Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

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Souta et Janus

Humain(e)

Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

lundi 17 octobre 2022, 21:22:40

La science et la religion sont deux concepts qu'une bonne partie de l'humanité se partage depuis des milliers d'années. Et pourtant il en existe un autre, plus discret, qu'est l'occulte. Un domaine, un monde selon certains, qui naviguerait entre ces deux sphères.

Certains être humains sont catalogués comme étant des mutants, parfois des aliens quand on ne parvient pas à expliquer clairement certains phénomènes dont ils sont à l'origine. Bien entendu il n'est pas question ici de photos floues qui mettraient en avant un fantôme ou une soucoupe volante. Ni même de la ressemblance étrange d'un acteur avec un homme ayant vécu il y a plusieurs siècles de cela pour faire croire qu'il s'agit d'un vampire.

Toujours est-il que les pouvoir surnaturels existent bel et bien. Pas ouvertement car seul un illuminé voudrait attirer l'attention des gouvernements pour finir dans un laboratoire jusqu'à la fin de ses jours.

C'est le cas de Buta (qui signifie cochon/porc en japonais), un garçon qui a été victime de moqueries durant toute son enfance. Il est aujourd'hui incapable de vivre en société car la moindre interaction sociale lui provoque une crise d'angoisse.
On pourrait presque le considérer comme un hikikomori. A la seule différence qu'il ne dépend de personne pour vivre car il travaille comme ingénieur pour des petites entreprises.

Avec l'aide d'internet il n'y a plus besoin de sortir de chez soi. On peut se faire livrer ou envoyer tout ce qu'on souhaite en seulement quelques clics.

Il a fallu plusieurs années à Buta pour parvenir à comprendre et maitriser son pouvoir. Un don d'une puissance impossible à quantifier. Mais comme bien souvent, les pouvoirs les plus puissants ont également des contraintes ou des points faibles qui empêchent leur détenteur d'être omnipotent.

La capacité si particulière du jeune homme de 20 ans lui permet d'entrer dans les rêves des gens... mais sans avoir la possibilité de sélectionner une personne précise. Il pourrait tout aussi bien se glisser dans le rêve d'un chat de gouttière qui passe dans sa rue que d'un homme vivant à l'autre bout de la ville.
Après, si une connexion commence à s'établir entre lui et la personne à qui il rend visite, les choses deviennent différentes.

En plus de pouvoir retourner lui rendre visite, il pourra également commencer à influer sur sa psyché à l'image d'un subtil lavage de cerveau. Cela peut même aller jusqu'à provoquer des hallucinations visuelles, auditives et olfactives à la fois.

Jusqu'ici rien ne bien intéressant ne lui est apparu durant ses rêves. Parce que, oui, Buta doit également être en train de dormir pour parvenir à s'immiscer dans le rêve d'une autre personne. Ce qui est logique.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 1 samedi 22 octobre 2022, 09:56:08

Voilà une semaine que Buta enchaîne les rêves insipides et loufoques des habitants de sa ville. Le dernier en date était celui d'une jeune femme qui se voyait dans la peau d'un chat pour explorer un monde imaginaire où vivaient des chats. Ce genre de rêve il l'avait expérimenter des dizaines de fois auparavant. La seule différence était que cette fois les personnages de ce rêve communiquaient qu'en miaulant. E général les gens font en sorte que même les animaux dans leurs rêves puissent parler pour communiquer. Là, rien du tout... Des miaulements, encore et encore. En boucle. Jusqu'à en devenir fou. Heureusement, la personne en question se réveilla au bout d'une heure.

Une autre contrainte de son pouvoir veut qu'il ne peut pas quitter un rêve tant que la personne reste endormie, sauf en de rares exceptions. Comme le fait d'avoir l'accord du rêveur ou de la rêveuse pour partir.

Épuisé mentalement à l'idée de tomber à nouveau sur un rêve stupide, le jeune homme n'aura pas la possibilité de passer une seconde nuit blanche d'affilée. Assis sur le fauteuil de son salon, il s'endort sans le vouloir tout en regardant la télévision.

Le voilà plongé dans un nouveau rêve. Son regard analyse immédiatement ce qui l'entoure pour découvrir qu'il se trouve dans des toilettes. Pas très propres d'ailleurs. A en juger par les nombreuses allées et venues il doit s'agir d'un bar ou d'un club nocturne.
En tout cas, si ses yeux ne lui jouent pas des tours, Buta est dans la peau d'un séduisant jeune homme blond.
Ses traits dépendent toujours de la personne dont il investit le rêve après tout. Par le passé il lui est arrivé de devenir un poteau, un parapluie ou une boite de conserve par exemple. Des expériences peu enviables.

Étant donné qu'il s'agit de la première fois qu'il se trouve dans le rêve de cette personne, son corps se déplace tout seul. Trois ou quatre visites chez une même personne sont nécessaires si il veut pouvoir interagir de lui-même.

Le jeune homme, seul, danse quelques minutes sur la piste en échangeant plusieurs sourires aguicheurs avec plusieurs femmes qui prennent un malin plaisir à se coller à lui pour changer de partenaire au bout de quelques secondes.

Légèrement fatigué, il m'emmène m'asseoir sur une banquette avec table où une serveur lui apporte une coupe de champagne alors qu'il n'a rien commandé. On reste dans un rêve après tout.
C'est alors qu'une superbe jeune femme s'approche de nous avec un regard enflammé. Son corps aux formes si parfaites se pose à quelques centimètres de notre épaule quand elle se tourne dans notre direction pour presser sa poitrine contre notre bras pour venir déposer une main délicate sous notre chemise.

