tu comprends ? »

Se laissant doucement tomber en arrière, Honda prit un oreiller, qu’il plaça derrière sa tête, et s’allongea, les pieds toujours hors du lit, posés au sol.

« J’en ai de la chance, hé… une belle fille comme toi. Mmmmh, on a envie de te croquer, là. Donne-moi la crème chérie, si tu veux que je t’en mette sur tes beaux nénés. »
« Modifié: jeudi 29 août 2024, 18:42:50 par Takezo O. Mamoru »
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Tenshi Kazama

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Elle regarde alors le papy se déshabiller à son tour et ouvre ouvrant les yeux lorsqu’elle voit le membre énorme, malgré qu’il soit en repos, elle sait très bien que cet âge-là, il n’était pas opérationnel. Si il n’y avait pas d’aide, il fallait qu’elle y pense dans un coup de sa tête éventuellement, mais est-ce que ce serait vraiment bienvenue, elle ne dit rien et laisse juste un petit gémissement s’échapper de ses lèvres peu importe, le physique qu’il pouvait avoir savoir ce qui est entre les jambes et bien suffisant. Elle qui voulaient s’éloigner un peu de la luxure. C’était raté.

- oui, installe-toi, je vais faire tout ce que tu veux, si ça peut égayer ta journée

Heureusement que les stores étaient baissées, car apparemment il y avait pas mal de monde sur le parking en train de pique-niquer ou bien de boire un coup on pouvait entendre les bla-bla de l’extérieur et les ronflements de son grand-père qui était en train de dormir à côté. La belle rousse, souris à sa demande, et elle vient se mettre à califourchon sur lui, pour bien se cambrer et ne peut s’empêcher de venir faire frotter sa chatte contre la grosse bite pour qu’il puisse au moins sentir la chaîne. Et puis elle se redresse pour mettre ses deux gros seins devant lui qu’il ne manque pas de venir malaxer Elle se retient bien évidemment de gémir mais elle continue à se décrocher sur lui , pendant qu’elle lui donne le tube de crème

- haaan… j’aime beaucoup cette façon de prendre soin de ma peau, il faut me mettre de la crème partout car quand je vais au soleil généralement je ne porte que très peu de tissus parce que je n’ai jamais dit que j’étais une fille sage bien au contraire, mais disons que j’aime surtout m’amuser et me faire plaisir

Pendant qu’il était en train de masser un de ses gros seins et lui prend la main pour la poser sur son gros cul et lui faire écarter les fesses pendant qu’elle frotte sa chatte contre le membre, il pouvait sentir qu’elle était en train de s’humidifier et de toute manière si il peut pas l’utiliser bien d’autres façons Sont possible, mais ce petit jeu de flirter avec la Ligne, ou bien plus loin de la ligne, t’es vraiment excitant, surtout dans le dos de son grand-père

- mmmmh j’ai une petite question pour papy, même si tu bande pas, tu ressens quand même les effets que ma chatte peut te faire ?

Elle vient alors lui tirer la langue avant de remonter légèrement pour faire frotter la de ses tétons contre la bouche du noir obèse, elle voulait sentir de la bave dessus en attendant qu’il lui mettent de la crème
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Takezo O. Mamoru

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Allongé confortablement, bien à son aise, le vieillard levait les yeux en direction de la jeunette, nue, et à genoux juste à côté de lui. Ne pouvant contenir l’élan de malice et d’envie qu’il sentait monter en lui avec rage, à la vue de cette petite dévergondée, il se remit à ricaner tout bas.

Posant ses gros doigts sur la boucle de sa ceinture, il s’en défit vite, avant de se mettre à tirer doucement son pantalon vers le bas.
Tenshi ne s’attendait peut-être pas à ce que le vieil homme se déleste ainsi de ses tout derniers vêtements mais, quand bien même, c’est ce qu’il fit, trop alléché par l’idée de l’entendre commenter son gros pénis noir, qu’il savait gigantesque, démesuré.

