Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)

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Tenshi Kazama

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Elle pouvait le voir complètement au bord du gouffre, et elle savait très bien que sa plastique était en train de faire perdre la tête à son nouveau partenaire. Mais il devait être conscient que sa grosse bite était en train de combler pleinement la jeune femme et qu’elle n’avait qu’une hâte, c’était de pouvoir le sentir, écarter sa chatte, comme il se doit, elle lui confirme qu’elle voulait absolument pouvoir sentir son sperme contre son visage et ses gros seins

Et elle ne fut pas déçu du voyage. Lorsqu’elle voit l’énorme jet et les autres qui suivent, pour venir tapisser son visage et ses gros seins de semence bien chaudes elle elle avait la bouche ouverte et la langue pendant pour bien montrer qu’elle en avait aussi dans la bouche. Elle vient bien évidemment avaler ce qu’elle pouvait et continue de masturber sa grosse bite, avant de passer sa bouche sur le gland pour le lécher et bien nettoyer, afin de ne pas perdre une goutte de son sperme, jusqu’au moment où elle peut entendre la voix de son mari au rez-de-chaussée

ITAKE : « Chérie ? Bando ? …»

TENSHI : « Nous sommes en haut. Je suis en train de montrer tes trophées à notre cher invité …»

ITAKE : « oublie pas que tu as le plat dans le four, je suis désolé je suis obligé de retourner au bureau mon client me casse vraiment les noix. Je vais devoir passer la nuit là-bas. Je suis désolé chérie tu m’excuseras auprès de notre invité…»

Envoie une belle opportunité et une aubaine pour la jeune femme qui allait pouvoir laisser libre cours à sa perversion, alors que elle confirme qu’elle fera passer le message avant qu’elle ne puisse entendre la porte de la maison claqué et le bruit du moteur qui vient quitter l’allée, elle sourit en regardant son Voisin et se redresse pour montrer ses gros seins et son visage plein de sperme

TENSHI : « Haan…Bando…tu veux être mon mari de soir…haaaan …»

Elle lui fait alors un clin d’œil avant de lui demander de patienter alors qu’il avait la bite complètement tendue encore une fois mais elle n’était pas très longue parce que après être passé dans l’autre pièce où elle avait stocké sa robe de mariée, elle revient après l’avoir mise sur elle, avec les gros seins, à l’air hors du décolleté pour bien continuer à mettre en avant la semence sur son corps, et elle vient vers lui en mettant un bras ou ces gros seins et mordiller un de ses doigts en le regardant

TENSHI : « Haan…Cheri Elle te plaît cette robe ? …»

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Bando

Humain(e)

Mené jusqu’au bout de mon extase par les vifs assauts de la belle conjointe infidèle, je peine à me retenir d’hurler comme un damné. Ses énormes obus frottent, m’astiquent furieusement tandis que sa langue joue sans jamais s’interrompre son ballet d’enfer tout contre mon gland.

Incapable de bouger sous le poids de ces deux gros seins si chauds, à me faire frictionner ainsi la queue, j’ai la sensation de n’être plus rien d’autre qu’une grosse glace dévorée avec gourmandise, un chaud après-midi d’été. S’enchaînent de très vulgaires bruits de succion, salaces, crevant le stupre et la débauche, auxquels se joignent mes marmonnements, ces gémissements d’extase pure que je dissimule si mal sous une main.

Tenshi sent que je viens. Elle sait que mon orgasme approche, mais ne joue aucunement avec moi. Elle ne cherche pas à retenir ce moment fatidique. Non, bien au contraire : elle en joue, et s’active plus encore.

Mon sexe palpite, tressaute et en finit secoué dans tous les sens telle une véritable lance à incendie, quand sortent enfin ces si épais jets de mon foutre qui ne tardent pas à lui recouvrir la gueule. Ça tire dans tous les sens, et ce sans s’arrêter une seule fois, durant de très longues secondes. Son nez, ses lèvres, ses yeux… je lui éjacule jusque dans les cheveux et tout coule avec hâte jusque sur ses deux gros seins, comme s’il s’agissait d’une crème bien épaisse, faite pour sa peau. Ses belles petites joues gonflent et se garnissent de belles rondeurs quand je les lui remplis… mais il y en a bien trop, quand bien même elle avale une quantité déjà bien impressionnante de ma sauce blanche.

