Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ne me ménage pas. - pv

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Marmelade

Créature

Ne me ménage pas. - pv

dimanche 03 mars 2024, 00:19:55

Thérèse un nom dur à porter de notre temps, c'est le prénom de la demoiselle qui s'apprête chez elle dans un silence religieux. Ses parents lui ont donné ce prénom, car ils aimaient bien la France et ça fait chic, son frère a également eu le droit à un prénom typique français : Nicolas. Thérèse n'aime pas son prénom, les Japonais n'arrivent jamais à le prononcer correctement et quand elle doit se présenter au téléphone, elle est souvent prise pour une étrangère malgré son accent du coin. Elle a vu des portes se fermer à cause de ce simple détail, et même pour trouver un travail simple après la fin de ses études, c'était compliqué. C'est avec persévérance qu'elle a trouvée un emploi de femme de ménage au compte d'une seule personne. C'est un homme, il paie bien, sauf qu'il en fait voir de toutes les couleurs à Thérèse qui cherche à changer de travail à côté. Ce n'est pas la seule raison… Nous y reviendrons plus tard.

En attendant, elle se préparait pour sa journée, elle y allait à partir de 8 h le plus souvent sauf si elle recevait un message lui signalant de venir plus tard. Dans un coin de sa chambre, Thérèse avait des vêtements réglementaires, même si elle avait qu'un client elle passait par une agence qui souhaitait imposer un certain standing aux employés. Elle fournissait l'équipement nécessaire, un coup en moins pour les employés, mais un règlement à respecter ainsi qu'une tenue stricte que Thérèse devait porter obligatoirement. Celle-ci était composée d'un chemisier blanc fermé avec des boutons noirs, une jupe blanche aux coutures et finitions noires, des longues chaussettes blanches ainsi que des chaussures plates cirées noires. Et des accessoires comme une collerette en dentelle blanche dans les cheveux et un collier en dentelle autour du cou. Le cliché typique de la femme de ménage, dans le miroir Thérèse ajustait ses vêtements pour être parfaite. Ses doigts passaient sur le bord de sa jupe pour le replier, celle-ci perdait alors en longueur. En dessous du genou pour passer au-dessus, trois-quarts cuisses, mi-cuisses.

- Encore un coup. Une dernière fois, elle retroussait sa jupe pour bien faire apparaître encore plus ses cuisses blanches.

Thérèse s'empressait de tourner sur elle-même pour regarder le volant de sa jupe à l'arrière, ses fesses bombées rendaient le tout très sympathique. Elle ouvrait quelques boutons de son chemisier, beaucoup plus que d'habitude en espérant que cette fois, il allait le remarquer. Voici la deuxième raison de son envie de quitter son boulot, son client ne levait jamais un œil sur elle… Il ramenait des dizaines de filles à son domicile, des soirées chaudes à n'en plus finir et jamais il ne s'était intéressé à la pauvre Thérèse qui a son compteur avait de nombreuses conquêtes. Aucun garçon ne lui résistait à l'université, elle était la plus populaire, devant mettre des stops aux ardeurs des hommes. Et lui, jamais il avait fait un geste, un regard dans sa direction il ramenait chez lui parfois des filles, des laiderons alors qu'il avait mieux à deux pas. Thérèse n'en pouvait plus de lui, c'était un coup pour son ego, c'est pour ça qu'elle voulait se casser loin de ce mec qui n'avait aucun goût. Mais en attendant, elle essayait encore d'attirer son attention et aujourd'hui, elle sortait le grand jeu.

Si toute sa tenue était plus courte, en dessous, c'était un assortiment de sous-vêtements sexy qu'elle avait sélectionné. Ce n'était pas la première fois qu'elle se mettait en valeur, sauf que cette fois, elle était allée faire des achats spécialement pour son client, Thérèse était dans une sacrée spirale. En soutien-gorge, elle portait une armature faite en dentelle noire épaisse, pour le reste du tissu qui devait cacher ses seins, il n'y avait rien. À travers son chemisier, on voyait bien la dentelle et surtout sa poitrine presque libre, ses tétons et ses mamelons. Sous sa jupe, c'était presque la même chose, un string avec des ficelles en dentelle épaisse sans tissu pour cacher son intimité qui était à l'air libre.

