Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dagda

Dieu

Identité : Dagda
Âge : Il a arrêté de tenir les comptes après trois millénaires d'existence, mais il s'approche du cinquième millénaire d'existence
Sexe : Masculin
Race : Dieu
Sexualité : Pansexuel


Physique : Quel autre qualificatif existe-t-il pour décrire Dagda autre que Barbare ou encore imposant ? Très peu, voir aucun. Le physique de cet homme ou plutôt de ce Dieu ne laisse aucun doute sur le choix des termes et surtout sur le fait de pouvoir en trouver des meilleurs.

Il faut dire que cette divinité à de quoi marquer les esprits, même parmi les siens. Si de loin, on peut déjà le trouver grand, c'est lorsqu'il vient à vous faire face que vous comprenez toute sa majesté. Dagda touche du bout des doigts les trois mètres de haut, cela se jouant à deux misérables centimètres. De quoi vous abîmer la nuque, simplement pour espérer le regarder dans les yeux ou soutenir son regard. Pour donner une comparaison, un de ses doigts serait comparable à une autre partie de l'anatomie d'un humain classique. Les choses auraient pu s'arrêter là, mais cet être divin ne possède pas une stature très élancée. Il serait plutôt comparable à un roc. Cet imposant titan à de quoi rivaliser avec pas mal de bodybuilders. L'homme est véritablement aussi large qu'un frigo et un frigo américain pour le coup. On dit souvent à tort et à travers qu'une personne possède deux fois vos bras. Cela n'a jamais été aussi vrai dans le cas de Dagda, il serait même plus juste de dire que ses bras peuvent faire deux fois ceux d'un bodybuilder. Cela pourrait même s'appliquer pour chaque partie de son corps. Sa grande taille venant jouer là-dedans. Voir son physique laisse très clairement comprendre ce qui peut arriver, si ce dernier décide de se déchaîner. Et pour ajouter une bonne couche à cela, oublier la possibilité de trouver la moindre trace de graisse sur ce corps. Il suffit de le voir torse-nu pour comprendre que rien n'a été délaissé sur sa carcasse. On aurait même l'impression de découvrir des nouveaux muscles et zones de sa morphologie, tellement ce dernier est entretenu et développé presque à l'extrême.

Si on décide de faire plus attention à certains détails de son corps, on va rapidement se concentrer sur son visage, montrant quelques autres éléments surprenant. On fera d'abord attention à ses oreilles, se dessinant pointues, mais n'étant pas particulièrement grandes. On peut ainsi aisément comprendre sa nature non humaine, mais on peut difficilement l'associer à une autre race existante, même celle d'un Dieu. Ce n'est pas non plus le seul détail marquant de ce corps imposant. Il est possible d'admirer une longue chevelure de feu, donnant l'impression que les flammes crépitent sur son visage et dans son dos. Cette chevelure rousse vient à ressortir sur sa peau légèrement verte ou d'ébène lorsqu'il décide de se fondre dans la masse de la population de la Terre. Cette crinière vient aussi se transformer lentement en une barbe dans les mêmes teintes, accentuant encore plus le visage carré de Dagda. Même les prunelles de la divinité n'ont pas une couleur naturelle, mais viennent se démarquer bien moins. On peut admirer des iris couleur ambre, soulignant sa beauté sauvage et inhumaine, sans pour autant paraître si particulière.

Pour ce qui est de son style vestimentaire, le Dieu n'en possède pas. Si cela ne tenait qu'à lui, il se baladerait toujours entièrement nu, bien plus agréable pour sa personne. Cependant, il fait un effort en société, mais va toujours porter des affaires décontractées et légères pour sa personne. Il se fiche bien que cela ait l'air noble, élégant ou encore riche, il veut simplement du confort quand il vient s'habiller. Toujours vêtu de façon délaissé et un peu sauvage, allant bien avec son corps et sa stature. Et en ce qui concerne ce qui se trouvent sous la ceinture, il faut simplement prendre en compte la différence de taille et que pour un Dieu assez vulgaire, il respecte bien l'adage qui va avec, ce n'est donc pas une expérience à faire vivre à tout le monde, simplement les plus téméraires.


