Se payer la reine... Aux frais de la princesse (PV Hazel Tikanova)

Parler la bouche pleine, c'est mal! Aussi, Hazel ne répondit pas, engloutissant le chibre comme un bonbon de taille économique. La jolie blonde avant glissé à quatre pattes et se tenait entre les cuisses de Bando comme une bonne petite chienne obéissante. Les doigts de l'homme, ancrés dans ses cheveux, ne laissait aucun doute sur qui prenait le lead à ce moment. Les rôles avaient changé et maintenant, elle suivait le rythme qu'on lui imposait. Ce n'était ni violent, ni sale, mais suffisant pour qu'elle s'applique et s'enivre encore plus pour cette queue de première catégorie. Sa langue s'enroulait autour du membre à chaque va et vient et elle ne s'économisait ni en succions ni en profondeur. Quand elle en voulut plus, elle secoua la tête en descendant loin sur le vit et donna de petits à coups précis pour qu'il franchisse le goulet de sa gorge. Elle toussa, par pure convenance et bava d'un sourire indécent alors qu'elle essayait de le mater. Le monstre dans sa gorge dilatait son cou et prenait toute la place. A l'envers, Bando pourrait se voir ramoner à l'intérieur même sans que les plafonniers soient allumés.  A cet instant, elle ne l'avait avalé que de moitié, ce qui était déjà un exploit remarquable.

Quand elle eut besoin d'air, elle le recracha bruyamment, un tombereau de salive suivant de près l'extraction du sexe qui paraissait prêt à exploser.

"Mince ... c'est un sacré morceau à avaler!"

Elle s'essuya la bouche du dos de la main, beaucoup moins comtesse dans ce contexte. Elle reprit son souple mais restait active. Elle le branlait des deux mains, s'attardant sur les zones qu'elle sentait sensibles sous ses doigts, particulièrement à la base du gland où elle imprima de rapides rotations comme si elle cherchait à l'arracher.

Sa fellation reprit, moins profonde mais plus offensive. Elle suçait fort, dur, sans complaisance et quand elle ne le faisait pas, c'était pour claquer la queue contre ses joues dans un geste obscène. Elle cracha le long du membre, le masturba à nouveau, lui fit subir un sort par strangulation et reprit encore et encore le rythme effréné de sa fellation. Jusqu'au bout! Elle ne s'arrêta qu'un bref instant pour lui répondre.

"Il s'agit de ma suite préférée. Il y a tellement d'objets dédiés au plaisir que je ne pourrais pas en faire l'inventaire."

Elle parlait par là d'innombrables sex toys mais aussi de machines plus explicites comme un pilori ou un cheval à anneau. Le must pour les adeptes de bondage voire plus.

Ensuite, obéissante, elle se coucha sur le dos, sur la banquette et rejeta la tête bien en arrière et ouvrit grand la bouche en tirant la langue, comme chez le docteur.

"AAAAAAAAAAAAHHHHH! C'est assez grand ouvert comme ça?"

« Oooh... mmmh. Oh oui... juste comme ça Hazel. Juste là. Comme ça. MOoooOOOh... oh oui ! Oh putain... oooh... hmm c’est bon. »

Sans se faire prier, ma jolie compagne s’était empressée de glisser entre mes cuisses pour continuer son joli petit manège, qui finissait bien par me rendre fou. À quatre pattes entre mes jambes, la petite blonde m’offrait un spectacle et des sensations à s’en damner. Cette merveilleuse vue qu’elle m’offrait sur son joli petit cul si bombé, qui se balançait furieusement de droite à gauche aurait suffi à me maintenir en forme pendant des lustres encore, mais cette manière qu’elle avait de me pomper, elle, indécente et bruyante, ne faisait que m’achever plus encore. Une main cramponnée dans ses jolies petites mèches, l’autre grattant avec force contre le cuir du canapé, je me laissais fondre en de grands et lents soupirs, tandis que mon souffle se faisait de plus en plus court... observant ses jolies fesses avec attention, je redescendais bien vite regarder son doux visage déformé par la place que prenait mon gland, aspiré entre ses petites joues.

« Haaan... »

À grands bruits, ma queue ressortait d’un coup de sa bouche et j’en revenais à me délecter de la voir s’en servir pour se donner quelques petites gifles indécentes. Me mordant les lèvres avec force en un sourire déformé par le plaisir, je me voyais bander comme un âne à la voir cracher sur mon sexe avant de l’astiquer à nouveau de ses mains douces mais brûlantes. Sa langue retournait aussitôt valser sur mon gland, me tirant de nouveau frissons alors que je la sentais parcourir mon urètre palpitant.

