Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

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Bando

Humain(e)

Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

mardi 21 décembre 2021, 13:31:40

Il est dit qu’il est souvent mieux d’y réfléchir à deux fois et, je le confirme, à raison. Jamais un premier jet ne saurait être parfait et ainsi, l’étape de la réécriture s’avère primordiale... Alors pourquoi ? Pourquoi, bon sang, m’étais-je convaincu sur un coup de tête qu’explorer la montagne et la campagne en plein hiver serait de mise pour m’inspirer un peu, durant quelques congés qu’enfin je m’autorisais ?

Parti depuis deux semaines au volant de ma voiture, j’avais visité quelques villages ça et là, m’étais gelé jusqu’aux os à arpenter les forêts avoisinantes et là... j’étais perdu.

La neige avait gagné les arbres de leurs cimes jusqu’à leurs souches et il m’était devenu impossible de continuer par les grands axes tant la poudreuse s’était faite dense par ces routes que personne ne semblait emprunter. Il devait être 20h, quelque chose comme ça, et déjà la nuit était noire. Ma vieille citadine semblait peiner, refroidie comme je l’étais et le chauffage avait même fini par s’arrêter. Je devais avoir l’air bien malin, à claquer des dents en chantonnant cet air que j’arrivais à peine à déchiffrer depuis la radio.

Il neigeait tellement que je ne parvenais plus à distinguer clairement la route devant moi. Un virage en épingle au détour d’une forêt et je ralentissais. Puis... je ne suis pas sûr. Une femme, blafarde, à l’allure quasi spectrale, au beau milieu de la route. J’avais tenté de l’éviter et ma voiture s’était mise à glisser dans tous les sens avant que je ne termine enfoncé dans la neige.
J’avais eu bien du mal à sortir, mon poignet droit durement endolori, mais m’étais toutefois empressé d’accourir dans le froid pour vérifier que la jeune femme n’avait rien. Mais, étrangement, personne ne s’était montré. Ça faisait des heures que je roulais, dans la nuit totale, sous une tempête comme je n’en avais jamais vue, alors peut-être avais-je simplement tout imaginé ? Il était clair que j’avais besoin de repos.

De retour à ma voiture, j’avais fini par me sortir de tout ça pour enfin reprendre la route. Constatant rapidement qu’il m’était impossible de refermer le poing, j’avais ainsi continué avec ma seule main encore pleinement valide. Fort heureusement, il ne me fallut que quelques minutes à peine pour apercevoir de la lumière, émanant d’une grande demeure, perdue au milieu de nulle part. Ne pouvant me permettre de continuer tant que la tempête ne se serait pas calmée, j’avais dû me rendre à l’évidence, il allait me falloir demander un peu d’aide.

Après quelques minutes seulement, j’avais fini par me garer devant l’immense bâtisse à l’allure toute emprunte de traditions. Je comprenais par la pancarte qui trônait à l’extérieur qu’il s’agissait là d’une maison d’hôte. Ça tombait bien. Ce que je devinais toutefois être le parking semblait totalement vide... en même temps, à part moi, j’imagine que personne n’aurait trouvé bonne l’idée d’aller se perdre dans un coin pareil en plein milieu d’une tempête de neige. Ça semblait logique. Prenant mon sac sur le dos, je m’étais avancé jusqu’à la porte, éreinté et frigorifié. Couvert d’un simple pardessus un peu chaud, il ne fallait pas non plus s’étonner...

Et voici donc comment j’en étais arrivé jusqu’ici, à souffler chaudement dans mes mains pour me réchauffer comme je le pouvais.

De ma main gauche, j’atteins la sonnette. Une première fois puis, ma patience étant légèrement à bout -on se demandera pourquoi-, une seconde fois.
Gelé, je frissonne et tremble pour la énième fois. La situation me paraissant chaque seconde moins enviable, je pousse doucement la porte pour atteindre l’entrée au mobilier boisé.

Je toussote puis m’annonce enfin.

« Hum. Il y a quelqu’un ? Bonsoir ? J-je... J’aurais aimé louer une chambre jusqu’à... jusqu’à ce que la tempête se calme, j’imagine... »

Trempé jusqu’aux os par la neige fondue, je commence à croire qu’il y aura miracle si je n’attrape pas la crève.

Bando

Humain(e)

Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

Réponse 1 mardi 21 décembre 2021, 22:04:51

Il faut croire que le ciel m’avait entendu. Fort heureusement pour moi, je n’eu pas à patienter bien longtemps avant que quelqu’un ne vienne à moi. Une employée, ou bien la propriétaire des lieux ? Pour l’heure je n’en étais pas bien sûr, mais au vu du ton qu’elle employait bien vite avec moi -peut-être par inquiétude-, cette seconde proposition était envisageable.

Quelques craquements, divers tintements métalliques et, bien vite, cette étonnante jeune femme avait accouru pour venir à ma rencontre. Cette façon qu’elle avait de s’adresser à moi n’était pas des plus délicates, mais cela ne rendait cette rencontre que plus surprenante.

