Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid) [Fini]

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Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 15 vendredi 14 janvier 2022, 20:18:33

Souta prends le relai et réussit à faire claquer mes fesses contre son pubis. Un long gémissement s’extirpe de ma bouche entre-ouverte et colle mon front contre la vitre froide, pensant que ça m’aidera à me calmer. Rien du tout, que dalle. L’intensité de ses mouvements me font perdre la tête, ma chatte s’écarte comme elle peut mais mes muscles pressent sur sa bite comme pour l’écraser. Je sais que je suis petite et que par conséquent, mon vagin est proportionné à mon corps, mais j'ai couché avec d'autres mecs, j'ai encaissé des bites plus grosses que la normale et je n'ai jamais ressenti une telle pression. Il me remplit complètement, je ne suis même pas sure que ma cyprine a la place pour sortir. Quand ses coups de butoirs deviennent plus violents, je crois même que mes pieds ne touchent plus le sol. Il maintient mon corps frêle entre ses deux mains, une sur ma gorge, l'autre sur ma hanche, j’ai l’impression d’être manipulée comme une poupée. Une poupée en train de se prendre des sacrés coups. La position m’oblige à cambrer les hanches, basculant mon cul en arrière pour le rencontrer, mais ça ne fait qu’accentuer la pression de ma peau contre la paroi froide. Ma tête elle aussi bascule en arrière sous la poigne de Souta, il serre légèrement, provoquant un hoquet de désir dans ma gorge. J'ai presque envie qu'il serre plus fort, mais je suis incapable de lui dire le moindre mot. La température ambiante est mitigée, l’eau chaude, la baise, la jouissance approchante me donnent chaud, mais la vitre glaciale refroidit chaque centimètre de peau qu’elle touche. Ca a l’air d’amusé Souta d’ailleurs puisqu’il prends le temps de bien m’appuyer dessus, écrasant ma poitrine contre le verre.

Mes mains cherchent l’équilibre, ne le trouvant pas devant moi, l’une entre elles attrape l’épaule du jeune homme et plante mes ongles dedans. Je ne cherche pas vraiment à lui faire mal ou à laisser des marques, juste à ne pas tomber. Ses mots ne m’aident pas à retrouver mes esprits. Il me compare aux autres filles, celle avec qui il a couché avant, celles qui ont eu mal à le baisant. Je ne dis pas que c’est plus facile pour moi, je vais probablement avoir du mal à marcher dans les prochains jours, mais le plaisir est tellement intense et que ça vaut toutes les marches en canard du monde. Je me sens pleine à ras bord, pleine de lui, plein de foutre et de cyprine, sa bite tape dans les profondeurs de mon vagin, je ne savais même pas qu’on pouvait aller aussi loin. La pression de sa bite se ressent jusque dans mon ventre, il bouge contre mes entrailles. Je ne sais plus ou donner de la tête.

Une premier claque s’abat sur mon cul, m’arrachant un couinement audible. Une marque rouge de la forme de sa main apparait dans ma peau puis disparait rapidement. Je n’ai pas le temps de profiter de la sensation qu’une deuxième arrive. Mes fesses ne restent rouge qu’une petite seconde mais la brulure elle, reste et m’irradie, je suis un peu plus proche de l’orgasme. Deux de ses doigts viennent s’insérer dans ma bouche, récupérant de la salive, je les suce comme je peux entre deux respirations saccadées. Il essaye peut être de me faire taire, mes gémissements deviennent vraiment bruyants, je n’arrive plus à choisir entre respirer et gémir du plus profond de mes cordes vocales. Mes hanches continuent de bouger sur sa bite, c’est raide, c’est dur, c’est intoxiquant. Chacune des contractions de ma chatte m’envoient presque au 7ème ciel, je le sens brûlant l’intérieur de moi.

Le moment ou ses doigts viennent appuyer sur mon anus est le moment ou il me perds. Mon corps brulant n’est plus qu’un torrent de plaisir, je ne sais plus comment je m'appelle. « Attends Souta… Attends. » Je me tortille contre lui, essayant de lutter contre l’orgasme imminent. Mais mon plaisir est plus fort que tout le reste, j’explose autour de sa grosse queue et de ses doigts. Ma chatte se resserre autour de lui, contractant tous les muscles de mon bas ventre, l’aspirant presque en moi. Souta se perds lui aussi, quelques secondes après mon propre orgasme, il gémit, pousse mon visage plus vivement contre la vitre pendant que j’essaye de récupérer ma respiration et se vide en moi dans un long gémissement. Comme si je n’étais pas assez remplie, sa semence pèse à l’intérieur de mon corps, écartant, comme si c’était encore possible, les parois de mon vagin pour l’accueillir. Mais la pression est trop forte et Souta sort et s’écarte de mon corps dans un bruit obscène. Son sperme épais et ma mouille se mélangent et glissent le long de mes jambes jusqu’à rejoindre le sol de la douche. Je suis vidée, dans tous les sens du terme. Je me retourne vers Souta, gémissant légèrement en sentant le mur froid dans mon dos et attire le jeune homme sur moi. Son corps est chaud et réconfortant. Mes bras entourent son cou et mon visage se cache dans son torse. « Je m’attendais pas vraiment à ça. » Autant dire que je ne m’attendais même à rien, c’était la première fois que je couchais avec un patient à sa sortie de l’hôpital. L’expérience avait été interessante mais je n’avais pas l’intention de continuer à chopper mes patients. « Tu te rends compte que mes jambes vont être incapables de me ramener chez moi là? Il va falloir que tu me proposes un lit, je vais pas tenir plus de 5 minutes debout. » Bizarrement, pour baiser follement dans une douche malgré le manque de sommeil, j’étais partante, par contre, une fois finie, il n’y avait plus personne. Je le serre contre moi et embrasse sa clavicule devant mes yeux, laissant l’eau chaud nous nettoyer de tous nos pêchés. 


Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 16 samedi 15 janvier 2022, 10:02:27

Cette baise fut plutôt courte mais sacrément intense malgré le fait que je n'y suis pas allé à fond sur elle. Histoire de pas trop la marquer ou traumatiser dès le première soir. A l'écouter, la pauvre s'imaginait qu'elle aurait pu rentrer chez elle si elle n'avait pas finie dans cet état de fatigue physique. C'est mignon dans un sens de la voir penser que je lui aurais laissé le choix. La convaincre n'aurait pas été difficile vu la facilité avec laquelle elle s'est jetée sur moi depuis notre arrivée.
Que ce soit dû à une envie soudaine ou un manque à satisfaire m'importe peu. Ce genre de fille un peu soumise qui refuse de le montrer aux autres en redemandent souvent ou reviennent te voir avec des prétexte bidon pour justifier leur présence.

- Parce que tu comptais m'abandonner après avoir tiré ton coup ?

J'attrape alors une bouteille de gel douce, la retourne et en vide une partie du contenu sur ses épaules. Mes mains se mettent alors à faire mousser le gel rapidement en passant le long de ses bras, de ses hanches, de son ventre et terminent leur route sur sa poitrine.

- Cinq minutes ? On va devoir faire vite alors.

Je savonne, rapidement mais sans être brut dans mes mouvements. En dehors de quelques pressions ici et là, en particulier sur sa poitrine sensible, je ne fais que la laver.
Une main retourne faire connaissance avec son petit cul rebondit pour le masser et le laver à son tour. Puis j'attrape le pommeau de douche et commence à la rincer entièrement en le tenant d'une main. Pendant que l'autre vient se glisser dans sa chatte que j’entrouvre sans difficulté à l'aide de trois de mes doigts.

- Écarte les cuisses que je vois ce que t'ai mis.

S'ensuit un court mais autre intense doigtage en règle pour faire gicler une bonne partie de la gélatine que je me suis fais un plaisir de gicler au fond de son petit trou étroit quelques minutes auparavant. Là encore, je contracte les muscles de mon bras pour donner toute l'énergie nécessaire à mon poignet qui se fait un devoir de l'assister de la façon la plus neutre possible. C'est ça être un gentleman du nouveau millénaire.

La chose se poursuit encore quelques secondes. Je la relâche alors pour la faire s'effondrer au sol. Son cul vient s'écraser dans la flaque de sperme et de cyprine que l'on vient d'extraire d'entre ses cuisses.

Face à elle, je fais un pas en avant pour lui présenter ma queue encore souillée et maculée de sperme.

- C'est toi qui l'a dégueulassée, alors nettoie-là correctement avec ta jolie petite bouche.

Pendant ce temps je me savonne à mon tour et me rince. Cette débauche d'énergie m'a crevé et j'ai une super dalle. Je sors de la cabine de douche pour attraper deux serviettes. J'entends une à Astrid et m'essuie les mains avec la mienne pour chercher et prendre mon portable afin de commander un truc à la boulangerie du coin qui fait les livraisons de nuit et de bon matin. Histoire d'être tranquille je vise large.

Après un petit déjeuner plus que complet et survitaminé pour elle, on part se coucher pour récupérer vu qu'on en aura bien besoin tous les deux. On ne devrait de toute façon pas se réveiller avec le début de l'après-midi vu l'heure. Et ce sera l'occasion de faire plus ample connaissance si elle ne s'éclipse pas.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 17 dimanche 16 janvier 2022, 20:11:56

C’est presque mignon. L’eau chaude, le gel douche qui sent bon, l’extase post coït, les mains de Souta sur mes épaules, on dirait une scène de film romantique. Ca aurait même pu m’endormir la tout de suite sous la douche. Je sens ses mains qui se baladent, frottant rapidement chaque partie de mon corps, la mousse s’étalant un peu partout. «  T’abandonner, non. Rentrer chez moi et dormir dans mon propre lit, oui. » Je ne suis pas une de ses filles qui aiment dormir avec leur plan cul. Même s’il est 4h du matin, en retour de soirée et ivre, je préfère me faire baiser et appeler un taxi pour rentrer. Les mecs sont souvent peu intéressants au réveil. Mais avec Souta, je n’ai pas vraiment le choix. Déjà, j’ai bien compris qu’il ne m’aurait pas laissé partir. Je ne sais pas ce qu’il a en tête, mais il a pas l’air d’avoir fini avec moi. Et de plus, mes jambes ne m’auraient pas maintenus plus de 50m en dehors de cette douche.

Les nouveaux plans de Souta ont l’air de commencé plus tôt que prévue. Ses mains baladeuses passent sur ma poitrine avec insistance. Est ce que c’est vraiment pour me laver ou juste pour me peloter? Je ne suis pas contre un pelotage dans les règles de l’art. J’en profite tout autant que lui, collant mon dos à lui et rejetant la tête en arrière sur son épaule. Presque immédiatement, mes tétons pointent et re-deviennent dures. La moindre stimulation les excite en quelques secondes. Puis on passe de film romantique à un film carrément porno. Souta me distrait en passant de l’eau chaude sur moi pendant que l’une des ses mains part explorer mon entre jambe. Je couine de surprise, mes deux mains attrapent son poignet dans l’action. Trois doigts se faufilent entre mes lèvres sans aucune difficulté, ils baignent dans le foutre et la cyprine. Il me nettoie de l’intérieur, me fouillant rapidement avec ses longs doigts. Je frôle l’orgasme de nouveau. «  Putaaaaaain. » J’obéis a son ordre et écarte les jambes pour lui, pour qu’il sente à quel point il m’a ouvert. Sale petit con qui sait y faire. Si le but du jeu était d’être sure que je ne parte pas, il a gagné. Quand sa main s’arrête et me lâche, mes jambes s’écroulent sous moi et seul le sol me rattrape.

La, il me tends sa bite, toujours fièrement présente et m’incite à la nettoyer. J’aurais pu me débattre et répondre que je n’étais pas la seule à l’avoir salit, mais je n’ai plus la force. A genoux devant lui, je sors ma langue de mes lèvres et le lèche sur toute la longueur. Je n’essaye même pas de le prendre à l’intérieur, le souvenir de sa bite au fond de ma gorge quelques temps plus tôt m’avait suffit pour ce matin. Ma langue récupère toutes les traces de liquides visqueux sur lui. Pendant ce temps, Souta profite de sa douche et apparemment, de moi, la petite salope entre ses jambes qui le nettoie sans broncher.

