Le destin est tout tracé, laisse toi guider - ft Holo [end]

Nous avions une belle journée devant nous, le soleil haut dans le ciel, ses rayons traversant les feuillages, le bruissement des ailes des petits moineaux, le sons claire et limpide du ruisseau coulant en travers de la forêt.
Comme à mon habitude, je venais chassez dans les lieux, parfois sous ma forme de loup, parfois avec un arc, sa dépend... J'aime bien l'un comme l'autre. Tout dépend de mon envie de liberté.

Aujourd'hui c'était couteau, arc, marchant sur le sentier pour m'y enfoncer plus profondément avant de choisir ma proie. Mon odorat bien développés, ma queue remuait lentement dans mon dos, regardant à droite, à gauche les merveilles de la nature.

Puis soudain, je vins me figer. Une odeur ! Une délicieuse odeur, mais pas celle d'un gibier, non ! D'une femelle, une louve ! Tout mon corps trembla et j'en sautillais, cette odeur... ce parfum était enivrant, je devais à tout pris retrouver la personne qui la portait !

Ni une, ni deux, oubliant ma proie, je pistais ce parfum délicat. Les oreilles dresser, j'étais aux aguets, marchant d'un bon pas, presque à courir. La source de cette odeur se rapprochait... Puis un cris, une sorte d'étranglement craintif. Tout mon corps se tends, surtout au son suivant, le grondement d'un ours !

J'aurais pu m'inquiéter un peu, mais je n'avais pas le temps, je cours en direction de l'action et découvre une louve fuyant un ours. Etait-elle entrée par erreur sur son territoire ? Celui-ci c'est-il éloigner du sien ? Je n'y réfléchis pas, la personne la plus importante là, n'est pas lui. Je pousse un hurlement puissant pour le stopper dans sa course, il se retourne alors que je bondis sur lui !

Plantant mes crocs dans sa gorge et le poignardant à plusieurs reprise, je me retrouve baloter et saute devant la louve. Grognant, la queue hériser, je fusil du regard l'animal qui saigne. Blesser, il hésite, je sors alors mon arc et reconnaissant l'arme, il se retourne et d'un pas presser s'enfuit.

- Ouf, tu l'as échapper belle.

Puis je me retourne vers toi.

- TU n'es pas blesser ?

Je n'aimais pas trop chasser ainsi, pour défendre un territoire quand ce n'était pas nécessaire. Mais l'odeur de cette louve... emplissait mon esprit. Plus encore qu'elle était nue, une sauvage ?! C'était très surprenant, qu'il y ai encore ce genre de "comportement social". Chacun sa vie après... juste que merde sa m'excite de te voir ainsi.

Et puis encore tes cris d'appels, de désespoir... enfantin, c'est déchirant. Pourtant, je n'hume aucune odeur d'autre hybride sur toi, ou au alentours. Perdue ? Abandonner ?
Je vais devoir être délicat pour apprendre le fin mot de l'histoire.

- Oui, je l'ai chasser, tu ne crains rien. Je souris tendrement après avoir essuyer le sang de l'ours en bouche.

Sa peau était trop épaisse pour que je le blesse vraiment, mais sa aurait pu être dangereux pour l'un, comme pour l'autre.
Te fixant, je suis ton regard sur ta cheville et m'approche, l'effleurant délicatement pour voir à quel point tu es "blesser". Et visiblement c'est une belle entorse. Je sors alors de mon sac des bandages, une petite trousse de secours et m'occupe de ta jambe, m'en mordillant la lèvre à toucher ta délicate peau tiède et si douce... J'ai envie de te caresser, te toucher, déposer mes lèvres sur ton corps, ma langue léchant ta peau... Argh, faut que je me calme !

Néanmoins, mes phéromones se dégagent de moi pendant que je me charge de ta cheville.

- Je me nomme Ain et toi ? Tu es seule ? Je peux te ramener chez toi.

Peu après, le pied bander, je t'invite sur mon dos pour pouvoir te porter correctement, mes affaires ranger par-devant pour ne pas te gêner et me queue se balançant doucement sous toi. Je sens ton corps contre le mien, ta chaleur se diffusant dans mon dos. C'est agréable !
Te portant, je me laisse diriger vers ton chez toi... Mais en arrivant devant un arbre, auquel tu m'indiques, je le fixe incongru.

