❧ Nom : Togoshi
❧ Prénom : Hanae
❧ Âge : 24 ans
❧ Sexe : Femme
❧ Race : Humaine
❧ Sexualité : Indécise, sans doute bisexuelle
❧ Physique : Je dirais que mon physique est plutôt... banal. Pas moche, ni jolie, disons qu'il n'y a sans doute rien chez moi qui ferait tourner les têtes des garçons. J'ai de longs cheveux châtains jusqu'aux épaules, des yeux bleus timides, et une peau douce et pâle, qui rougit facilement. Ma carrure n'a rien d'extraordinaire non plus, ma taille et mon poids sont dans la moyenne, avec respectivement 1m60 et 55 kg. Cela dit, je ne suis pas sportive du tout, au contraire, je suis plutôt frêle. Comme j'ai un appétit modéré et que je mange avec modération, maintenir une taille fine et un ventre plat ne me demande pas tant d'effort, non pas que cela ait une quelconque importance pour moi. Malgré tout, ma poitrine est généreuse par rapport à mon gabarit, avec mon 85C. Ça me gêne un peu, alors je privilégie les vêtements amples et évite les décolletés. Sinon, je n'ai ni tatouages ni piercing, pas même au lobe pour des boucles d'oreilles.
❧ Caractère : Ce n'est pas si simple, de décrire toute une personnalité en un paragraphe. Si je devais choisir quelques mots, ce serait... Introvertie. C'est sans doute celui qui me décrirait le mieux. Je ne suis pas contre passer du temps en compagnie d'autres personnes, occasionnellement, mais je préfère quand même passer du temps seule, idéalement dans le confort de ma chambre. Mes activités favorites sont la lecture, les jeux-vidéos, et... comment dire... je consomme beaucoup de contenu pornographique, sous différentes formes. Et puis, j'ai plusieurs grandes peluches que j'aime câliner avant de dormir. Peut-être que la solitude ne me sied pas tant que ça, au fond... Timide. Je préfère rester discrète vis-à-vis des autres personnes, et suis très mal à l'aise lorsque je suis le centre d'attention... Confiante. Enfin, envers les autres en tout cas, j'ai tendance à facilement faire confiance aux gens. Pas au point que ça ne devienne de la naïveté, enfin, je n'espère pas. Par contre, au moindre soupçon de malice, cette confiance peut disparaître aussi vite qu'elle n'a été offerte... Docile. Peut-être ? J'ai mon libre-arbitre bien sûr, mais disons que la rébellion n'est pas dans mes habitudes. Je suis une personne qui respecte les règles, et qui a tendance à obéir aux ordres sans poser de questions. Lorsque la situation s'y prête, bien sûr... Gentille. C'est vrai que c'est trop générique. Dans mon cas, cela englobe plutôt une grande empathie, un soupçon d'altruisme, et une propension à aimer rendre service et faire de bonnes actions lorsque l'occasion se présente.
❧ Histoire : Par où commencer... ma naissance ? J'étais une enfant non désirée. Une bêtise qui n'aurait pas dû être. Mes parents se connaissaient à peine, mais après que mon père ait mis enceinte ma mère, ils furent contraints de se marier sous la pression de leurs familles respectives. Ma mère avait une attitude plutôt neutre, elle s'occupait bien de moi, mais était quand même plus proche de la baby-sitter que de la mère affectueuse. Quant à mon père... il était clairement aigri, à longueur de journée. Chaque occasion était bonne pour nous rappeler, à ma mère et moi, que l'on était des fardeaux, qu'il n'avait rien demandé et qu'il aurait préféré ne pas nous avoir dans sa vie. Autant dire que l'ambiance à la maison était joyeuse. Heureusement, je n'ai jamais été maltraité, ça aurait pu être pire...
Je n'ai pas beaucoup de bons souvenirs d'enfance. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été douée à l'école, la “miss première de la classe”. J'étais souvent seule à la récréation, les rares fois où les autres enfants faisaient preuve d'un peu d'amitié envers moi, c'était soit pour me demander mes devoirs, soit pour copier sur moi pendant les contrôles. Les stratagèmes étaient évidents, mais ça ne me dérangeait pas de les laisser faire. Même si c'était simulé et de courte durée, j'aimais bien ces petits moments où j'avais l'impression que l'on m'appréciait.
Plus tard, grâce à mes bons résultats scolaires, j'ai réussi à entrer dans une faculté de médecine. La situation n'avait pas beaucoup changé, j'étais toujours l'intello solitaire, isolée, que l'on n'invitait jamais aux soirées ou au karaoké. Pourtant, cette année-là, à ma grande surprise, j'ai pu découvrir l'amour. Kazuo, un garçon populaire de ma classe, avait commencé à s'intéresser à moi. Il avait toujours un compliment sous la manche. Bien souvent, je rougissais sans répondre, tant ses gestes attentionnés me prenaient au dépourvu, mais il trouvait ça mignon, et me disait que cela faisait partie de mon charme. J'étais vraiment heureuse en sa compagnie. Il me courtisa ainsi pendant quelques semaines, puis vint un jour où il m'invita chez lui, un soir où ses parents n'étaient pas là. Je n'étais pas dupe, et me doutais bien de ses intentions. Entre excitation et appréhension, des papillons au creux du ventre, j'acceptais donc son invitation. Cette nuit-là, je perdis ma virginité, et ce moment fut aussi magique que je l'avais imaginé. Mais...
Le lendemain, son attitude changea du tout au tout. Il ne me répondait plus, m'ignorait, et se montrait même parfois agressif envers moi. Cela avait l'air de bien amuser son groupe de copains, qui pouffaient d'un air moqueur dès qu'ils me voyaient. C'était incompréhensible, tout allait très bien entre nous pas plus tard que la veille. Finalement, j'appris que tout n'était qu'une vaste mascarade, le fruit d'un gage que ses potes lui avaient donné, et que je n'étais que le dindon de la farce. J'étais dévastée... La trahison était déjà terrible en soi, mais les moqueries répétées finirent par me pousser à bout. Après de longs mois de dépressions, des pensées suicidaires, une tentative avortée après la réalisation que cette solution n'en valait pas la peine, je pris la décision de tout quitter.
C'est ainsi que je m'étais installée à Seikusu. Je n'avais pas le courage de reprendre des études, et pas d'argent en poche non plus, alors je papillonnais de petits boulots en petits boulots pour subvenir à mes besoins. Le dernier en date était caissière dans un petit supermarché de proximité, un métier aliénant mais assez paisible. Il m'arrivait parfois de donner les fruits et légumes invendus aux sans-abris du quartier. L'un d'entre eux parvint même à me convaincre de rejoindre une association de soupe populaire, où je travaille bénévolement certains soirs en cuisine.
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