- Wow ! Tu sais ce que tu veux, toi., répond le jeune homme avec une certaine excitation dans la voix.

De mon côté aussi la température monte. Au moins je vais pouvoir passer un bon moment.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 2 jeudi 03 novembre 2022, 07:37:47

Lorsqu'un rêve devient trop intense, Buta peut directement ressentir certaines sensations du personnage dans lequel il est coincé. Comme une soif irrépressible lorsqu'il est dans la peau d'un aventurier à la recherche d'un trésor perdu en plein désert. Heureusement pour lui il faut généralement visiter le rêve d'une même personne à plusieurs reprises pour que cela arrive.

En temps normal il n'aurait pas été contre ressentir l'excitation provoquée par une sublime jeune femme comme celle qui venait d'accoster le blondinet. Clairement aguicheuse, elle ne semble pas un instant être dérangée par le fait de séduire un homme en public de manière suggestive. On pourrait même dire que ça l'amuse. Contrairement au jeune homme qui ressemble à un pauvre écureuil à la merci d'un serpent qui joue avec sa proie avant de la dévorer toute crue.

- Oui, bien sûr. Mais...

Les mots sortent tous seuls de sa bouche encore une fois. Sa voix montre clairement son embarras car il a honte de ce qu'il est sur le point de dire. Il va pour enchaîner quand une main vient entamer le déboutonnage de sa chemise. Lentement...

- Je n'ai jamais...

Chaque syllabe est difficilement formée et libérée de sa bouche alors qu'il ravale sa salive dans la foulée. La gêne envahit chaque cellule de son être. En tout cas c'est ainsi que Buta comprend la situation vu qu'il n'est pas encore pleinement fusionnel avec le corps qu'il partage.

- Je n'ai jamais bandé ! Je veux bander ! Au moins une fois !

Ah... Le jeune homme s'attendait à l'entendre dire qu'il était puceau ou quelque chose du genre. Que le blondinet était venu en boite de nuit pour se payer une pro afin de se débarrasser de son pucelage. Cela aurait été moins embarrassant pour eux deux. Car même si il n'a pas la moindre influence sur les propos ou gestes de son incarnation, il reste en lui d'une certaine manière.

Le voilà ensuite en train d'expliquer à cette créature de rêve qu'il a vu plusieurs médecins qui ont été incapable de trouver ce qu'il avait. Les pornos hétéros et gays ne lui font aucun effet. Désespéré et ignorant totalement de quel bord il est, il aurait suivi le conseil d'un ami d'aller en boite car là-bas les gens se lâchent plus facilement et sont généralement plus tactiles après un verre ou deux.

- Tu peux m'aider à bander ? 'ai entendu l'homme là-bas dire que t'étais "hyper bandante".

Oh bordel ! Tout cet échange est loufoque au possible. A tous les coups il va se faire rembarrer. Ca m'est arrivé tellement de fois d'investir le rêve d'une gonzesse qui joue les séductrices pour ensuite se transformer en vierge effarouchée car au fond d'elle, elle voulait juste refouler des mecs ou jouer la donneuse de leçon.

Mon pauvre blondinet. Prépare-toi à ne jamais découvrir les joies de l'excitation.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 3 vendredi 04 novembre 2022, 07:38:47

Chaque rêve est unique d'une certaine manière. Cela peut venir d'un détail ou d'une situation. De tous les rêves loufoques qu'il a pu visiter, celui-ci est assez particulier. L'échange entre le blondinet et la bombasse est aussi drôle que surréaliste. Qui irait annoncer sa situation de cette manière à une parfaite inconnue avant de lui faire une demande aussi folle ? Le pire c'est qu'elle a acceptée. Bon, là encore c'est compréhensible vu qu'il s'agit de son rêve à elle.

Les sensations sont réduites lors d'une première visite. Ce qui fait que Buta est plus dans l'attente que dans le ressenti alors qu'il n'aurait pas été contre le fait de profiter de cette situation. La nana qui vient jouer de sa langue sur le corps sans défense du blondinet doit sûrement être hyper coincée dans la réalité pour se lâcher autant ici. Ou alors elle s'est retrouvée coincée sur une île déserte et le manque de chaleur humaine lui fait faire des rêves bien salaces.

Son message n'a pas l'effet escompté quand elle passe à la vitesse supérieure en venant jouer de ses lèvres sur le doigt fin du jeune homme dont le corps se crispe immédiatement. Bon sang qu'elle est sexy à venir lui sucer le bout... des doigts. Buta se fait alors la réflexion qu'elle doit plus être en manque que coincée vu qu'elle sait y faire. Ce genre de geste ne peut pas s'improviser du jour au lendemain.

- Urrrrrgh !

Un frisson vient parcourir la colonne vertébrale du blond quand sa partenaire dévore entièrement son doigt. Sa bouche reste grande ouverte devant le spectacle qui lui est offert et avec lequel il est incapable d'interagir. Quel est son objectif à travers ce rêve ? En général celles qui jouent les femmes fatales cherchent à exciter leur partenaire un petit moment pour se lancer dans de la baise sauvage.

Alors que là tout est lent, très lent. C'est limite si rien n'évolue. Et lui aussi reste sans réaction quand elle lui explique ce qu'il doit faire et ressentir.

- Hein ? Je... Oui...

