Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

La nuit tous les chats sont gris [Rafiki]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Mirena

Légion

La nuit tous les chats sont gris [Rafiki]

mercredi 03 juillet 2024, 22:38:06

- Mei tu nous rejoins ? Les filles veulent fêter le concert en ville !

- Nan Ruby, je suis vannée…

- Oh allé, t'as bossé comme une dingue !

- Justement, je vais profiter que vous n'êtes pas là pour m'offrir le luxe d'un long très loooong bain !

- Comme tu veux rabat-joie !

- Je te merde Nessa chérie !

Une fin de concert avec les MIRENA se passe toujours dans cette ambiance bonne enfant. Les stars de la soirée ne sont pas des divas qui se pensent au dessus des autres, tout en aboyant sur le staff qui ne les démaquille pas assez vite. Pendant que Mei surveille ses sœurs qui se changent pour leur after, elle jette un œil à sa montre. Il est presque minuit et elle est debout depuis cinq heures du matin. Habillée d'une chemise sans manche et d'un pantalon, tous les deux blancs, la miss se sent serrée dans ses vêtements. Elle n'a donc qu'une hâte : rentrer, se changer et prendre ce fameux bain.

Malgré les protestations des autres filles, la voilà qui décline encore une fois l'offre de sortir avec elles et se dirige vers la scène. Il ne reste plus beaucoup de monde dans l'immense salle, la plupart du matériel est rangé et Mei fait un dernier tour d'horizon pour s'assurer que rien ne cloche. Derrière elle, la jeune femme aux cheveux noirs, entend le rire des MIRENA qui ont elles aussi finies de se changer. Dans le silence qui s'installe peu à peu, la polymorphe salue les ultimes employés restant et se rend à son vestiaire. Elle y récupère quelques affaires et rejoint le garage où l'attend sa voiture. Une fois au volant elle pousse un long soupir et pose la tête sur ce dernier.

- Bordel… Je te tuerai pour un massage !

A peine a-t-elle dit ces mots qu'il lui semble sentir un contact sur sa peau nue. La voilà qui sursaute, se retourne et scrute la voiture, sourcils froncés et lèvres pincées. Totalement sur la défensive elle parcourt le véhicule des yeux, pourtant il n'y a rien, ni personne. Aurait-elle sombré un instant et rêvé ce toucher ? Pas impossible avec la fatigue qu'elle a cumulé depuis le début de la semaine.

- Assez halluciné, on rentre…

Pendant le court trajet qui la sépare de chez elle, la productrice a une sensation bizarre qui ne la quitte pas. C'est comme si elle sentait quelque chose ou quelqu'un la frôler, ce qui est impossible vu qu'elle a vérifié sa voiture en partant. Préoccupée, par ce qu'elle pense être des divagations de son esprit épuisé, Mei arrive enfin à la maison après ces dix minutes à se remettre en question. Entrant dans l'imposante bâtisse où elles vivent avec ses sœurs et jetant négligemment ses chaussures dans le meuble à l'entrée, la demoiselle se mordille la lèvre inférieure. Les talons hauts c'est glamour, mais ça casse les pattes. C'est comme ce qu'elle porte. Ça fait professionnelle et classe, néanmoins c'est une torture à garder. Pas étonnant que la fusée file dans la salle de bain juste pour le plaisir de s'en débarrasser. Elle réalise même, trop tard, qu'il aurait été plus rapide de se téléporter dans cette dernière. M'enfin, ce n'est pas dramatique de perdre quelques petites secondes.

Se penchant pour ouvrir le robinet de la baignoire, elle laisse l'eau couler et se perd dans ses pensées. A nouveau les sensations étranges recommencent. La belle sursaute plus d'une fois et cherche vainement à comprendre ce qui lui arrive ce soir. Frappant les joues pour se ressaisir, elle déboutonne sa chemise et la laisser glisser le long de ses épaules. Le tissu finit rapidement au sol et la voila en soutien gorge en soie noire. Observant son reflet dans la glace, l'ainée fait la moue et passe une main dans sa crinière noire comme l'encre. La voilà qui se tourne à moitié pour constater qu'ils lui arrivent bientôt aux fesses.