Caractère : Que peut-on attendre de cette divinité quand on vient à la voir ? Est-elle un cliché sur pattes ? Une personne brutale, indifférente, sauvage, bourrue et bien d’autres choses correspondant à son physique à mi-chemin entre le Dieu et la Bête ? Ou à l’inverse serait-il un être venant détruire ce cliché, être totalement l’inverse ce que l’on peut attendre d’une telle montagne de muscle ? Et bien, pour rendre les choses plus compliquées, il serait bon de dire Oui et Non à ces deux possibilités. Une divinité n’est pas forcément un archétype ou un clichés sur pattes. Cela reste un être vivant comme tout les autres, ayant sa propre personnalité le rendant complexe et ironiquement terriblement humain dans ses relations.

Alors que donne la personnalité d’un être ayant vécu presque cinq mille ans, même si une partie de cette dernière a été dans un sommeil profond ? Une des réponses qui reviendrait le plus souvent, serait sans doute le terme Sagesse et heureusement, ce dieu est profondément Sage. Les connaissances qu’il possède et qu’il aime accumuler, ainsi que les expériences qui viennent de sa longue vie nourrissent profondément son âme et continue de le rendre de plus en plus sage. Mais oublié l’image du Vieux Sage croulant, venant réciter des énigmes compliquées ou des phrases bateaux, il ne correspond absolument pas à cette image. Il transmet sa sagesse par ses actions et paroles du quotidien, de la façon la plus banale possible, venant offrir cette dernière de la façon adéquate et sans tourner autour du pot.

On doit cela à sa franchise naturelle, celle de ne rien cacher aux autres, de communiquer clairement sur ce qu’il pense et vient à ressentir. Cependant, il ne faut pas confondre cela avec manque de filtre ou de tact. Il réfléchit toujours à sa façon de dire les choses pour être le plus compréhensible possible et surtout en prenant en compte l’état et la personnalité de chacun, dans la mesure du possible bien évidemment. Il y a une certaine forme de stratégie, de calcul dans sa façon de s’exprimer, comme s’il avait trouvé le parfait équilibre entre raisons et sentiments. Comme si cette divinité montrait l’équilibre à atteindre pour vivre au mieux sa vie, du moins c’est ce qu’il défend dans ses paroles et dans ses propos.

Par contre, attendez-vous seulement à ce genre de comportement sympathique que si vous faîtes parties de ses proches. En-dehors, il faudra subir en fonction de ses humeurs et pulsions du moment, comme s’il ne faisait des efforts que pour les personnes auxquelles il tient. Cela marquant clairement une différence entre les étrangers et ses proches. Rassurez-vous, il se laisse facilement amadouer ou plutôt il vient à ouvrir les bras à beaucoup de monde, agissant presque comme un guide, voir même un Père. Le dieu à une âme des plus paternaliste envers les autres, prenant souvent l’ascendant pour simplement les guider. Mais quand vous n’êtes pas dans ses petits papiers, vous pourrez découvrir un être assez égoïste, n’offrant de son temps et de sa personne qu’a peu de monde. Il faut dire que le Dieu vit dans sa bulle, appréciant le monde à sa façon et se moquant bien souvent des conventions sociales. Pour lui, il n’existe qu’une loi, la sienne, même si dans son côté têtu, il sait faire des petits efforts pour éviter d’attirer trop l’attention et s’intégrer au minimum.

Cependant, dès que vous rentrez dans son cercle privé, vous découvrirez des nouvelles facettes de sa personne, comme si on arrivait à apprivoiser un ours mal léché. Il devient très doux et dévoile une grande sensibilité, une empathie folle, laissant son visage exprimer une palette d’émotions des plus intenses et puissantes. C’est aussi là que l’on découvre son amour de la nature et de l’art, appréciant tout ce qui tourne autour de cela. Bien évidemment, Dagda apprécie bien d’autres choses, en fait tous ce qui implique un plaisir, de la joie, du divertissement ou des sentiments fort. C’est le plus bon vivant des bons vivants. Il est le premier à proposer une activité, un événement ou simplement se poser et profiter du souffle du vent ou du soleil venant dorer la peau.