Interlude petit déjeuner. Embrumée, je regarde plutôt Souta manger goulument qu’autre chose. Je choppe un vieux tee shirt à lui par terre, l’enfile et cherche à taton où pourrait être sa chambre. Il n’y a pas 8 000 portes dans cet appart, la deuxième est la bonne. Voyant que Souta a fini sa 3ème viennoiserie, je lui montre le lit de la tête. « Je t’empreinte ton lit. » Et me faufile sous ses draps. Quelques secondes plus tard, le jeune homme me rejoint et s’en est suivi une vraie bonne « nuit » de sommeil.

16h45:

Une odeur masculine me réveille. Les muscles de mes épaules et de mes cuisses sont douloureux, j’ai un gout amer et visqueux dans la bouche et même mon utérus a des courbatures. J’ouvre un oeil, aucune idée de l’endroit ou je me trouve. Ca ne m’arrive jamais. Une sensation de chaleur entoure mon sein et bien qu’elle soit agréable, ça n’est pas normale. Mon regard descends vers le bas et je découvre le tee shirt de Souta complètement remonté sur mon corps et sa main agrippant mon sein gauche comme s’il lui appartenait. Il a l’air de dormir paisiblement, son visage de gamin affalé sur l’oreiller. Je n’avais pas vraiment eu le temps de détailler son visage, j’étais un peu plus intéressée par ce qu’il avait entre les jambes mais il est très mignon. Sans son sourire arrogant et sa voix dominatrice, Souta a presque une gueule d’ange. Reprends toi Astrid putain, tu as déjà fais assez de conneries comme ça ! M’extirpant de l’emprise de mon amant du matin, je sors du lit, uniquement vêtu de son tee shirt. Mes affaires sont éparpillées un peu partout dans l’appart. En sortant de la chambre, je trouve un haut au sol puis un peu plus loin une chaussure. Je ramasse ce que je trouve sur mon passage mais ne retrouve que la moitié de mes fringues. J’ai apparement aussi perdue mes sous vêtements.

Une tasse d’eau fraiche en main, je rascasse ma matinée et me rends compte de notre comportement quelques heures précédemment, de mon comportement. J’ai couché avec un patient que je venais tout juste de suturer pour une plaie profonde. Mais à quoi je pensais? La plaie aurait pu s’ouvrir, il aurait pu avoir mal, il pourrait avoir un hématome. Putain il aurait pu mourir pendant la nuit. Je réalise que je n’ai même pas vu s’il était vivant, s’il respirait encore. M’étouffant presque avec mon eau, je retourne dans la chambre pour vérifier en vitesse. Souta est toujours passablement installé dans son lit, sur le dos, le drap couvrant la moitié de son corps. Bordel, il est baisable. Stop. Non. Il respire déjà, c’est une bonne nouvelle. Doucement, mes mains s’approchent de lui pour voir si la plaie est bien. Je soulève le drap et évidement, tombe nez à nez avec sa bite en semi-érection. Encore. La vie doit avoir décidé de me mettre des bâtons dans les roues. Je fais abstraction de l’objet de mes convoitises pour m’intéresser à mes points de suture, qui ont l’air d’aller bien. Mon diplôme est quand même un peu en jeu si le gamin venait à mourir d’une hémorragie, du coup je me permets d’aller tâter son aine, glissant mes doigts froids sur sa cicatrice et appuyant pour vérifier qu’il ne saigne pas en dessous. Le jeune homme gémit sous la pression de mes doigts. De douleur? De peur? D’appréhension? Je ne sais pas. La seule chose sure, c’est qu’il est bel et bien vivant.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 18 dimanche 16 janvier 2022, 23:44:29

Glander, flemmarder, traîner... Tous ces concepts sont appréciés et régulièrement abusés par ma humble personne au court de l'année. Par contre, si il y a un truc avec lequel j'ai du mal, c'est le décalage au niveau des horaires. Ce doit être un des seuls TOC que je possède. J'aime rester dans la même "ligne temporelle" que les gens normaux quand je le peux.
Ce qui est super contradictoire vu que je bosse pas mal de nuits quand je dois enchaîner les missions foireuses et risquées vu que les truands ne commettent que rarement des crimes, violents ou non, de jour.

Alors que je fais un rêve sympa où je rentre d'une soirée merdique avec un joli petit lot qui s'est occupée de mon cas jusqu'à finir avec moi au pieu, je sens une étrange pointe de douleur qui va et vient. Quelque chose semble appuyer sur ma peau alors que je suis en train de m'amuser à... Non, je suis en train de rêver là. Ou de me réveiller ? Je suis conscient ou endormi ? Merde, j'ai la tête qui tourne légèrement.

Mes yeux s'ouvrent lentement pendant que je laisse échapper un bâillement des plus explicites pour annoncer mon réveil. J'étire mes bras en l'air dans la foulée tout en descendant le regard pour constater que la fille de mon rêve est juste devant moi. Sa position ne pourrait être plus tendancieuse.

Ma trique se dresse alors d'un seul coup comme pour la saluer du satisfaisant travail accompli la veille sous la douche. Le regain d'énergie au levé, l'effet de la jeunesse. Je suis pas toubib après tout. Mes réflexions sur le sujet sont logiquement des plus abstraites.

- Je rêve où tu tentais d'abuser de moi dans mon sommeil ?

Je me redresse alors pour m'asseoir et me retrouver rapidement face à elle. Pas trop près non plus car l'haleine du matin ça touche tout le monde sans discrimination.

- La moindre des politesse c'est d'attendre que je sois réveillé pour en profiter.

Je me laisse alors glisser en avant en l’emmenant avec moi dans mon mouvement pour finir par nous retrouver tous deux face à face au pied du lit. Ma queue tendue, brûlante et tremblante d'énergie contre son petit ventre tout lisse.

- T'en as pas eu assez hier je parie. Désolé, ça m'arrive d'avoir des coups de mou quand je sors d'une nuit à l'hosto.

