Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Freya

Humain(e)

Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

vendredi 02 décembre 2022, 02:20:41

« Toutes les sorcières possèdent-elles une telle demeure ? questionne l’ingénue.
- La désires-tu ? »

L’embarras monte aux joues innocentes de l’apprentie, revêtu d’un manteau écarlate. Sa question est-elle si stupide ? Non. Sigrid, la matriarche, répète toujours qu’aucune interrogation ne l’est. Seulement, certaines paroles ignares méritent une claque.

Or, ma très douce Freya, tes méthodes d’enseignement diffèrent de ton aînée : aucune violence n’est tolérée ; pour peu que tu t’intéresses à ta pupille, tes mots sont empreints de hasard, assemblés, lancés sans gage de qualité ou d’intérêt pour ce rôle imposé.

« Entre. »

La poussière se soulève avec l’ouverture soudaine de la porte. Première, Astrid la sent la saisir à la gorge et provoquer une quinte de toux inarrêtable. La douleur se prolonge. Du coin de l'œil, elle observe ton perfide sourire, hausser la commissure de tes lèvres.

« Me laisserez-vous faire un peu de ménage ?
- Ne vole pas le travail des serviteurs. »

Du travail ? Comment peux-tu qualifier ainsi la négligence de tes- ton serviteur ? La rousse s’indigne à tes paroles mais n’ose venir apporter aucune contradiction.

D’ailleurs, où es ton chaton ?
Tu es bien capable de lui pardonner l’absence de ménage – peut-être car il est bien incapable de l’exécuter avec ses adorables coussinets, mais son absence en ta glorieuse apparition ? Impossible !

Ne connais-tu pas l’indulgence ?
L’âge te l’a fait perdre.

Vous quittez l’entrée, ton balai s’anime et Astrid pousse un vivat d’admiration.
Jusqu’où son innocence peut-elle bien s’étendre ? Ta patience s’amenuise.

A travers l’immense baie vitrée du salon, ton adorable chaton est visible, prélassé au bord de la fontaine.

« Qui est-il ?
- Mon prince, mon chaton : Prince Chaton.
- Un nom absurde.
- A l’image de son existence.
- L’affectionnez-vous ? Puis-je le caresser ?
- Touche-le et je te briserai les doigts un à un. »

La rousse déglutit et s’éloigne d’un pas effrayé.

« Tu peux au moins l’appeler. »

Un serviteur incapable d’apercevoir l’arrivée de sa maîtresse ne mérite son attention.
Maladroite, Astrid ouvre la porte et sort dans le jardin, baignée de lumière.

« Monsieur… Monsieur le Prince ! »

A l’intérieur, tu ne les quittes du regard… Et transmutes le chaton en sa forme humanoïde. Bien trop grand pour tenir allongé sur la maigre bordure du bassin, la moitié de son corps nu baigne dans l’eau.
Cette vue surprend l’ingénue dont le clameur brise la silencieuse quiétude des extérieurs.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Prince Chaton

Terranide

  • -
  • Messages: 8


  • Fiche

    Description
    Prince scandinave sacrifié il y a fort fort longtemps à un démon par la sorcière Freya, il a été reforgé en un hybride démoniaque taillé sur-mesure pour elle en récompense. Quand elle n'a pas besoin de lui, il a la forme d'un gros chat noir fainéant, et il est conditionné pour l'adorer et lui obéir au doigt et à l'œil. Briser sa malédiction n'est pas une maigre tâche et le résultat a de grandes chances de ne pas durer.

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 1 vendredi 02 décembre 2022, 04:38:39

Les pires aspects de la malédiction ayant frappé Kristian étaient probablement l'ennui et la fatigue. Jeune homme de peu de foi et de peu de conviction, il avait payé ses péchés du vivant par une inextricable sensation de torpeur, comme une dépression insidieuse ne voulant jamais le quitter. Sous la forme de ce gros chat noir poilu, il était moins qu'un chat encore. Bête d'intérieur placide et passive, il se traînait d'un perchoir à un autre quand Elle ne le prenait pas contre elle.
Elle, c'était Freya, la sorcière, celle qui lui avait pris son innocence et la vie et avait reçu, en échange de sa perversité, ses neuf vies félines en cadeau de Satan lui-même. Il ne pouvait plus disposer de son propre corps, car il était la propriété de Freya et même s'il eut envie de quitter ce monde, il lui eut été impossible de s'ôter la vie. Au demeurant, on lui en avait littéralement donné neuf, en cas d'accident.

Au moins, sous cette forme, il n'avait pas à supporter l'apparence corrompue dont il avait été affublé lorsque, d'aventure, Elle le réclamait à ses côtés et lui rendait force et détermination.