En plus d’être dévastateur, cet orgasme a ça pour lui qu’il offre une véritable vision de paradis. Vision que la petite perverse ne manque pas de capturer en vidéo avec son téléphone portable, en plus de ça… Quel merveilleux souvenir que celui-ci. Ce n’était pas tout à fait le moment, mais il faudra que je pense à lui en demander une copie, un peu plus tard. Ça pour un cumshot, c’était dantesque. Revoir ça au ralenti promettait d’être trèèèèèès intéressant…

Vidé un grand coup, de ces pulsions obscènes qui m’animaient, je reprends mon souffle, en me délectant de cette vision également sortie tout droit d’un porno que j’ai de Tenshi, le maquillage abimé par mon jus. Je lui souris, satisfait et amusé, la queue toujours dressée alors que ce portrait que j’ai d’elle m’excite au plus haut point. J’ai faim d’elle et ne compte pas m’arrêter là…

Quand d’un coup je sursaute, en entendant la voix d’Itake émaner de l’étage du dessous. J’entends grincer le bois de l’escalier menant jusqu’au grenier… il approche. Il est juste là !
Pris d’une soudaine panique, je manque de tomber à plat, livide, en entendant Tenshi répondre à son mari qui nous cherche que nous sommes là, tous les deux. Son assurance et sa franchise me surprennent et je la regarde avec de grands yeux. Quand bien même elle lui ment, elle vient de révéler à Itake notre position exacte… et il se pourrait bien qu’il nous rejoigne dans l’instant. Quelle horreur. À quoi joue t-elle ? Avait-elle envie de pousser le vice jusque-là ? Avait-elle envie qu’Itake nous surprenne ?

« T-Tenshi ? »

Mais à peine ai-je le temps d’avoir peur que ces pensées s’évaporent, éclatant telle une bulle au-dessus de ma tête. Resté en bas, Itake s’excuse platement de devoir nous abandonner. Son travail passant avant tout -avant Tenshi visiblement, devait-elle se dire-, le voilà qui doit remettre à plus tard notre soirée ensemble, pour passer la nuit à son cabinet.

Silencieusement, je souffle, alors que la pression redescend.
Je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée émue pour cette splendide jeune femme que son mari délaisse ainsi… mais vu comme elle a décidé de pallier à ce problème, je ne peux non plus empêcher un sourire de se dessiner sur mes lèvres.

Nous avons la maison toute entière pour nous, toute la nuit… et n’aurons plus, DU TOUT, besoin de nous retenir. Et ça, vu comme nos préliminaires ont échauffés nos esprits, c’est une très bonne nouvelle. En remerciement pour ses bons traitements, j’avais déjà en tête de lui donner le meilleur de moi-même. Je savais désormais que j’allais pouvoir le faire sans me priver, et la faire hurler à la mort, ma bite plantée si profondément dans son cul que celui qui arriverait à la retirer de là se ferait appeler « Roi Arthur ».

Alors que nous restons un moment sans bouger, à tendre l’oreille pour nous assurer qu’Itake est bien parti, je ne peux qu’appréhender la suite avec un brin d’impatience. Mon imagination fait parfaitement le travail, aidée par la vue que j’ai sur ces belles courbes et mon sexe reste raide, bien au garde-à-vous pour sa nouvelle maîtresse, qui semble tant aimer lui donner des caresses.

« Hm hmmm… J’en ai très envie. »

À sa demande, je l’attends, alors qu’elle disparaît quelques minutes.
J’ignore ce qu’elle fait, mais maintenant que je commence à cerner un peu son penchant pour le cul, je me fais sage et patient, la bite gonflée à bloc.

« Putain… »

Mais quand bien même j’aurais dû m’y attendre, la voir apparaître dans l’encadrement de la porte, vêtue de sa robe de mariée, celle dans laquelle elle a jurée fidélité à son mari, ses deux énormes pastèques à l’air, couvertes de mon sperme, me fait écarquiller les yeux.
Mon sexe fait même un bond, comme s’il avait encore gagné du volume face à un truc pareil.

Lentement, je me lève, sans jamais la quitter des yeux, et je m’approche d’elle. Me mordant la lèvre inférieure sous le coup de l’excitation, je la fait se retourner pour bien la regarder sous toutes les coutures, et viens remonter sa robe sur l’arrière, pour attraper son gros cul d’une main ferme, le faisant claquer.

Un véritable bubble butt, pour les connaisseurs. On voit pas ça si souvent.

« Je l’adore, tu veux dire. Waw. C’est là-dedans que tu lui a dit oui ? Raconte-moi, j’suis sûr que tu t’es pas tapé que lui, ce jour-là. Tu l’as fait avec qui, son témoin ? Ses amis ? »

Malaxant sa grosse fesse, je viens de nouveau coller mon chibre tout contre sa raie, la poussant à avancer vers le couloir de l’étage.

