Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Souta et Janus

Humain(e)

Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

lundi 10 janvier 2022, 00:48:40

Quand quelqu'un vit, ou même se balade, dans le quartier de la Toussaint ce n'est jamais par gaité de cœur. Soit on est né dans ce quartier pourri, soit on y traîne pour survivre de différentes manières. Toutes aussi peu respectables les unes que les autres. La dernière catégorie est probablement celle des victimes en tous genres. Camés, femmes qui ont fait la mauvaise rencontre le mauvais jour.
Si on devait résumer un peu ce quartier, il serait le furoncle de la ville de Seikusu.

Et moi... je me retrouve en plein milieu de ce merdier au quotidien. Je vis avec les cartes qu'on m'a donné et je suis pas prêt de jouer tapis un jour. Tant que je n'ai pas à me coucher, c'est déjà bon à prendre.
Surtout qu'en ce moment le boulot de qualité ne court pas les rues. Pourtant j'ai l'impression que les rats s'engraissent plus que les humains vu leur volume qui ne cesse de gonfler. Les enfoirés bouffent mieux à leur faim que moi. C'est dire à quel point je suis tombé bien bas.

- Eh mec, on t'attendait.
- Désolé, les bouchons.
- Ah ouais ? Dans ce quartier merdique où il y a aucune bagnole qui circule ?
- Sûrement les rats, t'as vu la taille de ces saloperies ? Bientôt on pourra les monter comme des chevaux.
- T'es un grand malade. Tu sais ça ?
- Pas la peine de me faire des compliments.
- Quel con.
- Hé, je viens de dire quoi ?
- Pfff ! Allez, amène-toi, on doit gérer la protection d'un ou deux connards ce soir encore.
- Arrête, tu vas me faire rêver.


Le mec avec qui je cause est Jamal. On a déjà bossé plusieurs fois ensemble et arrive plutôt bien à se supporter l'un l'autre. Chose rare dans le milieu où, en plus de ça, les relations ne durent jamais longtemps car beaucoup crèvent. Les causes sont nombreuses : trahison, flics, un mari plus baraqué qu'on aurait pu le croire avant de cocufier sa nana, etc.

Ce soir on doit protéger un connard de première qui veut traîner en boite alors qu'il sait parfaitement que sa présence est indésirable et que la situation sera explosive si il croise les mauvaises personnes. Mais comme on est là pour prendre à sa place si ça dégénère, pourquoi il se priverait ?

Comme on pouvait s'y attendre, il n'aura pas fallu plus d'une demie heure pour que les coups de feu pleuvent dans la boite et qu'on extirpe notre client de là avec son entourage. Une bande de sangsues qui vient lui embrasser le cul en public contre des avantages financier ou en nature. D'autres les vois comme des amis, mais personnellement j'ai du mal à y croire. Toujours est-il que ça flatte l'égo des couillons de bas étage dans son genre.

Pour ne rien arranger, notre client est un mac et on doit parfois s'assurer de la protection de ses filles. Alors qu'un client semble vouloir un peu trop s'amuser avec la jeune femme, cette dernière réplique et gifle le client devant et quitte la chambre que l'on garde pour aller se réfugier auprès de son "patron".
Sauf que ce dernier lui retourne une seconde gifle en lui balançant que si elle y retournait pas rapidement, on irait la buter et balancer son cadavre dans la rue pour servir d'exemple.

D'accord, Jamal et moi ne sommes pas des enfants de chœur et il est arrivé plus d'une fois qu'on foute une correction à un mec qui ne méritait pas du tout ce qu'on lui a fait. Par contre, buter gratuitement des prostituées de sang froid... Faudrait pas déconner non plus. Le truc c'est qu'elles n'en savent rien et que ce genre de menace fonctionne sur la quasi totalité d'entre elles.

Malheureusement pour elles, on est payé pour protéger, pas pour bavarder, les rassurer ou cogner les clients. Sauf cas spéciaux. Et, bordel, c'est jouissif de casser la gueule à ces queutards quand on en a l'occasion. Il arrive même qu'on trouve des prétextes pour que ça arrive des fois.

Aaah, la soirée va être longue ce soir, je le sens.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

Réponse 1 jeudi 13 janvier 2022, 14:37:40

Depuis plusieurs heures déjà les même mots tournent dans ma tête : "C'est une soirée de merde ! C'est une soirée DE MERDE !" et je ne peux rien faire pour me changer les idées. Tous ces évènements successifs ne font que confirmer mon mauvais pressentiment. Les embrouilles entre putes et macs sont les plus chiantes à gérer car tu peux taper sur la gueule de personne. Les poivrots, les junkies... même les flics. T'as toujours moyen de glisser un coup de poing dans le bide ou un coup de pied dans la nuque quand personne regarde. Attention, la violence c'est mal. Sauf... quand on a besoin de se défouler. Évacuer la pression c'est important si on ne veut pas faire un ulcère.