« Il fait chaud là aussi, héhé… excuse-moi, je vais faire comme toi et me mettre tout nu dans le lit. Comme ça je sentirais tout bien, quand je vais te toucher. »

Remuant les fesses, se débattant un peu, Honda continua, avec difficulté, de baisser son pantalon tout contre ses cuisses.
Lentement, très lentement, commençait à apparaître là, entre ses grosses cuisses, les contours bien larges de son énorme bûche foncée, plus large encore que ne l’était son avant-bras.

« Tu voulais voir un gros zizi, hein ? »

Riant à pleines dents, le vieil homme redoubla d’effort pour tirer encore un peu sur le tissu de son pantalon, jusqu’à ce qu’en soit enfin extirpée jusqu’au bout, sa colossale colonne de chair noire. La… « chose » était telle, si longue, qu’elle pendait dans le vide, au bord du lit. Trop grosse, trop longue… celle-ci relevait toutefois du bel objet. Couverte d’un prépuce épais, elle était d’un noir profond mais était belle, si lisse… couverte de belles grosses veines qui, bien malheureusement, n’avaient su gonfler depuis bien des années. C’était en effet un pénis que tous et toutes auraient qualifié de trop gros, mais au moins… ç’en était un très beau.

Très attentif aux réactions de la jeunette, le vieux Honda sourit en entendant ce petite gémissement qu’elle lâcha, à la seule vue de son organe.

« Oh… je crois qu’il te plaît. »

Posant une de ses grosses mains sous son membre, il se mit à le faire sautiller, comme s’il se préparait à une érection… qui ne viendrait jamais, ou comme s’il cherchait à attirer l’attention de la jeune femme dessus.

« Alors, que disent les rumeurs maintenant, héhé ? Tu aimes ça quand c’est gros, hein ? Petite cochonne, va. »

La formidable bombe sexuelle qui l’accompagnait sur ce matelas ne se faisant pas attendre pour l’enjamber et pour se positionner au-dessus de lui, Honda lui glissa un sourire très satisfait. Le vieillard impuissant était aux anges. Ou presque, puisqu’à cet instant, il aurait rêvé pouvoir l’enfiler sauvagement.

Tenshi avait cependant de la suite dans les idées et, quand bien même Honda ne pouvait pas bander, il ne lui fallut que quelques secondes pour sentir sa chatte, si petite en comparaison, se glisser tout contre son gros serpent. Satisfait, il lâcha un petit sourire, signalant comme il était content de lui, mais remarqua également, et cela lui plut plus encore, que tout contre sa bite, la minuscule chatte de Tenshi était humide.

« Mmmmh… tout ce que je veux, hein ? Oh si, tu es une fille sage… une fille très très très sage, même. Viens là. »

Chevauché par cette véritable déesse de beauté comme de jeunesse, le vieil obèse arrêta les simagrées. Lâchant sa belle grosse queue, il prit les seins de Tenshi entre ses doigts, se mit à les masser, à les pétrir, à les malaxer tendrement… quand bien même il ne s’était pas encore servi en crème solaire. Sur l’instant, cela ne lui avait pas paru important.

Alors que la belle se mit à se déhancher fiévreusement, Honda se laissa guider, comme par une amante sur le point de le dévorer. Récupérant la crème solaire quand elle la lui tendit, il s’en saisit, mais ne s’en servit pas tout de suite. À cela, le vieil homme préféra se laisser faire. Curieux de voir où tout ça les amènerait et préférant profiter de l’instant, préférant le faire durer, il laissa la rouquine retirer sa main de son bel obus et la poser, en échange, sur son gros cul dodu… mais si ferme. Ooh, de ça il en rêvait.

« Oooh… c’est tout ce que je veux, ça, héhéhé. Pétrir ce gros cul, là. »

Pour conclure sa phrase, le vieux Honda donna alors à Tenshi la fessée.

