Si j'étais heureux de retrouvé ma fille, j'étais aussi un peu confus sur mes désirs... Que faire et comment agir envers elle ?
Il y a de cela quelques jours, j'avais reçus une vidéo de ma fille se fait violer par une personne inconnue. Si au départ j'avais voulus découper ce pervers en morceau, j'avais fini par me masturber devant la vidéo, avec colère et désir pour la petite chatte de ma fille... J'en avais honte et pourtant, plus j'y pensais, plus j'imaginais des choses salaces avec elle.
Ma fille ne savait pas que j'avais reçu cette vidéo, ainsi, j'avais prétexter avoir du temps et vouloir la voir afin de la retrouver. Mais mon but était de la protéger et me venger de cette personne ! ... Ainsi que de peut-être profiter de ma fille adorée.
Anita aurait bien suivit, mais sa boutique de mode venait tout juste d'ouvrir, impossible de se déplacer pour l'instant. De plus, le Japon n'était pas un lieu qui la tentait... Dommage pour elle, je verrais notre fille seul...
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Le vol aurait pu-être long pour n'importe qui, mais pas pour une famille de riche comme celle de Anita, les Lenoble n'avait pas de soucis d'argent et moi-même travaillait avec de jolie somme !
J'étais donc dans un jet, somnolant durant presque tout le trajet, à rêver de ma fille... Dans des tenues un peu trop dénudée et aguicheuse. Rah, putain de vidéo ! J'étriperais ce violeur !
On me réveilla dix bonnes minutes avant l'arrivé et je me préparais pour être présentable. Une chemise blanche par-dessous un blaser et un jean décontracté, rien d'incroyable.
En regardant par la fenêtre, je découvris les lieux et bientôt ma grande propriété, acheter avant le départ de ma fille pour le Japon. Les lieux me semblaient prospère et chaleureux, je n'aurais plus qu'a vérifier tout cela. Il faudra aussi que je veille à ne pas avoir de taupe dans les domestiques !
L'avion entamait sa descente, lorsque je vis de petits points, qui étaient les serviteurs et une robe blanche... Celle de ma fille, comme réaction, je portai ma main à mon entrejambe... Il allait falloir que je me calme ! Je ne voyais pas bien ce qui se passait, mais j'imaginais facilement que ma Georgette me faisait signe. Hélas, elle ne me verrait pas, alors j'attendis patiemment qu'on se pose.
En sortant, déjà que j'entendais ma fille, elle fut la première à me sauter dans mes bras, je l'étreignis avec un grand sourire et posa un baiser à sa joue.
- Bonjour ma chérie, tu m'as manqué. D'une main puissante je la soulevais et l'autre vint caresser sa chevelure.
Mon regard pétillait de retrouver mon enfant, tentant de repousser les vils désirs qui assaillaient mon esprit. Elle me demanda tout naturellement comment allait sa mère.
- Elle était très triste de ne pas pouvoir venir, elle essayera de se trouver du temps une fois que sa nouvelle boutique marchera. Elle va me manquer aussi, mais je suis heureux de te retrouver. J'embrasse tendrement son front.
Un homme s'approcha et je me rappelais de son dossier, c'était Mikhail, le tuteur de ma fille et gérant du manoir en mon absence. Il me fit sa petite présentation.
- J'espère moi aussi que cet investissement me sera profitable et agréable.
Des serviteurs sortirent du jet quelques valises, un peu surpris qu'il y en ai si peu. Je ne déménageais pas et puis, j'étais attacher à peu de chose, un peu minimaliste en un sens.
- Bien, rentrons. Que je découvre ce lieu de vie et vois ce qui a été fait.
Tenant toujours ma fille, je pris le pas en premier, suivis par tout le monde, j'étais imposant dans ma stature et ma démarche assuré, dominant tout un chacun.
Les lieux étaient immense et je commençais à en faire le tour, restant de marbre et observant chacune des pièces avec minutie, pendant que Mikhail me faisait un compte rendue de ce que je devais savoir sur le manoir.
Une bonne demi-heure plus tard, je fermais la porte de ma chambre, les valises déjà vidés par les serviteurs et me posa sur le lit, m'allongeant.
- Pfiou... c'est très grand ici. Tu t'y plaît ma chérie ? Me redressais-je sur les coudes, fixant ma fille. Le décalage horaire risque de me faire un peu dormir les deux-trois premiers jours.
Sans m'en rendre compte, je regardais les courbes de ma chère fille, m'en mordillant la lèvre tandis que j'imaginais de nouveau des scènes torrides avec elle et que mon entrejambe s'éveillait à cela.