- Va bientôt falloir vous couper vous.
« Modifié: vendredi 30 août 2024, 02:24:28 par Mirena »

Rafiki

Créature

  • -
  • Messages: 111


  • FicheChalant

    Description
    Esprit malin et farceur, qui aime les femmes, bigre ! Pcht ! Je peux vous montrer le chemin ! Suivez le bon Rafiki !

Re : La nuit tous les chats sont gris [Rafiki]

Réponse 1 dimanche 04 août 2024, 02:27:53

J'dois dire que de les voir en vrai, ça m'fait bander grave ! Et c'est que le début ! La vie était parfois bien faite, et là, devant mes yeux, s'extasier une foule devant une brochette de délicieuses jeunes femmes. Vous avez déjà entendu parler du groupe MIRENA ? Vous ne savez pas ce que vous ratez, sérieux ! Ce sont de pures déesses, de véritables beautés gravées dans la pierre, modelées par des entités supérieures, j'sais pas dire mieux que ça ! Toutes différentes, avec toutes des formes appétissantes que...Rien que d'en parler, y'a Popole tout fier, droit comme un soldat prêt à partir au front ! Il n'y avait qu'une chanteuse, à la fois envoûtante j'dois dire, une bassiste, une batteuse, deux guitaristes...Et vous m'direz « elle est où la sixième ? ». C'est qu'la dernière, c'est la productrice. C'est celle qu'on voit le moins, mais j'dirais que c'est la pièce maîtresse du groupe. Sans elle, pas d'chanson, et possiblement, pas d'cohésion de groupe. Elle doit les mater telle une matrone si y'a des débordements. Quoique, j'ai jamais vu de raffut par rapport à leur groupe alors même qu'on est au Japon. Ça doit pas être nouveau, les cinglés qui cherchent à s'en approcher pour les...AHEM ! Non, n'allez guère plus loin, manants ! PERVERS ! Je sais ce que vous pensez et...Vous pensez bien ! Qu'est-ce que vous voulez ? On ne se refait pas génie. Rafiki reste Rafiki !

J'sais plus quand j'avais décidé que j'prendrais un p'tit billet pour aller les voir en vrai. C'est bien, les vidéos, mais y'a rien de mieux que d'avoir en face de soi, ce joli p'tit lot gagnant. BREF. Heureusement que la foule est plongée dans le noir (non, pas en moi, bande de cons), parce que ma GIGA bosse n'est clairement pas discrète. En vrai, même si quelqu'un le voyait, qu'est-ce que je m'en tape ! On ne peut résister à de telles merveilles de la nature ! Mais j'attends patiemment la fin du concert, pour être sincère. La MIRENA qui m'avait le plus tapé dans l’œil, c'était Mei, l'effacée. Même si ces apparitions sur scène étaient brèves, elle avait ce petit truc dans le regard qui me faisait BAND...craquer, craquer ! Et puis, faut pas l'cacher, les peaux d'ébène au Japon, ça court pas du tout les rues, encore plus avec des yeux aussi beaux que l'eau claire de la fameuse barrière de corail. Elle m'attire comme un aimant, et j'crois que j'vais pas résister très longtemps.

PAF ! Ca n'a duré que sept secondes et demi pour que je ne tienne plus sur place lorsqu'elle est là, devant moi. Je la veux, putain, mais d'une puissance...Si fort ! Le souffle lourd, presque la respiration grondante, j'attends finalement la toute fin du concert pour m'effacer littéralement de la foule, devenant fantôme. Un putain d'courant d'air, j'vous dis ! Mais pas Casper hein. J'reste un beau gosse, non ? NON ? Rassurez-moi, s'il-vous-plaît...