Et là, alors que la monotonie de cette soirée commence à s'installer, voilà qu'une gamine débarque de nulle part. Fringuée comme si on était à Halloween. Avec la panoplie complète. Le gamin qui habite en haut de mon immeuble avait un truc dans le même délire. Pour garçon, bien entendu.
Surpris, et étrangement sérieux, je me tourne vers Jamal pour lui poser une question.

- Tu devrais pas dire à ta frangine de te rejoindre dans ce genre d'endroit.
- C'est pas marrant.
- Je confirme.


On n'a d'ailleurs pas le temps de faire un pas qu'elle surenchérit. Durant toutes ces années dans la rue j'ai vu défiler un paquet de cas sociaux tous aussi excentriques les uns que les autres. Mais cette nana en tient une sacrée couche. Ce genre de spécimen se balade parfois dans les rues de Seikusu. Des gamines en manque de sensations fortes, prêtent à tout pour pimenter leur quotidien banal de toutes les façons possibles.

- Fais pas chier et dégage, gamine ! C'est pas un coin pour toi.

Le salaud s'arrêter quelques secondes pour ajouter en ricanant d'un ton provocateur pour la faire réagir :
- Tu pourrais même pas servir pour faire des passes. Faut un minimum de charme et de formes pour ça.

Ouch ! Viser le physique est facile et souvent très efficace. A en juger par son physique il doit encore s'agir d'une ado. Tout le monde sait que les ados et leur physique c'est un long roman qui ne trouvera jamais de fin.

Je pose alors une main sur l'épaule de mon partenaire du soir pour lui faire comprendre que je peux gérer.

- Pour commencer, tu vas rien venir chercher du tout avec tes 40kg toute mouillée.

Ma main droite se lève pour venir me gratter l'arrière du crâne alors que je poursuis d'un ton qui laisse transparaître ma fatigue mentale. Cette gosse ne représente aucune menace pour qui que ce soit et je me gêne pas de le lui faire comprendre dans mon attitude.

- Allez, disons qu'on joue le jeu. Tu vas avoir du mal à nous arrêter pour port d'arme vu qu'on n'a rien sur nous. Enfin... Jamal à l'habitude de foutre des coups de boule à tout le monde, mais de là à qualifier sa tronche d'arme, c'est pas cool de ta part. Ahahah !
- Enfoiré !


Mon rire ne dure que quelques secondes avant que je ne me tourne vers Jamal pour m'excuser. Puis je reprends...

- Pareil pour le proxénétisme. On est ni des souteneurs, ni des michetons. Juste deux mecs qui visitent cet immeuble si particulier pour se décider si on veut y louer une chambre ou non. Pour être franc avec toi, c'est mal parti. Se faire agresser et insulter par les voisins de chambre c'est moyen pour passer une nuit tranquille.

D'un geste de la main je lui fais signe d'aller voir ailleurs si j'y suis. C'est alors qu'une des filles de notre client passe derrière l'inconnue et nous regarde en lâchant de façon stupéfaite.

- Vous avez pas honte d'amener votre petite sœur ici ? La pauvre doit pas avoir plus de... 13 ? 14 ans ?

Et là, on se met à éclater de rire devant la réaction incrédule et surprise de la pro qui ne comprend pas ce qui se passe.

- Putain ! J'ai mal aux côtes !

Entre deux éclats de rire, je me redresse comme je peux. Cette soirée est pas si pourrie que ça en fin de compte. Je m'étais pas autant marré depuis un bail.

- Tu l'as entendu ! Retourne chez toi ! T'as pas un contrôle de géographie demain ?

Qu'est-ce qui cloche dans ce quartier pour attirer autant de barges ?

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

Réponse 2 lundi 17 octobre 2022, 11:18:36

En temps normal quand quelqu'un vient vous dire qu'il cherche à vous envoyer en taule il y aurait de quoi provoquer un début de manique. Mais la situation est tellement comique qu'il est difficile de rester sur ses gardes plus de 5 minutes.

- Merde alors, elle est super vulgaire en plus la minette.