À la voir ainsi, je comprenais que j’avais dû la surprendre, quand en cette nuit, elle ne devait pas s’attendre à la moindre visite. Vêtue d’une simple chemise de nuit, la jolie jeunette s’était imposée dans l’entrée avec comme une sacrée dose de fermeté, m’intimant de la suivre sans plus d’explications à travers un premier dédale de couloirs boisés.
J’avais acquiescé sans un mot et, une fois m’être assuré que mes pieds étaient secs, m’étais m’aventurais à sa suite. Sans un mot donc, je la suivais, sans manquer de remarquer, bien sûr, la justesse de ce vêtement qui, je le devinais en quelques mouvements, était seul à couvrir son corps. Peut-être bien qu’il n’était pas temps pour de telles réflexions, mais cette petite pensée me réchauffait toutefois un peu, amenant à mes lèvres un mince et discret sourire. Au moins pour quelques secondes. C’était... une très belle jeune femme, je me devais de l’avouer.

Quelques pas encore et je sentais avec bonheur comme l’air se réchauffait. Nous approchions de l’âtre crépitant d’un feu de cheminée et cette idée n’en finit pas de me soulager.
J’entrais avec plaisir avec elle dans ce grand et chaleureux salon et la gratifiais d’un fin sourire tandis que je posais mon sac au sol, près du fauteuil de massif qui trônait devant moi.

« Hum... je vous remercie. C’est gentil. »

Aussi vite apparue, aussi vite repartie. La jeune femme quittait la pièce pour me laisser seul un instant. Enfin je soufflais, m’attelant vite à la tâche qu’elle venait de me confier pour ne pas risquer d’être pris au dépourvu. Je me défaisais de mon manteau et comprenais alors comme mon poignet allait en souffrir. Je ne m’étais pas loupé.

« Ah ! Putain... »

Serrant les dents, je finis de retirer mon pardessus trempé pour passer à la suite. Je m’affale sur le fauteuil, me défais de mes chaussures, puis de mon pantalon sur lequel je tire avec difficulté tant il colle à ma peau. À son tour, ma chemise y passe, en me tirant quelques nouveaux râles douloureux.

Face au feu je me lève et viens tirer une serviette de mon sac. L’enroulant autour de ma taille, j’en profite pour me défaire de mon dernier sous-vêtement et m’approche de l’âtre brûlant vers lequel je tends les mains.

« C’est fou comme ça fait du bien... Manque plus qu’un bon bain chaud et tout sera parfait, faut croire. »

M’asseyant par-terre, je reste alors quelques minutes ainsi, à me réchauffer les os, triturant ce poignet endolori qui maintient contre mon bassin cette serviette que je n’étais pas parvenu à nouer seul. Après quelques minutes d’attente, je me relevais toutefois en constatant que la jeune femme ne revenait pas. Posté dans l’encadrement de la porte, je regardais à droite, à gauche, sans savoir où celle-ci avait bien pu disparaître.

« Hum... dites-moi ? Je... excusez-moi de vous déranger mais, pourrais-je vous emprunter la salle de bain s’il n’est pas trop tard ? Mademoiselle ? »

Bando

Humain(e)

Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

Réponse 2 mercredi 29 décembre 2021, 14:47:47

Je n’ai pas à attendre longtemps pour voir revenir en grande hâte la propriétaire des lieux, répondant aussitôt à mon appel. La voir se plier en quatre pour moi avec attention me tire un léger sourire, même si je le sais, elle ne fait que son travail. Qu’importe, voilà bien longtemps que personne n’avait été aux petits soins avec moi et, malgré ces conditions bien singulières, cela me faisait me sentir bien.

Elle parlait vite. Sans doute, surprise comme elle l’était, était-elle pressée de se débarrasser de moi. La voyant s’agiter, j’acquiesçais sans plus chercher à discuter, vidant mes quelques poches pour en ranger le contenu dans mon sac. Aussitôt j’allais à sa suite, l’accompagnant dans ce premier tour du propriétaire.

« Merci. Vous n’étiez pas obligée, vous savez. »

Ne m’étalant pas sur le sujet, je retournais à mon habituelle discrétion, marchant dans ses traces et regardant dans chaque coin tandis que mon interlocutrice énumérait les pièces que nous croisions sur notre route. J’eus un léger mouvement de recul, quelque peu piqué, en l’entendant m’interdire formellement l’accès à la cuisine. Je n’avais pas pour habitude de fouiller dans les affaires des autres et n’y aurait peut-être jamais mis les pieds, mais voilà une sommation qui me rendait bien curieux. Moi qui pensait qu’une telle pièce se devait d’être conviviale, centrale dans une maison...