« Mmmh... je vois qu’on est vraiment de très... très bons amis, tous les deux. »

À la voir manier ainsi mon engin, j’avais en effet du mal à croire qu’il s’agissait là d’une parfaite inconnue, qui n’avait attendu qu’une petite demi heure avant de faire sauter ma braguette. Emporté par l’alcool et le désir, je me laissais toutefois aller sans honte, même assez fier à l’idée que l’aspect démesuré de mon sexe lui plaisait bien plus qu’il ne l’effrayait. Cette nuit et cette compagnie était là l’occasion de s’éclater et de se laisser aller, là où certaines de mes « relations » ne le permettaient pas tant. Alors que le plaisir montait en moi, l’envie me tenaillait le ventre... je crevais à l’idée d’attraper ce cul sur lequel je phasais de longues secondes durant, m’imaginant déjà labourer la belle Hazel sans ménagement aucun, si toutefois sa gourmandise me le permettait...

Secouant vivement la tête après un énième mais vif soupir, je replongeais mes yeux dans les siens tandis qu’elle arrêtait de me branler pour venir me goûter à nouveau. Sa bouche était brûlante, grande ouverte et sa petite langue insistait sur tous ces points qu’elle devinait sensibles et qui me rendaient fou...

« Haan... oh... Ooh... oh. Ok. Et, est-ce qu’il y a quelques petites choses qui te font envie ? Si... oh putain ! OH OUI ! LÀ, LÀ ! HAAaaaAAAn... han oui... ouh... ouuuuuh... oh, lèche moi bien. Juste là. »

Interrompu dans mon élan par sa merveilleuse fellation, je profitais du répit qu’elle me donnait en se plaçant sur la banquette, à moitié nue, pour reprendre un peu mon souffle. Me levant, essoufflé, je finissais de retirer mon pantalon, ma chemise et tout le reste pour me retrouver complètement à poil et venait reposer un genou sur la banquette de cuir.

Me courbant en avant, je glissais ma tête près de la sienne, pour murmurer à son oreille, tandis qu’un grand sourire se dessinait sur mon visage, amusé du fait de la voir ouvrir si grand, se forçant du mieux qu’elle le pouvait.

« Et... il y aurait de quoi nous filer un petit coup de pouce là-bas pour... enfin... si jamais... ha... ha... si jamais, j’avais dans l’idée de mettre ce morceau tout entier... hum... par derrière ? Enfin. Si tu veux essayer. »

À ces mots, je me redressais, attrapant mon gland du bout de mes doigts pour le guider vers la bouche grande ouverte de la petite blonde allongée devant moi. Tapotant quelques instants mon énorme pointe au bout de sa petite langue, par jeu, j’essayais alors doucement de m’introduire en elle, m’amusant à cogner très lentement tout contre l’intérieur de ses joues. Elle avait fini par rendre mon gland si sensible qu’il m’était dès lors très difficile de me contenir, tandis que chaque petit coup contre sa langue me rapprochait du paroxysme de ce moment.

Glissant quelques de mes doigts sous son menton, posant mon pouce sur sa lèvre inférieure, je la poussais à ouvrir un peu plus grand la bouche. Fléchissant très lentement mon genou, je coulissais l’énorme serpent qui pendait entre mes jambes pour l’enfiler dans sa gorge.

« Oooh... un peu plus grand. Oui. Comme ça. Voilà... oh. Parfait. »

Doucement donc, j’entamais quelques va-et-vient dans sa bouche, accélérant progressivement en prenant bien soin de ne pas aller ni trop vite, ni trop loin. J’ondulais légèrement du bassin et me pliais, de sorte à poser mes couilles si pleines sur son front. Je me tordais, m’enfonçais au possible, guidé d’une main ferme empoignant ce que je pouvais de ma queue, tandis que l’autre lâchait enfin le canapé pour aller triturer la pointe de l’un de ses deux gros seins. Mes deux mains malaxaient alors... l’une cet énorme globe de chair, tandis que l’autre opérait quelques mouvements circulaires et indécents autour de l’épaisse base de ma queue, que je branlais de plus en plus frénétiquement, en sentant l’extase approcher.

M’extirpant de sa bouche en grand « plop », je me tenais au-dessus d’elle, sur le point de défaillir. Je continuais de me branler alors que mes soupirs se faisaient plus lourds et plus forts...

Vite, je tendais mon gland à quelques centimètres à peine de sa bouche, tandis que ma main ferme venait presser mon gland rageusement.

« Oouuh... ouuuuuuuh... t-tu... tu en veux ? »

Comprenez par là « Est-ce que tu as soif ? ». De premiers spasmes me gagnaient et, je le savais, il ne m’en faudrait pas beaucoup plus pour me répandre en quelques nombreux jets très épais de ma semence... dans un ras-de-marée qui pourrait bien la surprendre.