Le blondinet est complètement hagard. Ou sous le charme de la sublime créature qui s'est muée en charmeuse de serpent dont la mélodie dicte chaque geste de sa proie sans défense. Son regard suit chaque geste de la femme avec une concentration impossible à briser. Une explosion aurait lieu à quelques mètres d'eux qu'il ne le remarquerait pas.

C'est à travers son odorat que le corps du jeune homme réagit à la nouvelle proposition de son institutrice en plaisir. Cela est infime mais Buta peut le ressentir. Est-ce que cela vient du grain de raisin ? Du parfum dégagé par la femme ? Impossible à dire de façon claire. Toujours est-il que leurs visages respectifs s'approchent dangereusement l'un de l'autre quand un sursaut fait s'avancer son visage dans sa direction.

Le contact plus prononcé de cette énorme poitrine contre lui l'a poussé à déplacé sa main qui est venue se coller sans qu'il ne le veuille sur une de ses cuisses à elle. Entre gêne et surprise, ses doigts se sont mis à prendre possession de sa chair le temps d'un instant.

- P-Pardon, je...

Complètement paniqué, il enlève sa main qui vient tout aussi rapidement terminer sur un sein volumineux. Il sent à quel point il est tendre, doux et apaisant et de jouer avec. C'est une toute nouvelle sensation pour lui et sa main semble être comme aimanter à ce dernier. S'en séparer pourrait bien s'avérer impossible, même avec toute la bonne volonté du monde. Au point de s'en excuser à nouveau.

- Je sais pas pourquoi mais j'arrive pas à... Désolé ! Je voulais pas.

C'est alors qu'il sent un début de réaction sous ses vêtements. Un battement. Très léger et très rapide. En tout cas il ne prend pas une once d'initiative. Sans pour autant lâcher sa prise.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 4 mercredi 09 novembre 2022, 07:41:49

Pas besoin de ressentir les même sensations que ce mystérieux personnage pour savoir ce qui se passe dans sa tête et dans son corps. Buta a déjà eu la chance d'expérimenter ce genre de situations dans d'autres rêves et ses propres souvenirs font le travail pour lui rendre cette expérience plus agréable. A la seule différence qu'il n'a jamais eu l'opportunité de jouer avec des seins de cette dimension.
Seigneur ce qu'ils ont l'air appétissant. Et si lourd. La sensation qu'ils doivent procurer quand on les touche est forcément divinement excitante.

Perdu dans ses propres pensées, il n'anticipe pas le fait que la créature de rêve vient rouler un long et sensuel patin au jeune blondinet qui se fait dévorer tout cru après avoir reçu son accord pour profiter de ses formes imposantes. La jalousie et l'envie prennent le pas dans l'esprit de Buta quand il remarque que l'homme dont il partage les actions peut s'amuser comme un petit fou avec cette poitrine parfaite. - Ce salaud a vraiment une chance de cocu. Je donnerai tout pour venir lui bouffer ses énormes nichons.

Ce premier passage l'empêche malheureusement de pouvoir effectuer le moindre geste. Au moins il est premières loges pour plus tard quand il ira se branler en se remémorant de toute la scène. Cela reste cependant une bien maigre consolation.

Le blond, lui, reste fidèle à lui-même en laissant sa partenaire mener la danse tout en perdant un peu le contrôle lors de cet échange buccale. A bout de souffle, sa propre salive à commencer à déborder lorsque leur baiser se brisa. Il devait bouillir de l'intérieur. Lui sauter dessus devait le démanger dans sa tête. C'était évident.

Puis c'est la révélation... Une épiphanie ! Lorsqu'elle décide de l'enjamber pour venir lui plaquer ses deux obus sous les yeux pour venir les lui faire faire malaxer des deux mains dans la seconde qui suit, la minuscule réaction n'en était plus une.

L'entendre gémir, la voir remuer sur ses cuisses telle une chatte féline excitée et incontrôlable a l'air de lui procurer la stimulation nécessaire pour enfin découvrir la chose. Ses yeux menacent de sauter de ses orbites quand son sexe décide de s'éveiller pour la toute première fois de son existence. Son gland vient rapidement se frotter sur son boxer à cause du manque d'espace sous ses habits.

Emporté par cette toute nouvelle sensation, le jeune homme vient se saisir plus fermement de la poitrine de sa partenaire avant d'engouffrer son visage dedans. Mais pas avant de lui annoncer :

- Aaaaah ! Oui.... Oui ! Ca va... Je vais... y arriver !

Son excitation l'empêche de réfléchir ou de parler correctement plus de quelques mots. L'espace dans son jean se limite très rapidement au fur et à mesure que son sexe prend de l'ampleur. Ses dents qui auraient dû se serrer dans sa bouche viennent se poser sur un des tétons de la belle inconnue sans qu'il ne le fasse exprès et commencent à le mordiller alors qu'il tente de prendre sur lui. Son front devient brûlant tandis que l’expansion de son membre ne semble pas montrer le moindre signe de ralentissement.

- Urrrrrrrrrrrrgh !

Son cri de douleur et de tension est tué dans la poitrine qui l'occupe. Sa tige gonfle, se raidit même sous ce jean serré. Ce gland désormais devenu bien plus large qu'au départ vient presser sur sa braguette. Un phénomène qui vient lui provoquer encore un peu plus de douleur.

C'est alors qu'un étrange phénomène vient se produire. Étant donné que le couple est collé l'un à l'autre, aucun n'a pu remarquer ce qui se passait vraiment plus bas. La bite du blondinet avait tellement pris de volume en quelque seconde qu'une bosse déformait son jean et menaçait de faire exploser la fermeture éclair.
Et ce qui devait arriver, finit par se produire. Le zip cède, en plus de son boxer pour faire apparaître un membre qui se met à prendre toute son ampleur une fois libérée de cette cage.
La surprise et le désir de voir ce qui vient de se passer pousse le jeune homme à se séparer de sa partenaire. Et la surprise est clairement de taille quand il observe ce qui trône fièrement entre eux deux.