- Si avec ça…

Elle finissait de regrouper ses affaires, se dirigeant dans sa voiture sans permis en forme de bloc compact gris pour se diriger vers le domicile de son client. Combien de laiderons allaient partir de chez lui aujourd'hui et comment allait-elle trouver son domicile. Thérèse n'allait pas tarder à arriver pour voir les dégâts et essayer encore une fois de le faire tomber dans ses filets.
Je m'excuse pour mon temps de réponse, je n'ai plus d'ordinateur, je dois écrire sur tablette.

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : Ne me ménage pas. - pv

Réponse 1 dimanche 03 mars 2024, 06:55:05

De nombreuses personnes se plaisent à comparer la vie à des montagnes russes car elle est souvent composée de hauts et de bas. Et cette analogie ne saurait être plus vraie pour le dénommé Kenji qui a vécu des évènements des plus mouvementés ces 5 dernières années.

Il y a 5 ans jour pour jour, Kenji lançait sa start-up avec sa petite amie du lycée. Le jeune couple était ensemble depuis le collège et ne s'était jamais séparé plus de quelques jours ici et là tant ils étaient amoureux.
Même des débuts compliqués ne sont jamais parvenus à ne serait-ce qu'entamer la confiance et la détermination des tourtereaux. Trouver des clients, des fournisseurs ou des investisseurs n'était pas chose aisée mais au bout 2 ans la boite tournait enfin correctement. On pouvait même espérer qu'elle devienne rentable.

A l'aube de la 3ème année, Kenji et sa petite amie décidèrent de franchir le pas et de se marier. Une évidence pour les familles et proches du couple qui se demandait pourquoi cela ne s'était pas encore produit. Avec la start up qui a décollé suite au lancement d'un nouveau produit conçu par Kenji, les bénéfices générés ont dépassés tous les calculs effectués en amont. L'avenir semblait radieux à tous les étages.

- Tu as encore dépensé une fortune en maquillage.
- Et alors ? J'ai le droit de vouloir me faire belle.
- Pour qui ? On n'est pas sorti ensemble une fois en 6 mois !
- Tu me fatigues ! Tu m'étouffes ! J'en peux plus !
- Parce que c'est toi qui en as assez ?


L'argent et la célébrité causa énormément de tort au couple lorsque la start up fut rachetée pour plusieurs centaines de millions de yens par un énorme groupe européen. Le goût du luxe fut plus grand que celui que son épouse avait pour Kenji. Ele s'éloigna alors petit à petit de lui jusqu'au jour où elle demanda le divorce. Un véritable coup de massue pour l'entrepreneur de 35 ans qui a vu sa vie voler en éclat.

Celui qui avait un jour fait la couverture de plusieurs magazines people pour sa réussite figurait désormais sur celle de tabloïds à sensations car il enchaîne les beuveries et autres comportements indécents en public. Lui qui était autrefois un modèle de vertu n'était plus que l'ombre de lui-même, victime d'une spirale négative composée d'alcool et de sexe.

Il suffisait de voir l'imposante résidence dans laquelle il vit. Cette pauvre demeure serait devenu un taudis si il n'avait pas engagé un service de nettoyage pour l'entretenir régulièrement. La pauvre femme de ménage qui s'en occupe doit d'ailleurs avoir perdu le compte du nombre d'inconnues qu'elle a croisé sortant de sa chambre ou de la maison lorsqu'elle prenait son service.
Au début le défilé était composé de mannequins ou d'actrices toutes aussi belles les unes que les autres. Alors que désormais Kenji saute sur tout ce qui bouge du moment que la personne est consentante... ou tenant peu l'alcool.

Au fond du trou, l'ancien business man est aujourd'hui seul chez lui, affalé comme une loque sur son canapé après être rentré bredouille de sa "chasse nocturne" habituelle. Aucune femme n'a voulu passer la nuit avec lui pour la 5ème soirée consécutive. Et pour ne rien arranger à la situation, aujourd'hui est le cinquième anniversaire de la création de sa boite. Autant dire qu'il risque de mal prendre la moindre remarque.

La mine déconfite, dénué d'énergie ou de la moindre motivation à faire quoique ce soit, Kenji reste sur le sofa a regarder la télé sas vraiment se concentrer et avec la télécommande en main qui menace de tomber à même le sol au moindre mouvement.

Ce n'est que lorsque la femme de ménage arrivera qu'il émergera légèrement pour l'accueillir d'un chaleureux : - Ah, t'es là toi.