Il reste encore des viennoiseries emballées sur la table que je file ramasser et engloutir d'une traite en récupérant un peu de lait chocolaté froid dans le frigo pour que ça passe encore mieux. Le plein d'énergie effectué je peux enfin me mettre à réfléchir correctement pour démarrer la journée.
La nuit mouvementée qu'on vient de passer risque de me laisser des séquelles quelques heures au pire. Rien de bien méchant.

- Bon, on fait quoi du coup ? Tu veux laver tes fringues vite fait ? J'peux te filer un truc ou deux si t'es pressée. Okay, tu nageras un peu de dedans, mais ça peut le faire.

Dans mon placard on trouve un peu tout ce qu'on veut. Et parfois, surtout ce qu'on ne veut pas. Au moins tout y est propre. Là-dessus je déconne pas.
Fringues à moi, à des filles de passage qui pourraient venir les récupérer ou dépanner celles qui sont dans la situation d'Astrid. C'est pas tous les jours facile d'être un bon vivant. Au moins j'aide ma voisine comme je le peux dans les moments difficiles.
Pour les personnes les plus curieuses, on peut aussi trouver un sac avec des accessoires qui jonche à même le sol. Souvent entrouvert.

- Tu voulais rentrer hier, du coup j'vais te raccompagner. Pas jusque chez toi si tu veux garder ton adresse secrète. Mais pas loin quoi. Parce que faut faire gaffe, tu pourrais faire des rencontres douteuses rien qu'en sortant du boulot.

C'est vrai quoi, les rues sont pas toujours sûres en ville.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 19 mardi 18 janvier 2022, 16:03:01

Voilà aussi l’une des raisons pour laquelle je ne dors pas avec mes plans culs. Je ne sais jamais comment me comporter au réveil. Alors apparemment, aujourd’hui, c’est la médecin qui a dominé mon comportement, donc je me suis mise à tâter de l’aine chez un mec endormi. La plaie est souple et belle, il n’y a pas l’air d’avoir de sang en dessous. Elle ne laissera surement qu’une fine cicatrice. J’ai vraiment cru que je l’avais tué. Triste cause de décès, je pense que je n’aurais pas été à l’enterrement. Mes légères pressions, bien que discrètes, réveillent doucement la marmotte devant moi et il me retrouve encore une fois en position compromettante, visage au dessus de son corps. Putain mais c’est quoi cette habitude. D’un mouvement brusque, je me recule. « Non mais je cherchais pas à abuser de toi! Je voulais juste être sure que t’étais vivant. » Oui parce qu’entre voir s’il était mort ou abuser de lui, le meilleur des choix était la mort. J’aurais mieux fais de me taire.

Souta continue les allusions douteuses en m’embarquant avec lui hors du lit. Coups de mou? Il est sérieux? J’hausse les sourcils, surprise. A quel moment une bonne baise sous la douche, c’est un coup de mou? Mon regard va de sa bite à son visage, un peu perdue entre les deux. Je ne suis pas quelqu’un de timide, mais mon visage innocent a toujours dissuadé les gens de se montrer crues comme si j’allais être choquée de la moindre allusion sexuelle. Lui semble tout le contraire. Certes, on a couché ensemble hier, mais il n’a pas la moindre gêne devant mon air pure et chaste. Il préfère encore jouer et me montrer son érection matinale. « Oui c’est vrai que c’était pas terrible. » Je souris en coin, sachant très bien que je joue aussi avec le feu.

« Tu as du café? » Je meurs d’envie d’un café, de liquide brulant qui coule dans mon oesophage et qui me réchauffe. Je continue de fouiller dans son appartement, cherchant mes affaires. La plupart de mes fringues se trouvent dans la salle de bain, mais je découvre que mon tee shirt a trempé dans l’eau toute la « nuit », il est immettable. Je n’ai pas de soutien gorge non plus et me trimballer à moitié nue en ville ne fait pas partie de mes projets exhibitionnistes du moment. « Je peux t’emprunter un tee shirt alors? » Quand il acquiesce, je vais voir dans son placard pour un tee shirt propre. Son étagère de tee shirt n’est évidemment pas à ma hauteur, je tends le bras en l’air et attrape un premier qui n’a pas l’air d’appartenir à Souta, a moins qu’il aime les petites roses fleuris. Une autre de ses conquêtes. Je n’ai pas vraiment dans l’idée de porter le haut d’une autre fille et le jette sur le lit. Mon bras repart en exploration sous une pile de tee shirt, je me rapproche de l’étagère, ne regardant pas vraiment ou je mets les pieds. Mon genou cogne contre le coin du placard « Aoutch » et je trébuche sur un sac en essayant de me rattraper. Mon cul atterrit sur le sol dans un bruit sourd et quelques articles du sac se renversent par terre. Putain, c’est vraiment ma journée de la chance. Une paire de menottes noire, des pinces à tétons, quelques godes et… Un canard en plastique. Ca, ça me fait rire. Ca me détends aussi. Ca ne peut arriver qu’à moi, tomber dans le placard d’un mec et vider son sac à sextoys par terre. Je scrute le reste du sac, d’autres articles du même genre, mais alors le canard en plastique. Je le saisis, hilare et lui montre. « Vraiment? Dis moi que c’est toi qui l’as acheté? J’ai toujours cru qu’il n’y avait que dans les mauvais pornos qu’on utilisait ça. » Je me relève en riant aux éclats, le canard dans une main. Quelques tee shirts propres sont tombés avec moi dans ma chute, je pose le canard sur le coté et ramasse mon bordel, gardant un tee shirt propre vers moi pour l’enfiler.

Moi qui voulais me barrer comme une voleuse la veille, je me retrouve presque à avoir envie de passer un peu plus de temps avec lui. Bon peut être pas juste pour discuter mais sa compagnie n’est pas désagréable. Il n’a jamais été une rencontre douteuse en sortant du travail, bien que j’étais sceptique à son sujet au début. Clairement, le canard a joué en sa faveur. Il propose même de me raccompagner, tel un gentleman. « Tu sais, ma voiture est garée devant. » Je me hisse sur mes pointes de pieds et glisse mes doigts sur ses abdominaux sculptés pour parler à son oreille. « Mais si tu veux juste passer plus de temps avec moi, il faut le dire. » Et sur ce, comme une enfant, j’embrasse sa joue avant de m’éloigner de lui.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 20 mercredi 19 janvier 2022, 08:31:53

La présence d'un simple petit objet semble l'amuser pas mal. Faut dire que ce canard rappelle pas mal de souvenirs tous aussi loufoques les uns que les autres.

