Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Danse sous les feuilles (PV Yolanda)

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Bando

Humain(e)

Danse sous les feuilles (PV Yolanda)

lundi 15 août 2022, 18:59:26

Encore un autre de ces après-midi perdus, à laisser mes pensées osciller entre nostalgie et envie d’aventures qui ne viennent jamais.
C’est parfois étonnant la vie. Il y a des jours avec, des jours sans… Je réussi à me fourrer des situations impossibles lorsque j’ai envie de rien, mais je meurs aussi d’ennui les jours où je voudrais tout. Mon incommensurable curiosité comme mes extravagantes envies d’ailleurs ont cela qu’elles me laissent bien trop souvent sujet à l’ennui. C’est sans doute pour ça que je suis devenu auteur me direz-vous. Et ce ne serait pas tout à fait faux.

Aujourd’hui est un jour sans, un jour où, faute d’aventures, je n’ai que trop de temps à accorder à mes rêveries. Bon, j’ai l’air de me plaindre mais, c’est tout de même grâce à celles-ci que je vis. Plutôt confortablement, même.

À moitié allongé, avachi à l’ombre tout contre un arbre dans l’immense parc de la ville, je crayonne. J’écris, je rature, je chiffonne, je jette puis dessine… J’observe les gens qui passent, un peu à l’abri, à quelques mètres des sentiers tracés. Je me demande quelle vie vivent-ils, ce que chacun pourrait avoir d’intéressant à me raconter, à m’apprendre. Mais les gens sont ennuyants aujourd’hui. A priori. Je soupire, encore une fois, hésitant entre abandonner pour lire un livre et faire une sieste, là où personne ne viendra me déranger, pas même mon éditeur.
C’est mercredi et, forcément, les enfants sont de sortie. De tous âges, ils se baladent, courent, jouent et crient, profitent de leur éphémère insouciance en s’amusant de tout, mais surtout d’un rien. Mais, quand bien même leur innocence est plaisante à voir, il va sans dire que le bruit qu’ils font n’est pas de ceux qui m’aideront à piquer un somme. Pffff…

Ne sachant que faire, ni qui aller voir, ne serait-ce que pour passer un peu le temps agréablement, je reste légèrement passif et dans mes pensées. Je me redresse tout contre l’arbre, assis, mais tout en prenant garde à ne pas abîmer ma chemise blanche qui sort tout droit de la machine, puis je m’allume une clope, l’air rêveur encore une fois.
Ouais, il me faudra un endroit plus tranquille.

Ramassant mes affaires sans me presser, je décide de m’enfoncer un peu plus entre les arbres, dans les parties les plus boisées et difficilement accessibles du parc, celles qui bordent un petit ruisseau dont le bruit, lui, est agréable.

Mes affaires reposées contre un nouvel arbre, je me réinstalle comme il faut en trempant mes pieds dans l’eau. Entre tous ces buissons, je suis au moins persuadé que personne ne viendra troubler ma quiétude… Bien sûr, d’ici, je ne risquais apparemment pas de rencontrer qui que ce soit d’intéressant, dont les frasques pourraient en faire une muse potentielle…

Les pieds dans l’eau rafraîchissante du petit cours d’eau, je me laisse de nouveau aller, me laissant tomber vers l’arrière, la clope au bec. Un livre posé sur le torse, je regarde le ciel, espérant au moins trouver de l’intérêt dans la forme des nuages, comme un enfant.
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Bando

Humain(e)

Re : Danse sous les feuilles (PV Yolanda)

Réponse 1 lundi 15 août 2022, 20:25:05

Après de longues minutes, j’avais fini par m’apaiser. Tant et si bien, en fait, que le sommeil finit plus ou moins par me gagner. Somnolant dans mon coin, la cigarette encore brûlante et allumée tombant au coin de mes lèvres, je devais être sur le point de rejoindre les bras de Morphée, au moins pour quelques minutes, quand…

« Santo Cielo……… Vous m’avez fait peur ! »

Surpris, et réveillé, du coup, je me redressais d’un bond en faisant tomber l’insipide bouquin qui trônait sur mon torse. Peur ? Et moi alors ?
Il me fallut une petite seconde pour émerger et raccorder les wagons entre eux. De nouveau assis, m’appuyant un peu sur mes bras, tendus vers l’arrière, mes yeux virevoltaient brièvement pour se poser sur celle que mon sommeil avait très étonnamment surprise.
Me frottant un instant les yeux, il ne me fallut pas plus longtemps pour distinguer la jeune femme qui se tenait là, juste à côté de moi, et dont l’opulent buste ne cessait de gigoter à chacun de ses mouvements.

Me redressant davantage afin de m’asseoir plus droit et, surtout, pour pouvoir la voir sans être frappé par les intenses rayons de soleil qui filtraient entre les feuilles, voilà que je pouvais enfin mettre un visage sur cette petite voix à l’accent fort prononcé. Une jolie brune, très agréable à regarder, un visage aux traits fins et délicats… Au moins, elle n’avait pas l’air méchante et détestable. Je ne sais pas… ce n’est pas comme si j’étais réellement doué pour lire dans les gens, toutefois, beaucoup de gentillesse semblait émaner d’elle. Quoi, je n’en savais encore rien… mais, elle avait un quelque chose, outre son goût apparent pour les beaux vêtements, de ceux qui la mettent en valeur et qui dénotent un véritable sens de la mode et de l’apparat.
Ne sachant vraiment que lui répondre dans la mesure où je l’avais effrayée en dormant, je commençais par un léger sourire quelque peu amusé.