« Baiser ton gros cul tout nu, là. Ça ça te donnerait du plaisir, hein ? »

Lâchant la crème solaire, sa seconde main vint vite rejoindre la première, attrapant sa deuxième fesse avec tout autant de vigueur. Sans plus discontinuer à partir de cet instant, il les malaxa joyeusement.

« Ah si je pouvais le faire… je paierai pour te baiser, hein. C’est sûr. Héhéhéhé. Excuse-moi, je m’emporte. J’en ai presque oublié la crème, héhéhé… mais tu me rends tout fou, là, avec ta petite chatte toute mouillée. Tu es toute jeune et toute belle… Tu dois vraiment aimer les gros zizis pour faire des cochonneries comme ça avec un vieux machin comme moi… »

La jeune femme se penchant alors plus encore, faisant pendre ses nibards à quelques centimètres à peine de la bouche du vieux dégueulasse, celui-ci continua, répondant aussitôt à la question qui lui fut posée, quand bien même il la trouva étrange.

« Ça oui, héhéhé. Je bande mou, je suis pas insensible. Je sens bien comme tu te frottes là… c’est bien pour ça que j’aimerai te donner mon argent, hahaha. Si par miracle je pouvais rentrer dedans et vider mes vieilles noix pleines… ce serait sûrement le paradis ! »

En effet, vu comme ses bourses étaient grosses, le vieil homme devait être plein… et n’avait sans doute pas connu de vidange depuis longtemps.

Les nichons de Tenshi s’approchant encore de son visage, le vieux porc ne put plus s’y soustraire. Dressant à peine la tête, il happa vivement, la bouche grande ouverte, l’un des larges mamelons de la belle, l’aspirant bruyamment, le suçotant… le mordillant avec envie, avec passion.

Lâchant enfin son cul, l’homme s’en prit de nouveaux aux gigantesques loches de la jeune fille, les pétrissant chacune, les embrassant, les léchant tour à tour, sans plus s’intéresser à la crème solaire.

« Mmmh… mwaah… ça aussi, je veux. Que tu donnes le sein à ton vieux Papy, comme ça… la crème solaire c’était rien. C’que tu voulais, quand tu as retiré ton petit string là… c’était ça, hein ? Que je m’occupe de tes gros nichons bien lourds… »
« Modifié: jeudi 29 août 2024, 22:45:56 par Takezo O. Mamoru »
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Tenshi Kazama

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Elle savait très bien comment manipuler les hommes et le fait de savoir qu’ils pouvaient tout de même ressentir du plaisir sans pour autant voir son membre en érection. Elle vient sourire et continue de se frotter contre lui sur la longueur et lorsqu’il arrive à positionner le gland au niveau de sa chatte elle vient le faire légèrement pénétrer pour danser dessus et se faire plaisir. En même temps. Mets le meilleur dans tout ça c’est qu’il n’hésite pas à venir rattraper. Ses tétons dans sa bouche pour les téter comme un affamé. Elle essaye de se retenir pour ne pas gémir trop fort et réveiller son grand-père, mais ça n’empêche pas de venir attraper sa grosse bite pour la mettre bien entre les lèvres de son intimité coulisse dessus pour bien laisser toute la mouille

- haaaan oui j’aime tellement ça, tu pourrais venir sucer mes gros seins autant de fois que tu le désires mais si ta grosse queue ne fonctionne pas, tu peux aussi utiliser des objets ou des doigts pour me faire venir toutes trempées… car j’aime énormément, être une vilaine fille…mmmmh ton physique, je m’en contrefiche tant que je peux profiter de ces vacances et que toi aussi

Elle jette sa tête en arrière quand il vient mordre un peu plus fort les extrémités. Elle adore vraiment ça avec son côté masochiste et elle passe une main pour venir lui masser les couilles afin qu’il puisse ressentir des papillons dans le ventre tout en respirant fortement. Elle jette de temps en temps quelques coups d’œil sur son grand-père qui ne semble pas vouloir se réveiller pour le moment et c’est une bonne chose.