Longue, large... imposante ! Les adjectifs ne manquent pas pour définir ce qui les sépare. Même les dents de la braguette qui viennent se frotter contre sa tige veineuse ne lui fait plus mal désormais. En l'espace de quelques secondes sa bite à bien dû atteindre largement les quarante centimètres. Si ce n'est même plus.

- Je... J'ai... On a réussi ! Je ban- Aaaaaaaaaahnnnnnn !

Son plaisir est si soudain qu'on dirait qu'il va pour éjaculer. Une goutte de liquide blanc fait immédiatement son apparition dans l'ouverture de son gland pour...

C'est alors que soudainement Buta se réveille. Le voilà de retour dans le confort de sa chambre. Son regard va instinctivement chercher son réveil qui indique 4h du matin.

- ARGH ! Ca devenait enfin intéressant. Bizarre, mais intéressant.

La femme qui a fait ce rêve doit avoir des penchants bien étranges pour imaginer des trucs pareils. Ou alors elle regarde trop de pornos et de hentai. Une chose est sûre, Buta va désormais croiser les doigts à chaque fois qu'il fermera les yeux pour voir ce qu'elle a en réserve.
Jusqu'au jour où, lui aussi, il pourra partager cette déviance assumée avec elle de la plus belle et excitante façon qu'il soit.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 5 jeudi 10 novembre 2022, 06:57:22

Ce n'est qu'après plusieurs minutes qu'il remarque l'érection sous son boxer après ce réveil brutal. Rien que le souvenir de cette énorme paire de loches laiteuse suffit d'ailleurs à éveiller de folles idées dans son esprit. Et pourtant il ne va pas se calmer en se masturbant alors que son corps lui réclame la chose de façon évidente. Le jeune homme décide plutôt de se lever et d'aller aux toilettes pour se vider la vessie avant de filer sous la douche pour se calmer et en profite ensuite pour se mettre au boulot en s'installant sur son ordinateur. Bosser l'aide à se détendre et penser à autre chose.

Les heures passent rapidement pour finir par atteindre l'heure du déjeuner afin de lui permettre de marquer une première pause. Vivre dans ce petit appartement n'est pas tous les jours facile. Peut-être qu'un jour, s'il parvient à faire fortune, il déménagera dans une plus grande propriété comme une villa avec un immense jardin pour profiter du soleil et de l'extérieur sans craindre de rencontrer d'autres personnes. Malheureusement cela ne reste encore qu'un doux rêve. Un rêve.... Argh, revoilà son érection qui revient à la charge quand des images de cette nuit lui reviennent en mémoire.

Pas du tout la tête à se remettre au boulot, le jeune homme décide de s'amuser en ligne en démarrant sa console pour quelques heures. Là encore, il est plus adepte des jeux solo comme des RPG ou des jeux d'aventures que les MMO et autres jeux en coop. Et cette fois le temps passe très vite. La fin d'après-midi arrive à une vitesse folle. Presque aussi rapidement que le sommeil commence à le rattraper après s'être levé aussi tôt ce matin.

- Aawwwwwww ! Je suis crevé. J'ai besoin de faire une sieste. Rien qu'une heure ou deux.

Son corps s'affale rapidement sur son lit alors que l'on peut entendre les bips de la console qui s’éteint à quelques pas de lui. Un long et profond bâillement vient ensuite résonner entre les quatre murs de sa chambre tout en déformer sa grande bouche tandis qu'il se faufile sous un drap.

L'instant qui suit, Buta se retrouve dans la peau d'un homme d'âge moyen assis devant un bureau. La pièce semble assez grande et située dans un grand immeuble car on peut voir toute la ville depuis son siège en regardant derrière lui. Alors qu'il observe la pièce avec attention pour découvrir ce que peut cacher ce rêve une voix l'interpelle.

“Monsieur ! Un client vient de nous appeler pour finir rapidement une affaire sur le dossier que vous traitez… Je viens vous aider à terminé !!”

L'homme dans lequel il a été propulsé se retourne en directement d'une femme vêtue d'un tailleur. Le fait que sa tenue ne rompe pas semble tenir du miracle vu ses proportions. On est dans un rêve après tout, alors tout est possible avec un peu d'imagination.

En tout cas, celui qui semble être son chef n'a aucun regard ou geste déplacé envers elle. Un mouchoir à la main, il se contente de s'essuyer le front en la remerciant.

- Oh, merci *****. Qu'est-ce que je ferais sans vous ?

Tiens... Son prénom est censuré ? Du moins aucun son ne sort de la bouche du chef quand il tente de prononcer son nom. Voilà une grande première pour Buta qui n'avait jamais rencontré un tel phénomène à ce jour.

Sans perdre un instant l'homme se jette sur son ordinateur pour ouvrir un logiciel qui lui permet d'accéder à tous ses dossiers clients qui sont triés par ordre de priorité. Tout en haut de la page figurent trois noms.

- Rappelez-moi de quel client est-ce qu'il s'agit déjà.

Son regard jusque là figé sur son écran se déplace sur toute l'étendue de son bureau pour croiser plusieurs objets. Le premier est une plaque avec son nom où est en-dessous inscris son titre dans l'entreprise : directeur général des ventes. Le second est une photo de lui et de son épouse en lune de miel. Puis une autre photographie de ses trois enfants plein de vie et souriant. Les preuves d'une vie heureuse et comblée.