« Oui, bien sûr. »

Nous continuions. Toujours derrière la jeune femme, je me perdis un temps à suivre des yeux ce mouvement de balancier dicté par ses hanches larges. Devinant alternativement la naissance de sa fesse droite, puis gauche, sous le tissu de sa chemise, j’en oubliais peu à peu mon poignet douloureux, toujours solidement tenu tout contre ma serviette.
La belle ralentissant, je m’arrêtais toutefois subitement, détournant vite le regard alors qu’elle me parlait de l’accès aux sources, par-delà ce couloir que nous empruntions. Voilà une nouvelle idée qui me ravissait.

« Oh. Ce doit être magnifique sous la neige. J’irai bien m’y réchauffer un peu... quand la tempête se sera calmée. »

Alors qu’elle tournait les talons, je faisais de même, entamant la grimpe de ces vieux escaliers quelques marches après elle.

« Cet endroit est magnifique. Ça doit être apaisant, au quotidien... »

La tête vers l’avant, mes yeux en retournèrent vite, sans que je ne le veuille vraiment, à ce postérieur offert à ma vue, depuis le contrebas. D’ici, je devine aisément le rebond parfait de ses fesses, je l’aperçois, même, lorsque la chemise se soulève un peu. Quelque peu... contre ma volonté, je me laisse hypnotiser durant ces quelques secondes, dévorant des yeux le galbe de ces courbes attrayantes. Je l’avais bien deviné, elle qui ne s’attendait aucunement à de la visite, était nue, sous ce court morceau de tissu bleuté.

Secouant la tête, je chassais rapidement ces pensées de ma tête. Je regardais ailleurs, jusqu’à ce qu’enfin nous terminions notre ascension.

Je découvrais alors la petite pièce qu’elle me réservait pour la, ou les nuits que je devrais passer ici, jusqu’à ce que la météo ne redevienne plus clémente. Brièvement, j’admire la pièce, sa décoration des plus typique, son rangement, sa propreté et... ce petit parfum floral qui s’en dégage. Ça sent bon, c’est calme, apaisant. Je souris, là encore. Je repose mon sac, près de ce futon qui sera le mien désormais, me tournant jusqu’à apercevoir une petite fenêtre, par laquelle j’observe l’extérieur. M’approchant, je l’admire, ce bassin de pierre, chaud et fumant, enseveli sous la neige. Le cadre est somptueux... propice à la rêverie...

« Ce sera parfait, mademoiselle. »

Puis survient le son du verre qui se brise. Brusquement je me retourne, revenant pour aller à la rencontre de mon hôte.

« Vous allez bien ? »

À quelques pas je m’arrête, comprenant qu’il n’y là que plus de peur que de mal, voyant le vase au sol. À mon tour, je pose un genou à terre, me pliant à ses côtés pour pousser du bout de ma seule main libre les plus gros des bris de verre.

« Attendez, je vais vous aider. »

Le reste, je ne le remarque pas tout de suite ou bien, je ne le comprends pas d’instinct. Me redressant au bout de quelques secondes, me tenant derrière la jeune femme, j’aperçois comme, pliée comme elle est, celle-ci doit exercer une certaine pression sur le vêtement qui jusqu’ici la couvrait.
Bien sûr, mes yeux se baissent bien vite. Dès lors, je ne bouge plus. Pas d’un pouce. À quatre pattes devant moi, la jeune et jolie jeune femme a désormais les fesses à découvert, presque entièrement. À la lumière, j’observe même, de mon regard ébahi, la fente lisse formée par son petit sexe fermé.

Surpris, et même un peu gêné, je me mords les lèvres. Il est même possible que je rougisse un peu. Ce n’est pas que la vue me dérange, bien au contraire... seulement, je me doute que ce n’est pas une position très... confortable, pour la jeune femme.

« Hum... »

Approchant un peu, sans bruit et en douceur, je me penche un peu, prenant appui, la main posée au sol. Ma main endolorie lâche alors ma serviette, qui j’espère tiendra, et s’élance, tremblante, en direction de la petite chemise bleue que je vois remonter encore. Doucement, tout doucement, j’en attrape le bout et tire dessus, pour recouvrir la jeune femme, ni vu ni connu. Il s’agirait là d’éviter tout incident fâcheux.

Je tire, mais ça ne vient pas.

Pire encore, et incompréhensible, c’est le tissu, qui me tire vers l’avant. Brusquement, je bascule un peu. Mon corps se plie davantage et j’entre subitement au contact de ce corps dénudé. Bien sûr, ma serviette, à peine enroulée, ne tiendra pas en place, me déshabillant moi aussi, aussitôt.

Comme poussé par une force invisible, me voilà dos au mur, incapable de reculer. Poussé vers l’avant, à genoux, je me plaque subitement tout contre l’arrière-train rebondi de notre chère et tendre hôtesse. Mon bassin se presse à ses fesses, comme le font mes cuisses dénudées, et comme le fait... vous savez bien quoi. Mes yeux s’écarquillent de surprise et je me tétanise, le sexe au repos s’enfonçant dans le sillon inter-fessier de la jeune femme, pendant entre nos quatre jambes sur pas moins de vingt-cinq centimètres, dans un état quelque peu... ballant, qui ne saurait durer bien longtemps.