- ... Tu dors pas là ? ... Si ? Si tu n'étais pas dans mon dos, je t'aurais regardé avec de gros yeux. Tu devais avoir froid malgré ta chaude queue et manquer cruellement de confort, sécurité. Bon, pas possible que je te laisse là ! On va chez moi ! Je gromelle mécontent et fait marche arrière, bien décider à te garder avec moi, utilisant cette excuse.

- Tu es toute seule, sa te dirais pas de vivre avec moi ? Lançais tout juste innocent en voyant ton train de vie.

Ce petit cri... si mignon et me rendant triste à ta blessure. Pendant que je m'occupe de ta cheville, j'ai du mal à ne pas loucher sur ton entrejambe que tu m'expose "involontairement" ? Bon sang que j'ai envie de venir lécher ton minou et de me branler. J'en déglutis et reste fixe sur ta cheville.
Tes jolies courbes me donne envie de te toucher, mais non... ton côté sauvage te rend innocente, mignonne et te fait paraître plus jeune que tu ne l'es. Sans compter que tu sens un peu fort, pas mauvais car tu dois te laver, mais sans shampoing, sa pique un peu le nez.

- Enchanté Holo !

Tu attends ta famille ? ... on t'aurait abandonnée ? Je ne sais pas trop... c'est confus alors je demande à te ramener et te porte. Malgré tout ton parfum m’enivre et j'adore la sensation de ta poitrine, de tes jambes m'agrippant comme pour ne pas me laisser partir. Ton souffle dans mon cou me donne des frissons et je "ronronne" par moment.
Toutefois, tes frottements m'excite et si j'avais été nue, tu m'aurais vue bander. Là, mon pantalon est tendue sous la pression de mon désir pour ton corps...

Sauf que... une fois arrivée, c'est la douche froide. Un arbre ! Tu as été abandonné, mon désir retombe presque aussitôt, souffler par la tristesse de ta situation. Mais tu veux attendre tes parents... Tu n'as pas compris ? Depuis combien de temps es-tu là ? Des années pour être aussi innocente ?

J'insiste alors pour te faire venir chez moi. Tu es inquiète "d'abandonner" tes parents, alors qu'eux l'ont surement fait... Je me retiens de les critiquer devant toi. Sauf que la suite me glace le sang... une agression. Ma queue déjà bien basse, se fige et mes oreilles retombe sur mon crâne.

"Des chasseurs" si en plus tu vivais en forêt on pourrai venir te kidnapper ! Cela ne me plait pas du tout !
Je reste silencieux, quelques peu figé et frémissant un peu à ton souffle, si calme malgré ton passer traumatisant. Tu dois tout nier en bloque...
Quatre mois, me semble à la fois court et long, vous deviez être une famille assez éloigner pour avoir été agresser ainsi. Tu finis par accepter, ce qui me redonne un peu confiance.

- Oui, bien sur. Tiens toi à moi.

Je te fais descendre de mon dos et t'aide à avancer sur ta jambe non blesser, posant une cape chaude sur tes épaules, avant d'embrasser avec tendresse ton front et t'étreindre.

- Maintenant tu peux compter sur moi, je te protégerais et on va retrouver ta famille.

On récupère ton doudou que je mets dans le sac et te reprends sur mon dos, le coeur apaisé et triste, mais plus calme et moins ardent. Comme le soleil continue de descendre, que tu dois commencer à avoir froid, faim et qu'une bonne douche serait bien, j'accélère le pas, démontrant ma robustesse et mon endurance.
Après une bonne demie-heure, on arrive chez moi. Une cabane un peu en retrait de la ville hybride comme bien d'autre dans le secteur. Elle est basique, mais solide et bien isolé.

- Bienvenue chez moi Holo !

J'ouvre la porte et tu peux découvrir un environnement cosy, chaleureux avec de bonne odeur. Il y a des bougies parfumante, un cabanon pour stocker certains produit. Une unique chambre, un salon cuisine et une salle de bain, avec une porte pour les toilettes sèches. Je te pose délicatement sur le lit et retire mon sac, comme même fatigué.

- Tu peux allez prendre un bain si tu veux.

Ton jolie sourire à ma cape et mon odeur t'enveloppant. Un remerciement avec un câlin... Si innocente et sexy, c'est un combo ravageur, mais pas désirable. Ton jappement me fait ronronner durant cette étreinte tendre et douce. Puis je te laisse prendre tes "affaires" qui se résume à un "doudou". Te donnant encore plus l'air enfantine... Mal nourrie, tu semble encore plus jeune et je crains d'apprendre que tu sois une vraie gamine... Je passerais pour quoi ? ton père ? ...