« Et si… on allait rejouer tout ça dans sa chambre ? Tu pourrais mettre ton téléphone dans un coin et me parler un peu de ce jour-là, de lui, pendant que j’encule sa femme, comme si c’était le jour de son mariage… »

Lui donnant une nouvelle fessée, je continue, sans doute un peu trop pris dans mon délire. M’approchant de son oreille, je murmure :

« … si tu penses pouvoir l’encaisser dans l’cul, bien sûr. Après manger, pour le dessert… »

Tenshi Kazama

Humain(e)






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Elle sourit lorsqu’elle le voit se redresser pour la surplomber de sa taille. La grosse bite toujours bien tendue. Elle était vraiment énorme, et elle se mordit la lèvre en le regardant tourner autour d’elle comme un prédateur affamé, puis lui soulève la robe pour prendre bien son cul en main, et laisser quelques claques s’abattre dessus pour le faire rougir, elle se met à gémir sensuellement avant de le regarder par-dessus son épaule, en mettant l’une de ses mains sur la sienne pour la caresser, et comment ça se déhancher sur la grosse bite qui se remet à se branler entre ses fesses

TENSHI : « mmmmh… je suis contente qu’elle te plaise. Elle a beaucoup plu à mon mari et au prêtre, oui, tu as bien entendu, lui qui a fait vœux de chasteté n’a pas vraiment pu résister. Après la cérémonie il m’a emmené dans sa loge alors que le buffet battait de son plein…»

Cette révélation montre à quel point elle était tellement lubrique qu’elle a même pu faire bander un prêtre et le faire craquer devant sa foi. Donc autant dire que son voisin, s’il désire la repousser, c’était peine perdue. Elle le sent alors la pousser vers la sortie du grenier et marche devant lui, en remuant son cul contre sa bite, ils vont alors explorer les lieux avant de descendre l’étage en dessous où il y avait la chambre conjugale. Elle était tout aussi luxueuse que le reste de la maison avec des photos de mariage, des photos de vacances. Elle se retourne.

Et vient mettre sa chatte à califourchon sur sa queue pour se frotter dessus, alors qu’elle vient l’embrasser en jouant avec sa langue, et faisant frotter ses gros seins contre le torse puissant de Bando.

TENSHI : « mmmmh… Nous voici dans la chambre…»

Elle vient alors allumer son téléphone pour le mettre sur l’étagère en face du lit. L’objectif bien en face elle pousse délicatement jeune homme sur le lit avant de revenir sur lui pour l’embrasser la robe remontée pour laisser son cul à l’air. Elle se retourne à quatre pattes pour lui montrer sa chatte qu’elle vient frotter sur toute la longueur, alors qu’elle le regarde par-dessus son épaule

TENSHI : « haaaan … mon père bénissez moi,…»

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Bando

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Je n’arrive plus bien à savoir lequel de nous deux est le pire, dans cette histoire. À dire vrai, je crois surtout que Tenshi et moi nous entraînons l’un l’autre… elle est une femme au foyer insatisfaite, pleine d’imagination et d’envie et moi, moi je rêve tellement d’elle que je la voudrais dans toutes les positions et les situations possibles.

Assurément, nos petits jeux prennent très vite une tournure plus dépravée que réellement coquine.
Mais moi, j’ai tellement envie de me la faire que ça me va très bien, de jouer à ce petit jeu là avec elle.

Alors que je suis dans son dos, qu’elle se remet à se frotter à moi, indécemment, j’écarquille les yeux, mais ne sait vraiment dire si elle dit ça pour m’exciter, ou bien si ce qu’elle dit là est vrai. Sérieusement, je disais ça pour plaisanter. Le prêtre qui les avaient marié l’avait vraiment sauté le jour même de leurs noces ?

« Oh. Sérieux ? T’es pas croyable… Un homme de foi. »

Secouant la tête, l’air amusé, je me laisse mener une fois de plus et suis l’énorme popotin de cette belle salope jusque dans cette chambre qui n’est ni plus ni moins que celle qu’elle partage avec « l’homme de sa vie ». Sans plus une once de honte, je mate comme elle roule si bien du cul, en m’assurant que sa robe ne retombe pas. Je la colle bien de près, pour que mon membre vigoureux reste en place, presque avalé dans sa raie avec laquelle elle s’est remise à m’astiquer…

Sur le chemin, je me défais de ma chemise, que je jette dans l’escalier, sans trop faire attention.

« Je parie qu’il a adoré ça… Et… tu t’es fait les invités, aussi ? »

Je lui souris.

Alors qu’elle me fait enfin entrer au coeur de la chambre conjugale et qu’elle me pousse contre le lit, j’observe ces nombreux portraits du couple et manque presque de retenir un ricanement. Le pauvre Itake. Si il savait…

Je souris de plus belle en entendant un « clic », caractéristique d’une prise de vue que l’on lance depuis un téléphone. Le même que tout à l’heure.

Me mettant à mon aise, je baisse vite mon pantalon, le laissant à mi-genoux, puis la laisse me monter. Je frémis en sentant ses deux gros seins frôler mon torse, meurs d’envie de l’attraper pour fourrer ma grosse queue dans son antre chaude… mais me laisse faire.