« Hum… pardon. »

Détournant mon regard pour le porter vers le petit cours d’eau, je rallumais ma cigarette, le sourire toujours aux lèvres.

« C’est un coin isolé, je n’pensais pas vous surprendre. »

Étendant grand mes jambes, que je trempais toujours un peu dans l’eau, je me détendais au possible, tirant de longues bouffées, sans insister en jetant davantage de regards à cette fabuleuse créature.

« Vous cherchiez le calme, aussi ? »
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Bando

Humain(e)

Re : Danse sous les feuilles (PV Yolanda)

Réponse 2 dimanche 11 décembre 2022, 19:05:31

« Oh, vous n’me dérangez pas du tout. »

Aussitôt m’avait-elle réveillé que la charmante professeure semblait sur le point de s’en aller, tout comme elle était venue, telle une apparition soudaine.
Mais… bon, si la solitude avait du bon, il me fallait bien avouer qu’avoir un peu de compagnie aussi. Puis, quand bien même je ne me permettais pas non plus de la dévisager, il fallait toutefois le dire, elle était un régal pour les yeux.

Sa voix, ce petit accent venu de je ne sais où, ses manières et son petit rire d’apparence aimable et innocent… Aussi bien s’excusait-elle, aussi bien je ne pouvais lui tenir rigueur de rien. C’était un fait, elle n’était pas de mauvaise compagnie. Je ne voyais pas d’objection à ce qu’elle reste un peu, histoire de discuter cinq minutes, au moins.

Un petit sourire amusé se dessinant sur mes lèvres, je tirais une nouvelle bouffée et ne manquait pas de rire à mon tour des remarques qu’elle avait pu faire.

« Vous pouvez rester un peu si vous voulez, ils peuvent bien attendre encore un peu leur maîtresse, j’imagine. »

Oui, allez savoir pourquoi, à voir ce rayonnant bout de femme, je n’avais pu l’imaginer autrement qu’auprès de jeunes enfants. Un joli soleil pour leurs vies, délicate et aimante et… faisant sans doute tourner la tête de tous les jeunes papas célibataires…
Mon imagination ne put toutefois faire plus de chemin tant je constatais avec une légère déception comme notre belle maîtresse des écoles était prête à partir.

Le temps d’un petit geste de la main pour la saluer amicalement et… elle me tombait dessus, tête (ou presque) la première. J’eus à peine le temps de lever les bras, prêt à la retenir, qu’elle chavirait pour m’écraser de tout son poids. Retenu fermement sur un bras, j’avais réussi l’exploit de ne pas m’écrouler non plus, mais m’en trouvais vite écrasé, le nez niché tout contre son décolleté.

« Hmmmpf ! »

Se confondant en excuses, la jeune femme s’agitait inlassablement, sans me laisser une seconde pour bouger. Gigotant d’un côté, puis de l’autre, je pus la sentir remuer, passer entre mes jambes tandis qu’elle tentait de prendre appui sur l’une d’elles.
Le visage blotti entre ses seins, je n’osais même plus faire le moindre mouvement, de peur de la gêner davantage. Le contact d’un peu de sa peau, comme celui de ces petites billes roses contre mes lèvres me firent comprendre aisément qu’elle ne portait absolument rien sous cet énorme bustier. Gigantesques et… si lourds, si doux et chauds, ses seins étaient… -devaient être- incroyablement beaux. Un bonnet F ? Au moins. Peut-être plus ?

M’arquant vers l’arrière pour me dégager de son buste, aussi confortable soit-il, je reprenais mon souffle, rouge et confus que j’étais.
Sa main vint se poser sur mon autre cuisse et, rapidement encore, j’en vins à rougir davantage, levant les yeux pour tenter d’accéder aux siens, au-delà de ce dantesque décolleté.
Je sentis comme sa main se baladait, d’avant en arrière, tout contre l’énorme hampe qu’elle avait pu trouver reposant contre ma cuisse et, la sentant faire ainsi, je ne pus me résoudre à croire qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de faire. Sa main montait, descendait et malaxait comme s’il s’agissait là de préliminaires cachés… Il était impossible qu’elle ne sache pas qu’elle tenait ma bite entre ses doigts.

Sa robe ayant légèrement remonté dans sa chute, je pus entrevoir ses cuisses, le début de contour de l’une de ses fesses, qui ondulait contre ma jambe alors qu’elle se tortillait… la ficelle d’un dessous très, très léger, marquant sa hanche découverte.

« Hum… At-attendez. Pas là… »

Ma main libre se posant sur la sienne, je l’attrapais et la déplaçais jusqu’au sol, entre les brins d’herbe.
Si je pouvais comprendre qu’elle soit laissée aller, sans doute surprise, je préférais éviter tout malentendu qui soit, mais restais prêt à lui venir en aide.

Me reculant assez pour enfin pouvoir la voir, je la regardais de longues secondes, le souffle déjà court.

« Ça va ? »

Me penchant d’un côté pour voir cette fameuse cheville endolorie, près de sa cuisse nue, j’observais ce pied qu’elle laissait reposer contre ma jambe, tentant de faire au mieux pour ne pas regarder comme d’ici, son string dessinait le galbe d’un fessier énorme et sacrément rebondi. 

« Vous voulez que je regarde ? »
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