Mais toute bonne chose, aussi mauvaise soit-elle, avait une fin. Et sa sieste interminable au bord de la fontaine de ce manoir dans lequel elle l'avait installé arrivait à son terme. Ce manoir, d'ailleurs, d'où leur venait-il ? Il ne demandait pas, mais il avait son idée sur la question et vous ne voulez pas la connaître.
Mais la sieste, donc, arrivait à sa fin, car comme le Prince Chaton ne se réveillait pas aux appels de la novice inconnue qu'Elle avait envoyé pour le réveiller, il eut l'immense plaisir d'être appelé sous sa forme humanoïde. Il se transmuta bien vite pour prendre son affreuse forme hybride et, sa taille jouant, il se retrouva vite les pieds dans l'eau, puis les jambes. Il ouvrit les yeux tandis qu'il basculait et se tira de l'eau à moitié trempé, la queue dressée et hérissée, les dents serrées.

"Ksssssh !!"

Il détestait ça. Non pas qu'il déteste les bains, il les aimait follement. Mais ces surprises ! Les surprises de Freya.
Elle devait être là, d'ailleurs. Sinon, pourquoi aurait-il cette forme ? C'était toujours elle qui le convoquait. Quel tourment préparait-Elle pour lui, cette fois ?

Il tourna ses yeux rouges vers le manoir endormi et ne La trouva pas, mais il la vit, elle. Curieux, il sortit de l'eau à quatre pattes avant de grimper sur ses jambes et de se redresser progressivement, comme s'il reprenait l'habitude de marcher, tout simplement. Il la fixa, la détaillant des pieds à la tête et guettant tout signe de duperie dans son regard.
Rousse, belle gueule, mais jeune et un peu commune... A force de voir les sorcières de Son coven, il avait appris à reconnaître les sorcières expérimentées des autres. Une grande sorcière n'aurait pas laissé ce très, très léger strabisme persister.
A la manière des chats, il arrêta de la regarder et se tourna vers le mur.

"Vous devez être la nouvelle. Je suis Sa chose. Où est-elle ?"

Il ne la prit pas de haut, car il devait toujours un certain respect au coven, consigne de Freya ; mais il n'allait pas se montrer mielleux et adorable pour autant. Depuis qu'Elle avait trahi sa confiance et l'avait réduit à ça, imprégnation maléfique ou pas, il était d'une humeur aussi noire que son poil.

"Laissez, j'ai trouvé."

Distrait, il avait tourné le regard vers les fenêtres et, à la faveur d'une ombre projetée par les arbres à la faveur du vent, il L'avait aperçue. Il La reconnaissait à son immense chapeau pointu, à son style inégalable et à sa putain de plastique irrésistible. Ah ! Oui ! Il savait que son amour pour Elle était inscrit dans le code du maléfice mais son goût pour Elle ne l'avait pas quitté depuis ce soir funeste !

Toujours tel un chat, il quitta Astrid sans un mot ni un regard, la contournant dans le cadre de la porte en se frottant à la robe blanche, toujours nu comme un animal, et laissant dans son sillage, avec la queue joyeuse qui la colla jusqu'à sa pointe, quelques poils d'un noir d'encre.
Il La rejoignit dans le salon sans attendre et tomba en prosternation devant elle. Il lui embrassa les pieds et frotta son visage contre eux, remontant contre ses jambes et contre ses cuisses aussi en la reniflant, en se régalant de son odeur et de sa douceur tout en faisant attention de ne pas trop la gratter du bout de ses petites cornes.

"Vous m'avez convoqué, Maîtresse ?"

Freya

Humain(e)

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 2 vendredi 30 décembre 2022, 07:42:59

La stupéfaction de l’apprentie la laisse penaude et silencieuse. Ses joues rougissantes trahissent son innocence. Pour la première fois, un homme - autant qu’on puisse appeler le Prince ainsi - se dévoile nu à son regard ingénu. La petite sorcière a encore du chemin pour égaler son aînée.

En l’absence de réponses, le chat se débrouille. Il délaisse la nouvelle venue pour trouver tes jambes ; il est tien, quoi qu’il en pense. L’intérêt naissant de la rousse ne connaît pas de réciprocité.
Seul un sourire malicieux fleurit sur tes lèvres rosées.

« Vous m'avez convoqué, Maîtresse ?
-Non. »

Ta réponse est sèche, directe et honnête. Peut-être brutale.
Parfois, dans de rares excès de fatigue, tu te surprends à faire preuve de délicatesse, voire de respect. Or, cela n’excède jamais une soirée isolée.

La rousse vous rejoint d’un pas pressé ; incapable de dissimuler ses premiers émois.