Puis elle se tourne, me donne son cul en ligne de mire.
J’avais envie de la prendre en levrette… mais voilà qui fera l’affaire pour le moment, le suspens avait assez duré, je voulais la sauter. Laissons là mener la danse un peu… puisque son mari ne serait pas rentré de sitôt, j’aurai tout le temps de la pilonner violemment plus tard.

Et, si c’était possible malgré mes mensurations… j’en profiterais également pour la sodomiser, histoire de la faire hurler comme il faut.

Mes mains revenant se poser sur son énorme boule, je tapotais dessus pour le regarder rebondir un peu, m’en amuser… avant de pousser délicatement dessus d’une main, tandis que je tenais, de l’autre, mon énorme dard, qui ne demandait plus qu’à entrer.

« Un cul pareil pour un seul homme… c’est une offense. Viens là t’faire pardonner… j’veux t’entendre le crier ce soir, tu es une pute. Et pour ça… tu vas avoir c’que tu mérites. Tu vas me raconter toutes ces fois où un autre que ton mari t’a prise… me dire pour quelle raison tu l’as fait… et je te récompenserai pour ça… »

Tenshi Kazama

Humain(e)





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C’était vraiment une aubaine pour elle, de savoir que son mari ne serait pas là de toute la nuit, car elle pouvait profiter de cette énorme queue que son voisin possède 40 cm. Ce n’était pas rien, et elle sait très bien qu’elle allait pouvoir crier de plaisir en se faisant écarter les orifices et l’écoute attentivement et voit très bien que cette situation, l’excite tout autant qu’elle. D’ailleurs, elle continue de frotter son cul contre la grosse bite avant de se tourner face à lui pour se remettre à califourchon faisant frotter sa chatte, puis son autre orifice en se demandant par lequel commencer.

TENSHI : « Mmmmh.… j’ai passé ma soirée de mariage avec le prêtre car c’était une très bonne couverture pour pouvoir me faire prendre sans aucun soupçon. Et lorsque j’ai fait mon voyage de noces à Hawaï, mon Marie m’a baisé la première nuit puis le reste de la journée, j’ai pu me faire prendre dans l’ascenseur ou dans des local, par des employés de l’hôtel, un magnifique gangbang…»

Elle avait déjà pas mal d’anecdotes à son actif et puis elle vient écarter son cul pour le poser sur l’énorme gland et commence à descendre petit à petit. Elle ouvre grand les yeux et jette sa tête en arrière car c’était vraiment bien épée et petit à petit qui commence à prendre la grosse bite, elle pouvait bien témoigner de la longueur qui vient la faire hurler de plaisir. Rien que par la pénétration alors que sa chatte était en train de dégouliner sur le bas-ventre. Puis, dans un mouvement sec, elle prend les derniers centimètres pour lâcher un autre cri de plaisir, ce qui fait rebondir sa grosse poitrine sous les yeux de Bando

TENSHI : « haaaaaaaaaa…mon dieu…haaaaaaaaaa… Elle est tellement énorme dans mon cul…»

Elle commence à faire des mouvements circulaires avec son bassin, pour qu’il sente bien les parois serrée, épouser parfaitement les contours de sa queue, avant qu’elle ne commence à sautiller sur lui, pour bien coulisser sur la longueur, jusqu’à à faire claquer son cul contre ses couilles, lui offrant une sensation Complètement folle dans cette robe de mariée, alors qu’elle vient poser ses mains sur les épaules de son voisin, en le regardant de manière les briques, la langue pendante

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Bando

Humain(e)

Re : L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)

Réponse 20 vendredi 05 avril 2024, 23:10:50

Qui donc aurait pu prédire que, en acceptant l’invitation à dîner d’Itake ce soir, je me serais retrouvé dans pareille position, sur le point d’enculer sa propre femme, à même ce lit censé, pourtant, symboliser leur union ?

Celle avec qui ce pauvre homme avait décidé de faire sa vie était une véritable chaudasse et, excusez-moi du peu, malheureusement pour lui, passer à côté d’une partie de jambes en l’air avec pareille créature aurait relevé de l’hérésie… purement et simplement.

En ce qui me concerne en tout cas, Tenshi cochait tout de mes critères en matière de charme et de beauté. Et je ne parle même pas de ses courbes que, même sous ses vêtements, aucun homme n’aurait pu imaginer.

Ma queue au garde-à-vous devant elle, comme pour témoigner de cela, je l’observe avec ce même sourire en coin que j’arbore depuis un moment.  Je soupire quand elle se frotte, l’écoute attentivement… toutes ces histoires qu’elle me narre la font de plus en plus passer pour la plus grosse des salopes… mais pour une raison qui m’échappe, je m’en fous bien. Au contraire, ça ne fait même qu’attiser mon envie d’elle.