Alors qu'il va pour porter les yeux sur sa secrétaire en attendant sa réponse, un son l'interrompt et lui fait effectuer le chemin inverse pour rapporter de nouveau son attention sur son écran d'ordinateur.

- Hmmm ? Une notification ? Qu'est-ce que c'est ? Un message ?

La photocopieuse est reliée directement à son poste via le système intranet de l'entreprise. Une manière sophistiquée de conserver tous les documents scannés/photocopiées en cas de panne pour permettre alors de basculer sur un autre poste en cas de besoin.

Mais qu'elle n'est pas sa surprise en voyant l'image qui s'affiche sur son moniteur ? Outré, il manque de bondir de son siège. Sa voix s'élève alors qu'il commence à réprimander son employé.

- Mais... Vous avez perdu la tête, ****** ?

Une bouffée de chaleur vient de s'emparer de ses joues alors qu'il fulmine. Son cerveau démarre au quart de tour. Tout va si vite dans sa tête qu'il en perd le fil de ses propres mots en tentant de s'exprimer.

- Je... Seigneur ! C'est une entreprise respectable ici ! Et vous... Mais...

Son mouchoir revient de nouveau essuyer son front couvert de sueur après cette débauche d'énergie. Le bonhomme se met alors à expirer d'un grand coup pour tenter de reprendre son calme  avant de regarder de nouveau son écran. On peut y distinguer les tétons et le soutien-gorge de son assistante qui ressort de son haut à plusieurs endroits où son chemisier s’entrouvre.

- On m'a rapporté des rumeurs à votre sujet mais je n'ai jamais voulu y croire.

- Ooooh ? Des rumeurs ? Ca prend une tournure très intéressante tout ça. pense Buta alors qu'il se contente d'observer la scène pour le moment. Le jeune homme a rapidement remarqué qu'il peut ressentir certaines émotions partagées avec son hôte. Un signe évident qu'il s'agit de son second passage dans le rêve d'une autre personne. Si tout se passe bien il aura l'occasion de faire un geste ou deux ou d'intervenir en le faisant parler.

Sa marge de manœuvre restera cependant très limitée. Il devra donc attendre le bon moment pour cela.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 6 vendredi 18 novembre 2022, 08:18:48

L'assistante ne se laisse pas démonter en entendant la remarque de celui qui semble être son patron alors qu'elle laisse tomber un dossier plutôt épais sur son bureau. Elle va même jusqu'à lui demander de quoi parlent ces rumeurs avant de lui rappeler l'importance dans son rôle dans l'entreprise.

- Eh bien... Oui, vous n'avez pas tort.

Le bout du regard du bonhomme se porte alors de manière très courte sur les hanches larges de la jeune femme sans pour autant bouger la tête afin de ne pas rendre la chose évidente. A ce jour il n'a jamais eu le moindre geste ou regard déplacé à son égard car il aime montrer à tout le monde qu'il considère chaque employé sur un pied d'égalité. En tout cas c'est ce que peux ressentir Buta qui a l'opportunité de partager les sensations et les sentiments de celui qu'il incarne dans ce nouveau rêve qui s'annonce bien chaud.

- De la jalousie ? Non, je n'ose pas imaginer que nos collègues puissent être aussi me- GLOUPS !

Sa phrase est coupée nette lorsqu'il réalise que l'opulente poitrine de sa collaboratrice vient se presser sur son cou. A moins d'avoir un oreiller qui lui est apparue dans les mains, la sensation est assez évocatrice et quasiment impossible à confondre avec autre chose.
Buta sent comme une pointe de nostalgie lorsque la tentatrice vient jouer avec son chef. Comme si elle n'en était pas à son premier coup d'essai. Peu-être qu'elle avait déjà fait le coup en lui proposant de lui masser les épaules par exemple.

- Et je vous en suis... infiniment reconnaissant.

La chaleur commence à se faire de plus en plus forte et insistante sous les vêtements du patron qui doit ravaler sa salive pour parvenir à finir sa phrase. Entre ses yeux rivés en avant qui scrutent l'écran d'ordinateur qui laissent apparaître quelques détails comme un téton. Ou alors c'est lui qui veut se persuader que c'en est un. L'imagination peut être très fertile dans certaines situations.

Toujours est-il que son assistante ne l'aide pas à se calmer en venant poser ses délicats doigts sur les siens pour se saisir de son mouvoir afin de l'aider de manière plus évidente en essuyant d'abord la sueur sur son front.

Puis cette poitrine qui est souvent le sujet de discussion de ses collègues masculin s'écrase encore un peu plus contre lui vu leur position. Une employée aussi sérieuse et attentive qu'elle sait que ses collègues font des remarques graveleuses sur son physique dès qu'elle s'éloigne d'eux. En tout cas une bonne partie de celles-ci reviennent à l'esprit du patron qui est prit de bouffées de chaleur.

Avec les remarques viennent les images, tout naturellement. Surtout que l'un d'eux s'imaginait lui soulever sa jupe pour la prendre brutalement contre la photocopieuse. L'objet qui est à l'origine de cette chaude situation. Buta se met alors à penser - Ouais, c'est un classique le coup de la photocopieuse.