- Ah, t'as fait la connaissance de Raoul. Disons qu'il est entré dans nos vies.

Ouep, c'est clairement le bon terme vu que l'on n'est pas passé par la case magasin/caisse pour se le procurer. Son arrivée est associée aux mots-clés : mission, véranda, tourbilol, sandwich et conduite à 160 km/h sur sol trempé. Inutile donc de préciser qu'il a du vécu et qu'il fait désormais partie de la famille. Peut-être qu'un jour j'irai lui raconter les origines hautes en couleurs de cet objet.

- Peut-être qu'il est apparu dans l'un d'eux. Il a eu une vie avant moi.

Et si jamais c'est arrivé, cela ne m'étonnerait franchement pas un instant. Ce canard en plastique a une sorte d'aura qui semble l'attirer vers des situations inexplicables lorsqu'il est dehors. Du moins, la personne qui se balade avec vivra des expériences particulières et inédites. Merde, faut vraiment que je le teste sur Astrid une prochaine fois.

- Ah ouais, j'avais zappé.

Ce qui est normal après tout ce qui s'est passé la veille. A force de me taper les transports ces derniers jours j'ai cru qu'on était rentré en bus ou en métro de l'hôpital. Dans la foulée, un petit frisson me parcoure la colonne lorsque je sens ses petits doigts fins dessiner les contours des muscles de mon ventre pendant qu'elle suggère quelque chose d'intéressant.

J'attrape alors un de ses poignet d'une main pour l'empêcher d'aller plus loin et la ramène vers moi. Son corps si léger et menu se colle, non, se plaque contre le mien. Je peux sentir ses seins s'écraser sur ma peau à travers le t-shirt qu'elle porte comme seule tenue.

- Ouais, j'veux pas te laisser partir aussi vite. Vu que t'es en bagnole ce sera rapide pour rentrer. Ca me laisse le temps de te montrer comment je m'occupe de mes invités.

Ma main droite se glisse dans ses cheveux pour tirer un peu son crâne en arrière et me procurer un accès plus ouvert à ses lèvres que je viens embrasser de manière peu sensuelle. Ma langue part immédiatement à la recherche de la sienne. Un mélange de salive ne tardera pas à venir couler sur nos mentons respectifs durant les secondes que dureront cet échange.

Lorsque je libère enfin sa bouche, c'est ma main gauche qui part à l'assaut de la seconde qui se trouve plus bas. Deux doigts viennent frôler et caresser son clitoris le temps d'une seconde seulement pour aller ensuite se faufiler en elle. On est loin du doigtage brutal quand je lui ai vidé la chatte de mon sperme sous la douche.

- J't'ai vu loucher sur ma bite tout à l'heure.

Un troisième doigt vient rejoindre rapidement les deux autres pour vérifier son état d'excitation et m'assurer qu'il est aussi élevé que le mien au réveil. Généralement je peux démarrer sans trop de souci une fois que je suis bien réveillé. Et penser aux évènements qui ont eu lieu il y a seulement quelques heures aide beaucoup dans ce sens.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 21 jeudi 20 janvier 2022, 17:24:34

Cette histoire de canard me fait rire. Un simple objet peut égayer une matinée. Je le repose sur l’étagère, riant aux explications de Souta. Je m’attendais une explication sale, quelque chose de pervers mais même pas. Il est plutôt évasif, je me doute qu’il en a beaucoup plus à raconter mais qu’il garde ses informations pour lui pour le moment. « Peut être que tu auras l’occasion de me raconter toutes les histoires de Raoul le canard en plastique un jour. » Les histoires sur les petits objets trouvés partout dans les appartements des autres sont toujours les meilleurs. Souvent des souvenirs cachés qui n’ont aucun sens, sauf si vous demandez l’explication.

Souta ne perds pas de temps à continuer de m’expliquer plus. Un baiser sur la joue, une caresse sur les abdos et il est de nouveau prêt à jouer. Je sens toute sa vigueur se coller contre moi. Dès le réveil, mon amant est prêt à dégainer. C’est bon à savoir. Surement l’effet de la jeunesse. « Et tous les autres jeux du coup? Tu as l’air d’avoir un sacré collection. C’est pour tes invités aussi? » Ma tirade est interrompue par un amas de salive. Il glisse sa main dans mes cheveux pour me forcer à lever la tête et m’embrasser. Le baiser n’est pas doux ni délicat, mais il a le don de me montrer toute l’excitation du jeune homme et de faire monter la mienne. Il a envie de plus, il veux recommencer comme hier. J’ai à peine le temps d’en profiter que ses mains partent m’explorer. « Aaah putain oui. » Je ferme les yeux, blottie contre lui. J’ai déjà deux doigts qui me massent de l’intérieur mais Souta a l’air d’estimer que ça n’est pas assez et un troisième vient le rejoindre. Debout, les jambes tremblantes, gémissant sous son menton, j’essaye de garder mon concentration pour ne pas venir sur ses doigts. Il sait y faire le gamin. Mes hanches bougent au même rythme que sa main.