- mais tu sais, mon cher papy obèse, il y a une chose que j’adore et qui va te permettre de vanter d’avoir donné un orgasme à une petite jeune comme moi

Tenshi se lèche les lèvres, et vient se tourner en 69 pour lui présenter son intimité devant la bouche qu’elle fera doucement pour qu’il puisse goûter à ce nectar pendant qu’elle vient créner ses gros seins contre le bas-ventre, et pas sa langue sur la grosse queue jusqu’à attraper le gland dans sa bouche pour faire tourner sa langue. Retour et elle se au-dessus de lui . de manière innocente, elle vient sortir son téléphone pour le régler sur le mode de la caméra et le pose à côté de l’obèse pour qu’il puisse filmer à ceux qui sort de superbes souvenirs qui resteront sûrement gravé à jamais jusqu’à dans sa tombe

- mmmmh si tu veux me donner de l’argent, fais-moi plutôt des cadeaux, et je te donnerai tout ce que tu veux en échange
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Veuf depuis plus d’une quarantaine d’années déjà, le vieux monsieur Honda s’était senti bien seul et ce, durant presque toute la moitié de sa longue vie. Sa femme et lui n’ayant point eu de descendance, le vieil homme n’avait ainsi personne à qui léguer la maigre fortune qu’il avait amassée tout au long de son existence.

Ainsi, s’il avait évoqué, plus ou moins sur le ton de la plaisanterie, l’idée d’acheter les faveurs de la jolie Tenshi, une part de vérité, comme de sincérité, résidait tout de même dans sa démarche.

Elle était jeune, belle à croquer… et ne voyait visiblement aucun inconvénient à s’occuper d’un vieillard comme lui, anormalement membré alors… cette idée, d’en faire sa gentille petite pute, continua de faire son chemin, peu à peu, dans sa vieille caboche.

Se déhanchant comme une belle diablesse, la sulfureuse rouquine avait attrapé son gros pénis pour le lui reposer sur le ventre, s’assurant ainsi d’y avoir un accès plus que privilégié. Le vieil homme soupira de bonheur en la sentant l’attraper ainsi, se délectant de voir comme, même avec ses deux petites mains toutes douces, elle ne pouvait entièrement l’empoigner.

Contre sa belle fente humide, lisse et chaude, parfaitement épilée, il sentit son gros bout se décalotter de lui-même, poussant les plis et replis de cette toute petite chatte… Son gros gland parvenant presque à entrer en elle. Chose qu’il ne parvint à faire, puisque sans dureté, sans force, lui restait bien impossible de faire pénétrer en elle une chose si énorme, plus grosse qu’un poing.

L’homme d’âge mur étouffa ses soupirs dans les gros seins de la donzelle, les lui bouffant comme il en rêvait. S’excitant de l’entendre gémir et de lui entendre lui dire qu’elle aimait ça.

« Mmmmh… hohoho… tu aimes bien, ça, toi aussi, hein ? Tu aimerais bien que Papy te fasse les fesses avec ce gros zizi, n’est-ce pas ? Héhéhé. C’est ça ma chérie, bouge bien…. »

L’attrapant par les hanches pour la guider, l’aidant à onduler si fiévreusement contre son sexe, Honda souriait, rêvait…

« Obèse ? Héhéhé… comment tu parles à ton Papy toi, hé ? Vilaine, va. Tu veux que je te donne du plaisir, hein ? Papy va te faire du bien, oui. Oui oui oui. »

N’ayant pas la moindre idée de ce que la jeunette avait en tête, nul besoin de dire que le grand-père ne fut pas déçu du voyage lorsqu’il sentit la jeune femme changer de position, se tourner, pour lui coller son popotin presque en plein visage. Le vieux vicelard eut alors l’occasion de la toucher tout partout, de caresser ses loches, ses gambettes comme ses hanches… et cela lui plut beaucoup.

