Qui donc aurait pu prédire que, en acceptant l’invitation à dîner d’Itake ce soir, je me serais retrouvé dans pareille position, sur le point d’enculer sa propre femme, à même ce lit censé, pourtant, symboliser leur union ?
Celle avec qui ce pauvre homme avait décidé de faire sa vie était une véritable chaudasse et, excusez-moi du peu, malheureusement pour lui, passer à côté d’une partie de jambes en l’air avec pareille créature aurait relevé de l’hérésie… purement et simplement.
En ce qui me concerne en tout cas, Tenshi cochait tout de mes critères en matière de charme et de beauté. Et je ne parle même pas de ses courbes que, même sous ses vêtements, aucun homme n’aurait pu imaginer.
Ma queue au garde-à-vous devant elle, comme pour témoigner de cela, je l’observe avec ce même sourire en coin que j’arbore depuis un moment. Je soupire quand elle se frotte, l’écoute attentivement… toutes ces histoires qu’elle me narre la font de plus en plus passer pour la plus grosse des salopes… mais pour une raison qui m’échappe, je m’en fous bien. Au contraire, ça ne fait même qu’attiser mon envie d’elle.
J’aurais payé cher pour être à la place de ce prêtre, le jour de leur mariage. Après tant d’efforts pour tenir son vœu d’abstinence, je n’osais imaginer le pied qu’il avait dû prendre en se lâchant dans cette sulfureuse bonnasse tout juste mariée…
« Hm ? Combien ils étaient… ? En même temps ? »Mais si j’étais curieux de savoir combien d’hommes l’avaient fourrée pendant sa lune de miel, je ne pus avoir de réponse si tôt. Pour une raison bien simple, notre petit jeu marquait un temps de pause…
Agitant mon gros gland tout contre ses deux petits orifices, l’inondant même de sa mouille d’un simple geste, Tenshi finit par redresser les fesses bien haut… prête à s’empaler sur moi.
J’avais eu beau le désirer très fort, je n’aurais jamais imaginé que la belle aurait guidé mon machin, assurément bien trop gros, tout contre sa minuscule rondelle. Pas à sec.
Ou en tout cas, je n’aurais pas cru qu’elle puisse attaquer les hostilités ainsi… en commençant par ça. Elle qui mouillait tellement, j’avais pensé la faire jouir au moins une ou deux fois avant d’essayer d’aborder, sérieusement cette fois, le sujet.
Mais non.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, c’est l’équivalent d’une belle grosse gouttière que la salope s’enfila dans le derrière.
« Hmm… ngh… »Surpris, je me cramponna fermement dans sa chair, en la sentant se servir de mon gigantesque engin pour pousser la porte de son petit trou. J’étais bien trop large… et elle trop serrée…
C’était bon, mais aussi effrayant.
« Ha putain… c-c’est… c’est ton cul ? Tu la veux dans l’cul ? »Les dents fermement serrées, les doigts enfoncés dans ses fesses, je contractais les jambes et l’aidais comme je le pouvais en réhaussant mon bassin. Comme une foreuse en pleine excavation, j’explosais son gros derrière en y appliquant force et pression, prêt à la lui mettre aussi profond qu’elle semblait elle aussi le vouloir…
Me chevauchant telle une reine, en position d’Andromaque, elle écartait avec une aise déconcertante les parois de ce petit anus, qu’un coup mal donné aurait tout aussi bien pu pulvériser et… sans que je ne sus dire comment elle avait fait… je finis par le sentir : elle m’avait avalé tout entier.
Je sentis d’abord sa raie embrasser mes couilles… puis sans cesser de hurler comme une désespérée, elle s’était mise à bouger, à imprimer en elle les contours de mon pénis, avant… enfin, de sautiller, se servant de moi comme d’un gode bien rigide, enfoncé bien profond dans ses fesses.
La tête enfoncée dans l’oreiller d’Itake, comme ma bite l’était dans le cul de sa femme, je me remis à mordre mes lèvres avec force. Je caressais son gros cul… et me mis à accompagner ses mouvements.
« Haan… mmh oui, oui… oh. T’aimes ça, te faire enculer ? »Lui souriant à pleines dents, les genoux fléchis, je me mis en position et…
« Qu’est-ce que tu dis de ça ? »… sans crier gare, je m’activais d’un coup, agitant mon bassin tel un taureau en rut pour lui pilonner les fesses violemment.
Ma queue la forant comme un marteau-piqueur, je ne pus dès lors m’empêcher de grogner, de gémir avec force, tandis que je labourais ce trou si serré…
Parti comme c’était, deux options s’offraient à nous :
L’un de nous finirait par se faire mal, ou bien… la soirée promettait à Tenshi plus d’un orgasme anal.
« Oh putain oui… OUI ! Putain qu’est-ce que j’l’aime ton gros cul… Mmmh. Mh. MMMMH »