Un autre employé avait des fantasmes plus déviants car il imaginait l'assistante de leur chef à genoux au milieu de l'open space en train de subir un blowbang qui se terminerait en bukkake. L'image du visage de sa fidèle employée couvert d'une montagne de sperme fait alors dresser le chapiteau pour les deux hommes de manière significative quand la douce et chaude assistante vient glisser sa main sous la chemise du patron. - Oooooh putain, elle en veut celle-là !

Le mouvement n'a rien de très subtil quand l'homme tente d'attraper le dossier pour le placer entre eux deux et son érection. Ses mains tremblent d'excitation alors qu'il tente de lire les documents face à lui.

- Si nous en revenions au dossier de Mr Schakam ?

La friction de son gland sur le tissu dû au manque de place suite à cette érection soudaine le force à onduler des hanches sur son siège pour remettre son sexe à l'endroit sous son boxer sans le toucher directement ou sans que son assistante ne le remarque.

Comme pour chercher à parler directement avec son partenaire, Buta se met à crier dans son coin - On s'en fout du dossier. C'est pas ça qu'elle veut ! en sachant que personne ne l'entendra.

La respiration du patron devient alors lourde sous les assauts répétés de sa séduisante assistante et cela se ressent dans sa diction. Ses doigts ont également du mal à faire tenir en place les documents qu'il consulte.

- Les chiffres... sont bons. Que ce soit la quantité ou... le prix. Je pense qu'il ne reste plus... qu'à lui envoyer les contrats... pour boucler cette affaire au plus vite. Ou... cela fera un poids en moins... sur nos épaules.

La formulation semble si appropriée à la situation dans laquelle il se trouve ce moment.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 7 jeudi 22 décembre 2022, 08:24:54

Chaque seconde qui passe fait transpirer le bonhomme qui est piégé sur sa chaise à grosse goutte. Ce dernier sait exactement ce qu'il se passe dans son dos sans même avoir besoin de se retourner même si il demande bien ce qui peut pousser sa collaboratrice à agir de la sorte. Des pensées peu catholiques doivent probablement lui venir à l'esprit car son regard se tourne brièvement sur le côté quand la secrétaire s'amuse à laisser ressortir un de ses énorme sein d'un côté de son cou tout en jouant avec lui.

Sans parler de cette petite voix sensuelle qui vient lui embrasser pratiquement les tympans à chaque mot qu'elle prononce. Des mots sur lesquels il a de plus en plus de mal à se concentrer désormais.

Buta-kun de son côté reste concentré et commence à partager un peu plus les sensations du patron avec qui le lien se renforce un peu plus que lors de son premier rêve. Coincé dans son lit sans pouvoir agir, il ronge son frein alors qu'il crève d'envie de faire bondir le patron pour montrer à cette chaudasse ce qu'il a en tête.
Le fait d'être coincé dans un rêve peut attiser de nombreuses frustrations étant donné qu'il est incapable de vérifier son état physique dans ce genre de situation. Mais il y a fort à parier que lui aussi doit être au garde à vous sous son boxer.

C'est alors qu'un long soupire s'échappe de la bouche du patron bedonnant lorsque son assistante vient jouer avec le revers de sa main sur son gland devenu hypersensible. La zone si délicate de son sexe était déjà au supplice et le démangeait à force de frotter contre son caleçon depuis tout à l'heure.
Le membre jusque là coincé dans une position qui rendait le fait d'être assis quasiment insupportable commence à se rebeller pour venir menacer la braguette de ce pantalon en toile.

Chaque mouvement de cette main délicate et provocante n'arrange rien. Pour le plus grand plaisir de Buta qui se met à l'encourager comme une cheerleader : - Vas-y ! Fais-moi craquer tout ça ! Tu peux le faire !

- De nouvelles... choses... oui !

Toutes les forces qu'il utilisait jusque là pour se retenir lâchent en un instant quand il sent la douceur de cette tentation qui lui offerte sur un plateau contre sa joue. Au début il pense que son imagination lui joue un tour. Ses propres yeux lui prouvent le contraire en fixant cette petite pointe rose et durcit.

La situation s'emballe alors très rapidement. Cette main qui s'amuse à se frotter contre lui se fait repousser par la trique qui prend quasiment vie sous le pantalon de l'homme d'âge mûr. Le son de la braguette qui craque rompt le silence qui règne dans la pièce durant les secondes qui suivent.
- Putain ! La vache... lâche Buta-kun en voyant ce spectacle digne d'un hentai. Cette scène lui rappelle forcément celle de la boite de nuit.

Les pauvres dents de la braguette n'ont tout simplement aucune chance face à la puissance du membre qui les envoie voler en éclats pour tomber en partie sur le sol ou sur le ventre du bonhomme qui est aussi surpris que celui qui le "hante". Fièrement dressée, se présente alors une bite au gland gonflé et violacé qui profite enfin de sa liberté. Humide également à première vue et pas parce qu'il transpire comme son propriétaire.

Il faut plusieurs secondes au patron pour réaliser ce qu'il vient de se passer. Se sentir enfin à l'aise après avoir senti son corps comprimé tout ce temps l'a tellement soulagé qu'il était perdu dans sa petite bulle. Paniqué, il se saisit du dossier pour cacher comme il peut cette monstrueuse tour de chair en embarquant la main de son employée qui tenait toujours l'objet en papier.

- Seigneur ! Qu'est-ce que... J'ai tellement honte.