Bon, ce côté bon vivant amène aussi un autre point, celui de son amour de la chair et son côté à être un coureur de jupon. Et pas forcément des plus fins, il est plutôt direct et rentre dedans. Il sait parfaitement s’arrêter quand un non est un non, mais il se montrera très entreprenant et énergique en toutes circonstances. Il fonctionne au culot, se disant qu’en ne faisant rien, il n’aura rien, alors autant tenter, cela devient du cinquante cinquante, donc toujours gagnant pour sa personne. Attention tout de même si vous finissez dans ses draps, c’est dans ce genre de moment là qu’il montre que malgré sa sagesse, une bête, une brute, un sauvage vit toujours dans sa personne, car il se comporte ainsi dès que sa libido vient à parler en lui. À vos risques et périls. Et dernière précision, le Dieu est assez possessif, surtout avec les personnes de son cercle privé, donc attendez vous à vous faire marquer et surtout qu’il vient à le montrer à autrui.


Histoire : Notre récit commence, il y a fort longtemps. Une époque ancienne où l’écriture venait à peine de naître ou tout n’était que transmission orale et où les croyances étaient diverses et portaient sur divers panthéons. C’est dans cette époque d’évolution, mais aussi de chaos que le Dieu Dagda vint à voir le jour. Il était né de parents divins, mais il ne savait aucunement d’où eux provenaient pour le coup. Ses origines étaient flous, inconnues pour sa personne, mais ce n’est pas cela qui allait l’empêcher d’évoluer et assumer ses fonctions divines. Il sentait en lui une forme d’instinct, comme si son corps, son esprit et son âme arrivait à compenser ce manque de racine pour lui dire quoi faire, comment agir, qu’elle était sa mission.

Ce fut donc des plus naturellement qu’il se plongea dans sa nature divine et le rôle qui se devait d’assumer. Le temps s’écoula en des années et même des siècles, laissant le Dieu comprendre toutes ses fonctions et éveiller tout ses pouvoirs, pouvant ainsi assumer son poste dans le Panthéon. Une de ses premières action fut de prendre part à une bataille importante, autant sur Terre que Terra. Une guerre nommée « Cath Maighe Tuireadh », une bataille venant opposée les dieux de ce panthéon à leur ennemi, les Fomoires, des êtres géants et considérés comme des Demi-dieux. L’histoire entre les Fomoires et les Dieux est longue et cette dernière s’achève sur une bataille à mort entre eux. Ce n’est véritablement qu’après cette guerre et surtout une victoire de la part des Dieux du panthéon Irlandais que les divinités le composant furent pleinement reconnus et surtout vénéré par les Celtiques. C’est à cette époque que commença vraiment le règne de Dagda en tant que Dieu.

Ainsi, l’illustre Dieu devint le guide des Druides, mais aussi du sacerdotale que l’on pourrait comparer au sacré des religions monothéistes . Ici, Dagda représentait surtout le gardien des cultes, rites, rituels, leur respects, mais aussi le gardien des lieux naturels considéré comme divin et sacré.  On associa à sa personne le privilège d’être la représentation du temps, de la vie, de la mort, des contrats et des éléments. On vint à le placer au-dessus de ses frères et soeur, de sa femme même des enfants qu’il eut. Il était en quelque sorte le roi de ce Panthéon, partageant cette place avec Lug, une autre divinité. Au vu de ce trône partagé, tout porterait à croire qu’une guerre presque fratricide allait éclater entre eux deux, mais il n’en fut rien. Les deux divinités s’appréciaient bien trop pour se quereller et appréciait partager cette place dans le cœur des Hommes et des autres espèces. Et le fait d’être autant vénéré l’un comme l’autre ne venait aucunement réduire leur puissance ou existence.

Le début des soucis pour Dagda et le reste du Panthéon connut une origine bien différente et assez classique, on pourrait presque dire humaine pour le coup. La lassitude, les obligations, le statut qui vient à lui incomber en tant que divinité. Il en était las. Il était le Dieu des druides, donc forcément un druide dans le fond. Il voulait être plus en contact avec la nature, profiter de la magie, vivre aux côtés des mortelles pour profiter de leur exubérance, leur façon d’appréhender le monde, leurs erreurs, mais aussi leurs qualités. Mais il ne pouvait quitter son statut ainsi, il vint donc à trouver une solution. Il conçut un petit royaume divin, se situant dans les deux mondes en même temps, une forme de monde entre les mondes. Un royaume de la taille d’un domaine, lui permettant d’assumer son statut divin, tout en entretenant plus de contact avec les humains. Il nomma ce monde Brug na Boinne.