Je les sens s’introduire et se retirer lentement. Il veux faire monter l’excitation et me regarder gémir. Pas comme hier soir ou c’était urgent et brutal. Non, là c’est presque sensuel, c’est fluide. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » Lui dis je, souriant entre deux gémissements. Mes doigts quittent son ventre pour prendre en main sa queue qui nous sépare et commencent à le masturber très lentement. Ca ne glisse pas comme je veux. Je garde les yeux rivés sur Souta et porte ma main à ma bouche, récupérant de la salive de notre baiser baveux puis retourne lubrifier son manche devant moi. Ma bouche recherche la sienne une nouvelle fois, pendant que mon bras s’entoure autour de son cou, le reprochant un peu plus près de moi. En m’appuyant sur mon bras, j’arrive à me hisser près de lui. Mes jambes, bien qu’occuper par la présence de Souta, quittent le sol l’une après l’autre pour venir s’enrouler autour de son bassin, je ne lâche sa queue qu’une seconde pour me re-installer. La, du haut de mon perchoir, je suis plus près de ses lèvres. La position est plutôt… Instable, l’une de mes mains est coincée entre deux corps, l’autre s’accroche a son cou et Souta essaye de maintenir une main sous mes fesses et des doigts en moi. Nous allons avoir besoin d’un plan dur pour nous maintenir en position sinon c’est la chute assurée.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 22 vendredi 21 janvier 2022, 07:51:42

L'échange de salive reprend le temps d'un instant alors qu'Astrid me saute quasiment dessus. Préférant ne prendre aucun risque inutile je nous conduis tous les deux en direction du canapé qui se trouve dans le salon en la maintenant comme je le peux dans cette position. Je me laisse alors glisser sur le sofa pour me retrouver avec elle assise sur moi. Au moins on sera à l'aise et on pourra prendre notre temps pour en profiter un maximum une dernière fois avant qu'elle ne s'en aille. Surtout qu'elle est clairement plus que partante pour remettre le couvert.

Inutile cependant de perdre la moindre seconde inutilement. Ma main toute entière vient stimuler la jeune étudiante en médecine. Un quatrième doigt vient se glisser en elle pour la caresser et écarter un peu plus sa fente humide et préparer le terrain pour ma bite en même temps que ma paume part à la recherche de son clitoris pour le titiller autant que possible.

Au bout de 2-3 minutes j'inverse nos position pour faire en sorte qu'elle se retrouve à ma place, le cul sur le sofa. Je lui fait ouvrir les jambes et les avancent légèrement pour ne as qu'elle aille foutre de la cyprine partout sur mon canapé alors que je me redresse en m'éloignant le temps d'une seconde en souriant.

- Bouge pas !

De ma main propre j'ouvre le premier tiroir d'un meuble pour en sortir une boite de capote grande taille et ultra fines. J'amène l'emballage à mes doigts pour l'arracher d'un coup sec et me l'enfile sans perdre de temps. Je pourrais tout aussi bien la baiser sans. Elle s'est laissée faire hier et semblait même avoir aimé ça. Par contre j'ai la flemme de faire le ménage ou d'appeler quelqu'un pour s'en occuper. Pas aujourd'hui.

Je l'observe alors de ma position surélevée en me léchant les lèvres, imaginant ce qui m'attend. L'envie de retourner en elle est si forte que je file poser mon cul sur le sofa à côté d'elle. Ma main se glisse dans ses cheveux et les saisit pour lui faire comprendre qu'il est temps de se bouger. Une nouvelle galoche baveuse d'abord. Sale, dénuée de contrôle et de sensualité. Puis un ordre vocal.

- Reste pas plantée là, monte sur ma bite.

C'est de la même façon qu'hier que je la pousse à venir d'elle-même se remplir la chatte avec ma queue. Vu l'aura de soumise qu'elle semble dégager je pourrais très probablement la prendre de force si je le souhaite. Et ça viendra. Plus tard... Quand j'aurais décidé de m'amuser davantage avec elle.

Un long et viril soupir s'échappe d'entre mes lèvres lorsqu'elle finit par s'exécuter. Merde, la salope est aussi étroite que la veille alors que j'y suis pourtant allé de bon cœur. Combien de fois je vais devoir la baiser pour lui ouvrir tout ça correctement ?

- Putain... T'es toujours aussi serrée ou c'est parce que t'es heureuse de m'avoir ?

Tout en plaisantant je donne un coup sec et compact de bassin en elle pour la faire sauter sur moi.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 23 lundi 24 janvier 2022, 13:16:43

De son point de vue, je dois avoir l’air d’un sacré petit bout de chair excitée. Son regard dominant, la capote qu’il ouvre d’un main les yeux sur mon corps, sa main trempée qui vient de finir de me doigter, toute la situation m’arrache un gémissement alors qu’il ne me touche même pas. Je connais très bien mon coté pervers, j’ai découvert ma passion pour le sexe il y a un bout de temps maintenant, mais je reste toujours surprise par ma facilité de mouiller abondamment en toute circonstance un minimum excitante. Souta n’y va pas par 4 chemins, il enfile la capote et retourne s’assoir à coté de moi en m’ordonnant de m’empaler. Il a l’air d’avoir très bien comprit qui j’étais aussi, il a rapidement vu mon coté salope soumise à ses moindres désirs. Ses ordres ne vont pas dans l’oreille d’une sourde et me transcendent dans un autre univers de perversité.

Mes cuisses passent au dessus des siennes et ma chatte s’approche rapidement de sa queue tendue. Je mords ma lèvre inférieure en m’asseyant dessus. La veille, sa taille me paraissait énorme mais je ne voyais pas ce qui se passait. La, je peux voir et ressentir chaque centimètre de sa bite qui m’ouvre et me transperce. Pendant que mon cul se dandine pour me remplir moi même, mes mains attrapent sa nuque et l’approche un peu plus de moi, collant mon front au sien. Les parois de mon vagin s’écartent avec difficulté, j’ai encore l’impression qu’il est trop gros, que ça ne rentrera pas en entier. Le doigtage performant de tout à l’heure plus la baise de la veille ont quand même aidé à m’ouvrir puisque je finis par sentir mes cuisses touchées les siennes. « C’est de ta faute aussi. Putain… Quelle idée d’être aussi gros. » La cyprine commence à couler le long de sa bite, quelques gouttes éclaboussent quand il donne un coup de bassin qui m’arrache un long gémissement de plaisir. Je coulisse de haut en bas de plus en plus fort, de plus en plus vite. Mon plaisir monte en flèche, mes tempes commencent à se tremper de sueur, mouillant la base de mes cheveux au passage. Ma lèvre inférieur continue à être martyrisé par mes dents, mordant fort pour éviter de gémir trop fort. La vitesse finit par faire claquer mon cul sur ses cuisses, me forçant à jeter la tête en arrière et lâcher un soupir bruyant. Putain ses voisins ont du nous entendre plus d’une fois. Presque gênée, les joues rouges d’excitation, je porte ma main à ma bouche pour essayer de me taire.