J’aurais payé cher pour être à la place de ce prêtre, le jour de leur mariage. Après tant d’efforts pour tenir son vœu d’abstinence, je n’osais imaginer le pied qu’il avait dû prendre en se lâchant dans cette sulfureuse bonnasse tout juste mariée…

« Hm ? Combien ils étaient… ? En même temps ? »

Mais si j’étais curieux de savoir combien d’hommes l’avaient fourrée pendant sa lune de miel, je ne pus avoir de réponse si tôt. Pour une raison bien simple, notre petit jeu marquait un temps de pause…

Agitant mon gros gland tout contre ses deux petits orifices, l’inondant même de sa mouille d’un simple geste, Tenshi finit par redresser les fesses bien haut… prête à s’empaler sur moi.

J’avais eu beau le désirer très fort, je n’aurais jamais imaginé que la belle aurait guidé mon machin, assurément bien trop gros, tout contre sa minuscule rondelle. Pas à sec.
Ou en tout cas, je n’aurais pas cru qu’elle puisse attaquer les hostilités ainsi… en commençant par ça. Elle qui mouillait tellement, j’avais pensé la faire jouir au moins une ou deux fois avant d’essayer d’aborder, sérieusement cette fois, le sujet.

Mais non.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, c’est l’équivalent d’une belle grosse gouttière que la salope s’enfila dans le derrière.

« Hmm… ngh… »

Surpris, je me cramponna fermement dans sa chair, en la sentant se servir de mon gigantesque engin pour pousser la porte de son petit trou. J’étais bien trop large… et elle trop serrée…
C’était bon, mais aussi effrayant.

« Ha putain… c-c’est… c’est ton cul ? Tu la veux dans l’cul ? »

Les dents fermement serrées, les doigts enfoncés dans ses fesses, je contractais les jambes et l’aidais comme je le pouvais en réhaussant mon bassin. Comme une foreuse en pleine excavation, j’explosais son gros derrière en y appliquant force et pression, prêt à la lui mettre aussi profond qu’elle semblait elle aussi le vouloir…

Me chevauchant telle une reine, en position d’Andromaque, elle écartait avec une aise déconcertante les parois de ce petit anus, qu’un coup mal donné aurait tout aussi bien pu pulvériser et… sans que je ne sus dire comment elle avait fait… je finis par le sentir : elle m’avait avalé tout entier.

Je sentis d’abord sa raie embrasser mes couilles… puis sans cesser de hurler comme une désespérée, elle s’était mise à bouger, à imprimer en elle les contours de mon pénis, avant… enfin, de sautiller, se servant de moi comme d’un gode bien rigide, enfoncé bien profond dans ses fesses.

La tête enfoncée dans l’oreiller d’Itake, comme ma bite l’était dans le cul de sa femme, je me remis à mordre mes lèvres avec force. Je caressais son gros cul… et me mis à accompagner ses mouvements.

« Haan… mmh oui, oui… oh. T’aimes ça, te faire enculer ? »

Lui souriant à pleines dents, les genoux fléchis, je me mis en position et…

« Qu’est-ce que tu dis de ça ? »

… sans crier gare, je m’activais d’un coup, agitant mon bassin tel un taureau en rut pour lui pilonner les fesses violemment.
Ma queue la forant comme un marteau-piqueur, je ne pus dès lors m’empêcher de grogner, de gémir avec force, tandis que je labourais ce trou si serré…

Parti comme c’était, deux options s’offraient à nous :
L’un de nous finirait par se faire mal, ou bien… la soirée promettait à Tenshi plus d’un orgasme anal.

« Oh putain oui… OUI ! Putain qu’est-ce que j’l’aime ton gros cul… Mmmh. Mh. MMMMH »
« Modifié: vendredi 05 avril 2024, 23:28:25 par Bando »

Tenshi Kazama

Humain(e)






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Elle était en train de chevaucher. Son voisin sur le lit conjugal, ne se soucie pas une seule seconde qu’elle pourrait avoir mauvaise conscience. Elle était bien loin de tout ça et ne voulait qu’explorer le plaisir que la grosse bite pouvait lui offrir. Elle vient poser ses mains sur le torse musclé de son partenaire et commence à monter, descendre pour bien sentir la grosse queue, écarter les parois de son cul, c’était une sensation grisante, car elle pouvait sentir un peu de douleur et du plaisir qui libère sa partie masochiste

TENSHI : « haaaaaamon Dieu Bando… Ta bite est tellement énorme. C’est tellement bon. Je crois que tu vas pouvoir savourer mon corps de nombreuses fois pour assouvir tes fantasmes les plus pervers… j’aime tellement la sentir dans mon cul, et je crois que toi aussi…»

Elle regarde alors qu’elle avait la langue pendant elle, faisait claquer son gros cul contre ses couilles, alors que sa poitrine bouge dans tous les sens de manière hypnotique sous les yeux de son voisin, qui semble autant apprécier la situation. puis il commence à utiliser son corps pour venir percuter le corps de la femme au foyer et la sensation devient une extase complète. Elle ne savait plus où donner de la tête à cause de la dimension de sa grosse bite, qui savait parfaitement frappé aux endroits les plus sensibles.