« Oh... j-je... désolé ! Ce... ce n’est pas du tout c’que... »

J’essaye de reculer, gigote, mais rien n’y fait.
Ma main « valide » se pose contre ces douces fesses pour prendre appui et je pousse comme pour m’extirper. Mais là encore, rien n’y fait. C’est là comme si ce je ne sais quoi me poussait vers elle comme il la tirait vers moi. Comme aimanté à cet arrière-train que je m’étais perdu à mater ne serait-ce qu’un tout petit peu, je ne pouvais désormais plus m’en défaire.

Puis j’eus la sensation qu’une main, à la poigne étonnante, venait se poser sur la mienne. Sans plus aucun contrôle sur mon corps, ma main, sur ses fesses, se serrait sur sa chair, l’attrapait plus durement. De ma main blessée, je tentais de me défaire, là encore.

« Je n’sais pas c’qu’il se passe... »

Me sentant devenir fiévreux, mon regard, qui oscillait hâtivement dans tous les sens, finit par s’arrêter, par se poser simplement, sur la jeune femme tenue devant moi. Je posais ma main libre mais douloureuse sur sa hanche, appuyant à peine, comme je le pouvais... même si je me savais bien incapable de me défaire de cette étreinte.

Ne parvenant pas à me calmer, je reprenais cependant un peu mes esprits, tentant de me faire aussi rationnel que possible. Enfin, la surprise passée, je me mis à sentir la chaleur de notre étreinte, à... en profiter. Ma main, chaude, brûlait sa peau qui me semblait si fraîche, si douce. Mon sexe, blotti bien au chaud de ses fesses jusqu’entre ses jambes, imprimait tout contre elle ses contours disproportionnés, gonflant lentement mais sûrement. Bien que cette situation soit plus gênante encore qu’inexplicable, il fallait bien avouer que cette chaleur, en ces zones de mon corps, était tout à fait délicieuse.

« Ce n’est pas ce que vous croyez. »
« Modifié: jeudi 30 décembre 2021, 01:02:30 par Bando »

Bando

Humain(e)

Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

Réponse 3 dimanche 02 janvier 2022, 21:57:05

Il dut se passer un instant, plus ou moins bref, avant que je ne comprenne vraiment la situation, avant que le bizarre ne finisse par me paraître plausible et avant qu’enfin, je ne comprenne que je n’étais pas le destinataire des dernières invectives de la jeune femme, prisonnière avec moi.

Je l’avais sentie, sous la surprise, tenter de comprendre comme moi la situation, qu’elle avait bien sûr mal interprétée en premier lieu. Je l’avais sentie me chercher du regard sans y parvenir tandis que je m’accrochais à ses fesses charnues, avant que ce ne soit la surprise dans ses yeux que ne puisse que deviner alors que son regard balayait entre nos jambes dans un hoquet de surprise. Bien incapable de me desserrer de son corps, les secondes me parurent longues tandis que je la savais m’observer et que... malgré la situation, j’en gonflais un peu, excité du simple fait de la savoir hypnotisée par le mouvement de balancier de mes attributs contre ses fesses.

Ma surprise est ainsi grande lorsque, à cet haussement de ton autoritaire que la jeune femme prend, tout vient alors à s’arrêter. Extirpé avec force de son corps, je tombe avec fracas en arrière, me réceptionnant sur ce poignet qui me déjà souffrir.

Je n’ai le temps de rien dire, couché au sol et les jambes grandes écartées face à celle qui, triomphante un bref instant, se relève en se couvrant les yeux pour me rassurer. Bien sûr, je cherche à comprendre, bien hébété alors qu’elle me dit de ne pas m’en faire pour cet incident. Qui ne chercherait pas à savoir ? Ce n’était certes pas la première fois que je me trouvais confronté à ce qui pourrait être qualifié « d’étrange » toutefois, jamais ô grand jamais n’avais-je eu affaire quelque chose d’aussi... immatériel. Et puissant de surcroît.

Les questions qui me viennent en tête trouvent bien vite leurs réponses sans que je n’ai à formuler quoique ce soit alors qu’autour de nous, certains éléments du décor viennent à se surélever, comme prenant vie. Ainsi, le mot fantôme est donné. A priori. Bien vite, mes yeux s’écarquillent à nouveau de surprise quand l’infernal ballet reprend de plus belle. Sous mon regard impuissant, le vêtement de mon hôte s’envole de nouveau, se soulevant d’un coup d’un seul pour libérer de son étreinte cette gigantesque poitrine toute ballottante qui retient un temps mon regard. Deux gros et magnifiques seins qui se libèrent en mouvement pour le régal non contrôlé de mes yeux, tandis que leur propriétaire redevient la prisonnière des quelques esprits malins qui rôdent tout autour. Ses bras se tendent bien haut et son visage se couvre comme si on la ficelait. Je n’ai le temps de rien, sous la surprise, et la voilà qui, lourdement, tombe à genoux face à moi en tentant de s’expliquer.

