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La frotteuse du métro (PV - Molly)

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Jin Tanaka

Humain(e)

La frotteuse du métro (PV - Molly)

mercredi 15 mai 2024, 19:07:38

Beaucoup de personnes n'arrêtent pas de parler de réchauffement climatique depuis quelques années. On pourrait plutôt dire qu'il s'agit d'un dérèglement climatique vu les températures qui changent tellement qu'on dit désormais qu'il n'y a plus de saisons. Le mois d'avril arrive avec la rentrée scolaire dans des températures plus estivales que printanières. L'application météo du smartphone de Jin indique qu'il fait actuellement une 30aine de degrés. Heureusement que les transports en commun sont climatisés et que son métro n'est pas bondé.

N'étant pas un grand fan des jeux pour mobiles, l'enseignant qui vient de quitter son lycée assez tôt aujourd'hui après une réunion pédagogique de pré-rentrée est sur le chemin du retour. Reste à s'occuper durant le trajet. Debout dans la rame, il se tient à un poteau métallique d'une main pendant que l'autre pianote sur son portable. L'application de son navigateur internet est ouverte sur un forum de discussions. Et plus précisément dans une section pour adultes. Histoires et autres anecdotes érotiques, rp coquins postés entre membres, partages de photos ou vidéos persos... On y trouve tout et n'importe quoi.

Ce qui attire aujourd'hui la curiosité de cet homme qui est vêtu d'un simple jean et d'un débardeur blanc pour ne pas suffoquer sous la chaleur est une rubrique qui parle de rumeurs aussi folles les unes que les autres. Et la plus populaire du moment fait état d'une femme aux mains baladeuses dans les métros de Seikusu. Le premier poste de son auteur décrit de manière assez suggestives son expérience avec une parfaite inconnue en pleine soirée alors qu'il rentrait d'une soirée.
Bien entendu personne ne le crois. Certains disent qu'il devait s'agir d'un trans. D'autres qu'il a trop bu le jour en question et qu'il devait s'être endormi. Ou encore qu'il a tout inventé pour passer le temps.
En même temps sur internet les gens ont forcément plus de doutes quand on parle de la gente féminine. Les catfish et autres escrocs qui sont des hommes cachés derrière des profils féminins d'un côté. Ou encore les joueurs masculins derrière des avatars féminins pour gratter des objets ou des cadeaux sur les jeux en ligne. Tout cela n'a fait que rendre la foule sceptique à bien des égards quand tout se fait en ligne.

Alors une nympho qui vient chauffer des mecs dans les transports publiques ? Aucune chance que quelqu'un y croit dans preuve. Certaines personnes avec des caractéristiques physiques similaires à celles du posteur principal ont tenté de reproduire l'expérience en prenant le même trajet à la même heure sans succès. Est-ce que l'inconnue en question lit le même forum comme le prétend l'auteur ? Dur à dire. Cela lui a même valu des moqueries acerbes.

- Qu'est-ce qu'ils vont pas inventer pour avoir des clicks ?

L'enseignant parle tout seul dans son coin à voix basse pour ne pas être entendu alors que le métro ralentit pour arriver à la station suivante.
C'est alors qu'une foule fait son apparition sur le quai. A première vue un gros évènement a eu lieu pas loin et le métro qui est généralement vide à cette heure-ci se remplit à une vitesse phénoménale.
Sans être coincé dans un coin, Jin se retrouve dans une position peu confortable et espère que ce petit monde va rapidement évacuer car même avec la climatisation ça risque de rapidement sentir les aisselles là-dedans.

Molly Murphy

Humain(e)

Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)

Réponse 1 mercredi 15 mai 2024, 21:35:37

La narration est faite du point de vue de Macy, la fameuse frotteuse.

La dernière fois, j’étais complètement morte. J’avais tellement bu que je ne savais plus marcher droit en sortant de chez Hazel. Molly et elle avaient insisté à mort pour que je reste mais mon lit me manquait trop… C’est l’excuse que j’ai balancée ce soir-là. En vrai, je me rendais chez mon plan Q habituel. Dire que l’alcool m’avait rendu chaude, c’est un euphémisme. J’étais un volcan sur le point d’entrer en éruption. J’avais besoin d’aide et vite. Ce gars-là, il était tout près. Il était la solution parfaite à mon problème.