« Prince Chaton, je te présente Astrid. Elle est une apprentie que je me dois de former. »

Obligation du coven.
Si tu t’écoutes, tu l’aurais déjà jeté dans un ravin, sur le chemin.

« Comme tu le sais si bien, les sorcières de notre coven doivent être capable de séduire leur proie, de les piéger dans le stupre.
-Est-est-ce obligatoire ? marmonne Astrid, intimidée. »

D’un geste du doigt, un fauteuil ensorcelé traverse la pièce pour s’arrêter derrière toi. Tu t’y installes et croises tes jambes. Tes lèvres rehaussées, l’amusement qui se lit sur ton visage ne présage rien de bon.

« Occupe-toi de son éducation sexuelle.
-Ici ?
-Et maintenant. »

La débutante ne sait plus où se mettre. La gêne l’a envahi, son corps tremble. Tu t’es montrée si désintéressée jusqu’à présent et là… Tu lui ordonnes à ton familier de coucher avec elle ? Sa tête tourne. Elle ne sait quoi faire. De ses mains maladroites, la rousse commence à défaire sa robe.

« Me déçois pas, mon Prince. Ta récompense sera déterminée par ton dévotion à cette tâche. »
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Prince Chaton

Terranide

  • -
  • Messages: 8


  • Fiche

    Description
    Prince scandinave sacrifié il y a fort fort longtemps à un démon par la sorcière Freya, il a été reforgé en un hybride démoniaque taillé sur-mesure pour elle en récompense. Quand elle n'a pas besoin de lui, il a la forme d'un gros chat noir fainéant, et il est conditionné pour l'adorer et lui obéir au doigt et à l'œil. Briser sa malédiction n'est pas une maigre tâche et le résultat a de grandes chances de ne pas durer.

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 3 jeudi 19 janvier 2023, 04:56:52

Sa réponse causa un recul immédiat de l'hybride, qui tomba sur ses fesses sur le dallage froid du manoir et baissa les oreilles et la tête d'un air à la fois défait et consterné. Ca ne l'empêcha évidemment pas de tourner d'instinct la tête à l'opposé de la position d'Astrid, qui se portait à leur rencontre. Les présentations initiées par Sa maîtresse ne lui tirèrent qu'un dos rond de désintérêt mêlé de frustration.
Il aurait probablement dû savoir où menait cette situation. Il La connaissait assez, à présent pour savoir que sa Maîtresse, la sinistre et respectée Freya, avait l'esprit retord et pervers. Elle avait un grand cœur et de l'affection, même si bien cachés, et c'étaient eux qui maintenaient la subjugation de l'esclave maudit, mais Elle était bien plus perverse qu'Elle était douce.
Alors, Son annonce n'aurait pas dû étonner le Prince Chaton ; au lieu de quoi, dans sa distanciation la plus totale de ce qui était en train de se dérouler dans son dos, il en fut frappé comme par une masse.

"QU~~~?!?!"

Il retint son cri exaspéré de surprise et de protestation et il finit dans un crachat feulant tandis que son regard se tournait enfin vers la jeune initiée rousse. Il la détailla à nouveau rapidement, mais cette fois plus sérieusement. Il avisa ses larges robes blanches, son teint de porcelaine, ses cheveux flamboyants... Tout le contraire de sa Maîtresse, évidemment !
Il brûlait d'envie de protester en Lui demandant pourquoi il devait se charger d'une affaire aussi basse et laborieuse que l'éducation sexuelle d'une petite vierge timide et effarouchée, mais il se retenait ; il se retenait par peur d'Elle, et seules des prunelles rouges enflammées se tournèrent brièvement vers Freya avant de se rabaisser et de se retourner vers Astrid, qui se dévêtissait en rougissant.
Il ne put retenir un feulement et il s'approcha de Son fauteuil d'un air implorant, les oreilles couchées sur la tête et le dos cambré, la queue balançant derrière lui, posant les mains sur un bras du meuble pour la fixer d'en bas avec déférence.

"Je suis Vôtre, Maîtresse, évidemment mais... Elle est... Tellement vierge. Et raide ! N'y a-t-il pas quelque manant prêt à céder à son petit jeu de débutante... ?"

Freya

Humain(e)

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 4 mercredi 01 février 2023, 19:39:08

Peu au fait des relations humaines, Astrid ne sait guère comment interpréter le cri du prince. Le loisir d’abandonner sa fastidieuse tâche ne lui est donné ; ton regard inquisiteur suffit à dissuader toute rébellion. Son corsage est défait, le tissu s’écrase au sol.