Et voilà qu'elle se lance dans un assaut bancal en fonçant droit devant elle sans réfléchir. Jamal aurait pu voir venir le coup arriver si il était justement resté concentré. Dur de lui en vouloir en même temps car on se marre rarement autant au boulot.

Puis... Je me mets à serrer les cuisses en voyant l'odieuse et inhumaine agression dont il est victime. En plusieurs années de carrière j'en ai vu des saloperies. Mais là c'est tellement gratuit. On vise pas les burnes d'un homme, merde ! Si encore il t'avait agressé je pourrais comprendre. Alors que même pas.

En tout cas je suis pas surpris de le voir s'effondrer sur le sol comme un gros caca après ce qu'il vient de subir. Déjà que c'est hyper douloureux, mais surtout il ne s'y attendait pas un instant car il n'a pas eu le temps de tenter de se protéger.

Cette gosse est encore plus tordue que certains flics ripoux dont je n'oserait pas prononcer les noms à voix haute dans ce genre de quartier.

- Ah ouais ? Les seules nanas que j'autorise à m'attaquer les couilles le font pas avec des gadgets tordus. Après, si c'est le genre d'invitation que t'attends ça peut s'arranger.

On peut sentir aucun sérieux dans ma phrase qui n'est qu'une provocation comme une autre pour voir si elle va tenter sa chance face à quelqu'un d'alerte et prêt à la remettre à sa place.
Ses jouets ne me font pas peur. Entre les démons, les mutants et autres humains dotés de pouvoir, j'ai affronté des types bien plus dangereux qu'elle. Et à moins de viser le parfait endroit au parfait moment elle ne risque pas de m’assommer.

- Après mes burnes c'est le bondage ? T'es pas un peu jeune pour avoir des penchants aussi chelous ? Je juge pas, hein. J'suis... surpris. Un peu.

C'est alors que j'entends les sirènes de flics s'approcher au loin. Je me dis logiquement qu'il me reste encore un peu de temps pour lui fausser compagnie et me foutre à l'abri. Sauf que ce plan risque d'être compliqué vu qu'il y a le client à gérer.

Me faire choper ne devrait pas me coûter cher vu que je n'ai pas d'arme et que jusqu'ici j'ai attaqué personne. Le client, lui, est assez friqué pour se tirer de ce genre d'emmerde en un claquement de doigt.

Alors que je m'apprête à tourner le dos à cette folle furieuse pour me lancer en direction de la fenêtre la plus proche je sens une force invisible me plaquer face contre terre.

- On ne bouge plus ! POLICE !

Whaaaat ? Mais ils sortent d'où ces connards ? Les sirènes étaient trop loin pour qu'ils puissent intervenir aussi rapidement. A tous les coups il y avait une unité des mœurs pas loin qui surveillait le coin. Soit le mec qui s'occupait de protéger les lieux était un branleur de première, soit il avait un arrangement avec les flics et les informations dont on dispose ne sont plus à jour.

Les deux flics qui me maintiennent au sol s'amusent à me presser de tous leur poids en m'hurlant dans les oreilles. Des postillons finissent même dans mes cheveux. Alors que je ne cherche même pas à résister. Dans cette ville la police peut être encore plus dangereuse que les criminels, alors j'évite de prendre des risques inutiles.

- On t'a dit de pas bouger, connard !
- Alors ? Tu fais moins le malin, raclure ? Tu vas prendre cher pour avoir...
- Merde, c'est pas le bon.
- Comment ça ? On nous a pourtant assuré qu'un VIP passerait ce soir. Vérifiez toutes les chambres ! Allez !


Un peu plus loin je vois que la furie a droit au même traitement que moi et cela m'amuse terriblement.

- On dirait que ton vœu a été exaucé pour les menottes. Ha ha ha ha !

Des nuits en cellules j'en ai passé plusieurs dizaines déjà. Alors une de plus... Par contre j'ai de gros doutes sur le fait qu'elle n'en connaisse que la couleur ou l'odeur. Après, peut-être que les gonzesses sont mieux lotis que les mecs.

Plusieurs agents reviennent dans le couloir dans le lequel je n'ai pas bougé d'un centimètre, les mains menottées dans le dos.

- Aucune trace du VIP, chef.
- Putain ! On a été mal rencardé. FAIS CHIER !


Ou alors le client à juste secoué une liasse de billet devant un agent à la paie de misère qui a accepté sans broncher. C'est ce qui arrive quand il y a plus d'ordures que de types honnêtes dans un groupe qui détient une certaine autorité.

- Bon, embarquez-moi tout ce beau monde.
- Bien chef.
- Et les filles aussi. Avec de la chance l'une d'elle parlera.