Cette solution lui apporta du répit durant un moment, mais vint à creuser petit à petit la suite de son avenir. Au cours des siècles qui suivirent, il entretenue beaucoup de contact avec les êtres vivants, les invitant dans son domaine et profitant de ces échanges. Il y trouva des amis, des amours, des rivaux étranges, mais aussi de l’amertume, de la tristesse, en clair, il vécut pleinement sa divinité. Et tout cela, malgré la baise des croyants à son égard, la présence du panthéon gréco-romain, puis de la religion chrétienne venant diminuer lentement ses fidèles sur Terre. Pourtant, cela ne fut pas assez pour lui faire perdre son statut divin. Cet avenir, qui se dessinait pour lui, apparaissait même comme radieux. Il allait se retrouver avec bien moins d’obligation envers les humains et autres espèces, lui permettant de bouger à sa guise, de profiter encore plus de cette vie, sans rester enfermer dans son territoire, toucher et ressentir ce que ses yeux lui offraient, ne pas limiter ses interactions à simplement son domaine. Les divinités grandement vénérées n’ont pas toujours toute la liberté qu’ils désirent, assez ironique, quand on connaît leur pleine puissance.

Son périple serait long, il le savait. Son domaine ne pouvait donc être laissé ainsi sans surveillance. Des dieux pourraient tenter de s’en emparer ou même simplement des mortels décider d’en faire une terre pour eux. Son territoire devait lui rester et aussi aux siens. Il en confia donc la garde à son fils Oengus.C’est donc en toute confiance qu’il laissa ainsi son royaume à son enfant et parti lui-même vivre pendant quelque temps une vie plus humaine. Une vie qui dura jusqu’au treizième siècle, se perdant dans les plaisirs humains et se disant quelques rares fois qu’il aurait aimé naître en tant que mortel. Mais il ne se plaignait pas de sa nouvelle condition. Il pouvait à présent profiter de ce genre de plaisir de façon presque éternelle. Durant cette longue période, il put retrouver une bonne partie de ces connaissances, celle ayant une longue durée de vie surtout. Il fit aussi naître de nouvelle relation qui se poursuivèrent ou prirent fin, tout dépendait de la durée de vie des personnes partageant sa vie.

Ce n’est qu’après cette longue période qu’il se décida enfin à retourner dans son royaume divin, désireux de voir son état et surtout prendre des nouvelles du Panthéon, ayant eut très peu de contact avec eux au cours des derniers siècles. Du moins, il aurait pu y retourner et retrouver un temps sa quiétude, mais les choses furent bien différentes. Lui qui avait confié les clés à son enfant pour que le royaume ne tombe pas entre les mains d’autres divinités ou encore créatures, ne lui était plus accessible. Tout cela à cause de son enfant, qui avait caché sa nature fourbe aux yeux de tous et avait fait sien le royaume de son père, le royaume de Dagda. Tout ce qu’il espérait ne pas se voir réaliser venait de se produire et de la main de la pire personne possible, son propre fils, son sang à lui.

Les choses auraient pu en rester là et le dieu s’apitoyant sur son sort et laisser cette victoire à son enfant, mais cela serait mal connaître le Dieu-Druide. Il décida de mener une guerre contre son propre enfant, le forcer à sortir et à l’affronter de face, reprendre par la force et l’esprit ce qui lui appartenait de plein droit. Ainsi, une longue bataille eut lieu, deux dieux venant à s’affronter. Personne ne sait réellement ce qui s’est passé durant cette époque, les mortels n’osant pas s’approcher, ainsi que les Dieux eux-mêmes. Mais le résultat en fut terrible, les deux vinrent à perdre, et même plus précisément à mourir. Du moins pour l’un des deux. Ce fut le fils de Dagda qui vint à périr. Quant à lui, il ne perdit que son enveloppe physique, son âme réussit à survivre.