Mais il faut toujours une couille dans le pâté quand l’urgence s’est installée. Derrière la porte, je suis tombée sur sa copine. Petit échange de regards puis elle m’a insulté. Elle n'a pas trop aimé me croiser, ni me rencontrer. Mon plan Q a du se prendre le célibat dans la gueule sans rien comprendre. Je demeurais la plus mal lotie : Insatisfaite et obligée de rentrer à mon appart’. Me laisser dans la rue, dans cet état, c’est probablement la pire idée possible. J’aurais pu me taper n’importe quel gars à peu près bien monté sur mon chemin.

Jusqu’au métro. On était que deux debout, un gars à côté qui sentait l’odeur de l’alcool comme moi. La boisson avait un sacré effet sur lui vu que je pouvais voir la forme de sa queue dessinée dans son jeans. Dans cet état, j’ai feint de tomber dès que la rame a brusquement freiné et je me suis collée contre lui. Il n’a pas protesté et s’est montré plutôt ouvert à la proposition. J’ai continué.

Trois jours plus tard, rebelote mais en pleine journée. Le wagon était plein et le gars s’est vite retrouvé coincé derrière moi… Je ne pouvais pas faire autrement. Mais la seconde fois, ça n’a pas duré longtemps. Ça pourrait presque devenir une habitude d’utiliser les hommes de cette manière. S’il se montre intéressé, sinon, autant me frotter contre un poteau ! Puis le pire, c’est quand je suis tombée sur la rumeur sur un forum que je fréquente depuis quelques semaines. Je deviens célèbre ? Mais en même temps, j’ai trouvé un nouveau plan q et l’envie s’est dispersée.

Aujourd’hui, avec Molly, on est parti voir un concert. La salle est pleine et dès la sortie, le métro s’est rempli en un clin d'œil au point que je l’ai perdu de vue. Je crois même que, entraînée par la foule, elle est montée dans une rame différente. C’est chiant ça mais bon, faut juste que je lui rappelle à quelle station on descend. Ma main passe dans mon dos, mon téléphone étant enfermé dans ma poche arrière. Mais mon cul est bien collé contre l’entrejambe d’un gars derrière moi et quand j’essaye de le récupérer, je frotte longuement contre son entrejambe.

C’est bon, je l’ai. Je peux panoter rapidement un truc bancal : dans trois stations, on descend ! Une fois que c’est fait, retour arrière. J’ai toujours pas de manœuvre pour pouvoir l’éviter et je n’en ai pas vraiment envie non plus. Mes doigts prennent bien le temps de descendre et de le caresser pour finir par revenir devant et enfoncer mon tel dans l’une des poches là. Je crois que je recommence à tomber dans des habitudes malsaines. Après tout, c’est tellement agréable et excitant de se toucher et de se frotter dans le métro.

Pourquoi pas une dernière fois ? Je recule. Un petit espace se crée devant moi, vite comblé par une personne en quête d’air. Je me colle contre le gars derrière sans chercher à voir son visage. Je peux sentir, juste sentir sa carrure imposante. Mes fesses sont bien plaquées et mes mains discrètes s’aventurent et furètent sur ce torse prometteur.

Jin Tanaka

Humain(e)

Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)

Réponse 2 mercredi 15 mai 2024, 23:08:40

Avoir un physique de déménageur n'est pas une bonne chose dans ce type de situation. Un coup de genou par ci. Un coude qui s'enfonce dans une côté par là. Voir un sac à dos bien chargé qui vient s'écraser dans le dos. Les gens ne pensent pas aux autres lorsqu'ils forcent le passage pour prendre les transports en commun et cette fois ne fait pas abstraction à la règle.

"D'où peuvent bien sortir tous ces gens" se demande l'enseignant qui ne s'attendait vraiment pas à un tel tsunami humain. Il a l'impression d'être une sardine piégée dans une grosse boite de conserve.
Et pour ne rien arranger le manque d'espace n'est pas le seul problème. Voilà que certaines personnes se mettent à causer entre elles ou au téléphone. D'autres tentent de vérifier où sont leurs amis quitte à hurler à quelques centimètres de ses oreilles. Quel enfer.

Heureusement pour lui que sa grande taille lui permet de pouvoir respirer tranquillement sans craindre d'être étouffé par les odeurs corporelles des autres. Disons plutôt qu'il est en sursis. Sa tête finit par se pencher vers le haut pour vérifier son itinéraire sur le plan affiché au-dessus des portes automatiques. Une façon pour lui de se changer les idées et de rassurer. Le calvaire finira bien par prendre fin à un moment donné.

C'est alors qu'il sent comme un mouvement circulaire contre son jean. Volontaire même vu la façon dont la personne qui se trouve devant lui ne semble pas se contorsionner pour l'éviter. Peut-être que c'est son imagination qui lui joue des tours et qu'il est en train de voir ce qui lui plaît et non ce qui se passe réellement. Surtout qu'à première vue il s'agit d'une jeune femme plutôt séduisante de ce qu'il peut voir d'elle.