Frottant bien son gros pétard, il fit glisser ses doigts boudinés, presque aussi gros que des pénis de taille moyenne, tout le long de sa sublime raie.

« Oulala c’est beau… c’est beau ça oui. Tu as des grosses fesses, hein ? J’adore ça moi… ton gros popotin. »

À ceci, le vieux Honda lui donna quelques petites tapes sur les fesses, avec amusement. Le vieil homme jouait était comme un môme devant pareil spectacle.

Quand d’un coup, il eût tout chaud.
Se penchant sur le côté pour voir ce qu’il pouvait bien se passer là en bas, le vieillard vit Tenshi gober son gros gland noir, finissant de le décalotter avec brio pour aspirer son gros bout.

« Ooooouuuuuuh… ouuuh oui. Oh, tu as une grande bouche aussi, hein ? Ma femme savait pas faire comme ça, hein. Tu aimes ça ? Mmmh… tu lèches bien hein. Toi tu veux la bonne crème de ton Papy, ça se voit. »

Ne prêtant pas tout de suite attention au téléphone que la jeunette venait de jeter près de lui, ne sachant pas trop se servir d’un tel appareil, Honda laissa sa tête retomber sur l’oreiller un instant, profitant de ce qui semblait être sa toute première fellation. Après tout, il était tellement bien membré que jusque-là en effet, pas une femme n’avait su le prendre ainsi dans sa bouche.

« Mmmmh… lèches bien. Tu aimes ça hein, mon gros zizi tout noir ? Mange-le. Mange-le bien. »

Attrapant les deux grosses miches de la jeune femme, Honda se redressa, y enfonçant sa tête sans crier gare. Sans aucune autre forme de procès, le vieil homme se mit à la brouter.

« Mmmmh… Papy va te faire un gros chèque. Je vais nous arrêter en ville pour que tu ailles m’acheter des petites pilules, héhé… tout le reste sera à toi. Si tu me dis que tu veux que Papy te paye pour faire l’amour à Papy Honda, que tu veux bien faire comme les putes, alors Papy te paiera tout, hein. Héhéhéhé. »
Dans les vestiaires (NSFW)
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L = 38 ⌀ = 10
Aïe aïe äie

Tenshi Kazama

Humain(e)



Tenshi essaye de retenir ses gémissements quand il vient lui bouffer la chatte comme un affamés car comme elle le pense bien il ne devait pas avoir ce genre d’occasion très souvent et ça tombe bien car elle était la candidate idéale pour pouvoir lui offrir ce genre de choses, tous les paroles qu’il était en train de lui lancer ne faisais que monter la température elle avait vraiment trouvé de quoi s’amuser alors qu’à la base elle était venue pour faire une pause, mais il semblerait que chasser le naturel il revient toujours au galop .

Elle pouvait aussi constater qu’il ressentait bien les choses quand elle s’occupe de sa queue, et elle continue en venant prendre le gland entièrement dans sa bouche, puis elle enfonce tout pour le prendre entièrement dans sa bouche et lui montrer qu’elle avait une gorge parfaite pour lui, même si c’était plus compliqué, dans cet état, elle commence à le sucer, en faisant des bruits ventouse avec sa bouche, puis elle relève la tête pour bien frotter sa chatte contre sa langue

- haaaaan…haaaaan oui je vais aller t’acheter les petites pilules magiques comme ça je pourrais être ta petite pute définitive ou que tu sois et quand tu veux tu voudras bien venir écarter mon clan qui n’a jamais vu une bite aussi grosse…

Rien que le fait d’imaginer ce membre en érection totale avec l’épaisseur qu’il a et la longueur. C’est sûr qu’elle allait pouvoir pouvoir crier de plaisir. Comme elle ne l’a jamais jamais fait depuis qu’elle a découvert le sexe et qu’elle s’en amuse et que ça devient son quotidien, il faut simplement pas que le grand-père se rende compte de quoi que ce soit et le danger était toujours un moteur d’excitation chez elle