S'il se lève brusquement il pourrait blesser sa subordonnée. Que faire dans ce cas ? Lui demander de partir ? Pourtant c'est elle qui a provoqué toute cette situation. Dans quel but d'ailleurs ? Est-ce que les rumeurs sur ses penchants pervers seraient donc avérés ? Le voilà qui s'empêtre dans une situation complètement folle.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 8 mercredi 08 février 2023, 19:39:39

La panique du vieux bonhomme est tellement vive que même Buta-kun peut la ressentir avec une certaine intensité. Car il ne s'agit que de son second rêve de suite auprès de la même personne. Il faut donc qu'une émotion soit très intense pour qu'il puisse l'expérimenter de la sorte.

En plus de la gêne et de la panique qui le font littéralement bouillir sous ses vêtement, voilà que la secrétaire vient en rajouter une couche... voir même deux ou trois, en venant se positionner devant le pauvre personne qui est complètement perdu. Même les mots ont du mal à sortir de sa bouche pour former des phrases cohérentes.

- Je... Seigneur... Oui ! Non ! Argh...

Le supplice prend encore plus d'ampleur quand la bombasse s'amuse à venir jouer avec son pantalon tout en enchaînant clairement les gestes tendancieux qui ne cherchent aucunement à calmer ou réparer la situation.

Complètement possédé par son excitation soudaine, le regard du chef de bureau vient se fixer sur le gros cul bombé qui se met à remuer de gauche à droite. Ce cul ! Source de tant de débats au sein du bureau dont il peut parfois entendre les échanges depuis son poste quand la porte reste entrouverte. Des dizaines et des dizaines de fois il a entendu ses collaborateurs partager leurs fantasmes sur ce qu'ils feraient à cet énorme pétard si ils l'avaient pour eux ne serait-ce qu'une heure. Et là voilà désormais à se balancer devant lui de manière innocente.

- Hein ? Oui ? Ma quoi ?

La phrase de sa secrétaire le rappelle brièvement à la réalité alors que de la salive se met à dégouliner sur son menton car sa bouche était restée ouverte plusieurs secondes comme un animal en rut qu'on voit dans les dessins animés.

Et c'est la remarque suivante qui fait tilter Buta-kun qui se met à penser extrêmement fort : - Un peu qu'elle est grosse. C'était déjà le cas la dernière fois dans la boite de nuit. Toi t'es une sacrée salope refoulée qui doit regarder trop de pornos. Ouais...

- ... Tu les aimes bien grosses.

A la grande surprise de Buta et du vieux patron, les mots sont sortis tous seuls de la bouche de celui qui vit la scène complètement folle de ce rêve. Et c'est alors que l'impensable se produit.
Le chibre en érection tire tellement fort sur le boxer que l'on peut entendre un craquement. Normalement assez élastique pour soutenir une érection, le tissu ne parvient pas à supporter la torsion dont il est victime.
Un imposant gland humide se met alors à apparaître devant le visage de la belle secrétaire.

Au même instant, quelqu'un vient toquer à la porte.

- Excusez-moi ! Vous-êtes là ?

Une voix d'homme se fait entendre de l'autre côté de la porte. Et là, comme par réflexe, le patron vient poser sa tête sur le crâne de sa secrétaire pour la tirer vers lui en lui déformant la bouche avec son gros gland. Comme si cela allait faire disparaître le problème.
Surtout qu'avec une trique surdimensionnée comme celle qu'il arbore, cela ne risque pas d'arriver.

De son côté, quelqu'un semble bien profiter du spectacle : - Oooh, ouais ! Ca commence à devenir intéressant.

- Euh... Oui ! Un instant !

Son pantalon ne tient plus en place et il vient se loger sa bite dans la bouche de son employée qui ne cherchait qu'à l'aider. Il ne peut pas décemment laisser quelqu'un entrer et le surprendre dans cette position fâcheuse.
Sa main vient alors se saisir plus fermement de la chevelure de la superbe secrétaire alors qu'il se tourne pour retourner au niveau du bureau afin d'y reprendre place pendant qu'elle ira se glisser en-dessous.

- En-Entrez !

La seconde qui suit la porte s'ouvre et un homme pénètre dans le bureau avant de s'arrêter après seulement deux pas. Il lève alors légèrement son pied gauche.

- Hum ? J'ai marché dans quelque chose ?

Il devait forcément s'agir d'une des dents de la braguette qui a volé en éclat un peu plus tôt. Fort heureusement il ne cherche pas plus loin avant de reprendre en tournant la tête comme s'il cherchait quelque chose... ou quelqu'un.

- Votre secrétaire n'est pas là ? J'aurais pourtant juré l'avoir vu entrer il n'y a pas longtemps.
- Ah, si, mais elle est ressortie juste après. Pour... Oui, chercher à boire.


La situation est devenue encore plus folle qu'elle ne l'était déjà en l'espace de quelques secondes.
« Modifié: vendredi 12 mai 2023, 07:36:15 par Souta et Janus »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Fantasme ou réalité ? (PV |-| Koya)

Réponse 9 vendredi 12 mai 2023, 08:23:26

Ne pas la voir s'étouffer sur un membre aussi imposant arrive une nouvelle fois Buta à se demander si la femme qui fait ce rêve est aussi douée que dans son monde imaginaire. Parce que même une actrice de film porno chevronnée irait à reculons pour s'occuper d'un morceau de viande pareil.

Des deux personnes impliquées directement dans cette situation loufoques, c'est sans doute le patron dans lequel il se trouve actuellement, qui a le plus de mal à gérer la chose. Le pauvre bougre qui transpirait déjà à grosse goutte plus tôt se retrouve complètement à la merci de sa secrétaire et de son employé qui vient l'embêter au pire moment possible.