Ca ne marche pas terrible et mes gémissements continuent de résonner dans l’appartement. « Tes… Tes voisins vont te haïr. » Entre deux respirations étranglés, je glisse ma main entre nos deux corps pour venir trouver mon bouton rose. Je commence à me branler, la devant lui, pendant que je le baise. « Ou t’envier. » Dans un sourire, je continue de monter et descendre sur sa queue monstrueuse, non loin de la jouissance que j’attends avec impatience. Mes seins ballottent sous son tee shirt, remuant au rythme des va et vient, les tétons dressés par l’excitation. « Souta… Encore. Plus fort. »
« Modifié: lundi 24 janvier 2022, 13:33:31 par Astrid Grace »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 24 mardi 25 janvier 2022, 10:27:36

Quel kiff de la voir s'activer sur moi sans que je ne bouge quasiment pas le moindre orteil. Elle se dandine en gémissant comme une adorable salope sur ma queue qui se fait masser et écraser avec une intensité presque aussi grande que ce matin à notre arrivée. Ses gémissements répétés et sa respiration de plus en plus saccadée me donnent envie de prendre le relai pour l'esquinter encore plus alors que je n'en fais rien. Non, chaque chose en son temps. Les cochonnes dans son genre il faut les garder aussi longtemps qu'on peut car elles sont rares.

- T'en fais pas pour eux, ils ont entendu bien pire.

Dans un quartier aussi merdique on a tous déjà vu et entendu tout ce qui est possible et imaginable. Une nana qui gueule en prenant son pied ça attirera plus les pervers qui veulent se rincer l'oeil que les lourds qui viendront se plaindre de pas pouvoir entendre correctement leur série télé. Puis l'après-midi il y a pas grand monde chez soi.
C'est l'heure où ça bosse ou tente de se faire du blé par des moyens douteux et risqués dans les rues merdiques de la ville.

Au bout de plusieurs minutes à rebondir dans tous les sens sur ma trique tout en allant jusqu'à se caresser, voilà que la petite Astrid me demande de m'occuper de son cas.

- Tu donnes des ordres maintenant ?

Je la regarde amusé. Mon regard plongé dans le sien qui pue l'envie et l'excitation. Mes mains viennent se plonger sous le t-shirt qu'elle porte pour se saisir de ses tétons alors que je me mets à lui offrir un grand sourire. Je les pince en les tenant prisonnier de mes doigts pendant que j'entame une succession de coups de reins pour m'enfoncer profondément en elle.
Mes hanches se soulèvent pour la faire vraiment rebondir sur moi. A la laisser faire tout ce temps je n'ai pas dépensé beaucoup d'énergie. Mes attaques se veulent sèchent, compactes et brutales pour lui faire atteindre son orgasme tant désiré.

Comme précédemment je ne cherche pas à me retenir pour faire durer le plaisir alors que je pourrais. Le but est de s'amuser et non de faire durer le plaisir de manière indéfinie pour cette première rencontre qui devrait en annoncer bien d'autres à l'avenir.

- C'est assez... fort... pour toi ? Salope !

Je continue d'enchaîner mes mouvements comme je le peux sans ménager ses tétons sensibles. De toute manière je ne compte pas m'arrêter avant de l'entendre crier sa jouissance et de remplir cette capote.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 25 vendredi 28 janvier 2022, 07:51:34

Une chaleur obsédante monte en moi sans que je puisse la retenir. Ma deuxième main glisse dans ses cheveux, agrippant une bonne poignée, plus par désespoir que par dominance pendant qu’il s’amuse à pincer mes tétons. Sa remarque me fait sourire. Il n’a pas vraiment tort, ça n’est pas vraiment moi qui es le contrôle de la situation. « Tu préfères que je dises s’il te plait? » Je suis en train de perdre la tête, ma chatte mouillant chaque centimètre de sa bite en moi. Il ne cherche pas de me baiser délicatement, il va directement au but, enchainant les coups de rein profonds avec son bassin. Sa queue tape dans le fond de ma chatte, m’arrachant à un soupir à chaque mouvement. Ma première main continue d’essayer de caresser mon clitoris gonflé, mais les mouvements de Souta m’empêchent de le faire correctement, je finis par abandonner l’idée de me caresser pour profiter de ses coups de butoirs . Mes hanchent suivent le rythme sec de Souta, me faisant sautiller au dessus de lui.

Mes tétons excités ne supportent plus le tee shirt qui les maintient légèrement. D’une main rapide, je viens soulever celui ci, le coinçant sous mon menton pour lui laisser libre accès à ma poitrine. Ils sont rouges et tendus à cause des manipulations du jeune homme, ils ne demandent qu’à être utilisé. « Mords les. » Dans un sourire, j’attaque ses lèvres devant moi. « S’il te plait. » Mes lèvres collés aux siennes dans un murmure excité, je ne peux m’empêcher de le narguer. La situation reste drôle. Quelques heures plus tard, c’était moi qui lui ordonnais de ne pas bouger et de rester en place et là, je me sens soumise à tous ses assauts. Je libère ses lèvres pendant que mes deux mains viennent presser mes seins ensemble, formant un étau accueillant. Ils ne sont pas énormes, pas dignes d’une actrice porno, mais ils restent raisonnables. Juste assez pour remplir une main chacun. Souta serait capable de me dire non juste pour m’emmerder donc je continue de les pétrir pour lui donner envie de répondre à mes demandes.