N'y compte pas trop, bonhomme. Les travailleuses craignent plus leur mac que la taule où elles seront protégées et presque chouchoutées pour revenir bosser au plus vite.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

Réponse 3 jeudi 03 novembre 2022, 14:08:36

C'est une sacrée teigne vu son gabarit. Même si ça reste assez triste de regarder un tel spectacle. La pauvre se fait bully par ceux qui devraient être dans son camp en faisant régner la loi dans ce quartier pourri. Peut-être qu'elle comprendra un jour que la loi est sacrément flexible avec les flics et les procureurs. Qu'on ne me lance pas sur les juges... Leur milieu trempe dans encore plus de magouilles et autres trafics que celui de la pègre.

De mon côté je me laisse faire bien sagement pour éviter de me prendre des coups inutiles car je connais déjà le refrain depuis le temps. Ce qui ne semble pas être le cas de la crevette qui se fait encore reprendre par un flic avant qu'ils ne décident de nous embarquer enfin pour un petit séjour au commissariat.

Menotté et étroitement surveillé, je suis poussé dans un panier à salades qui a vu des jours meilleurs. Les bancs en métal de chaque côté sont troués et cabossés par endroits. On peut même voir des impacts de balle à certains endroits en prêtant attention. En voyant qu'ils font monter l'autre folle dingue pour l'installer à côté de moi je ne peux pas m'empêcher de répondre à sa remarque.

- Si, justement, je m'suis rendu sans riposter. Pas comme toi.

C'est alors que je la vois, toujours aussi déchaînée, à se tordre dans tous les sens pour tenter de me foutre des coups avec ses pieds. Des cas un peu spéciaux j'en ai vu passer des dizaines au fil des ans. Les gens ne s'imaginent pas ce qui peut grouiller dans les allées sombres de cette ville à seulement quelques kilomètres des lieux fréquentés par les habitants pleins aux as. Par contre, elle, elle en tient une sacrée couche.

Qui, de sain d'esprit, irait chercher les emmerdes dans les quartiers les plus paumés de Seikusu ? Même les criminels évitent d'y trainer pour pas se faire planter sans raison.

Au moins un flic parvient à la faire se calmer en tambourinant dans le fourgon. Je me retiens de faire une remarque sur le fait que le véhicule pourrait bien céder au moindre choc. La panique semble avoir fait tomber la pile de nerfs sur le côté.

- Ah, t'as enfin perdue tes piles ? Il était temps.

Je lui jette un regard rapide avant de tourner la tête en direction de l'avant du véhicule qui se met à démarrer en prenant la tête de ce joyeux convoi. Le trajet ne devrait pas prendre plus de 10 minutes de toute façon, alors je ne vais pas perdre mon temps et mon énergie inutilement.

Au vu de la situation, je ne risque pas grand chose si ce n'est de passer une nuit ou deux en cellule avant de pouvoir retourner chez moi. Contrairement à la miss qui avait des armes sur elle. Si ça se trouve c'est la morveuse d'une famille de riches qui s'emmerde tellement chez elle que jouer les justicières est son seul hobby.

- Oh, déjà ?

Je ne me rends même pas compte que nous sommes arrivés alors que le fourgon s'arrête et que les portes arrière s'ouvrent pour faire apparaître deux types avec de sales tronches. Le premier a une grosse balafre au-dessus de l'oeil gauche alors que le second ressemble plus à un otaku qui se croie dans un jeu de survie grandeur nature que d'un flic.

La suite est une routine que je maîtrise parfaitement. En passant devant l'accueil je remarque c'est Jenny qui s'en occupe.

- Salut, Jenny. Toujours aussi sexy.
- Qu'est-ce que t'as encore fait ?
- Moi ? Rien. J'suis même une victime.
- Ah oui ? Et où est le terrible criminel qui s'en est prit à toi.
- C'est la crevette, là.
- Huhum...


Le regard de la jeune femme se met alors à scruter chaque centimètre de son physique pour ensuite lever les sourcils avec une once de mépris.

- J'ai du mal à te croire.
- Pourtant tu m'connais. J'suis doux comme un agneau.
- Vraiment ? Donc si je te rejoins dans ta cellule tu tenteras rien ?
- J'ai jamais dis que j'étais gay.


C'est alors que je sens l'agent dans mon dos me bousculer violemment pour me faire avancer. Quelqu'un est jaloux... Même si on aime se lancer des petites phrases comme ça, il ne s'est jamais rien passé entre nous deux. Tout ça n'est qu'un jeu. Le genre qui ne plaît pas aux agents qui doivent tous se palucher en imaginant s'envoyer en l'air avec la nana la plus sexy du bâtiment.