La température déjà bien élevée sous sa peau monte d'un cran supplémentaire quand il sent un courant d'air venir lui caresser la peau sensible de son entrejambe suite au retrait de force de son sous-vêtement. Accompagné d'un frisson que son interlocuteur a, fort heureusement, pas remarqué.
Sa gorge se contracte alors qu'il avale sa salive en rassemblant toutes ses forces pour ne pas baisser le regard afin de ne pas se trahir.

- Ça tombe bien qu’elle ne soit pas là, je voulais justement vous parler d’elle !
- V-Vraiment ? Il y a un souci ?


Les mains posées sur le bureau, il les serrent l'une dans l'autre pour tenter tant bien que mal de se contrôler alors qu'il sent la chaleur du souffle de sa secrétaire s'approcher de sa peau sensible. Puis c'est au tour de ses lèvres douces et délicates de se coller sur son gland pour venir l'emprisonner de nouveau sans qu'il ne la force cette fois.

Profitant tout autant du spectacle que des sensations offertes par la jeune femme aux formes divines, Buta y va de son petit commentaire : - J'avais raison, elle aime les grosses bites. Ou alors elle rêve de s'en prendre une un jour. Et ça lui fait pas peur. Elle s'est jetée sur la sienne sans réfléchir.

Aussi étrange que cela puisse paraître, l'employé est si absorbé dans son monologue et cassage de sucre sur le dos de sa collègue qu'il n'entend pas les sons produits par la salive de cette dernière qui s'acharne sur le membre dressé et gonflé au maximum de son patron qui sert les dents tout en savourant chaque caresse qui lui est généreusement offerte quelques centimètres plus bas.

- Il y a beaucoup de rumeurs sur votre secrétaire… Certains employés disent qu’elle va coucher à droite à gauche pour essayer de garder des clients, ou obtenir de meilleurs prix… Ce n’est pas la politique de la maison vous comprenez ! Un jour tout va se savoir et l’image de l’entreprise pourrait en prendre un coup… Et s’il n'y avait que ça… Une secrétaire de l’étage de la comptabilité l’aurait déjà vu faire des fellations à des hommes dans les toilettes…
- Je... Urgh... Vous savez que... Je n'aime pas accorder... de crédits à des rumeurs.

Une main sur ses grosses couilles pleines et l'autre sur sa queue pour lui bloquer tout mouvement tout en la maltraitant de manière humide font chavirer le pauvre patron qui commence à transpirer de plus en plus.
Sa main droite s'éloigne alors de la gauche pour chercher un mouchoir, sauf qu'il manque de faire tomber la lampe éteinte dans la manœuvre.

- Tout va bien, monsieur ?
- Ou-Oui, j'ai... juste... un peu chaud.
- Vous travaillez trop, tout le monde le dit.
- Tout le monde... travaille... dur ! Vous avez les... mains pleines ! Alors je veux juste vous... délestez un peu.


Les dernières paroles pleines de doubles sens font ricaner Buta dans son coin alors que le pauvre patron semble être au bord du supplice et de l'explosion. Ce qui n'a rien de surprenant quand on se fait pomper le dard par une bonasse pareille alors que bobonne ne vous offre plus aucune attention depuis des mois.

- Sans vouloir insister, je pense qu'il faut prendre des mesures pour l'image du cabinet.
- Je-Je vous comprends, mais... Je ne peux pas réprimander une employée sur de simples rumeurs. Surtout qu'elle a toujours été professionnelle et... Urgh ! irréprochable. Sans oublier son grand... savoir faire.


- Ouais, tu l'aimes son savoir faire, hein ? lâche Buta en rigolant comme il peut avec l'excitation qui le gagne au fil que les minutes passent grâce au partage des sensations.

Voyant l'état de fatigue de son patron, l'employé n'insiste pas plus que ça et fait reculer sa chaise de quelques centimètres avant de se relever en se tournant rapidement vers la porte. Un geste qui fait soupirer son chef de soulagement.

- Vous avez l'air fatigué, nous en reparlerons plus tard. Pardon du dérangement.
- Non, pas du...


L'homme n'a pas le temps de terminer sa phrase que son employé quitte le bureau en reniflant tout en tournant la tête de droite à gauche. Comme s'il avait décelé quelque chose. Puis il lève les des épaules comme si de rien n'était et quitte les lieux.

- Urrrrrgh !

De son côté, le soupir de soulagement du patron à failli provoquer un malencontreux accident. Faible de nature face à une bonne fellation, être privé de ce spectacle en se concentrant sur ses uniques sensations fut un agréable supplice.
Il profite de l'occasion pour plonger son regard dans celui de sa secrétaire en reculant son siège de quelques centimètres à son tour. Cela lui permet de faire sortir sa grosse trique imbibée de salive qui en dégouline du sommet jusqu'à la base. Le gardant bien au chaud, même éloigné de cette bouche avide et experte.

- Alors comme ça vous pompez vos collègues dans les toilettes ?

Le mot a été volontairement soufflé au patron par Buta car celui-ci n'aurait jamais osé l'utiliser de lui-même.

- On dirait qu'il avait raison. Alors si vous voulez que je vous pardonne, il va falloir me dire tout ce que vous avez fait. Dans les moindres dét-... Non, mieux encore. Montrez-moi directement.

Comme une invitation indirecte, le vieux bonhomme transpirant de la tête aux pieds se met à fixer les énormes obus de sa belle secrétaire en se demandant si elle allait également s'en servir. Parce que bon, si elle offre du bon temps à ses collègues ou clients, ils doivent être nombreux à en avoir profité.


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