TENSHI : « haaaaa…haaaaaa…oui !!!!! C’est parfait !!!!…»

Elle se cambre un peu plus pour passer l’une de ses mains derrière elle, et venir masser les grosses couilles par la même occasion dès qu’elle se retrouve pleinement empalée sur lui. Avec son nom, elle vient de tirer l’un de ses tétons pour ajouter à côté masochiste qu’il a fait tant mouiller car oui elle était en train de dégouliner sur le bas-ventre de Bando

TENSHI : « et encore, tu n’as pas tout vu…»

Elle vient lui adresser un sourire pervers avant de relever le bassin pour faire sortir entièrement la grosse bite dans un bruit de ventouse, et viens mettre sa chatte pour s’asseoir sur lui d’une traite ce qu’il a fait hurler jusqu’aux portes, de l’extase et de l’orgasme qui a réussi à contrôler au dernier moment, pour ne pas exploser tout de suite Elle reste un moment bien collé contre lui, avant de remuer, pour qu’il sente bien les parois de sa chatte, s’élargir avec la taille de sa queue. Puis elle commence à sauter dessus avant de venir alterner entre son cul et sa chatte pour lui offrir des sensations qu’il n’a peut-être jamais pu observer.



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Bando

Humain(e)

Quelle superbe vue…
Et que de délicieuses sensations que celles-là, en prime. Montée sur ma verge comme si elle s’adonnait là à un rodéo de tous les diables, Tenshi n’en finissait pas de me surprendre, me prouvent minute après minute comme elle était vraiment, vraiment… vraiment bonne au pieu, en plus d’être incroyablement bonne.

Ses gros nibards à l’air comme ça, sa robe de mariée, qui un jour avait dû symboliser sa pureté, lui donnait maintenant de vraies allures de pute en manque. Ses porte-jarretelles la rendaient formidablement sexy, mais difficile de se retirer de la tête cette impression qu’elle pouvait donner à bondir comme ça sur ma bite, la langue pendante en hurlant son plaisir sur tous les toits, à en briser les vitres alors qu’elle se la mettait bien dans le cul.

C’était clairement la meilleure sodomie de ma vie et j’avais pas envie que ça s’arrête. J’avais déjà été merveilleusement surpris qu’elle vienne se coller ma bite de cheval dans le cul, mais qu’elle la prenne toute entière comme elle l’avait fait… voilà qui avait ouvert la voie à des sensations que jamais je n’avais connues.

Alors, pour bien en profiter, je plaquais parfois mes grosses mains sur ses fesses pour plus qu’elle ne bouge. J’ondulais le bassin seulement, lui donnais de petits à-coups, mais passais de longues secondes comme ça, à profiter d’être tout entier en elle, à complètement lui labourer le jardin de derrière. Jardin dans lequel je planterai bien quelques-unes de mes graines, avant de garder ce qui reste pour tenter de la féconder.

Sans doute m’étais-je pris au jeu, en devinant que le fait de tromper son mari devait l’exciter. Un court instant pendant que je l’enculais comme un forcené, j’avais ainsi fini par me demander si ça l’exciterait, que j’lui fasse un môme, que le pauvre Itake élèverait pour moi.
Bien sûr, je ne pensais pas vraiment toutes ces choses… le pauvre, mais quand même, je finissais par me convaincre que cela pourrait être une idée qui exciterait la pulpeuse rouquine.

Aussi me mis-je à sourire quand elle me dit qu’il était fort probable qu’elle me laisse la baiser plus souvent. L’idée de devenir l’amant régulier d’une telle femme me plaisait… et la possibilité de lui faire des mômes dans le dos de son mari m’amusait un peu aussi.

« Haa… haaaa… mmh. MMMH… parfait. Parfait. J’veux t’entendre me le dire. Dis-moi que tu veux devenir ma salope. Qu’à partir de maintenant… t-tu… tu ES ma salope. HMMM ! »

Je ponctuais chacun de mes mots de gros et violents coups de butoirs que j’assénais à ses grosses fesses puis finis par m’arrêter, en sentant sa petite main se poser sur mes couilles, qu’elle ne pouvait non plus attraper entièrement à pleine.

Me mordillant les lèvres, je la regardais danser lascivement tout contre mon bas ventre, mon large pilier de chair vissé dans son cul, jusque quarante centimètres plus haut. J’admirais la façon qu’elle avait de pincer son téton en couinant et… je ne pus m’empêcher de me redresser pour enfin aller chercher son second téton, que je gobais à pleine bouche.