Apprenant un peu plus ta situation, je propose de retrouver les traces de ta famille, tu en es si heureuse, que tu pourrais m'étouffer si tu avais plus de force. J'en rigole.

- Si je survie à ton câlin. Plaisantais-je amuser.

Ta proximité me garde chaud... et ton innocence me souffle le froid. On discute et j'apprends ton mode de vie des plus sauvage ! Je ne pensais pas qu'il restait encore de telle famille éloigner du monde. Pour peu tu n'aurais même pas su parler ! Mais plutôt jappez et grogner ! On l'a échapper belle.

- Tu as beaucoup à apprendre de cette vie alors. Me fis-je comme réflexion.

T'acheter des vêtements sera important et... dérangeant. J'en soupire discrètement et nous ne tardons pas à arriver chez moi. Ton ébahissement est si mignon... si enfantin... Arf. Pourquoi me suis-je éprise d'une enfant ?! Instinct de craktan ! Jurais-je dans ma tête.

- Sa me fait plaisir qu'elle te plait. Je rigole te trouvant mignonne à tout ça. Non, avec d'autre congénère dont c'est le travail. J'ai donné un coup de patte et couper le bois.

Un lit moelleux, douillet, ton regard virevolte mais ne voulant pas tout salir, je te propose aussitôt un bain. Ce à quoi tu réponds avec envie et question, auquel je m'empresse de te stopper.
On va ainsi dans la salle de bain et tu découvre ma baignoire en bois et recouvert d'une couche protectrice, froide et marron claire, uni cachant même que la baignoire est en bois. La pierre est trop lourde et trop chère à tailler.

Ta petite truffe semble s'intéresser aux onguents et produit. Que tu ne connais évidemment pas... va falloir que je t'instruise. Ta position à mes genoux...  j'en déglutis et mes oreilles se rabaisse, tandis que ma queue tendus cherche à rester "calme" dans mon dos.

- Oui oui Holo. Ne pouvant m'empêcher, je viens gratouiller tes oreilles.

Mauvaise idée car tu apprécie et colle ta tête à ma cuisse, pour en réclamer encore, mais... proche de mon entrejambe qui gonfle à cette proximité. Littéralement, tu as le museau à deux centimètres de la bosse grandissante ! J'inspire profondément et te repousse délicatement.

- Je vais te montrer comment faire. Regarde, tu tourne le robinet ici.

Je m'éloigne et lui présente une robinetterie magique, tirant l'eau et la chauffant à température rapidement. L'eau se met à couler et je t'invite à la toucher pour me dire si elle est bonne, je te montre comment varier la température et prépare le bain.

- Ensuite, il faut nettoyer ton corps. On va utiliser du savon.

Je prend un gant, un savon que je frotte dessus.

- Avec ce gant, tu frotte ton corps avec, sauf le visage ! Sa fait mal aux yeux. Tu verras, sa sens bon et sa aide à faire partir les tâches de terre, de verdure et autre sur toi. Tu seras toute belle. J'ai un grand sourire tendre vers toi.

J'ai l'impression d'éduquer une enfant... Mais sa reste sympa. Je rajoute un pot et sors avec deux doigts un liquide ambré que j'étale au creux de ma main.

- Sa s'appel du shampoing, on en met dans les cheveux pour les rendres brillant et doux. Pour le pellage on aura autre chose après. On en met une "noisette" c'est juste pour dire une petite quantité tenant au creux de la paume. Tu l'étale délicatement sur les cheveux et frotte en cercle. Sans gant cette fois-ci. Des questions ?

Je préfère ne pas trop rester longtemps avec toi, ainsi nue, sinon j'aurais du mal à penser autre chose que mes désirs "malsain" envers une gamine. Mais je te regarde déjà avec tendresse et amour, je ne peu pas franchement lutter contre mon instinct qui me dicte ma compagne. C'est rageant...

Tu écoute attentivement, et je me disais que je devrais t'aider pour ton premier bain, mais... te voir nue et l'idée de te toucher m'excite un peu trop. Ton physique de jeune femme exulte mon esprit, là ou ton esprit de louveteau me donne plus envie de te cajoler et te papouiller.