« Bien. »

Le prince n'est pas de cet avis et cherche ta clémence. Au pied de ton fauteuil, il se présente soumis pour amadouer ton cœur glacial. Plus que ses gestes, ses paroles t’arrachent un franc rire.
Sa description de l’apprentie est si juste ; elle est seule à s’indigner de ses propos peu élogieux.

« Il serait trop facile de laisser le premier chien galeux prendre sa virginité.
- Je refuse d’être touchée par un manant, proteste Astrid.
- J’ai bien peur que ce soit les seuls hommes te toucher. »

Tes doigts graciles se déposent sous le menton de ton prince. Tu relèves sa tête pour plonger ton cruel regard dans le sien.

« N’as-tu pas de pitié à lui accorder, Mon Prince ? N’es-tu pas soucieux du sort qu’il lui sera réservé si aucun homme digne de ce nom n’est charmé par son innocence ? »

Tu oses parler de pitié alors que tu riras à gorge déployée face à son échec ? Si d’autres prennent à cœur cette honorable tâche qu’est discipliner et enseigner aux futures femmes de votre rang, tu l’exècres du plus profond de ton être.

Tu le sais, son échec n’entâchera ton honneur.
Seul torturer ton prince chaton est un plaisir que tu ne peux te refuser.

« Soit. J’ai un marché à te proposer, Mon prince. Laisse-la te toucher, tenter de te séduire. Si elle réussit à éveiller ton corps, tu la prendras, ici même, devant moi. Si Astrid échoue alors tu seras libéré de cet ordre… Nous pourrions lui montrer l’exemple. »

Si tu es d’humeur à te donner en spectacle. Dans le cas contraire, l’apprentie ne se fera que lointaine témoin de vos ébats.

« Je relève le défi !
-Et toi, mon Prince Chaton ? »

Tu te penches vers lui pour déposer tes lèvres à son oreille.

« Pense à ta réussite, l’encourages-tu d’un baiser fugace. »

Derrière lui, Astrid se tient prête, blessée dans son égo mais prête à prouver sa valeur. Le Prince est à son goût  ; elle se croit capable de remplir aisément ce pari. Alors que tu n’attends que son lamentable échec.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Prince Chaton

Terranide

  • -
  • Messages: 8


  • Fiche

    Description
    Prince scandinave sacrifié il y a fort fort longtemps à un démon par la sorcière Freya, il a été reforgé en un hybride démoniaque taillé sur-mesure pour elle en récompense. Quand elle n'a pas besoin de lui, il a la forme d'un gros chat noir fainéant, et il est conditionné pour l'adorer et lui obéir au doigt et à l'œil. Briser sa malédiction n'est pas une maigre tâche et le résultat a de grandes chances de ne pas durer.

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 5 samedi 04 février 2023, 05:33:35

Astrid pouvait protester, tout ce qui intéressait le prince était l’avis de sa Maîtresse. Et Sa réaction lui arracha un sourire et un léger ronronnement ; en tout cas initialement. Car Freya semblait vouloir mener cette tâche à bien, cette fois, et il fallait que l’hybride maudit se résolve à considérer devoir obéir. Ce n’était pas qu’Astrid était repoussante ; au contraire, même. Mais Freya avait enraciné en lui une forme de dépendance pernicieuse encore renforcée par la malédiction qui les liait à jamais, ou du moins jusqu’à la fin de sa septième vie immortelle. Elle l’avait habitué à obéir à Son seul commandement et à jouir à Ses attentions exclusivement, et entre ce conditionnement profond et les véritables prouesses dont était capable l’ancienne sorcière, faire réagir le Chaton était bien plus compliqué qu’on pouvait se l’imaginer, surtout avec la lubricité manifeste dont son corps désacralisé avait été imprégné lors de sa résurrection impie.
Aussi, si Elle l’ordonnait, il s’exécuterait, mais ni de gaieté de cœur ni aisément. Il ne pouvait s’empêcher de voir dans une telle éventualité la charge d’une trahison, d’un test préparé à son attention. Elle essayait d’ailleurs de parler à son humanité, aux ersatz disloqués et enfouis du jeune et naïf prince Kristian, le jeune homme qu’il avait été par le passé. Las ! Il n’y réagit que par le rejet de toute émotion émergente, grognant comme un chat mécontent malgré la présence de Son regard perçant dans le sien.