Il lui fallait à présent s’isoler dans son royaume reconquis pour récupérer, se refaire une santé, laisser sa nature de Dieu de la vie et de la mort parler et renaître presque de ses cendres pour profiter à nouveau de la vie. Et cette période de stase, de remise en forme dura pendant une très longue période, plusieurs siècles pour être précis. Il ne revint véritablement à lui qu’au vingtième siècle. Énormément de temps venaient de passer pour lui et il serait logique de penser qu’il serait en décalage avec le monde moderne sur Terre et l’évolution qu’avait subit Terra. Le dieu des druides et de la magie avait plus d’un tour dans son sac. Son corps se reformait, mais son âme ne dormait pas, il put donc observer silencieusement le monde durant tout ce temps, captant le plus gros des informations et changement. C’est donc en étant au courant du monde qui l’entourait qu’il revint dans sa meilleure forme.

Au vu de ces événements, il était clair et facile de penser qu’il avait tiré certaines leçons de cette aventure, qu’il allait abandonner son rêve pour ne pas laisser son royaume seul et en danger. Il n’en fut rien, il trouva une autre voix, celle de l’effort et non de la facilité. Abandonner et rester cloîtré seraient bien trop facile. Il préférait l’idée de devenir encore plus fort pour être sur de protéger son royaume en tout tant et surtout profiter encore plus du monde moderne qui le fascinait grandement, tout en venant trouver des personnes liées à sa personne par contrat, autant pour protéger son royaume en son absence, que importer dans son royaume divin ce qu’il considère comme important et fantastique dans le monde des mortels. C’est donc une forme olympique et des fortes ambitions que Dagda compte de nouveau marcher sur les royaumes des mortels et bien s’amuser. Profiter pleinement de la vie éternelle qui lui tend les bras, possiblement retrouver de vieilles relations, mais aussi en forger des nouvelles.


Autre :Le Grand Dieu de la Magie et des Druides n'est pas à prendre à la légère, autant en ce qui concerne la magie que le physique. Dagda est un être à la force prodigieuse, démontrant parfaitement son statut Divin, cela s'applique donc aussi à sa force, sa vigueur, son endurance, sa résistance et sa régénération. Il est très difficile de blesser et/ou d'épuiser Dieu. Pas impossible, simplement une mission de longue haleine. Et même si vous veniez à détruire son enveloppe physique, ce Dieu vous réservera bien des surprises.

- Athbheochan : Voilà le nom que les autres Dieux ont donné à cette particularité de Dagda, ce dernier représentant à la fois la Vie et la Mort. Il est difficile de tuer un Dieu, mais bien moins que de détruire son enveloppe physique. Problème, quand un Dieu perd son enveloppe, il ne peut rester que sous une forme éthérée. Voilà quelque chose qui n'arrive aucunement à Dagda. Si son enveloppe vient à se faire détruire et qu'il ne reste que de lui une forme éthérée, il rentre dans une forme d'hibernation. Et ainsi commence un miracle, une nouvelle enveloppe physique de sa personne vient à se créer, reprenant directement une forme adulte, comme si rien n'était jamais arrivé à sa personne. Ce cycle de renaissance peut durer peu de temps ou une éternité, tout dépendra de la volonté du Dieu. Ainsi, il devient impossible de détruire son enveloppe physique.

- Conradh Rith : Une des fonctions divines de Dagda le lie aux Contrats et aux principes même de ces derniers. Un engagement entre les gens et un échange entre deux parties. Il peut donc bénir des contrats pour les rendre inviolables. Bien évidemment, son lien aux Contrats ne s'arrête pas là, il est possible de pactiser avec sa personne, afin d'obtenir un peu de pouvoir, surtout magique. Le Dieu offre de sa puissance en échange de services ou d'une fidélité à sa personne, non pas pour avoir de la foi, simplement pour s'assurer de la volonté des contractants. Généralement, il scelle cet accord en offrant un anneau gravé de runes à la personne mortelle, signe de leur lien et de la fidélité qu'elle lui doit.

- Draíocht : En tant que Dieu des Druides, des Éléments et de la Magie, les plus grands pouvoirs de Dagda tournent autour de cela. Ces derniers sont tellement diversifiés pour sa personne qu'il a décidé de créer une forme de classement et d'ordre dans la Magie. Cela ne le concerne que lui, car en tant que Dieu de la Magie, il peut donc toutes les utiliser.

