PoV Daraen :
Je continue de la traiter avec une attention particulière, souhaitant la faire sentir le plus spécial possible, la traitant comme la reine d’une soirée. Si je m’efforce de conserver une certaine forme de pudeur dans mes actions, Marguerite se fait plus initiatrice, ses mains ne perdant pas de temps à devenir baladeuses en venant directement se loger vers une zone bien précise de mon corps, zone où elle peut sentir mon érection naissante au travers de mes habits, preuve, s’il en fallait une, du désir ardent qui m’habite et qui est ressenti uniquement pour elle.
Ses mots m’inspirent et il arrive le moment où, ne cherchant plus à aller pas plusieurs chemins, elle m’annonce le plus clairement et directement possible son envie irrépressible de nous voir et surtout sentir nous unir. Je souris tandis que, de son côté, elle se fait toujours plus aguicheuse, offrant à mes yeux le spectacle de son corps sous des angles appelant à nul autre que la perversion. Aussi gentilhomme puis-je être, il me sera bien difficile de ne pas ressentir une forte volonté de la faire mienne. Mes émotions et envies les plus primaires ne font que prendre de l’ampleur dans le déferlement que je peux ressentir en cet instant précis. Je la veux, de tout mon être.
La silhouette de son corps mettant naturellement en valeur ses courbes dont on pourrait se damner, la beauté de sa personne qui contraste totalement à l’allure de plus en plus coquine qu’elle démontre depuis maintenant quelques minutes, ses provocations qui, peu à peu, ont raison de moi et de mon discernement, me faisant abandonner toute forme de professionnalisme pour m’enfoncer dans les abysses de la luxure avec celle qui est la cause et le fruit de tout ceci, tout est motivation à culminer vers un point précis. Et ses yeux… J’accorde énormément d’importance au regard et aux jeux pouvant en découler et nul doute qu’elle semble déjà les maîtriser à la perfection, me rendant toute chose. Tantôt séduisant, tantôt provocateur, je ne pourrais aucunement y résister et quand bien même le pourrais-je, je n’en ai pas la moindre envie. La seule envie que j’aie, c’est d’elle.
- Je vous désire bien plus que vous ne pourriez l’imaginer…
Et même pour le beau parleur que je puisse être, il est temps de passer à l’action. Assez bavasser. Je me penche un peu plus sur elle, ne tardant plus et caresse désormais bien plus directement l’un de ses globes que je trouvais déjà d’une rare beauté alors qu’ils m’étaient quelque peu dissimulés, lui offrant l’effort de ma tendresse tout en ayant une nuance de fermeté nouvelle, le malaxant dans un massage plaisant, tandis que le second mont se fait attaquer de façon plus directe, ma bouche suçotant bien rapidement le petit bout durci qui orne son sommet. Et je joue avec ces deux seins, ne leur laissant que peu de répit alors que le second téton se fait bien vite titiller à son tour, parfois caressé, parfois pincé, sans me montrer pour autant trop agressif. Je ne recherche que le plaisir de ma partenaire, aucunement sa douleur.
C’est dans cette volonté juvénile de me lancer dans quelques préliminaires que j’évite de trop m’attarder sur sa poitrine, ne souhaitant point lui faire ressentir une forme d’ennui ou de lassitude. Ainsi, la main qui se trouvait sur son sein descend le long de son corps, dans une lente caresse visant à lui faire comprendre où elle compte se rendre tout en créant une pointe d’excitation plus forte en elle, dans l’espoir de me sentir offrir mes attentions à une autre partie de son corps. Puis enfin, elle a ce qu’elle souhaite sûrement bien plus ardemment que moi. Ne m’arrêtant aucunement de sucer ou mordiller son téton dans ma bouche, mes doigts viennent bientôt se trouver dans un état trempé, puisqu’ils se trouvent désormais dans son sous-vêtement, caressant ses lèvres plus intimes ainsi qu’un petit bouton bien plus sensible.