Puis elle s'arrête une fois son téléphone récupéré. Tout cela était donc le fruit de son imagination débordante. A force de penser au sexe de manière régulière pour ses activités cachées son cerveau se met sans doute à imaginer des situations loufoques où il n'y en a pas. Excepté que très rapidement... une main vient se mettre à titiller son membre si long et si épais qui fait sa réputation même s'il est encore au repos. Dans leurs positions respectives la jeune femme ne peut pas jauger de ce massif morceau de viande sur toute sa longueur.

C'est alors que ses mains changent de cible alors que son petit cul vient prendre la place de celles-ci pour chercher à sonder de nouveau cette partie si prononcée de son anatomie. Surpris, Jin se met à déglutir en lâchant un soupir de surprise sans pour autant prononcer le moindre mot. De toute manière il ne pourrait pas forcément être entendu avec le bruit qui règne dans la rame. Les gens continuent de parler fort. Les sonneries de téléphone s'enchainent sans jamais s'arrêter. L'enfer sonore continue de plus belle.

Sa crainte d'être pris pour un gros pervers si la femme devant lui se met à crier pour l'accuser le fait se figer sur place. Malheureusement son corps réagit de manière naturelle et une bosse commence à se former très légèrement sous son jean. Le doux parfum dégagé par cette femme, en plus de ses mouvements suggestifs sur son corps, commencent à installer une certaine excitation qu'il est incapable de réprimer.

Puis le métro se met à freiner d'un coup sec. La personne dans son dos le pousse légèrement vers l'avant. Juste de quoi effectuer un mouvement verticale au creux de ce fessier qu'il soupçonne de pousser les hommes à se retourner pour se rincer l’œil dans la rue.

- Oups ! Pardon.

L'excuse sort de manière automatique alors que dans le même temps il remue les hanches une dernière fois pour profiter de cette situation si agréable. Le mouvement reste bref et furtif et pourrait passer comme parfaitement innocent. En tout cas son début d'érection ne se calme pas alors qu'il le faudrait. Autrement il risque de souffrir du manque d'espace dans son pantalon.

Molly Murphy

Humain(e)

Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)

Réponse 3 dimanche 19 mai 2024, 17:34:31

Le gars derrière moi est au repos mais je peux sentir à quel point son anatomie est prometteuse. Je commence à avoir un peu d’expérience en la matière. Il est difficile de le comparer à d’autres à ce stade où seule ma propre excitation m’encourageait à chercher un faible contact. Il m’offre déjà quelques sensations exaltant mon désir. J’ai vraiment chaud. Ce n’est pas la rame bondée et les chaleurs extérieures qui me mettent dans cet état second mais l’homme avec sa carrure imposante, l’attirail assorti dont la bosse prend forme au creux de mes fesses.

Je peux la sentir et me presser à loisir contre lui pour en saisir toute la complexité. Cette simple proximité suffit déjà à me mettre dans tous mes états… La suite risque d’être prometteuse. Il m’est désormais impossible de m’arrêter en si bon chemin, fébrile et impatiente de découvrir à quel point il est bien monté. Je ne me soucie guère des autres passagers dispersés autour de nous et obnubilés par leur propre vie et l’inconfort d’être pris au piège dans les transports.

Puis l’arrêt brusque m’offre une occasion de mieux le sentir. Il est poussé, sa bosse bien ancrée contre mon cul et je me retiens difficilement de ne pas tomber. Il s’excuse mais m’invite clairement à continuer mon petit jeu par son mouvement. J’attendais avec impatience cette autorisation tacite avant de pimenter notre situation plaisante. Mes doigts se posent sur les bords de ma jupe que je remonte au bas de mon dos. Sous le regard privilégié de l’inconnu, ma culotte en dentelle noire et transparente se dévoile.

La rame freine une seconde fois jusqu’à l’arrêt. On est un peu secoué dans tous les sens et cette fois-ci, je manque encore une fois de tomber maladroitement sur la personne devant moi. Après m’être redressée, j’en reviens vite à nos moutons. Maintenant que le tissu tendu de ma jupe a disparu, je peux sentir clairement sa forme. Je me frotte discrètement contre son jeans alors que les autres passagers s’énervent de l’immobilisation soudaine du métro. L’agitation ambiante m’offre le loisir de profiter de l’homme derrière. J’en suis tellement émoustillée que mes tétons dressés pointent à travers mon crop top.