Sans un bruit, je me faufile dans les coulisses, Popole, mon puissant et turgescent manioc au garde-à-vous. Elles sont toutes là et parlent de partir fêter ça en ville...Sauf Mei. C'est ma chance ! C'est ça, cassez-vous les autres, j'vais bien m'occuper d'elle, promis ! Croix d'bois, croix d'fer, si j'mens, j'vais pas m'la faire ! Je suis si poétique...Alors que les autres filles du groupe sont parties faire la bringue, cette déesse délicieusement dorée reste là, à vérifier que tout soit bien fini et fait correctement. C'est admirable en soi, même si c'est son boulot. Moi, je l'observe de...près ! Ce beau popotin qui remue devant moi là, dans son pantalon blanc, et je ne manque pas de regarder devant parfois, rêvant d'un petit courant d'air pour soulever cette chemise sans manche et voir la naissance de ses seins...Mais y'a trop d'monde encore. J'veux qu'ce soit que pour moi !

Oh, elle s'en va ! Par-fait ! Toujours en mode soum-soum, je la suis jusque dans sa voiture. Elle me fait presque de la peine à la voir épuiser ainsi. J'ai bien envie de lui sauter dessus, mais pourquoi pas lui exaucer ce souhait soudain ? Invisible man va te masser, belle créature ! Je pose mes mains transparentes sur ses épaules, mais v'là qu'elle sursaute ! Oups, fallait pas ? ...Pardon, j'suis un peu con, mais j'peux pas t'laisser me voir maintenant, ma belle gazelle, sinon, tu vas crier au pervers et j'risque de m'faire casser la gueule, même si je ne suis pas du menu fretin. Pour ne pas lui faire davantage peur alors qu'elle conduit, j'fais naître de petites brises, venant lui frôler sa peau qui a l'air si douce, telle une pêche...Retiens-toi un peu, bel éphèbe !

...J'ai bien fait de la suivre. Une fois seule dans cette putain de baraque, je la vois filer dans sa salle de bain, et...Bon sang d'bonsoir, elle va s'foutre à poil ! OUI, go ma poule ! Euh, ma gazelle ! J'en viens à me mordre la main pour me taire lorsque je la vois dans cette indécente dentelle noire. Bon, c'est pas si indécent, et j'suis pas une prude, okay ! Mais elle est si...Si...Aïe, j'ai mal à mon manioc.

Lorsqu'elle se penche vers son miroir, j'ai qu'une envie, c'est de lui taper le cul pleinement de mes mains, ou d'lui agripper la poitrine...Si voluptueuse. J'inspire un grand coup, et dans cette ambiance naissante, avec le bruit qui coule, je lui murmure quelques doux mots à son oreille.

- Tu es pourtant déjà si belle ainsi, ma gazelle...

Dans le reflet du miroir, je laisse apparaître ma personne, un MAG-NI-FI-QUE éphèbe à la peau d'ébène et aux yeux d'émeraude, un peu en transparence, avec un sourire charmeur. Si elle se retourne, elle me verra pas, toujours en mode NINJAAAAAA ! Et si elle revient à regarder le miroir, ma présence ne sera plus. Tu hallucines, ma belle Mei, vraiment. J'vais p'têtre te faire tourner en bourrique, c'est amusant, même si j'veux pas t'faire peur...Mais j'ai tellement envie de toi que j'pourrais renverser l'armée russe d'un coup d'queue !
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Mirena

Légion

Re : La nuit tous les chats sont gris [Rafiki]

Réponse 2 jeudi 29 août 2024, 18:09:04

Alors qu'elle soulevait sa chevelure ébène, la demoiselle sent un souffle contre sa peau, ainsi qu'une voix suave qui lui murmure des mots doux. Sursautant elle va d'abord regarder derrière elle, seulement la pièce est désespérément vide. Fronçant les sourcils, Mei trouve tout ça de plus en plus étrange. Et alors qu'elle regarde à nouveau dans la glace : un visage apparait en transparence dans son miroir. Hébétée, la productrice va longuement étudier ce dernier sans même s'en rendre compte et machinalement lever la main pour la poser sur les traits anguleux. C'est quelques secondes plus tard qu'elle se reprendra. Au lieu de rêvasser elle ferait mieux d'essayer de comprendre ce qui se passe bon sang ! Mais elle aura beau scruter la pièce et même essayer de déceler une possible présence qui serait sous camouflage : rien. C'est à devenir folle.