Il a commencé par regrouper les diverses magies dans sept catégories, lié aux éléments principaux, tout découlant de cette base-là pour la magie et les pouvoirs. On retrouve donc les éléments suivants : Feu | Eau | Terre | Air | Ténèbres | Lumière | Âme. La dernière catégorie est un peu à part au vu de sa nature unique. Elle permet de manipuler la magie sous sa forme la plus pure et puissante, cette dernière n'étant pas transformée en un autre élément. Il s'agit donc d'un condensé de puissance brute et malléable.

Le classement ne s'arrête pas là, dans chaque catégorie se trouve une classification qu'il a nommée Cercles, chaque cercle correspondant à la proximité que possède la magie avec l'élément. Il existe en tout trois cercles par catégorie, représentant toute la même chose. On retrouve donc le Premier Cercle, qui est la maîtrise de l'élément en lui-même, donc Feu, Eau, etc. S'ensuit alors le Deuxième Cercle représentant les dérivés classique et logique des éléments. Par exemple pour la Terre, il s'agit donc des magies tournant autour du Sable, du Métal, du Bois ou encore des Minerais. Pour finir, vient le Troisième Cercle, qui représente des magies précises, mais ayant un lien proche avec l'élément. Pour continuer avec la Terre, dans son Troisième Cercle, on retrouve par exemple la magie de Gravité, qui est lié à la Terre.

Bien évidemment, en tant que Dieu de la Magie, Dagda peut maîtriser toutes celles-ci et user à loisir de toute forme de magie existante selon son Panthéon.

- Inntinn : En tant que Dieu des éléments, Dagda peut revêtir une forme mélangeant une apparence humanoïde et un élément. Cela lui permet d'user de la force brute d'un élément de ce monde. En faisant une incarnation, une force de la nature, un désastre en quelque sorte. On peut voir cela comme sa forme la plus destructrice des éléments, même en prenant en compte sa puissance magique.

Comment avez-vous connu le forum ?Nouveau Compte et donc nouveau départ de Niqa (avec beaucoup de retard, je m'en excuse)  :-[
« Modifié: lundi 18 septembre 2023, 16:49:50 par Belphy Mueller »

Kaixiu

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Anéa

Administrateur

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  • FicheChalant

    Description
    Ancienne archange, devenue à moitié démone.
    Adore le sang et faire sauter des têtes.
Ahem  ::)

Bon retour parmi nous o/  :D





-En souvenir du bon vieux temps-

Belphy Mueller

Créature

Bonjour et rebienvenue à toi.

Alors alors cette fiche... humm pour la validation, je vais avoir quelques demandes :

Une relecture en premier lieu, plusieurs coquilles se sont glissées tout le long de tes textes. De même manière, la syntaxe est parfois confuse.
Je vais avoir aussi besoin de quelques éclaircissements en sus, plusieurs illogismes s'étant glissés dans ta fiche :
Tu parles de plusieurs enfants d'abord, puis d'un enfant unique.
Tu parles de multiples rencontres et amis, puis d'une absence de liens amicaux
Il est le dieu tutélaire de son panthéon, alliant de multiples aspects (très nombreux et parfois curieux, le druidisme n'ayant pas de concept du sacré par exemple, élément propre aux religions monothéistes), mais devrait devenir plus fort sans qu'il n'y ai d'adversité assimilable.

Ce sont des exemples mais il y a plusieurs cas comme ceux-ci.

Voilà voilà, cela fait, n'hésites pas à me faire signe.
Bon courage our ces points, encore une fois rebienvenue.

Dagda

Dieu

Bonjour,

Comme demandé, j'ai relus ma fiche et essayé de corriger les problèmes de coquilles et de syntaxes. J'espère avoir réussi à tout régler de ce côté-là.

Pour ce qui concerne les aspects illogiques de l'histoire, j'ai aussi relu cette partie et corrigé ce qui semblait incohérent et apporte une ou deux explications supplémentaire. Comme pour les fautes, j'espère avoir réussi à tout régler. Je modifierais ce qui doit encore être modifié si nécessaire.

Belphy Mueller

Créature

Ce n'est pas un résultat absolu, mais je n'attendais pas la perfection, faut quand même pas exagérer. Bon boulot en tout cas, merci pour ces retouches !

Je te valide donc Dagda, bon retour parmi nous.

Dagda

Dieu

Merci beaucoup pour cette validation  :D


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