Apparemment l’idée de se faire passer dessus par un groupe l’effrayait suffisamment pour prendre les choses en main. Avais-je trop titillé ? Peut-être… je brulais de curiosité et je me disais qu’une telle curiosité ne serait pas forcément assouvie. C’était drôlement frustrant. Je levais les yeux au ciel, en la suivant, me laissant entrainer après avoir rangé mon sexe moi-même puisque son crop semblait plus important. Non mais vraiment, le service qualité n’était pas fou…. Je me plaindrai au SAV…
La bonne blague.
Nous étions clairement suivis et je me contentais de me dire que s’ils avaient été réels, ils n’auraient probablement eu aucun mal à la bloquer. Comme tout le reste, mais les choses se passaient étonnamment bien pour elle sur le trajet. Quel dommage…
Mais puisqu’elle savait où aller, alors je la suivais. Je ne risquais pas grand-chose. Je regardais la jeune femme avec un sourire en coin alors qu’elle me guidait, faisant fi des « poursuivants », jusqu’à un truc un peu miteux, clairement un love hôtel bas de gamme où tu payais à l’heure quoi… et elle payait pour une seulement, comme pour s’assurer que ça n’irait pas au-delà… ben voyons mon colon. Une heure pour lui faire ce que je souhaitais. Ça pouvait être aussi long que court.
Les lieux n’étaient pas fous mais ils avaient l’air propre. Par principe je savais qu’ils l’étaient. Ou qu’ils le seraient même s’ils n’avaient pas semblé l’être. Je me respectais moi-même… et toujours sur a lancée, miss chatte-en-feu, parce que vu son état, ce surnom lui allait particulièrement bien, se dépêcha de me mettre ce qu’il fallait à l’air et de se dessaper pour limite se jeter sur moi, sur le lit, pour le sa mettre au fond, heureusement que c’était un rêve, car c’était sans capote… et taper dans le fond d’une pute dans un hôtel miteux, sans capote, c’était une belle connerie…
« Eh ben… à croire que tu n’attendais que cela… »
Elle gémissait fort joliment, il fallait le reconnaitre, et même elle, elle reprenait des couleurs, elle semblait en meilleur santé, maintenant que j’y pensais, le visage plus coloré, les yeux plus vifs et moins creusés que quand je l’avais vue dans la rue tout à l’heure, avant même d’aller dans la ruelle…
Non… ce n’était quand même pas…
Oh comme ça allait être amusant…
« Vraiment en manque… »
Je ricanais, alors que je donnais une jolie claque sur chacune de ses fesses en même temps, mes mains restant alors en place un moment avant de remonter le long de ses reins. Je soupirai, reconnaissant qu’elle savait y faire, même comme ça, entre les contractions et les ondulations… quelle belle petite salope que voilà… je frissonnais avec jeu, attirant son corps contre le mien, comme pour de la tendresse.
Mes mains remontèrent encore, dans son corps, à sa nuque, à ses cheveux, avant de redescendre. Je venais saisir ses deux jolies petites poires et je jouais avec, avant de commencer à en mordiller la pointe de l’un de ses seins, jouant avec de mes lèvres, de ma langue, de mes dents…
« Une heure donc ? on va bien s’amuser… »
Je pinçais l’autre mamelon entre mes ongles sans prévenir, avant de lui dire, doucement.
« J’espère que tu te sens prête à encaisser… car je vais profiter de chaque seconde comme j’en aurai envie… »
Je faisais de nouveau glisser mes mains dans son dos jusqu’à ses fesses que je griffais doucement, avant de venir lui titiller l’arrière du bout du doigt, bien amusé de voir comment elle y réagirait. Vu comment elle se comportait jusque-là, elle devait aussi être chevronnée par-là, non ?
« Montre-moi comme ça te fait du bien, ma belle… sinon, tu auras fait tout cela pour rien… »
Alors, je commençais à la pousser à se sentir, lentement, revenir à l’état dans lequel je l’avais rencontrée.