Elle continue de le sucer en faisant des gorges profondes, plus ou moins compliquées de temps en temps, mais elle arrive très bien à s’en sortir faisant de la tête lorsqu’il lui demande si elle voulait goûter son sperme elle était en train de mouiller comme une bonne salope alors que ces gros seins se frotte contre l’homme obèse . Elle était d’ailleurs tellement étonnée par la taille de ses doigts, qu’elle vient prendre l’une de ses mains pour qu’il lui enfonce deux doigts dans le cul. Bien évidemment, le papy s’exécute, et elle met sa main devant la bouche pour retenir son cri de plaisir, et viens étouffer les autres qui suivent avec la grosse cul et bouge ses fesses Sur les doigts

En tout cas, une chose était sûre, c’est que les journées, elle allait pouvoir s’habiller de sorte que papy Honda ressemble le désir de venir le manger tout cru, lui lécher la chatte ou la poitrine la rend russe complètement accro. Si en plus on ajoute les pilules bleues, elle va avoir un feu d’artifice.
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Bien cramponné à ses fesses, pétrissant en grande pompe ces deux énormes miches toutes blanches, deux voire trois fois plus larges que sa tête, le vieux monsieur Honda broutait le joli petit minou de Tenshi sans chercher à retenir le moindre de ses coups de langue. Comme absorbé par le plus beau des rêves, le pervers fondait sur elle comme une pieuvre dont les ventouses viendraient tout aspirer.

L’ancêtre léchait, pourléchait à s’en mettre partout, s’éclaboussant le visage de mouille comme de bave, ne laissant pas une miette de ce succulent repas.

Léchouillant de part en part, il triturait en détail son délicieux abricot, jouant parfois de caresses buccales plus qu’insistantes contre son clitoris gonflé de désir. Le pauvre vieux, dont le coeur s’emballait comme jamais il ne s’était emballé, restait toutefois tout sourire. Ce depuis qu’il avait pu poser ses grosses mains sur ce cul. Le plus gros, le plus beau qu’il ait vu.

« Mmmh… slurp. Ton petit sexe est tout prêt pour un gros zizi tout dur là, oui. »

Puisque la jeunette avait mentionné l’idée qu’il puisse se vanter de faire jouir pareille bonnasse, Honda s’en donnait à cœur joie, ne retenant rien de ces envies qui avaient chatouillé son bas-ventre des décennies durant, mais qui fort malheureusement, étaient restées inassouvies.

D’autant plus que sous son gros ventre, là où Tenshi laissait ses deux nibards bien lourds reposer, la jeunette lui réservait un traitement plus que royal. Faisant totalement fi de sa vieille carcasse ventripotente, la petite reine lapait langoureusement son gros gland, le savourant tel une friandise.

Pour son jeune âge, quel jeu de langue ! C’est qu’elle en avait sous le capot, la petite. Sous son très gros capot, même, osa penser le vieux vicelard en gémissant.

Et puis encore… c’est que le vieux dodu n’était pas au bout de ses surprises ! Alors que la petite le chatouillait déjà, en faisant rouler ses deux énormes couilles pleines entre ses petits doigts tout fins, le vieil homme se sentit soudain comme aspiré, son énorme machin s’enduisant peu à peu de toujours plus de bave.

Monsieur Honda le sentait bien, Tenshi remuait la tête dans un sens, puis dans un autre, pour essayer d’engouffrer dans sa bouche son si long sexe noir. Tout mou, le bel objet peinait à entrer. Ce devait être comme tenter d’avaler un serpent, tant la chose se pliait d’un côté, puis d’un autre encore, pour lui échapper.

La tête enfoncée dans l’oreiller, il s’agrippa plus fort que jamais à son gros popotin, sentant bien que, à force d’efforts, la belle parvenait déjà à enfiler son gros bout dans sa gorge. Molle, la belle queue d’Honda devait bien faire dans les quarante centimètres et pourtant, à grands coups de « glrg », de « glarg », de « sluuurp » ou encore de « gulps »… la petite salope l’avalait tout cru.

