Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Camping en terre sauvage [PV Nepta]

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William Rosace

Humain(e)

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    Humain pouvant vous insulter en 18 langages différents avant de vous passer les menottes.

Camping en terre sauvage [PV Nepta]

mercredi 03 mai 2023, 23:34:49

William avait entamé sa journée en pensant qu’elle allait-être resplendissante. C’était son jour de repos aux douanes et il n’avait pas été engagée pour un interrogatoire, il était donc totalement libre. Comme a chacune de ses journées libre, il se rendait sur Terra.


Il avait passé son portail habituel très tôt le matin et s’était retrouvé dans la clairière qu’il connaissait bien, a proximité du royaume Terranide. Le soleil avait chauffé sa peau toute la journée, il avait pu s’entretenir avec les habitants du coin pour parfaire son étude de la langue commune de Terra, mais il avait surtout dégusté un excellent repas à la mi-journée. Puis le ciel s’était assombrit d’un seul coup. Les nuages étaient apparu comme par enchantement et il s’était retrouvé sous une pluie battante. Le ciel était noir et la fin de journée approchant, l’éclairage nature s’assombrissait progressivement et William ne reconnaissait plus le lieu où il se trouvait. Trempé, il esquissa quand même un sourire.


L’une des premières fois où il s’était retrouvé ici avec Sarah, ils avaient été obligés de dormir à la belle étoile. Ils avaient donc décidé de déposer un sac de camping non loin du portail, qu’il emportait avec eux à chaque fois qu’ils devaient s’éloigner de plus de quelques kilomètres. Maintenant seul, il ne dérogeait jamais à cette règle. Avant que la nuit ne soit complètement tombée, il débusqua un petit coin abrité par le vent, a proximité d’un gros regroupement d’arbre et il y déposa sa tente. Il nota mentalement qu’il fallait qu’il ajoute une carte au nécessaire de camping.


Il monta son campement de fortune en silence. La tente était spacieuse et plutôt rapide à monter. Ils avaient passés de nombreuses nuits à l’intérieur avec Sarah, dormir seul dedans était souvent l’occasion de se souvenir d’elle, même s’il n’y avait plus personne pour prendre toute la place sur le matelas auto-gonflant. En quelque minute, le campement fut dressé, le haut-vent à l’entrée installé pour lui procurer un espace suffisant pour faire la cuisine au sec et la casserole placée sous la pluie pour récupérer de l’eau.


En attendant que sa casserole se remplisse, il retira ses vêtements et les mis à sécher au fond de la tente. La reprise récente du sport lui avait rafermis les muscles et il etait à nouveau très fiers de pouvoir les voir jouer sous sa peau. Il avait la chance d'être doté d'epaules larges, qu'il avait sû developper, et d'une bonne paire de cuisse qu'il travaillait regulierement. Sa grande taille n'avait pas empêché ses muscles de prendre de la masse, et bien que plutôt fin, il était musclé.

Même nu, il n’avait pas froid. C’était une pluie forte et dure, mais le fond de l’air était chaud et lourd. Il récupérera une petite serviette au fond du sac et se sécha rapidement avant de commencer la cuisine. Il déposa deux paquets de nouilles lyophilisées dans la casserole, accompagnés de leurs sachets d’épices, ouvrit un paquet de viande séchée qu’il commença à grignoter doucement. L’odeur des épices au poulet commença à se diffuser doucement dans l’air. William salivait à l’avance. C’était un repas frugal qui manquait certainement de beaucoup de choses, mais au moins, il n’aurait pas faim dans la nuit.


