Je mangeais tranquillement mon repas, me considérant en alerte, et pourtant... Je n'entendis que le bondissement de l'assassin dans mon dos, j'eus tout juste le temps de tourner le visage et attraper le poignet de mon agresseur, la lame effleurer ma gorge, mais elle ne pourrait me tuer directement. Grognant je m'attendais à un coup suivant, relevant le bras en arrière pour l'agripper.
Mais l'assassin était figé dans mon dos, contre moi, son visage dans mon cou, il... il me sentait ? Une voix féminine s'exprima alors. Je compris alors, elle était sous le coup de mes phéromones, et je dois dire qu'elle sentait bon aussi.
- Quand on discute, on se met face à face. La grondais-je en la tirant par le bras retenu.
Malgré elle, je la tenais fermement et découvrit l'assassin maintenant devant moi. Elle me fixait, à la fois méfiante et perdue. Me redressant je la dépassais d'une bonne tête Une renarde, mignonne qui plus est et dans une tenue moulante, sexy et utile pour ses meurtres, bien que très visible, surtout dans la forêt. J'aurais pu critiquer, mais elle était arrivée à me surprendre, donc même visuellement, si on ne la voyait, ne l'entendait venir. C'était une proie dans son domaine, mais apparemment pas celui-ci si elle était choqué par ses réactions à mon odeur.
- Si tu veux me sentir, à genoux. Elle fut évidemment surprise, mais je ne la laissais penser plus longtemps, ma main tomba sur son crâne et appuya fortement pour la faire tomber à genoux face à mon pantalon.
Et je n'attendis pas, je tirais son jolie minois sur mon entrejambe, m'y frottant à travers le tissu. Lui laissant humer une odeur encore plus forte. Si au début elle fut réticente avec ma prise sur ta tête, elle se mit à trembler et ne tenta rien.
Je lui laissais une bonne minute, le temps de découvrir mon odeur, s'en imprégner et me recula d'un pas, avant de faire tomber mon pantalon et dévoiler ma "carotte" qui vient se dresser devant son visage.
- Je suis comme qui dirais en chaleur et j'émets naturellement des phéromones à la recherche de femelle. Et on dirait que tu y réagis. Lui expliquais-je avec un sourire coquin, curieux de ses réactions, prêt à me défendre, mais elle paraissait loin de vouloir se battre dans cette situation.