Lors de mon dépucelage j'ai eu droit à la prise des empreintes et du portrait pour mon casier. Ce soir ce sera donc sans le moindre préliminaire que je me fais balancer dans une cellule vide qui rassemble tous les parfums les plus dégueulasse qu'à pu générer un jour l'être humain. Pisse, vomi, drogues en tous genre, sperme et j'en passe.

Après plusieurs minutes à m'habituer à ce nouveau parfum qui va me tenir compagnie quelques temps, un des deux flic débarque à la surprise du gardien de cellules.

- Qu'est-ce que tu fous là ?
- L'autre cellule est pleine.
- Et alors ? On peut pas les foutre ensemble ?
- Pourquoi ? Il va pas la buter. Et encore moins la sauter.
- Ah ah, c'est vrai qu'elle est loin derrière Jenny.


Les deux hommes se mettent alors rapidement d'accord et foutent la dégénérée dans ma cellule avant de se tirer ensemble quand ils entendent une demande de renfort du côté des autres cellules.

- Bah alors ? Tu peux déjà plus te passer de moi ?

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Elles font chier les cosplayeuses (PV |-| Sanaé)

Réponse 4 vendredi 18 novembre 2022, 09:41:38

Il lui aura pas fallu bien longtemps avant de revenir à la charge alors que l'on n'est plus que tous les deux dans cette grande cellule crasseuse vu que même le type qui est censé nous surveiller est parti aider ses collègues à côté. La seule personne capable de la protéger n'est plus là et cette idiote ne la même pas réalisé. Avoir assez de confiance en soi est une bonne chose. Sauf qu'il est plus question d'égo démesuré pour cette folle furieuse. Ses parents ont vraiment fait un boulot foireux ai niveau de son éducation.

- Ah ouais ? Tu veux tenter ta chance ?

Ma main droite vient alors agripper fermement son poignet sans lui laisser le temps de se préparer. Avec notre différence de gabarit j'ai vraiment l'impression de me battre contre une gamine et c'est aussi amusant que dérangeant. Elle peut bien tenter de me frapper au torse ou de me gifler qu'elle ne me fera pas bien mal.
Par contre je vais éviter de tenter le diable longtemps car je parie qu'elle est du genre à mordre ou d'essayer à te planter ses doigts dans les yeux.

Je la tire alors ensuite dans ma direction pour la plaquer le dos contre le banc en métal éclaté en rigolant.

- Oups, on dirait que c'est toi qui as finie couchée.

Un petit clin d'oeil provocateur vient accompagner le fait que je cherche à bloquer ses deux mains au-dessus de sa tête pendant quelques secondes que je me fais à profit pour l'examiner de plus près. Moi qui suis du genre à aimer les gonzesses bien en chair... c'est la déception totale. Et je ne cherche pas à le cacher en soupirant pendant que mes yeux se baissent.

Sans lui laisser le temps de retrouver ses idées ou de préparer une contre-attaque, je la force à se relever et lui bloque les bras dans le dos pour l'emmener jusqu'à un mur couvert de tags qui a dû être souillé plusieurs dizaines de fois par je ne sais quels fluides. Ca se trouve l'endroit n'est lavé qu'une fois dans l'année... quand ils pensent à le faire.

- Ou peut-être qu't'aimes être traitée comme une pute ?

Même au repos ma bite peut facilement être sentie par cette dernière quand je viens me frotter le bassin contre son petit cul tonique. Ma bouche s'approche de son oreille pour lui glisser tout en ricanant de manière provocatrice.

- T'arrêtes pas de parler de mon pote et de ses couilles depuis t'à l'heure. C'est ça qui t'excites ? Une grosse paire de burnes ? Je pourrais presque me sentir jaloux d'savoir qu'tu penses qu'aux siennes.

C'est alors que je la lâche en effectuant quelques pas en arrière. Les bras écartés et levés comme si j’obtempérais à la demande d'un policier de mettre mes mains en évidence. Encore et toujours avec un grand sourire aux lèvres.

- Si on jouait à un petit jeu ? Tu vas essayer de "me coucher" comme tu dis durant cinq minutes. Et si tu arrives pas... Je te montrerais comment je "porte mes couilles", pour reprendre une de tes expressions.

Quitte à passer une soirée complète en cellule, autant s'amuser un peu. Surtout qu'elle ne risque pas de faire le poids... la crevette.


Répondre
Tags :