Enfin, il récupéra sa machette au fond du sac. Même si les lieux étaient plus ou moins sûrs, l’odeur de la nourriture attirait généralement toutes sortes de choses et, dans la nuit noire ou le seul point de lumière était le feu de sa casserole, il était fort probable qu’il se retrouve nez-a-nez avec quelque chose de désagréable.
« Modifié: mercredi 03 mai 2023, 23:41:47 par William Rosace »

Nepta

Créature

Re : Camping en terre sauvage [PV Nepta]

Réponse 1 lundi 08 mai 2023, 22:35:50

« Le vieux m’a parlé d’une cascade pas loin, je reviens.
-Nepta ! Att- »

Mais Beryl n’a pas le temps de finir sa phrase que la jolie louve a déjà disparu dans la forêt, en quête de la fameuse cascade. Depuis deux jours, les trois amis ont quitté pour la première fois le royaume terranide, après un détour à la capitale. Ils ont, pour la première fois, l’impression que leur voyage démarre. L’excitation et la soif d’aventure sont à leur paroxysme. Mais, ils ont été bien obligés de s’arrêter dans un village, frôlant la frontière pour passer la nuit. Leur aventure est récente ; ils ne sont pas encore assez confiants pour passer la nuit dehors.

Nepta ne tient plus en place. Au milieu de l’après-midi, après que le chef du village leur ai vanté la beauté des alentours, elle s’est mise en quête d’exploration. L’intrépide femelle a bien vite semé ses compagnons pour s’enfoncer dans la sombre forêt. D’un pas confiant, elle avançait. Les oreilles dressées, la queue remuante d’un enthousiasme à peine dissimulé. Mais l’épais manteau verdoyant des arbres lui masquait le ciel et les nuages menaçants trouvant peu à peu leur place dans l’immensité dégagée.

De multiples effluves envahissent son odorat. Ses oreilles frissonnent sous la brise humide. L’air s'alourdit mais la cascade est introuvable. La louve aurait dû faire demi-tour à cet instant. Mais non, l’obstination est plus forte. Les premières gouttes lui tombent sur le bout du nez jusqu’à ce qu’un torrent s’abatte sur la terranide impuissante.

Ses bras remontent sur le haut de son crâne pour protéger ses oreilles plaquées contre sa chevelure. Elle court, se perd et tente de trouver un abri en vain. La pluie lui est désagréable et le chemin se fait boueux et glissant. Elle ne tombe pas mais manque à plusieurs reprises d’enfoncer son joli minois dans la terre humide. A sa peine, vient s’ajouter sa faim. Son ventre gargouille indiscrètement à ce repas absent.

Les minutes s’écoulent sans qu’elle soit capable de se sortir de son mauvais pas. Une odeur délicieuse vient lui chatouiller le nez. Des arômes de poulet la conduisent en dehors des bois, dans une prairie clairsemée où une tente s’est élevée. C’est bien la première fois qu’elle voit une habitation en tissu, ainsi dressée. Méfiante puis résignée, Nepta s’approche.

Devant elle, un humain. Elle ne le sait pas encore, la louve n’en a jamais vu. Son père lui avait donné une définition bien monstrueuse de ces derniers : de grandes dents, des yeux globuleux et cruels et de dangereuses armes capables d’abattre les plus puissants guerriers d’un seul coup. Mais l’absence d’attributs animaux la surprit. Même dans le village, où ses compagnons passeraient la nuit, il n’y avait que des terranides.

De plus, sa nudité attire son regard indiscret, malgré une certaine surprise de voir un homme avec si peu de pudeur. La différence flagrante l’amène à des pensées plutôt extravagantes. Est-il constitué comme les hommes de son village ? Y a-t-il d’autres divergences notables ? Ses pupilles mauves le détaillent longuement, surtout au niveau de l’entrejambe. Pour arriver à la conclusion, qu’il ne lui manque que ses attributs bestiaux. Peut-être les a-t-il coupé ? Ce songe l’horrifie et elle balaye vite de son esprit pour se concentrer sur ses mots.

« Excusez-moi… »

Après coup, la louve se questionne : Peut-il la comprendre ? Parle-t-il la même langue ? Son langage est similaire à la langue commune malgré quelques différences initiées par l’autarcie de son village. L’idée serait facilement compréhensible pour quelqu’un ayant les bases de cette dernière.

« Je peux m’abriter avec vous sous votre… étrange abri ? »

Sa robe légère commence à peser sur ses épaules. Si elle n’a pas vraiment froid, Nepta aimerait au moins éviter de tomber malade.