La bonniche est d'ailleurs plus belle et mieux foutue que ses conquêtes récentes. Pourtant l'idée de lui sauter dessus ne lui est encore jamais venue à l'esprit sans qu'il ne sache vraiment pourquoi. Peut-être que dans un coin de la tête cette femme lui rappelle son ex.
Une ressemblance qui pourrait bien lui porter préjudice aujourd'hui.

- J'suis tout seul aujourd'hui. Ca doit bien te faire marrer, hein ? Tout le monde doit bien s'marrer d'moi t'façon. Le mec bourré de fric qui se retrouve seul chez lui et qu'à pas fini de décuver.

Encore une belle journée en perspective.

Marmelade

Créature

Re : Ne me ménage pas. - pv

Réponse 2 lundi 04 mars 2024, 15:45:47

Dans sa voiture compacte, Thérèse se préparait à arriver chez son client, une demi-heure de route plus tard, elle était devant son domicile prenant son sac à main et les clés pour entrer elle mit peu de temps pour ouvrir la porte d’entrée et la fermer derrière elle. L’odeur était aussi toujours désagréable comme l’humeur de son client qui l’interpella de la plus douteuse des manières.

- Je suis là, comme tous les jours de la semaine pour nettoyer derrière vous, ça ne change pas. Et si vous avez oublié mon prénom Monsieur, c’est Thérèse. Si Kenji peut se montrer désagréable s’était aussi le cas de Thérèse, qui avait un caractère bien forgé.

À force de subir des critiques sur son prénom, la demoiselle avait appris à répondre avec piquant quand il était nécessaire, avec Kenji elle n’hésitait pas à le remettre à sa place quand c’était nécessaire. Ajoutons qu’il était ivre une grande partie du temps, il ne se souvenait que très rare des altercations qu’il avait avec sa femme de ménage, préférant retourner entre les cuisses de ses laiderons que de parler avec elle. Thérèse, enlevait ses chaussures pour mettre des pantoufles, entrant dans le salon pour y découvrir Kenji avachi sur un canapé, télé allumée, sans femmes, ni alcool, ruminant sur son sort.

- L’avantage, c’est que ça va vous éviter d’avoir des poils entre les dents. Thérèse qui grinçait des dents à son arrivée avec sa remarque, était bien contente de le voir ainsi dans le canapé à se lamenter.

Elle allait dans la cuisine, c’était rare qu’il soit là à cette heure, elle devait donc s’en occuper, il restait son client et c’était stipulé dans son contrat. Thérèse, ouvrait le frigo pour sortir des tranches de bacon de la veille, des morceaux d’œufs qu’elle avait aussi coupé hier, la bouteille de jus d’orange pour lui verser un verre et deux tranches de pain de mie. Elle disposait tout ça dans une assiette et un plateau avant d’aller lui apporter sur le canapé, se dévoilant à lui par la même occasion. Il ne devait pas avoir l'habitude de voir un si joli lot se présenter devant lui. Elle poussait la table basse à ses pieds en se penchant en avant pour lui montrer la profondeur de son chemisier et mettant le plateau dessus.

- J’ai de la chance que Monsieur ne regardait pas une de ses sextapes, j’en aurai fait des cauchemars toute la nuit. Maintenant, vous allez manger un peu et arrêtez de pleurer dans votre canapé. Thèrese en profitait pour lui prendre la télécommande de la main, il n’avait pas l’air de s’en servir, d’une manipulation rapide, elle changeait de chaîne pour mettre une chaîne musicale avec des groupes de k-pop.

C’est bien que personne ne soi à votre domicile aujourd’hui, je vais pouvoir aérer et peut-être faire partir cette odeur de fennec qui plane dans l’air depuis que je travaille ici. Par odeur de fennec, elle parlait de relent de sexe, d’alcool et d’autres senteurs peu agréables.

Pour accompagner le geste à la parole, elle se tournait pour aller vers la fenêtre à côté de la télévision pour l’ouvrir en grand, elle en profitait pour se pencher pour mettre le museau dehors afin de respirer l’air frais de la matinée. Ce geste n’était pas innocent, le dos cambré en avant, ses fesses étaient bien tendues sur l’arrière avec sa jupe courte, son postérieur nu qu’elle trémoussait avec joie devait apparaître sous le nez de son client.