Ce n’est pas par compassion qu’Elle finit par accepter de passer un accord. Le chat était au moins sûr de ça. Il ignorait exactement ce que sa Maîtresse avait en tête au moment où Elle commença à énoncer ces mots, mais il était au moins certain que ça n’avait rien de bienveillant ; que ce soit pour lui ou pour Astrid restait à voir, et peut-être ne le savait-Elle pas encore Elle-même. Elle lui promit un cadeau délicieux s’il parvenait à résister à la jeune novice rousse, mais Elle savait très bien aussi que Son Prince Chaton n’était pas un maître de l’abstinence et de la retenue, plus soumis aux bas instincts de sa réincarnation infernale qu’à la sérénité de la raison.
Sans surprise, Astrid était prête à relever le défi. Pauvre enfant ! Elle ne savait pas dans quoi elle s’aventurait encore ! Lui savait. C’est bien pour ça qu’il baissa les oreilles en gémissant son anxiété, refusant de répondre jusqu’à ce qu’un chuchotement et un baiser au creux de l’une d’elles l’électrise et lui fasse relever des yeux ronds d’espoir et brillants de tentation vers Elle.

« Je peux vous rendre fier, Maîtresse, » murmura-t-il avait de pivoter vers Astrid, le dos toujours rond et l’air renfrogné, avant de marmonner : « D’accord… Approche, la nouvelle ! »

Il fit à peine mine de se relever pour s’étirer de toute sa longueur svelte et dénudée en direction du sofa jouxtant de quelques mètres le fauteuil de Freya. Il s’y assit tandis que la jeune sorcière à la peau de porcelaine s’avançait timidement, mais avec résolution à sa rencontre. Elle s’assit à côté de lui et le regarda, incertaine, comme si elle essayait de deviner à quoi servait chaque morceau du mâle et de quelle manière le manipuler. Le matou la regarda avec concupiscence et fit un ronron discret en adressant un regard amusé à sa Maîtresse.
Astrid finit par avancer une main, froide, contre son aine, descendant timidement pour le toucher. Il serra les cuisses sous l’effet du froid et feula légèrement, avant de se résoudre dans un soupir à s’exécuter et à les écarter. Elle passa sa main pour caresser sa hampe flasque comme on caresse un petit animal blessé, et se retrouvait penchée là-dessus comme si elle guettait une réaction qui ne viendrait pas. Et le chat dut réprimer un ricanement. A ce régime-là, il n’avait pas à s’en faire pour sa victoire !

Mais c’est alors qu’il s’étirait nonchalamment, se reposant sur ses lauriers, qu’il remarqua un changement de ton. La rousse soupesait son sexe et le faisait sauter dans sa paume. Elle passa ses doigts autour de ses bourses, remonta à la base de sa hampe, l’enveloppa entre son pouce et son index et commença à la triturer maladroitement, mais d’une façon qui tournerait sans tarder à la masturbation en bonne et due forme.
Il tourna un regard inquiet vers Freya, mais Elle ne lui serait d’aucun secours. Elle aimait autant le voir réussir qu’échouer et Ses humeurs étaient toujours égoïstes. Alors, il se replaça, agrippé à l’accoudoir et au dossier du sofa, le visage fermé, ses yeux vagues cherchant à se rappeler de choses terribles, ou du moins de choses qui le dégoûteraient. Oui ! Comme la fois où la vieille Baba Rada avait été la victime des manigances d’une de ses sœurs et avait été exposée dans toute la décrépitude de son grand âge à l’assemblée !
Il pensait tenir quelque chose de bon lorsque Astrid, qui s’était mise à fermer sa main convenablement sur son membre pour le masser encore trop doucement, vint se précipiter entre ses jambes ouvertes pour venir coincer son gland entre ses lèvres pour le suçoter. Il sursauta presque, levant les jambes comme pour la repousser ; mais il devait lui laisser sa chance pour réussir, n’est-ce pas ? Jusqu’où l’esprit pouvait-il l’emporter sur le corps ? Le matou s’essaya à des projections optimistes en retrouvant le regard de sa Maîtresse. Le souffle court, incertain, il voulut tendre la main vers Elle mais se retint. La larme à l’œil, contrit, il se contraignait à résister en la fixant, trouvant dans Sa contemplation la force de tenir encore un peu, juste un peu.

Pitié, qu’on en finisse vite… Je dois trouver autre chose ! se dit-il en réprimant les frissons descendant dans ses reins, l’envie d’apprendre à cette vierge inexpérimentée la bonne façon de sucer un homme. Son inexpérience ! Il s’accrocha à ce détail. Oui, elle est nulle. Elle n’y met pas la langue. Elle me racle avec les dents parfois. Tu es juste en manque, saleté de chat ! Elle est affreuse ! Oui !

Et dans les yeux fixant Freya, l’anxiété se calma doucement pour être remplacée par une résolution hargneuse, colérique. Une énergie dirigée à la fois vers Astrid et vers Elle qui l’avait soumis à ce défi impossible.