Se crispant, l’homme se tourna vers l’avant du camping-car, s’assurant que le vieux Gou dormait encore. Le pauvre serrait les dents, mourrait d’envie d’hurler son plaisir alors que la jeunette, de dix-huit ans à peine, lui faisait reluire tout le mandrin, de la pointe jusqu’à la base. Tentant de calmer son souffle, il essayait de se faire le moins bruyant possible.

« Oh… oh… ooooh… oh, ma p’tite chérie. »

Incapable de continuer à la brouter alors qu’elle le mettait dans tous ses états, le gros vicelard se laissa faire, laissa Tenshi prendre sa main… se saisir de deux de ses doigts. La laissant forcer sans dire mot, ne faisant plus que gémir faiblement, il la laissa se les enfoncer dans le fion en se régalant bien du spectacle.

Vu la taille de ses gros doigts, ce devait être comme si deux beaux pénis noirs, pas trop gros non plus, certes, s’étaient soudain collés l’un contre l’autre pour la sodomiser à sec. Son cul n’était absolument pas préparé à un tel traitement, mais cela ne fit qu’exciter encore plus le vieux Honda, qui pensait alors au nombre d’hommes qu’elle pourrait bien prendre en elle en même temps. Bien sûr, ces deux doigts n’avaient rien de comparables en taille à son gros sexe qui, seul, pourrait occasionner bien des dégâts, toutefois il fallait bien reconnaître que ses efforts étaient plus que louables.

Maintenant qu’il avait pris cette chouette place entre ses grosses fesses, le gros homme noir se mit à bouger, lui assénant de longs et lents va-et-vient. Il ne tarda pas non plus à approcher son autre main, insérant un seul tout petit doigt dans sa chatte, afin de faire de même, en canon…

Ce petit jeu le calma un peu, lui permit de reprendre son souffle, quand bien même il se sentait encore avalé tout cru dans la belle petite bouche de sa formidable partenaire.

« Ouuuh… ça te fait du bien ça, hein ? Tu veux ça ? »

Se redressant pour couvrir son fessier de baisers, il n’arrêta pas de bouger un seul instant, guettant les réactions de la demoiselle qui, si elle ne se retenait pas un peu, pourrait bien finir par se mettre à hurler.

« Oulalah oui, hein ? Tu aimes ça… Oooouh… tu sais, mon petit frère a des petits-enfants aussi. Du même âge que toi ou un peu plus… dix ou douze je crois. Ils ont une petite ferme un petit peu plus au Sud. Si tu es gentille comme ça… je pourrais t’emmener les voir, hein. Ils n’ont jamais connu de fille ces gars-là, non non non… oh, je crois qu’ils seraient contents si Papy leur payait une petite prostituée comme toi. Tous ces grands gars noirs bien bâtis… ah je te paierai cher, hein… »

Écartant les jambes plus largement à mesure qu’il se sentait fébrile, le plaisir montant bien vite dans son très gros boudin, pompé si goulûment, le vieil homme dut prendre une nouvelle pause avant de reprendre. C’est qu’il n’avait pas fait de cochonneries comme ça depuis longtemps !

« Oouuh… oulalalala… ouuuuh oui. Mmmmh. Allons-nous mettre sous la douche tous les deux… sinon je vais tout te salir tout partout. Tu vas me faire gicler très très fort, hein ? Viens te coller à moi dans la cabine, que Papy te fasse un gros bisou, pendant que tu finis de lui caresser le serpent. D’accord ? Après ça, Papy t’emmènera à la pharmacie et… on se rapprochera de la ferme pour y aller demain si tu veux. Chut… il ne faudrait pas qu’on réveille ton grand-père hein ? Héhéhéhé… »
« Modifié: samedi 31 août 2024, 13:30:18 par Takezo O. Mamoru »
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