- Une si belle journée et je suis coincée ici pour jouer les nounous avec Monsieur en pleine crise existentielle.
Je m'excuse pour mon temps de réponse, je n'ai plus d'ordinateur, je dois écrire sur tablette.

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : Ne me ménage pas. - pv

Réponse 3 mercredi 06 mars 2024, 07:25:31

Est-ce que la bonne a toujours été aussi aguicheuse depuis qu'elle travaille pour lui ? Peut-être bien que Kenji ne s'en est jamais rendu compte jusqu'ici parce qu'il avait déjà attiré des femmes prêtes à le suivre sans broncher jusque chez lui. Inutile donc de prêter attention aux autres, que ce soit la femme de ménage, la voisine ou la serveuse du coin. Même si il s'est déjà tapé plusieurs serveuses.

Trop fatigué mentalement pour répondre aux piques de son employée, l'homme d'affaire se contente de remarquer qu'il peut voir bien plus que la naissance de cette grosse poitrine depuis l'angle qui lui est offert. Un léger grognement est la seule chose qui échappe de sa bouche lorsque la télé change de chaîne pour passer un programme musical qui l'insupporte. On peut y voir des garçons efféminés chanter des trucs sans intérêt.

Ce n'est qu'une fois que la jeune femme se penche en avant pour aérer la grande pièce de vie qu'il remarque ses sous-vêtements qui n'ont rien de normaux.

- Non... J'suis encore bourré ?

Une grosse main vient se poser sur son menton avec difficulté pour remonter jusqu'à sa joue et la pincer pour s'assurer qu'il ne rêve pas non plus. La douleur, bien que légère, semble indiquer que tout est bien réel même si cela ne suffira pas à le faire complètement émerger.

Curieux de vérifier si sa vue n'est pas en cause, il fait tomber la télécommande un peu plus loin de façon à avoir une chance de voir plus concrètement ce qu'il en est. Non sans faire porter le chapeau de cet incident à l'employée.

- C'est malin, le vent a fait tomber la télécommande car tu l'as mal posée.

Que faire si son employée est habillée comme une actrice de film porno ? Lui sauter dessus pour passer sa frustration ? Non, ce serait trop bizarre vu qu'elle ressemble à son ex et que cela pourrait très bien lui faire perdre la tête de bien des manières.

La réprimander ou se plaindre à la boite qui l'a envoyée ? Pas sûr que cela lui rende service car celle-ci est la seule a avoir pu supporter ses frasques aussi longtemps. La majorité n'a pas tenu plus d'une semaine quand elles n'ont pas terminé dans son lit ou sur internet quand il a posté ses exploits en étant bourré.

- Merde... Je sais pas quoi faire.

Perdu dans sa propre réflexion, Kenji sent quelque chose de légèrement chaud et gluant au bout de ses doigts. Ca ne peut pas être le jus d'orange qui lui a été amené par sa femme de ménage.
En relevant la tête il remarque qu'il est venu se coller à cette dernière dans son dos et que la main en question est partie se loger sous cette culotte mystérieuse pour venir lui titiller les lèvres intimes. Pire encore, deux doigts viennent se glisser dans sa fente machinalement. Un peu comme un réflexe musculaire à force de doigter toutes ces femmes les unes après les autres.

Certains ont l'habitude de tendre le bras en entrant dans une pièce pour cherche l'interrupteur qui allumera la lumière. Alors que lui... il enfonce ses doigts dans une femme dès que sa chatte est à proximité.

Foutu pour foutu, il pousse le vice en venant saisir un de ses gros nichons avec son autre main pour voir si ils sont vraiment aussi énormes que la vue le laissait supposer l'instant d'avant.

Marmelade

Créature

Re : Ne me ménage pas. - pv

Réponse 4 dimanche 10 mars 2024, 18:26:32

Thérèse restait appuyée contre le bord de la fenêtre le buste en avant pour profiter de l'air frais sur son visage. Son client ne semblait pas se soucier des remarques qu'elle lui envoyait, décidément il n'avait rien de drôle aujourd'hui, elle soupirait pensant qu'elle allait passer une longue journée à l'entendre se plaindre.