Freya

Humain(e)

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 6 samedi 18 février 2023, 03:28:52

Face à toi, ton prince et ton apprentie. Le premier est affalé entre les coussins du divan. La seconde s’est lovée à genoux entre ses jambes écartées. Elle cherche à comprendre son plaisir, à user de ses doigts maladroits, angoissée par ton regard amusé.

Ton coude repose contre l’accoudoir ouvragé ; ta joue se presse contre ta paume.  La scène t’amuse, tu peux cacher ta joie face à la défaite de la jolie rousse. Si ingénue, qu’elle n’est capable de remplir à bien son unique mission. Pour quelle stupide raison Sigrid a désiré la mettre entre tes pattes ?

« Le temps s’écoule, Astrid. »

La néophyte se trouve au pied du mur. Quand enfin, un brin de confiance l’envahit et elle met en échec le chat orgueilleux.
Sa poigne se fait présente et ses lèvres rosées entourent le sexe érigé. La maladresse demeure mais l’oublie pour se donner entière.

La vierge rencontre son plaisir. Elle double d’efforts, inspirée par l’illusion de connaître sa première fois avec le beau prince.

Une pointe de jalousie pince ton cœur. Tes lèvres se pincent ; tu n’envisages que son échec cuisant. Il est hors de question que cette odieuse apprentie profite de ton familier.

Cette perspective t’agace et t’horripile.
Tu n’es peut-être pas totalement dénué de sentiment, ma douce.

Alors que sa posture se complique, sous plusieurs minutes de torture. Tu te lèves brusquement et tes talons claquent contre le carrelage poussiéreux.

« Tu as échoué. Quelle déception. »

Odieux mensonges, que voilà. Mais es-tu capable d’exprimer ta perfide jalousie ? Non. Ton Prince apprécierait.

« Laissez-moi une minute de plus ! Je peux y arriver ! s’empresse-t-elle, le sexe sorti de ses lèvres et debout, défiante.
- Si Mon prince avait eu un quelconque désir pour toi, il aurait déjà bandé. Je vais te montrer… Tel était sa récompense.
- Après mes efforts, vous n’avez à en fournir pour réussir ! J’ai tout fait !  »

Oh ! La gentille demoiselle se rebelle. Un comportement que tu ne peux apprécier, en déduit ta main qui s’écrase contre sa joue, son visage lancée sur le côté sous l’impulsion violente.

« Monte et reste dans ta chambre. La première à gauche. »

Ton ton glacial n’appelle à la protestation. Tu t'assois sur les genoux de ton chaton.

« Trouve-lui un manant dans le village voisin. Ni vieux, ni malade. Je ne suis pas un monstre, non plus. Mais avant, désires-tu ta récompense ? Elle ne sera toutefois complète. »

La jalousie et l’envie ne tordront les traits ingénus d’Astrid. La scène aurait été délectable… De la voir incapable d’obtenir satisfaction à son désir.
Tes doigts froids explorent le corps du prince.

« Détends-toi. »

Tu viens mieux t’installer face à lui, à califourchon sur ses cuisses. Tes plans ont changé ;  Il te faut le laver de cette souillure… De ton corps.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Prince Chaton

Terranide

  • -
  • Messages: 8


  • Fiche

    Description
    Prince scandinave sacrifié il y a fort fort longtemps à un démon par la sorcière Freya, il a été reforgé en un hybride démoniaque taillé sur-mesure pour elle en récompense. Quand elle n'a pas besoin de lui, il a la forme d'un gros chat noir fainéant, et il est conditionné pour l'adorer et lui obéir au doigt et à l'œil. Briser sa malédiction n'est pas une maigre tâche et le résultat a de grandes chances de ne pas durer.

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 7 vendredi 24 février 2023, 05:23:14

Elle savait que l’initiée se montrait plus talentueuse que prévu et qu’Elle pourrait bien être humiliée par sa réussite. Chaton avait attendu Son intervention, et elle finit par arriver, mauvaise et dédaigneuse. Il était curieux de voir comment Astrid y réagirait, révélant ainsi son caractère, et la novice révéla un tempérament aussi brûlant que sa chevelure en osant se rebeller contre Freya.
Soulagé, il ne put s’empêcher de se recroqueviller en anticipant la contre-attaque de sa Maîtresse, mais elle n’eut pas à être trop forte : Astrid disparut bien vite dans les escaliers et en direction de sa chambre, en colère, mais disciplinée et obéissante.
Il la regarda disparaître avec un sourire mielleux et en ronronnant légèrement, mais ses ronrons n’étaient rien face à ceux qui se déclenchèrent en sentant le fessier de sa Maîtresse se poser sur ses genoux. En une fraction de seconde, toute son attention s’était portée vers Elle et ses yeux félins s’étaient animés d’étincelles lubriques. Et il ne put s’empêcher de sourire à Ses paroles.