William Rosace

Humain(e)

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Re : Camping en terre sauvage [PV Nepta]

Réponse 2 mardi 09 mai 2023, 08:42:13

''Excusez-moi''

De la langue commune, William possédait plus que les bases. Quasiment bilingue, clairement autonome pour dialoguer et échanger avec les autochtones du coin, il n'en était pas moins surpris d'entendre cette langue étrangère à tout ce qu'il avait pu apprendre jusqu'alors. Il était vrai que certaines langues de la Terre étaient gutturales et que d'autres semblaient plus chantantes et légères, mais jamais il n'avait rencontré de langue capable de mettre à mal sa conception même du langage, jusqu'à arriver sur Terra. C'était toujours surprenant que d'entendre quelqu'un parler en commun.

La voix venait de devant lui. La main sur la machette, William observa calmement la personne en face de lui. Il s'agissait là d'une Terranide, en attestait les oreilles lupines dépassant sur le haut de la tête, qu'elle tentait de protéger de la pluie. Tandis qu'elle se rapprochait, la lueur du feu permis à William de découvrir une très jolie jeune femme, a la chevelure violacée, au trais fin et gracieux et a la tenue absolument pas appropriée pour crapahuter sous la pluie. La pluie avait trempé sa robe, et ses formes se dessinaient sous le vêtement. Il observa aussi une queue, qui bien qu'elle semblait en ce moment peu reluisante, devait être un magnifique appendice une fois sèche.

''Je peux m’abriter avec vous sous votre… étrange abri ?''

L'homme observa encore. Il avait croisé plusieurs personnes différentes, avec des physiques tous plus variés les uns que les autres. Il savait que les Terranides étaient utilisés, souvent, comme esclaves, quelque chose qu'il n'appréciait pas du tout. Il avait déjà refusé des interrogatoires uniquement parce que le '' maître '' voulait donner une leçon à sa propriété. Il avait croisé des Terranides, bien sûr, et leur avait parlé, mais il s'agissait surtout d'hommes. Si toutes les femmes ressemblaient à celle-ci, il comprenait mieux pourquoi. William se décala légèrement sur le côté et fis signe à la jeune femme de venir s'asseoir au sec.

''Cet étrange abris s'appelle une tente. Il se monte et se démonte à volonté afin de pouvoir profiter d'un endroit sec en tout lieux et en tout temps. ''

William était tout à fait conscient de sa nudité face à l'inconnue. Elle l'avait observée aussi longuement que lui avait pu le faire, mais il n'était absolument pas pudique ou honteux de la taille plutôt considérable de son entre-jambe. Et il n'avait de toute façon aucune envie de remettre des vêtements mouillés. Avant qu'elle ne s'assied, il déplaça doucement la machette pour l'éloigner. Elle ne semblait pas avoir d'intention belliqueuse et avait exprimé son souhait de pouvoir se mettre au sec, rien ne laissait penser qu'elle avait des envie de se battre.

''Vous allez attraper froid si vous gardez vos vêtements. Vous pouvez faire sécher votre tenue au fond de la tente, il y fait sec.''

William attrapa une serviette pas trop humide au fond de son sac et la tendit a la jeune femme en guise d'invitation a se rapprocher. Il plissa les yeux pour observer encore un peu cette silhouette aux formes abyssales. La robe collait à sa poitrine plantureuse, la laissant se faire désirer en transparence, ses jambes semblaient interminables, ses hanches laissant entrevoir des possibilités infinies d'agrippage et son cou était une invitation à la morsure et au baisés. Il haussa les épaules pour se sortir de sa torpeur luxurieuse puis récupéra une seconde portion de viande séchée et de nouilles instantanées. Il ne savait que trop bien que la pluie donnait faim.

''Le temps ne changera pas avant un moment. Je peux vous faire une place au sec pour la nuit ou jusqu'à ce que la pluie ne cesse.''

L'invitation resta en suspens, sa viande séchée à la main, son oeil lubrique, mais bienveillant, observant toujours la femme qui se présentait devant lui. Même s'il ne pouvait pas goûter au fruit défendu, il aurait eu la chance de pouvoir voir et observer de près une créature aussi fabuleuse, sensuelle et désirable.


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