- Vous êtes bourré pour les deux années à venir avec toutes les bouteilles vides que je suis obligée de ramasser chez vous. Je ne sais pas comment votre cœur arrive à tenir la cadence. À croire que le simple fait de se taper tout ce qui passe lui permet de faire du sport et de s'entretenir. Et 'tout ce qui est passe' ce n'est pas vraiment vrai, car Thérèse n'avait jamais fini dans son lit à regret.

La demoiselle entend en arrière la télécommande tomber, elle pousse encore un soupir, il ne peut décidément pas rester tranquille une seconde. Le vent, bien entendu, une bourrasque si particulière qu'elle en fait tomber la télécommande sans me soulever un cheveu. Il était incroyable dans son non sens. - Vous devriez manger Monsieur ça vous aiderait à avoir les idées plus claires.

Avec la musique en fond, Thérèse n'entendait pas son client se lever du canapé pour venir la rejoindre vers la fenêtre. Encore à cuver, il avait le pas léger, ou elle était trop occupée à savoir ce qu'elle allait bien pouvoir faire avec Kenji dans ses pattes pour la journée. Elle se demandait si ce n'était pas mieux quand elle ne le voyait pas de la journée, en grande réflexion sur les habitudes de son client, elle le sent brusquement se coller dans son dos.

- Qu’est-ce qui vous. Nnnn... Il ne manquait pas de culot, jamais il n'avait osé la regarder, lui faire le moindre compliment et aujourd’hui comme personne n’avait voulu de lui, il se jetait sur la bonne. Thérèse aurait pu être contente si c’était dans une autre circonstance, là, elle avait juste l’impression de servir de bouche-trou pour Monsieur qui prenait son intimité comme un bouton de lumière venant rapidement y mettre les doigts pour éclairer la pièce. Sans parler de son autre main qui ne perdait pas le nord en attrapant un de ses seins sous son chemisier. Ce contact, même si elle l’avait fantasmé depuis longtemps, elle allait y mettre court pour lui apprendre les bonnes manières et lui faire regretter de ne pas avoir jeté son dévolu plutôt sur elle. - Bougre d’imbécile.

Thérèse rattrape la main qui se perdait dans son sous-vêtement et se retourne pour se libérer de son étreinte le poussant sur l’arrière. - Je confirme, vous êtes bien bourré. Quelle idée de faire ça à son employé, vous vous prenez pour qui ? Ce n’est pas parce que vous êtes mon patron que vous devez tout vous permettre pour passer vos… Envie de baise. Elle fronçait les sourcils, appuyait son doigt sur son torse pendant qu’elle lui faisait la morale pour le faire reculer jusqu’à le guider vers son point de départ, le canapé. - Je ne suis pas comme vos… Choses que vous ramenez ici. Un dernier coup sur son torse, cette fois du plat de la main pour le faire tomber sur le canapé.

- Je ne suis pas comme elles, déjà, je suis plus belle, de très loin.  Il fallait bien le préciser, c’était d’une importance capitale pour Thérèse qui cachait cette pensée depuis bien trop longtemps. - Je ne suis pas coup d'une journée non plus Monsieur. Thérèse aimait être au centre de l'attention tout le temps, s'il décidait de franchir le pas et qu'elle aimait ça, la demoiselle n'allait pas hésiter à en redemander dans le temps. Et pas seulement à son domicile, elle était sacrément perverse Thérèse quand on la connaissait.

- Et il faut me donner envie, regardez vous puant le fennec dans mon canapé à pleurer sur votre sort. Ce n'est pas digne d'un homme, pour le moment, vous êtes juste bon à vous astiquer le poireau seul dans mon coin pendant que moi, la femme de ménage s'occupe de la maison. Thérèse en avait fini avec lui, pour le moment.

- Qu’il fait chaud d’un coup, m’énerver ne me réussit pas. Thérès utilisait sa main pour éventer son visage. - Et maintenant, je suis en retard dans mon travail, je vais devoir m’y mettre sérieusement. La demoiselle de sa main libre, ouvrait les boutons de son chemisier devant son patron, dévoilant sa poitrine qui se trouvait en dessous, habillée de son étrange soutien-gorge. Elle jetait son haut sur le canapé à côté de lui, levant un sourcil de provocation dans sa direction. - ça va mieux ainsi, lever vos pieds, je vais ramasser les miettes sous votre table basse, comme ça, vous pourrez faire le phoque sur votre canapé toute la journée. Les melons à l’air, Thérèse tirait la table pour se faire un peu de place entre Kenji et celle-ci pour se mettre à genoux, dos à lui, elle se penchait en avant pour nettoyer comme elle l’avait dit sous la table. C’était plutôt l’excuse pour tortiller ses fesses juste sous son nez et entre ses jambes. Si son client avait été attentif en voyant son drôle de soutien-gorge, il pouvait voir que le bas était assorti. Sauf s’il était trop obnubilé par ses fesses qui dandinaient si proche de lui, de son anus à peine caché comme ses lèvres intimes qui s’ouvraient à ses yeux.