A cet instant Mei est persuadée que c'est le surmenage qui lui joue des tours. Autrement comment expliquer ce qui lui arrive ? Il n'y a personne d'autre à la maison ce soir, les filles lui ont même envoyé une photo pour la rassurer et l'inviter une fois de plus à les rejoindre. Il est donc exclu que Nessa ou Beth soient en train de lui jouer un tour dont elles ont le secret. Ensuite elle a beau fouiller il n'y a rien ni personne dans cette pièce à part elle. Finalement ses sœurs n'exagèrent peut être pas quand elles lui rabâchent qu'elle se démène trop pour le groupe. Les nuits blanches au bureau semblent avoir finalement eus raison de ses nerfs et la voilà maintenant à fleur de peau. Elle se demande même si ça n'a pas un rapport avec ses pouvoirs, après tout il est facile pour une électromancienne de perdre le contrôle de ces derniers.

- Toi t'as gagné le droit de te coucher tôt ma fille, j'espère juste que ça ne m'empêchera pas de dormir toutes ces conneries. Nan mais sérieux Mei, tu débloques ce soir.

Poussant un long soupir, la jeune femme va rejeter ses cheveux en arrière d'un mouvement las de la main. Ses traits fins sont tirés, ses yeux expriment une profonde fatigue et même ses gestes sont empreints de lenteur. Sans réel entrain elle coupe l'eau pour que ça ne déborde pas. Dégrafer son soutien gorge dans la foulée ne lui prend qu'une seconde, néanmoins elle n'est pas assez rapide pour l'empêcher de tomber au sol. Soupirant face à son incompétence notoire, elle va se pencher pour le ramasser et en profitera pour faire glisser le dernier rempart de tissu le long de ses jambes. Pourtant, au lieu du vide, c'est une masse dure qui rencontre le fessier de la productrice. Comme piquée au vif elle se retourne dans un cri, seulement c'est le néant. Il n'y a toujours rien ni personne dans cette fichue salle de bain.

- Qui est là bordel ?! Montrez-vous !

Partagée entre doute et certitude, son premier réflexe est d'attraper une serviette pour couvrir son corps nu. N'étant pas loin du rebord de la baignoire elle se demande si c'est lui qu'elle aurait touché, ce qui ne serait pas impossible en vrai, mais elle jurerait que ce n'était pas froid. Elle va essayer de la jouer au bluff et fera crépiter ses éclairs dans sa main, comme si elle se tenait prête à attaquer. Il y a très peu de chance que ça impressionne l'intrus dont elle ne sait rien malheureusement. Autrement ça serait trop facile, n'est ce pas ?

- J'ai dis… Montrez-vous !

Mais la réponse est toujours ce silence sans personne en vue. Restant tendue pendant encore quelques minutes, Mei fini par rappeler sa foudre et glisse une main sur le haut de son crâne pour repousser ses longs cheveux. Tenant toujours cette pauvre serviette d'une main, la demoiselle à fleur de peau va soupirer profondément et essayer de se ressaisir. C'est sûr elle a besoin de se détendre, alors elle va accélérer le mouvement sinon ça n'ira jamais. Et quand tous ses vêtements sont enfin posés dans le panier à linge et sa serviette sagement pliée sur le repose-serviette, elle va se glisser dans l'eau pour pouvoir enfin profiter. Ayant mis son téléphone dans une pochette pour le rendre étanche, la productrice s'offre même le luxe de se mettre une série pour tenter de calmer ses nerfs mis à rude épreuve. Supernatural lui parait tout indiqué avec ce qui lui arrive.
« Modifié: vendredi 30 août 2024, 02:24:54 par Mirena »


Répondre
Tags :