Depuis que je l’avais vue la première fois, voilà un truc que j’avais toujours rêvé de faire… lui téter les nichons.

Mon plaisir fut malheureusement de courte durée puisque, très vite, elle dut se relever, se mettre bien debout, pour extirper mon chibre tout entier de ses belles fesses, afin qu’il aille enfin côtoyer sa petite chatte trempée.

Je me cramponne encore très fort à la chair large de son cul rebondi et soupire d’aise quand elle m’enfonce en elle d’une traite. Mon gigantesque gland entre d’un coup d’un seul en contact avec son utérus… si bien, que j’eus peur un bref instant de lâcher la sauce aussi vite, tétanisé par la vague de chaleur qui m’envahit soudain.

« OOH ! »

Mais alors qu’elle se rallonge tout contre moi, je la sens peiner dans ses mouvements, à ne m’enfoncer qu’à peine pour pouvoir m’aider à changer facilement de trou, alors qu’elle fourre ma queue un coup devant, un coup derrière… Je gémis comme un taré, mais dois bien avouer que cette position n’a rien de pratique vu la taille de mon engin.

« Aah… j’adore ta chatte, aussi. A-attends… »

Alors que je me redresse à nouveau, je m’extirpe un moment de son derrière et la pousse sur le côté, que nous puissions changer de position. Rapidement je me lève, sors du lit, et viens attraper l’oreiller de son mari pour le lui tendre.

« Penche-toi, et mords là-dedans. »

Debout face au lit conjugal, j’attendais que Tenshi prenne position, gratifiant mon sexe de quelques caresses pour le maintenir au garde-à-vous, prêt à la défoncer comme un foutu marteau-piqueur.

« C’est un jour safe ? J’ai très envie de te mettre enceinte… »

Tenshi Kazama

Humain(e)

L’avocat qui vivait à côté de

Réponse 23 jeudi 18 avril 2024, 03:25:12







Ce qu’elle était en train de vivre avec cette grosse queue de 40 cm, était tout simplement le Nirvana pour elle qui adore les gros calibre, alors qu’elle était en train d’alterner avec les deux orifices, elle pouvait constater le moment où il avait goûté à son intimité, ne s’était presque jouissif pour lui elle voulait le faire craquer comme elle était au bord du gouffre aussi par ce plaisir inédit mais lui aussi lui réserver des petites surprises et il se retire malgré elle de ses yeux de plaisir pour se lever et prendre l’oreiller de son mari. Elle comprend très vite la démarche et elle le prend pour se mettre à quatre pattes. elle frotte d’abord l’oreiller contre sa chatte et son cul, pour laisser l’odeur de sa mouille et de la queue de son voisin, avant de le reporter vers son visage, pour commencer à le sentir en jetant un coup d’œil vers l’homme de manière vulgaire

TENSHI : « haaaaa… oui…cette odeur salace haaaaaa…reviens me defoncer…haaaaaa… Je suis ta salope de Voisine haaaaa… quelle occasion se présentera, je viendrai m’asseoir sur ta grosse bite… je suis désolée, mais tu pourras pas me mettre enceinte aujourd’hui…»

Ni demain ni un autre jour, car elle était très à cheval sur sa pilule, car si elle voulait continuer ses projets nocturnes et sexuels, tout en gardant le plaisir de la richesse de son mari qui était très conséquente. Même si ça avait choisi une maison résidentielle, c’était tout simplement pour ne pas faire étalage de la fortune qui était pourtant bien présente, et qui pourrait permettre à la femme de s’offrir ce qu’elle désire

Elle le regarde en venant lécher l’oreiller, alors qu’elle se dandine devant lui venant de temps en temps garder sa chatte avec ses doigts, puis son cul pour bien qu’il admire son œuvre avec sa queue de cheval

TENSHI : « haaaaa… on pourra même aller dans son bureau pour que tu puisses me prendre comme une chienne à la place où il travaille…haaaaa…»
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Spoiler: Masters (cliquer pour montrer/cacher)
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Bando

Humain(e)

J’avais rêvé de cette position.
Dès l’instant où la plantureuse femme au foyer me fit comprendre comme elle avait jeté son dévolu sur moi -ou sur mon sexe plutôt-… j’en avais eu envie.

Évidemment, puisque c’est en frottant ses énormes miches à mon mandrin que Tenshi avait choisi de me le faire comprendre, je devais bien avouer qu’il n’avait pas fallu aller chercher bien loin, pour qu’une idée comme celle-ci jaillisse d’elle-même dans ma petite tête.

Mais mettez-vous à ma place un instant. Qu’elle soit mariée ou pas; comment diable se refuser à défoncer pareil cul, quand cela est proposé avec tant d’audace qui plus est ?