À peine ai-je le temps de tendre un bras vers elle quand je la sens tomber que la jeune femme vient à s’écraser tout contre moi, extirpant un hoquet de ma bouche. Ses bras tendus bien haut tout contre mon torse, je la sens, entièrement nue, presser le poids de tout son corps contre le mien, ses deux merveilleux obus écrasant mon sexe, longuement étendu tout contre mon ventre.

« Oouf !!! »

L’oreille tendue, je comprends bien sûr ce qu’elle tente d’articuler difficilement tout en se débattant pour défaire ses liens de fortune. Redressé sur l’un de mes coudes, je pose les mains sur le tissu que je tente d’extirper de là. Tenant sa tête tout contre mon abdomen, à quelques centimètres seulement de la pointe de mon sexe qui ne cesse de gonfler, j’entreprends de défaire son bâillon, glissant avec difficulté le morceau de sa chemise hors de ses lèvres tant il me résiste.

Ne cessant de se débattre, la belle gigote, ondule son corps nu contre le mien. Inutile de dire ô comme l’aspect mécanique des choses vient alors supplanter la raison en cette situation. Mon corps, auparavant si froid, se réchauffe sous l’incessante friction de ses seins autour de mon sexe qui ne se fait plus prier pour s’étendre. À chacun de ses assauts involontaires, voilà que je prends plus de volume, plus de place entre ces deux merveilleuses mamelles qui s’écartent sous mon poids. Sans lubrifiant, le poids de ces merveilles me tire, me comprime et tend grandement ma peau, mais mon esprit, désormais échauffé, ne peut en rien contrôler cette zone de mon anatomie. Il ne faut ainsi pas longtemps pour que je double presque de volume, pour que mon coeur ne pompe assez pour faire vibrer mes veines dans lesquelles mon sang fuse. Coincé entre ses seins, je me décalotte de moi-même. 33... 34... 35... 36... 37.

Courbé le visage au-dessus d’elle, la main dans ses doux cheveux blonds, mon souffle se fait bien plus chaud tandis qu’elle n’a aucun contrôle sur cette masturbation qu’elle me donne tout en lourdeur.

« Ouf... hoo... at-attendez. »

Un bruit, là, sur le parquet, attire mon attention quand un curieux objet vient à glisser vers moi. Attrapant ce dernier, je comprends aisément de quoi il en retourne, sans pour autant être coutumier de ce type de jouets. Mes sourcils se froncent à la lecture du message qui l’accompagne, me prenant à penser que les esprits auxquels nous avons affaire ont une étrange façon d’envisager ce qu’est un moment agréable. Si ma position s’avère bien confortable et... sacrément excitante, j’avoue penser que notre chère amie là, tout contre moi, aurait son mot à dire.

Secouant la tête, je balaye la télécommande d’un revers de main.

Cet affront aussitôt fait, je me trouve de nouveau bousculé, glissant avec violence. Ma tête tombe retombe lourdement sur le plancher et... mon coude écrase le jouet avec fracas. Je grogne et me redresse aussitôt avant de comprendre, en entendant de silencieuses mais puissantes vibrations.

« Merde ! »

La télécommande en main, j’appuie à répétition et comme un forcené sur ce bouton « ++ » qui semble s’être coincé, sous l’effet de mon poids, ou du fait de nos visiteurs nocturnes.

« Ça marche pas... putain... oh... haan »

Il ne me faut que peu de temps pour voir d’ici comme le joli cul en coeur de la jeune femme se met à trembler, avec le reste de son corps. Sans savoir quoi faire, quelques premières secondes passent tandis que mon bassin se met à remuer de lui-même pour loger mon sexe dans son épais fourreau, quelques secondes pendant lesquelles j’observe l’arrondi parfait de ces fesses qui ne me font que plus bander encore.

Revenant à des pensées plus rationnelles, je fais de mon mieux pour me contorsionner un peu plus. L’une de mes mains plaquant toujours la tête de la jeune femme tout contre moi, l’autre se tend pour chercher à atteindre son derrière. En un claquement bien sonore, je m’en saisis enfin. Mes doigts s’y accrochent avec vigueur, écartant sa petite fesse qui sert de prise à mon escalade.

Baissant la tête pour la regarder, je déglutis bruyamment.

« Il faut que je le sorte... »

Tout en la plaquant fortement contre moi, mes doigts glissent entre la raie de ses fesses, effleurant son orifice interdit pour se poser, du bout seulement, tout contre sa fleur délicate qui ne cesse de vibrer.

Bando

Humain(e)

Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

Réponse 4 jeudi 13 janvier 2022, 00:15:54

Je suis en train de crever de chaud, dans cette maudite chambre.
Tout s’embrume dans ma tête, pris à partie par ces esprits aux farces douteuses. Je n’ai plus aucune idée de ce sur quoi je dois poser mes yeux. L’ennemi est invisible et seule la position fâcheuse dans laquelle ce dernier nous laisse saurait attirer mon attention.