Un message est finalement énoncé dans les haut-parleurs pour expliquer la situation.

Nous rencontrons un obstacle sur les rails. Votre rame sera immobilisé le temps que la situation soit réglé. Veuillez nous excuser du désagrément causé.

Les râles et les protestations s’élèvent tout autour. Le brouhaha devient peu à peu insoutenable pour les passagers. Mais je suis comme isolée dans ma propre bulle, seulement intéressée par l’inconnu. Je suis tellement excitée que je pourrais oublier les gens autour pour lui demander de me baiser là tout de suite. Les caresses insoupçonnables et les frottements discrets ont un charme. J’adore jouer à ce jeu dangereux et voir combien de temps et jusqu’où nous pouvons aller jusqu’à être remarqué.

 Mes doigts se faufilent dans mon dos et je défais maladroitement les boutons de son pantalon. Je descends sa braguette jusqu’à avoir accès à la bosse enflée marquée dans son sous-vêtement. J’en profite pour le caresser longuement du bout de mes phalanges. Quand tout à coup, un passager se tourne vers moi. Je retire mes mains et plaque innocemment mes fesses charnues contre lui. Son excitation s’y dissimule bien, poussant ma culotte comme un string. Il n’y a que deux maigres barrières de tissu qui sépare nos peaux d’un contact érotique.

Jin Tanaka

Humain(e)

Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)

Réponse 4 lundi 20 mai 2024, 09:02:07

La souffrance ne fait qu'augmenter sous son jean quand l'inconnue décide de lui montrer ce qu'elle frottait contre lui depuis plusieurs minutes. N'importe qui penserait maladroitement qu'une personne qui s'adonne à ce genre de chose doit être moche, mal foutue ou alors déséquilibrée mentalement. Dans quelle catégorie est-ce qu'il faudra la ranger ? La question devra attendre car sa bouche lâche un nouveau soupir de plaisir suite au second freinage du métro. Cette contrainte n'a pas arrêtée la belle jeune femme. Au contraire, elle y repart de plus belle.

Explorer et réaliser les fantasmes de ses fans en plus des siens fait partie de son quotidien d'une certaine manière. Le thème des petits plaisirs en extérieur revient régulièrement dans ses échanges avec eux. Lui qui n'était pas vraiment intéressé par cela au début a fini par développer une curiosité à ce sujet. D'abord par des photos envoyées par des femmes qui se dévoilaient peu à peu. Mais aussi par des couples. Exclusifs comme libertins d'ailleurs. Tous ces partages ont fait germer une petite graine de perversité en lui avec le temps.

Jusque là les mains de l'enseignant étaient accrochées à une barre métallique au-dessus de sa tête pour bien se cramponner et éviter de se faire entraîner par la foule. Sauf que la situation est différente maintenant que tout le métro est à l'arrêt.
Mais alors qu'il est sur le point de prendre une initiative, une paire de main délicate vient ouvrir son jean et sa braguette à sa place.
Il se laisse alors faire en observant d'un œil attentif et amusé.

Lorsque l'inconnue revient se presser avec son petit cul bien ferme contre sa queue encore emprisonnée sous son boxer, il décide que c'est l'occasion parfaite pour rejoindre son petit jeu. Sa main droite vient alors se poser sur la fesse à la peau aussi douce qu'il se l'imaginait pour la caresser avec tendresse dans un premier temps.

Il aurait bien voulu pimenter la chose en lui disant quelque chose. Seulement le bruit des contestations inonde la rame de métro et personne ne doit s'entendre ne serait-ce que penser.
Incapable de lui partager oralement sa surprise ou sa complicité, il ne lui reste plus que les gestes. Et c'est ce qu'il fait en utilisant sa seconde main qui vient se poser sur la hanche fine de l'autre côté de ce corps de rêve. Sa grosse main aux doigts épais se faufile jusqu'à un ventre plat pour en couvrir une bonne partie. Une façon comme une autre de lui faire comprendre que maintenant qu'elle a commencé à jouer elle n'ira nulle part.

Toujours incapable de lui parler directement sans avoir à trop élever la voix, son crâne se penche légèrement en avant pour se retrouver au niveau de la chevelure de sa partenaire de jeu surprise. Et là il se met à respirer un peu plus fort. Son rythme est dépendant de son excitation grandissante à cause des mouvements de leurs bassins respectifs qui font frotter son bout de viande épais et son derrière. Elle devrait l'entendre et sentir à quel point il est réceptif à ses gestes.

C'est alors que la main posé sur le petit cul se met à glisser pour venir se frotter à l'intérieur de sa cuisse de manière plus dangereuse.


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