Je n’en avais jamais vu d’aussi gros que celui-là, et ce malgré la taille fine de cette sublime rouquine, c’est pour dire. À côté, mes hanches à moi paraissaient curieusement étroites. C’était simplement fou comme tout semblait disproportionné chez elle… de ses folles mensurations, à son formidable appétit pour le cul.

C’était difficile à décrire, mais croyez-moi, je ne m’étais jamais senti aussi heureux d’être moi aussi monté de façon si disproportionnée. Tenshi semblait adorer ma queue, et s’amusait ainsi énormément, à me faire beaucoup de bien.

Alors évidemment, tout ça pris en compte, j’eus comme un petit frisson d’émoi, quand elle se mit à quatre pattes sur le plumard, son joli minois tout contre l’oreiller, le cul bien haut.

D’excitation, je me mordillais les lèvres. Nous n’avions pas encore commencé que je le savais… cette levrette allait être phénoménale.

Rendu fiévreux par cet excès d’envie… d’envie de la baiser si fort, je souris, tout en massant son gros cul une seconde, avant de m’étendre tout entier contre son dos, ma bite remontant le long de son ventre, jusqu’entre ses beaux seins, que mon gland vient chatouiller chaudement. Un sourire au lèvre, je murmure :

« Mmmmh… tu me tailleras quelques pipes, aussi ? »

Ainsi collé contre elle, je la caresse chaudement, fait descendre mes doigt, le long de son épaule puis contre ses côtes, avant de malaxer un peu ce sein sur lequel je tombe et qui s’écrase lourdement sur le lit conjugal.

« J’ai tellement envie de te téter les seins… hmmm… t’es incroyablement bonne, tu sais ? »

Finissant par me redresser, par me remettre debout derrière elle, je fais glisser mon index doucement, juste au milieu de son dos, traçant le chemin marquant le passage de sa colonne vertébrale… lui tire un frisson au passage.

Pas déçu pour un sou, je m’amuse même de cette nouvelle réponse qu’elle me donne, alors que j’extirpe ma bite de là où elle est, pour la fesser avec, en de grosses claques bruyantes qui ne me rendent que plus dur… oh ça oui, et quelle gaule.

« Tant pis. Tu préfères que je vise ta bouche ? »

Peut-être aurais-je mieux fait d’attendre qu’elle me réponde, comme je me savais déjà au bord de l’orgasme, mais je ne pus malgré tout me résoudre à attendre une seconde de plus, tant ses fesses m’ouvraient l’appétit.

Me frottant un instant tout contre son gros cul, j’allais attraper ses cheveux, pour mieux les cercler d’une main, en une queue de cheval qui me servirait de prise bien utile pour au moins l’heure à venir.
L’autre vint attraper mon chibre, et guider aussitôt mon gland bien trop large, à l’entrée de son beau petit sexe trempé… qui n’en fit qu’une bouchée.

M’enfonçant lentement, dans un long et profond soupir, je lui collais ma queue épaisse aussi loin que je le pouvais, jusqu’à venir embrasser de ma belle pointe les portes de son utérus.

« Oooooooooooh… »

Mon gros engin bien en elle, je me permis sans plus attendre un premier petit à-coup, tamponnant durement son postérieur.

« Han ! »

Me penchant de nouveau, l’espace d’une seconde, je poussais sa tête un peu plus contre l’oreiller, pour l’inciter à mordre dedans. Tenshi devait l’avoir compris, mais, avec cette chose bien trop grosse, avec laquelle je lui avais déjà explosé le fion, j’allais maintenant la baiser si fort que tout le quartier s’apprêtait à l’entendre hurler.

Qu’il me faille enchaîner dix rounds ainsi ne m’effrayait pas.
Au-delà de mon plaisir importait surtout le sien… et avec ça, l’assurance de pouvoir lui péter le cul autant qu’il me plaira. Cette baise… n’était à mon sens qu’un début, la première d’une longue, longue… longue série.

Extirpant d’elle presque tout mon gros mandrin, aussi lentement qu’il était venu emplir sa chatte, je pris une inspiration.

« A mon tour de t’monter. Prête ? »

N’attendant pas qu’elle me réponde, qu’elle n’ait ainsi le temps de s’y préparer, voilà que je tirais sur sa queue de cheval, et percutais d’un grand coup ses fesses, m’imposant en elle comme une brute.

Sans plus me retenir, et tel que je me l’étais promis… voilà que je lui assénais maintenant de violents coups de butoir, vifs et puissants, dignes d’un véritable marteau-piqueur.

Son cul rebondissait, claquait à grands bruits, avant même que je ne lui mette la fessée et pourtant… nous ne faisions que commencer.

« Ho… haaaa… ha, ha…. Mmmh… han oui c’est ça. Hmm… putain. Mmh oui ! Offre-moi ton gros cul… hhhmmmm ! HHMM ! C’est ça qu’tu voulais ?! »


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