Je m'excuse pour mon temps de réponse, je n'ai plus d'ordinateur, je dois écrire sur tablette.

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Humain(e)

Re : Ne me ménage pas. - pv

Réponse 5 mardi 12 mars 2024, 23:13:34

Les gestes et les piques s'enchainent à une allure si rapide que Kenji n'a ni le temps de riposter, ni de répondre à ce qui lui arrive en pleine face ou sur le torse alors qu'il termine sa course sur le canapé sans d'ailleurs comprendre comment il l'a quitté au départ. Tout est flou dans son esprit qui est marqué et guidé par l'alcool.

Si la boniche commence à avoir chaud, qu'est-ce qu'il peut bien en être de son patron qui était déjà lancé en pilote automatique pour lui sauter dessus qu'elle le veuille ou non. Fort heureusement il n'a rien d'un violeur et n'ira jamais abuser d'une femme sans son consentement même si il est prêt à forcer légèrement le destin pour parvenir à ses fins en fonction de la situation.

De simples gémissements quittent ses lèvres aux remarques et demandes de son employée de maison quand celle-ci termine par lui demander de lever les pieds pour donner un énième coup de nettoyage. Ce à quoi elle ne devait pas s'attendre sur le moment, c'est qu'il en profite pour retirer son pantalon qu'il envoie valdinguer plus loin derrière lui dans un bruit sourd.

- Au prix où je l'ai payé, j'ai le droit d'en profiter.

C'est alors que plusieurs paroles de son interlocutrice lui reviennent en tête. Toutes en même temps. Les mélangeant les unes avec les autres. A un moment elle lui dit qu'il est juste bon à s'astiquer sur place. Ou encore qu'il devrait faire des efforts pour lui donner envie. Les deux affirmations ne font qu'un tour et la suite logique, pour lui en tout cas, est de sortir l'engin avec lequel il a fait couiner des dizaines de femmes par le passé.

Le bout de viande, plutôt imposant, même si encore flasque, est balancé en l'air pour retomber dans la paume de sa main dans un son pervers qui ferait presque disparaître celui de la musique en fond.

Entre les gros nichons qu'elle venait de lui exposer l'instant d'avant et cette fois son cul parfaitement proportionné et mis en valeur par cette lingerie fine, il ne devrait avoir aucun mal à gagner en dureté dans les secondes à venir.
Pourquoi est-ce qu'elle l'a repoussé l'instant d'avant pour venir quasiment lui présenter sa chatte celui d'après ? C'est à n'y rien comprendre. Est-ce qu'il est censé retenter sa chance ? Se palucher comme elle le lui a dit avant ?

Son cerveau se retrouve incapable de prendre la moindre décision, laissant sa mémoire musculaire décider à sa place. C'est donc sa main qui se mit à activer le mouvement sur sa tige épaisse et veineuse qui gonfle petit à petit sous ce spectacle si enivrant. Le doux parfum dégagé par la femme de ménage doit également y être pour beaucoup.

- Hooou, t'avais raison, ça fait du bien.

Non, ce n'est pas du tout ce qu'elle avait dit. Elle avait plutôt précisé qu'il était "juste bon à...". Là encore l'alcool fait des ravages. C'est alors qu'une remarque bien dégueulasse et inappropriée lui échappe.

- Regarde comment t'es fringuée. Je parie que tu veux plus t'occuper de ça que de la maison.

Il se retient même sans le vouloir d'ajouter "Mon ex femme était pareille." Mais la suite, elle, est envoyée cash et sans détour.

- En tout cas  t'es sacrément mieux foutue que les autres qui sont passées ici. Et t'arrêtes pas de me chauffer depuis que t'es arrivée.

Ses langues viennent se promener sur ses propres lèvres comme une bête face à sa proie ou qui se demanderait par où commencer tant il y a de bonnes choses sous ses yeux.


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