Je te laisse faire et sors de la salle de bain. Encore excité de ton visage si proche de mon érection, je sors me soulager et me mettre de l'eau froide au visage avant de revenir dans la maison. Je t'entends "jouer" j'imagine, le bruit de l'eau claquant et bien que je commence à émettre des doutes sur la situation. Je veux te laisser profiter et attendre que tu ai besoin de moi.

Ce qui arrive après quelques minutes, me laissant préparer de quoi réparer les dégâts. L'odeur du savon étant plus fort que d'habitude, l'idée de la mousse m'est rapidement parvenue et lorsque j'entre...

- Ouah...

Je patauge sur un fin lit d'eau, mécontent, je fronce les sourcils, nue, embarrasser et avec de la mousse sur ton corps, ainsi que des gants aux oreilles ! J'éclate de rire. Tu es à croquer.

- Oui en effet, tu as besoin d'aide. Evite de bouger, tu vas continuer à mettre de l'eau partout sinon.

Je retire chaussure et ramène un seau avec une serpillère, commençant à nettoyer le sol, avant que l'eau ne s'infiltre partout.

- J'aurais dû mieux t'expliquer les choses. Pour un bain, on vérifie la température et ensuite on se met dans la baignoire, comme ça on suit la hauteur de l'eau avec notre corps dedans, allant au maximum jusqu'aux épaules. Ainsi, même si tu veux jouer avec les mousses, elle ne déborde pas. T'expliquais-je sans te regardé, épongeant tes bêtises.

Sauf que... eau plus mousse, égale glissade ! Zioup, je tombe sur mes fesses, manquant de peu de bousculer le seau. "aouch" je ne me fais pas bien mal, mais trempe mon pantalon et mon haut.

- Zut... moi aussi. Je rigole et retire alors les deux vêtements mouillés, les posant en hauteur sur le séchoir.

Ce qui ne me laisse plus... Rien. Les sous-vêtements coûte chère et sont plutôt fragiles à cette époque. Ou alors ce sont de grosse culotte pas très sexy et utiliser pour les enfants, ou pour se protéger des environnements froids. Bien que embarrasser, je reste calme et termine d'éponger le sol. Mon sexe est retombé depuis ma petite sortie dehors.

Enfin, je termine le sol, il lui faudra un peu de temps pour être sec, mais sinon... peut pas faire plus. Je jette l'eau mousseuse dans les toilettes sèches et me rapproche de toi.

- Quand il y a trop d'eau, il y a une évacuation, un petit trou...

En étant aussi proche de toi et m'agenouillant pour passer le bras sous l'eau, je me retrouve à vue de nez proche de ton bassin, avec une vue sur tes lèvres intimes... qui me donne envie de les lécher, j'en déglutis et commence à bander, mais reste "pro" passant ma main dans l'eau et tire un bouchon.

- Lentement assis toi, pour voir lorsque l'eau sera à bonne hauteur.

Je te zieute un peu et me retiens de me toucher, à genou, tu ne dois pas avoir une vue sur mon sexe qui palpite sans jamais s'ériger vraiment, me contenant. Je louche un peu sur ta poitrine quand je remets enfin le bouchon. Et me retrouve proche de ton visage, regardant alors tes belles lèvres qui ne demande qu'a être embrasser...

- Je vais te laver du coup, tu arriveras mieux à retenir pour la prochaine fois.

Je retire tes gants des oreilles, souriant amuser et mouille avec précautions ta chevelure et tes oreilles, sans y laisser de l'eau s'y infiltrer, je sais à quel point c'est dérangeant !
Te faisant t'allonger, ta tête sur un rebord, avec une sorte de coussin, pour la nuque (tel les coiffeurs du futur). Je ressors de l'eau ta chevelure, un peu terne comparé à ce qu'elle pourrait être.

- Tout les shampoings peuvent être étaler sans crainte sur le corps, sauf le visage ! Sa fait mal aux yeux. Te prévins-je à nouveau, insistant bien dessus. Juste que certains shampoing sont mieux pour certaines partie du corps. Celui-ci.

Je te montre lequel. J'approche mon visage du tien, tandis que tu as le regard fixer sur le flacon te faisant regardé ailleurs, j'en profite pour humer ton parfum.

- Pour tes cheveux.

Et hop, un bisou à ta joue. Avant de passer aussitôt à autre chose, une noisette de shampoing dans la paume, je glisse mes mains dans ta chevelure et commence ce massage crânien et du cuir chevelu, avec délicatesse.
J'apprécie autant te le faire, que créer ce petit moment doux, plutôt "inquiet" de la suite, plus... stimulante.