« A vos ordres, Maîtresse. Vous êtes magnanime. »

Quant à la récompense promise… Il se fichait bien que la novice ne soit pas là pour les tuer du regard. Les ronronnements et la raideur qui croissait rapidement entre eux suffisaient déjà à signaler son enthousiasme. Après tout, il avait été détruit et reforgé par l’idole de sa Maîtresse pour La servir et La combler. Même son sexe, long, légèrement crochu, avait été façonné sur-mesure pour La satisfaire parfaitement selon le corps qui Lui avait été donné. Il avait été créé pour faire la paire.

« Oui, Maîtresse. Je ne désire rien plus que Votre récompense. Ffffff ! »

Les doigts froids le firent trembler et raidir, mais Ses mots le calmèrent immédiatement et le forcèrent à en faire abstraction. Il s’imagina Ses mains chaudes, brûlantes, et il put les supporter jusqu’à ce qu’elles se réchauffent d’elles-mêmes.
Comme Elle lui grimpait dessus à califourchon, son Prince Chaton chéri se réinstalla en vitesse, près à L’accueillir dans les meilleurs dispositions. Elle vint se poser sur ses cuisses en lui tirant un frisson de plaisir. Il planta ses pupilles d’ambre dans les Siennes, presque tremblant d’envie. Elle avait raccourci la jupe de Sa robe par un simple tour et Ses longues jambes fuselées se retrouvèrent de part et d’autre du serviteur transi qui ne pouvait que La contempler avec admiration sans pouvoir La toucher, faute d’autorisation.
Parfois, Elle aimait le torturer un peu, frotter Sa lingerie humide à sa hampe veinée en la brûlant légèrement avec la dentelle, et lui interdire de prendre les devants. L’obéissance était totale mais l’envie ne manquait pas : ses doigts se contractaient au bout de ses bras hésitants, prêts à se refermer sur sa silhouette pour L’attirer à lui et, si Elle le voulait ainsi, La ravir cette fois. Sinon, il le savait, Elle pourrait tout aussi bien le contraindre à rester immobile pendant qu’Elle se servirait de lui comme d’un jouet sans âme.

Freya

Humain(e)

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 8 jeudi 13 avril 2023, 21:00:41

Magnanime ? Non. Tu ne rêves que d’entourer tes doigts autour son cou pâle… Et de serrer. Jusqu’à ce qu’elle te supplie d’arrêter, qu’une larme coule sur sa joue. Qu’enfin, la mort l’emmène loin de toi !

Tu ne peux. Ni la tuer, ni demander à un lépreux de la violer.
Sigrid se doutait bien de ton comportement. Les directives ont été claires, plutôt que les interdictions. Tu dois lui apprendre et non, la torqturer.

Par chance, ton merveilleux Prince est à tes côtés et prêt à remplir sa tâche. N’est-il pas question de sa récompense ? Ah oui. Si l’envie de le frustrer s’immisce sournoisement, tu t’es décidée à lui offrir plus de liberté qu’à ton habitude.

Tes jolies fesses rondes viennent reposer sur ses genoux. Et comme il a remarqué, ta jupe s’est raccourcie pour n'être une entrave. Les pans de tissus ébènes s’arrêtent au sommet de tes cuisses. Entre vos corps trône sa virilité parfaite que tes doigts habiles saisissent fermement.

« Mon doux prince. Mon adorable chaton. »

Ton humeur s’est adoucie, réchauffée. A l’image de ton esprit, pris d’une nouvelle passion libidineuse. Enfin, à chaque retour à ton manoir, le rituel est similaire. Ton familier est prisonnier de ton désir vorace. Avec lui, s'accompagnent tes caprices.

« Pour ta récompense, tu es libre de tes paroles et de tes actes. »

Ton appétit est désormais égayé d’un sourire malicieux. Tu sais qu’il sera comblé par ce cadeau inestimable. Son enthousiasme te ravit ; l’écart entre la stupide apprentie et toi est bien grand. D’ailleurs, peut-être l’avoir en spectatrice n’était pas le présent pour Chaton… Mais le tien, dans une volonté de l’humilier. Mesquine que tu es, tu n'oublieras pas d’élever la voix et de la faire participer par ce concert à vos activités lubriques.

Il ne te plait de songer encore à cette imprudente. Tes pupilles grenats, brillantes de stupre, plongent dans le regard soumis du chat. Ta main libre se saisit de son menton, tes lèvres des siennes d’un baiser possessif.

Tes doigts ont offerts quelques furtives caresses à son sexe tendu. Puis, ils le guident vers tes cuisses ouvertes, au-dessus de lui.