Cette position, c'était le gros fantasme de la plupart des hommes qu'elle rencontrait, l'image précise de l'actrice pornographique qui s'apprêtait à se faire prendre la gorge comme jamais et qui en redemanderait. Hazel savait assez bien l'effet qu'elle produisait sur ses partenaires et en jouait en riant. Serrant sa poitrine entre ses bras, elle alla chercher d'un doigt curieux sa propre intimité pour elle aussi profiter un peu de ce qui allait arriver. Elle se dandinait sur la banquette, montrant son impatience, et les yeux rivés sur sa proie, elle la titilla de sa langue avant de l'attirer entre ses lèvres pour l'y emprisonner. Après avoir exploré les limites proches de ses joues, Bando prit les choses en main et très vite, alla droit au but. La bouche pleine, Hazel releva qu'il y allait doucement, cherchant à s'introduire dans son gosier sans être une brute épaisse. C'était mignon et le cas contraire, elle aurait encaissé sans broncher, capable d'avaler des morceaux de cet envergure c'était certain. Elle tirait la langue pour faciliter l'accès à son puits sans fond et émit un gémissement étouffé quand il fut totalement en elle. Les boules de Bando vinrent se poser sur son front et elle s'abandonna un court instant pour venir masser la protubérance qui déformait son cou. Énorme ... L'homme soufflait, il resterait peut être traumatisé à vie par ce traitement qu'elle délivrait avec une facilité déconcertante. Apparemment, ça suffisait à son client qui se branla dans sa bouche. La méthode lui épargnait un gros facefuck qui aurait ruiné son visage mais ... dommage. Bando fut prêt très vite et s'extirpa de sa bouche, trop poli et courtois.

"Oouuh... ouuuuuuuh... t-tu... en veux?"

Hazel ne répondit pas et tendit les bras pour ceinturer ce solide fessier masculin. Prenant appui sur ses épaules, elle le tira à lui et l'avala à nouveau jusqu'en butée. L'introduction de ce long membre dans sa gorge donnait l'étrange sensation de se faire posséder par un truc qui voulait visiter jusqu'aux tréfonds de son estomac. Ouvrant grand la bouche, elle émit un "GGWWARK" sonore, plus destiné à le stimuler qu'autre chose, et lui tapa une fesse pour l'inciter à se lâcher un peu et d'oublier la gentillesse. La minute qui suivit fut assez intense puisque c'est elle qui imprima le rythme en le guidant sans le lâcher.

Bando était au bout du bout, et ne put rien faire pour tenir plus longtemps. Quand il explosa, l'escort le verrouilla au plus profond de son gosier et encaissa sans broncher une déferlante de sperme qui la gava aussitôt. Habituée à avaler, elle l'était. Mais là, la quantité de semence délivrée dépassait l'entendement. Ce fut trop et elle repoussa Bando, se libérant mais recevant en plein visage les résidus conséquents de cette éjaculation massive. La première gorgée d'air qu'elle inspira fut noyée par un jet retardataire et elle hoqueta tandis qu'elle avalait de travers. Se retournant brusquement, elle toussa, bava un fot de sperme, toussa encore, renifla, aspirant malencontreusement un épais volume gluant qui lui irritant les sinus. Là, elle avait douillé. Elle s'assit, dévisageant l'homme avec un air effaré. Du sperme lui tartinait sa jolie gueule d'ange et goutait un peu partout. Elle avait les yeux rougis et irrités et quand elle parla, une énorme bulle de sperme gonfla entre ses lèvres avant d'éclater avec un 'plop' visqueux.

"Bwaahh!!"

Elle mit ses mains en coupe sous son menton alors qu'elle rattrapait un monceau de fluides qui occupait encore une bonne partie de sa bouche.

"Mais ... mais t'es pas humain! c'était quoi ça?"

Hazel était sincère. Bien sûr, elle s'était déjà adonnée à des pratiques bien plus humides comme un bukkake mais là c'était plus d'une dizaine d'hommes qui s'épanchaient sur elle. Là, il était seul et elle avait frôlé la noyade. L'instant de surprise passé, elle éclata de rire et passa une jambe sous elle pour s'installer familièrement sur la banquette. Elle tira d'une boite de mouchoirs le paquet nécessaire pour s'éponger et grimaça en s'apercevant qu'elle étalait plus qu'elle enlevait.

"C'était ... surprenant. C'est toujours comme ça ou tu te retenais depuis un an?"

Autour d'eux, l'univers et les bruits habituels du club reprenaient et une certaine animation se faisait ressentir. Les clients étaient suffisamment chauffés pour que les filles les emmènent dans des endroits plus intimes.

Hazel se leva et arrangea sa robe. certaines mèches de ses cheveux restaient collées par les exploits de Bando et son visage luisait toujours, mais il y avait un mieux dans sa présentation.

"Viens, suis moi!"

Elle l'entraina pour le guider jusqu'à un couloir discret se terminant par une double porte épaisse, en bois noir, et gravé de deux énormes dragons. Hazel poussa l'un des battants et entra dans le Suite Shogun. Il s'agissait d'une grande pièce luxueusement meublée, de tradition japonaise. Un énorme lit impérial en occupait le centre et les commodes laquées à tiroir noires et rouges regorgeaient de jouets en tout genre. Si quelqu'un n'y trouvait pas son bonheur, c'est qu'il était d'une autre planète. On y trouvait aussi un pilori, un cheval d'arçon bas et toute une série de meubles dédiés au BDSM. Insonorisée, elle permettait tous les ébats.

Coquine, Hazel se lova contre son prince charmant.

"Pour répondre à ta question, c'est là que tu vas me sodomiser ... Alors n'hésite pas et ... n'attends pas trop non plus."