Elle et moi, nous avons beau lutter, essayer encore et encore, rien n’y fait. Sa chemise est fermée, comme aimantée à ses yeux en un bandeau. Nous nous épuisons à nous débattre, tentant de desserrer notre étreinte, sans jamais y parvenir. Nos corps, nus, ne cessent de se frotter l’un à l’autre, d’échauffer nos esprits... le mien en tout cas. Je ne peux dès lors qu’avouer toute ma faiblesse, en vous avouant qu’en vérité, la position ne m’est pas tant inconfortable. Je ne peux en rien me résoudre à profiter de la situation, ni à ne pas tenter de venir en aide à ma somptueuse hôtesse... toutefois, l’écrin de fortune qu’est celui formé par ses deux énormes seins autour de mon sexe n’est pas pour me laisser indifférent.

Tout son corps, en fait, appelle à mon désir. Elle est... belle, franchement bonne si je dois réduire cela au fait que je ne vois presque plus rien de son visage depuis un moment déjà.
L’œuf vibrant entré en elle, je n’ai que ses formes et sa petite voix pour seule compagnie, abandonné par son regard délicat pour ne plus me concentrer que sur sa voix qui se tord dans des gémissements qu’elle est bien incapable de me cacher. Je sens son souffle se réchauffer, tandis qu’elle laisse sortir sa langue, toute haletante qu’elle est. Ces petits courants d’air viennent frapper l’épaisse pointe de mon sexe et me font frissonner, tandis que je baisse les yeux pour regarder sa bouche s’ouvrir en grand. En moi je bous, bien trop tenté à l’idée de pousser un peu sur sa tête que je plaque déjà contre mon aine. Je me contiens pour ne faire aucun mouvement brusque, pour ne pas me laisser aller à faire balancer mon sexe d’avant en arrière entre ces seins dont je sens les petites pointes roses se durcir contre mes cuisses.

Elle se cambre, gigote et bouge les jambes du mieux qu’elle peut pour me donner un étonnant libre accès à son cul rebondi. J’ai beau avoir sa fesse dans la main, elle n’en dit mot, me laissant alors faire, s’abandonnant à moi par désespoir, me suppliant pour que je lui vienne en aide. Bien cramponnés à elle, mes doigts tâtonnent, glissent contre ce petit sexe que je découvre trempé. Bien résolu, je me décide à pousser sa porte la plus intime, mais... il faut croire que nos geôliers en ont décidé tout autrement.

Poussés avec violence par une autre de ces forces invisibles, nous voilà à échanger de nouveau nos places. Je me réceptionne comme je peux, en prenant soin de pas heurter mon poignet blessé, mais ce n’est pas vraiment la peine, tant notre basculement n’a rien de naturel. Nous ne sommes là que comme deux pauvres poupées, mises là où ces fantômes veulent nous voir être, dans ces positions qu’ils ont envie de nous voir prendre.

Au-dessus d’elle, les mains posées au sol quelques secondes, je m’accord un très bref répit pour retrouver toute ma tête. Mon sexe n’a que peu bougé, toujours logé tout contre la poitrine de la jeune femme. Toutefois, je constate en me redressant comme la donne a légèrement changée. Mes bourses écrasées contre son sternum, me voilà maintenant étendu, posé de tout mon long jusque contre le bas de ce visage délicat. La garde tout contre sa bouche entrouverte, le gland juste au-dessus... Je m’empresse de soupeser le tout pour me retirer de là quand, bien vite, ces autres me rattrapent. Pas moyen que je me redresse, ou que je ne cherche à me relever. Mes cuisses sont comme maintenues fermement au sol.

Il n’y a que ma pointe que je peux encore surélever un peu, me tenant bite en main pour ne pas la lui coller en plein visage, tandis qu’elle se prend à gémir chaque fois plus fort. Je me tourne comme je peux pour la voir comme je la sens quand elle se contracte par intermittence, sous l’impact des petites décharges qui doivent assaillir son sexe. Me penchant un peu vers l’arrière, je pars reposer ma main contre l’intérieur de sa cuisse. Doucement pour ne pas l’effrayer davantage, je monte pour la prévenir de mon arrivée, repartant en quête de ce qu’il se trame entre ses cuisses.

« Je m’en charge... doucement... doucement... »

Sous l’effet du plaisir, de toutes ces frictions incessantes contre son corps, je la sens perdre pied. Ma première main lâche sa prise pour la relâcher contre sa joue, quand je sens ses doigts se poser sur mon corps. Comme une désespérée, elle glisse, tente de se rattraper à tout ce qu’elle peut. Ses mains parcourent mes jambes, puis s’enfoncent contre mon aine, entre mes poils fins et clairs. J’arrête soudainement tout, quelques courtes secondes à peine, quand ses petits doigts viennent se poser sur la base de mon érection. Je peine à contenir un petit souffle, presque soulagé que je suis en la sentant me toucher. Lentement, elle glisse, ses mains passant entre ses seins, tout en gardant un très léger contact avec ce qui y est bien enfoncé.