Il le sait, tu n’aimes que trop le frustrer et lui faire perdre pied… Pour parfois l’abandonner pendant des heures dans cet état douloureux.
Aujourd’hui, ne fait exception : L'extrémité se presse contre le tissu protecteur de ta fleur intime. Une seule chose change : il est libre de mettre un terme à la longue torture que tu prévois de lui faire subir…

Vos lèvres séparées, tu demandes : « Alors, mon Chaton ? Que comptes-tu faire ? Agir pour te libérer de ta frustration ? Ou rester mon Adorable prince, attendant que je t'utilise à mon gré ? »
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Prince Chaton

Terranide

  • -
  • Messages: 8


  • Fiche

    Description
    Prince scandinave sacrifié il y a fort fort longtemps à un démon par la sorcière Freya, il a été reforgé en un hybride démoniaque taillé sur-mesure pour elle en récompense. Quand elle n'a pas besoin de lui, il a la forme d'un gros chat noir fainéant, et il est conditionné pour l'adorer et lui obéir au doigt et à l'œil. Briser sa malédiction n'est pas une maigre tâche et le résultat a de grandes chances de ne pas durer.

Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton

Réponse 9 jeudi 04 mai 2023, 05:00:18

Les mots de sa Maîtresse le firent presque défaillir, au moins autant que les caresses de Ses doigts graciles autour de cette verge qui avait été sculptée pour La combler, conditionnée pour libérer son plein plaisir à Son contact seulement. Les terminaisons nerveuses sous ses tissus fins s’excitèrent à qui mieux mieux pour le terrasser sous un torrent de sensations extatiques. Il était suspendu à Ses lèvres et à Ses phalanges, transi d’Elle, totalement abandonné à Ses volontés.
Et voilà qu’Elle lui faisait un cadeau rare : la possibilité d’agir comme bon lui plaisait, lui, Son petit esclave si faible, Elle lui donnait le pouvoir. Etait-ce pour le récompenser de sa résilience ou pour Se venger, pour démontrer à la jeune Astrid que l’hybride démoniaque, loin d’être insensible aux charmes des dames, n’était juste pas intéressé par ses attentions inexpérimentées ? En avait-il seulement quelque chose à faire ? Non, il ne pensait qu’à Son corps au-dessus de lui, à Ses mots et à ces dessous si légers qui ne cachaient pas grand-chose, ni de Sa beauté intime ni de Son excitation, au bout de son gland si sensible qu’il en était comme électrisé. Il était si excité qu’il en avait la gorge sèche et haletait.
Conditionné à obéir et à subir, bon gré ou mal gré, Ses colères comme Ses plaisirs, Chaton n’était pas habitué à se servir, et certainement pas avec Elle. Dépasser son conditionnement était une lutte, mais peut-être était-ce ce qui La poussait à l’exiger de lui parfois – ça et la férocité avec laquelle il se délectait d’Elle lorsqu’il le faisait sans doute –. Il devait obéir. Il en avait envie, mais il avait du mal à le faire. Furieux contre cette impuissance apprise, il serra les dents en montrant les crocs, feula presque en tremblant, approchant d’elle de quelques centimètres, cherchant à ravir ses lèvres sans pouvoir s’y résoudre. Il était si près d’elle qu’il lui aurait suffi de tendre les lèvres pour toucher les siennes.

« V-v-vvvos d-désirs sont… des… ordres, Maîtresse ! » grogna-t-il en osant glissant une main entre Ses cuisses fuselées, frôlant le poignet dont la main excitait son sexe pour glisser un doigt le long de la dentelle de Sa culotte. Il ne fallut qu’une seconde : une griffe parcourut avec expertise la fente de Ses lèvres intimes en découpant le tissu sans la toucher. Elle rentra au bout de son périple pour La parcourir en sens inverse, le bout d’un index léger glissant dans Sa vulve en tremblant.
Il retira bientôt sa main, glissa les deux sur Ses hanches, se saisit d’Elle, feulant, oreilles en arrière, regard assassin. Mais il n’avait aucune envie de l’agresser, ou du moins de la blesser. Il ne voulait que la faire sienne, ses instincts les plus primaires, au service de Ses appétits, prenant le contrôle de sa psyché pour en faire une bête en chaleur avide d’une seule chose : assouvir ses envies, et ses envies étaient les Siennes.
Il L’attira à lui. Leurs lèvres enfin se joignirent, mais avec obscénité, l’hybride Lui léchant les babines avec envie du bout de la langue tandis que son bassin gigotait dans une seule optique : glisser sa verge raide et humide de présperme dans Sa fente tant aimée et défaillir pour de bon, oblitéré par le plaisir de Sa chair, sous le coup de la Luxure courant dans ses veines.


Répondre
Tags :