Incapable de faire quoique ce soit d’autre que de me mordre les lèvres d’envie, je reviens placer une main délicate contre son petit sexe épilé. Je l’effleure d’abord lentement, glissant jusqu’à sa petite entrée mouillée. Par réflexe plus que par volonté, je trace de mes doigts quelques petits cercles tout contre cette zone délicate avant d’entrouvrir ses lèvres. Doucement, j’enfonce alors un doigt, ce qui sera bien sûr, j’en ai conscience, bien trop peu pour aller attraper le petit jouet qui la met tant à mal.

Doucement, j’en insère un deuxième, ce qui n’est pas si compliqué, tant son jus se fait abondant là en bas. Peu à peu je m’enfonce, travaillant de quelques va-et-vient difficiles dans cette petite chatte qui ne cesse de trembler, de se contracter avec force pour ne pas me faciliter la tâche.

Me retournant vers elle, je crois bien sentir que je ne peux pleinement me retenir en la voyant ainsi; Ma seconde main vient effleurer l’un de ses seins, puis c’est mon poignet tout entier qui s’y pose, s’enfonçant sur ce mamelon si tendu. J’entrouvre alors ce peu d’espace laissé entre ses seins, inciter la jeune femme à poser ses mains plus profondément encore. D’une légère contraction de mes muscles, je viens redresser l’immense barreau brûlant qui s’y trouve. Je me frotte doucement à ses doigts, l’incitant à se saisir de cette prise comme quelqu’un en train de se noyer pourrait se tenir à une branche.

Collant l’énorme sexe entre ses mains et pris de chaleur, je repars à l’assaut du sien, l’ouvrant d’un troisième doigt. J’accélère, accélère et accélère encore mes va-et-vient, dans un rythme légèrement moins effréné que celui de l’œuf, jouant avec lui comme en canon, tandis que je parviens toujours pas à le rattraper.

Bando

Humain(e)

Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)

Réponse 5 dimanche 20 août 2023, 19:45:07

Quiconque pénètrerait à cet instant dans cette petite chambre à peine éclairée croirait surprendre deux amants en plein préliminaires, ou bien au tournage d’un porno, au vu de cette somme de mensurations hors-normes qui s’affairaient à se frotter les unes aux autres…

Mais quiconque serait arrivé jusqu’ici aurait sans doute été poussé par un élan certain de voyeurisme puisqu’il était vrai que, plus les minutes passaient, de plus en plus de bruit venait à résonner depuis cette petite chambrée.

Mon corps rendu brûlant par le spectacle improvisé de ces deux gigantesques seins nus pointant sous mes yeux, j’avouais sans peine ne plus vraiment savoir où j’en étais. Quand bien même mon hôte et moi étions sous l’emprise d’une force extérieure à notre volonté, il fallait bien croire que leurs manigances avaient su faire poindre en moi un désir qui m’était propre.

Mise comme à ma merci par les esprits malins qui hantaient la demeure, la belle tenancière de l’hôtel s’affolait nue, tout contre ma peau, et sa chaleur, comme le son cristallin de ses profonds gémissements ne cessaient d’attiser comme un brasier furieux jusqu’au plus profond de mes entrailles. Sans doute qu’une vie de labeur difficile et quotidien avait su raffermir ces muscles à l’apparence tendre, la belle demoiselle Nagata, en plus d’avoir été plus que gâtée par la nature, disposait de courbes à en faire rougir plus d’un.

Ainsi, à laisser ma peau frictionner contre pareille volupté, il m’en était chaque seconde plus difficile, de savoir si mes doigts cherchaient encore à lui porter secours, ou bien s’ils n’étaient plus que mus par l’envie de la toucher… et de lui faire du bien.

Las de ne trouver nulle part l’objet de sa torture, peut-être avais-je bel et bien fini par me laisser aller. Après tout, elle haletait. À chacun des doigts que je glissais en elle, ses soupirs semblaient plus forts et plus intenses. Le bruit de ses pieds glissant sur le parquet me faisant me retourner, j’apercevais même comme ses cuisses s’écartaient plus grands, tandis qu’elle humidifiait la paume de ma main de son tout petit sexe.

Oui… tout comme je n’avais pu me retenir de frotter mon énorme engin à demi-mou à ses doigts, je crois bien que mes sens avaient fini par me faire défaut. Je mourais d’envie de la toucher et savoir son corps en demande m’avait fait franchir cette ligne. Ayant abandonné contre ma volonté elle-même, je n’étais désormais plus qu’en train de la doigter fiévreusement, bien trop désireux d’être celui qui la fera jouir.

« Mmm-mmh ! »

Pris d’un sursaut, je m’arrête subitement durant un bref instant. Mes fesses se serrent sous la surprise, avant que celle-ci ne vienne laisser place à des sensations disons plus… plaisantes, quand les jolis doigts fins de l’hôtelière se referment vigoureusement autour de mon chibre.

D’abord surprise, comme je le suis, je la sens vite plus « curieuse », alors que ses doigts roulent contre mes veines palpitantes. Ses deux petites mains montent et descendent en douceur, et sa bouche s’ouvre soudain plus grand, lorsqu’elle gémit. Je retiens silencieusement mes frissons comme je retiens ces soupirs d’aise qui me gagnent. Je ne fais alors plus qu’observer, tandis que le ton de sa voix monte, tout comme sa bouche s’ouvre désormais si grand, qu’elle pourrait y loger l’énorme gland qui la surplombe, quelques centimètres au-dessus d’elle.

A-t-elle seulement deviné ce qu’elle a dans les mains ?
La question venant évidemment se poser, j’en viens tout aussi bien à me demander si cela veut dire que ses… « caresses » sont voulues, et si celles-ci sont alors une sorte de « rétribution », pour celles que je lui procure moi-même, en pénétrant de mes doigts son petit jardin de femme.

Avions-nous consenti, sans nous le dire, à nous donner mutuellement du plaisir ?

Je n’osais formuler cette question à voix haute, tant j’avais peur que cela mette fin à la course de ses petits doigts sur ma queue, qui devait apprécier fortement, tant elle trouvait encore le moyen de se raidir encore. Toutefois, il m’apparut une autre évidence, après quelques secondes à profiter ainsi : nos corps nus se mêlant chaudement, les fantômes du domaine semblaient nous foutre la paix.

S’ils étaient à l’origine de tout cela et que, nous voyant faire, ceux-ci ne nous contraignaient plus à rien d’autre, alors, serait-il à penser qu’ils voudraient nous voir coucher ensemble ? Était-ce donc là leur souhait ? Leur but ?

Cette seule idée traversant mon esprit, je me pris à mordiller mes lèvres plus fort, en imaginant la grosse lune de ma partenaire de fortune, que j’avais pu toucher plus tôt dans la soirée. Rien que d’y penser… Hm !
Il n’aurait pas été mentir que de dire que mademoiselle Nagata avait un gros cul. Un cul… énorme même, rond et bien ferme, tout blanc, sans doute dû à un cruel manque de soleil. Sans doute était-elle pudique, et pas du genre à le montrer à tout le monde. Ou bien n’avait-elle simplement pas le temps d’aller bronzer où que ce soit.

Qu’importe son bronzage de toute façon, puisque, la question qui vint me tarauder la seconde suivante vint vite effacer tout le reste. Dans cette immense bâtisse, en ce lieu si reculé… peut-être se sentait-elle même seule. C’est du moins ce que commençait à me faire penser l’amplitude si profonde de ses gémissements, à chaque fois que mes doigts remuaient en crochet dans sa chatte. Elle était si étroite, mais vibrait si fort… peut-être n’avait-elle connu aucun homme depuis longtemps. Peut-être que… et si…

Et si c’était la raison pour laquelle les esprits de la maison nous avaient réunis ?

Cette idée bien ancrée dans ma tête, j’arrêtais soudain tout. Enfin, pas si soudainement. Doucement, je ralentissais, puis retirais mes doigts, en ne regardant plus qu’elle, qui me branlait au-dessus de sa bouche.

« oooh… j-je... je suis désolé, vous me rendez... dur. Je ne peux pas le contrôler. Les... esprits. Est-ce que… est-ce que vous savez ce qu’ils veulent ? »

Observant la pièce dans tous ses recoins, comme pour espérer trouver leur trace, je m’arrêtais sur le futon disposé non loin, quand l’entêtant bruit de vibrations émanant de son sexe vint soudain s’arrêter.

Mes doigts effleurant ses fesses, je vins tracer du bout de mon index le profond sillon de sa raie, tout en remontant. Ne glissant que deux doigts en elle, je récupérais sans mal le petit œuf vibrant, qui sembla s’être déplacé tout seul, comme s’il avait assez servi comme ça.

« Ça y est ! »

Le reposant sur le parquet, trempé, je revenais ensuite à la regarder elle. Me sentant de nouveau libre de mes mouvements, je n’osa cependant pas bouger, préférant profiter encore un peu de cette branlette improvisée, au moins tant qu’elle pouvait encore m’être prodiguée.

La regardant intensément, je me courbais un peu et ramenais mes deux mains vers l’avant. Les faisant glisser tout en douceur le long de ses bras, le long de ses épaules, j’en montais lentement l’une d’elle jusqu’à la commissure de ses lèvres, puis plus haut. La deuxième s’arrêta à hauteur de son buste, mais je ne pus me résoudre à attraper son sein, quand bien même j’en mourais d’envie. La laissant posée tout contre le haut de son bras, je parcourais lentement son omoplate et ne pressait que mon coude à sa large mamelle.

Doucement, de ma main gauche, j’attrapais entre mes doigts l’étoffe qui lui recouvrait les yeux, pour tenter de l’en débarrasser.

« Est-ce que… vous pensez pouvoir bouger jusqu’au futon ? »
« Modifié: dimanche 20 août 2023, 21:07:10 par Bando »


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