La position commence à me fatiguer. Après une matinée de folie et une courte nuit, je n’ai plus la même endurance, même si Souta a prit le relai, je sens que la force de mes muscles est limité. Je l’entraine sur le canapé pour s’allonger. Lui au dessus, moi sur le dos. Si Souta le voulait pas tout salir, je ne l’ai pas du tout écoutée. Mes jambes entourent son bassin comme pour l’enfoncer un peu plus en moi. Mon bas ventre se réchauffe, annonçant une jouissance proche. J’enfouis mon visage dans le cou de mon amant du matin et essaye de ne pas encore jouir pour profiter un peu plus longtemps du moment. « Souta, je vais venir… Encore plus fort. » Ma bouche s’ouvrit et ma respiration devient saccadée, je cherche un peu plus l’air, sentant sa queue taper contre les parois de ma chatte.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 26 dimanche 30 janvier 2022, 09:22:27

Cette nouvelle baise intense est sur le point d'arriver à son terme. Après m'avoir demandé de jouer avec sa jolie paire de seins, nous voilà allongé l'un sur l'autre sur le sofa. Ou plutôt moi sur elle pour venir la pilonner brutalement en la regardant quelques secondes avant qu'elle ne cache son visage dans mon cou.
Sa chatte me comprime de plus en plus depuis plusieurs secondes déjà. Ces heures de sommeil ne m'ont pas rechargé complètement niveau énergie. Il me faudra bien deux ou trois jours pour récupérer complètement de l'opération et de l'effet des médocs pour les virer de mon système. En tout cas ça ne me dérange d'y aller comme une brute en serrant les dents pour la baiser sans aucune pitié vu qu'elle ne demande que ça.

Mon rythme se ralenti légèrement le temps qu'une main vienne se saisir de son menton pour faire relever son visage et me permettre de la regarder droit dans les yeux. Je garde sa tête remontée avec une prise ferme. Ma paume est calée sous son menton pendant que mes doigts sont collées sur ses joues brûlantes.

- Regarde-moi pendant que je te baise !

Ma respiration est lourde et les mots quittent mes lèvres avec difficulté. Les hanches qui donnent toute leur puissance à mes pénétrations s'activent de nouveau comme une turbine. J'enchaîne, encore et encore. Mon gland cogne au fond de sa petite chatte. Ma grosse et épaisse bite force sur ses parois pour les repousser afin d'entrer encore plus vite en elle. C'est un double effort crevant qui me vide de mon énergie.

Au bout de quelques minutes je finis par lui arracher son orgasme tout en provoquant le mien. Mes lèvres se bloquent l'une dans l'autre quand mon sperme commence à gicler pour remplir la capote.

- Uuuurrrrrrrrggggggh ! Puuuuu... tain !

D'un geste réflexe je forme un cercle avec le pouce et l'index de ma main libre pour saisir la base de la capote qui se remplit à une vitesse folle. Ma bite est la première à quitter la fente d'Astrid en repoussant ses jambes qui me bloquaient fermement jusqu'ici. Je tire alors la capote quasiment pleine dans la foulée pour en foutre le moins possible sur le canapé.

J'ai chaud partout, mon corps est couvert de transpiration et je suis crevé. Cette nana ne connait pas le concept de la baise tranquille et relax ? On va devoir repasser par la case douche avant qu'elle se sauve.

Une main vient se saisir d'une de ses chevilles pour remonter et repousser sa jambe afin de pouvoir me poser sur le sofa et souffler un peu. Tout en reprenant ma respiration je remarque une grosse tâche de mouille sur le canapé. Je soupire de lassitude en me disant que je vais devoir faire venir quelqu'un pour nettoyer tout ça alors que j'avais pourtant fait attention. Sérieux quoi...

- T'es chiante, Astrid. T'as flingué mon sofa.

J'attends quelques instants pour qu'elle réagisse et me saisis de sa crinière sans trop forcer pour la faire s'avancer et se pencher en avant pour la faire se retrouver nez à nez avec ma queue tendue et suintante de sperme.

- Pour la peine tu vas venir me sucer, salope !

Dans cette position je pourrais très bien la forcer à se mettre à l’œuvre. Alors que non. La voir s'y mettre de sa propre initiative serait bien plus valorisant et excitant pour moi.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 27 mercredi 02 février 2022, 20:25:25

Nos corps n’arrivent pas à suivre un rythme régulier. L’un comme l’autre, nous avons envie de jouer, de continuer à s’exciter et à se chamailler mais la fatigue accumulée se fait ressentir. Souta s’exécute quand je lui demande d’y aller plus fort, il tape loin, brutalement mais l’intensité de ses coups de reins ralentit, son bassin planté dans le mien. Le souffle court, la tête dans les étoiles, l’orgasme me surprends presque, venant vite et efficacement. Les mouvements de Souta ont fait leur effet, les muscles de ma chatte se contractent autour de lui, comme pour chercher à le garder au plus profond de moi. De la mouille glisse le long de sa bite, le trempant lui et ses alentours, je ne me retiens pas et laisse la jouissance m’emporter. « Aaaaaaah… » Et elle entraine celle de mon amant qui inonde la capote de son foutre épais. Je le sens qui me remplit de sa chaleur, pesant dans mes chairs. Putain que c’était bon. Souta m’a épuisé. Lui aussi a l’air claqué, puis s’exaspère quand il découvre la trace sur le canapé. Pour voir l’étendue des dégâts, je me relève doucement sur mes coudes et regarde sous mes jambes. Effectivement, j’en ai mis partout, une belle tache de mouille gît sur le tissu de son canapé. « Merde. Désolée. » Dans un sens, il mérite un peu que je me foute de sa gueule. Il a pensé à tout son sperme qui coulerait partout mais pas à ma lubrification qui éclabousserait quand il me prendrait comme une brute. « Toi qui avais fais si attention a ne pas en mettre partout en plus. » Il comprends très bien mon intention et essaye de me discipliner en me présentant sa bite à sucer.

Sa bite devant le nez, je prends le temps de descendre du canapé et de m’agenouiller devant lui pour éviter de salir un peu plus son canapé. Je commence par lécher lentement la base de sa queue en le regardant. Terminée la baise brutale, c’est le moment ou tout le monde est crevé et veux prendre son temps. Ma langue récolte les traces de mouille et de sperme, prenant de le temps de faire le tour, pendant que l’une de mes mains s’amuse à tripoter ses testicules. Petit à petit, elle recommence le long de son pieu toujours très doucement, avant d’englober le gland pour le suçoter. J’entame des petits mouvements d’aller et vient sur lui, attentive à ses réactions. Souta a l’air d’apprécié le traitement, il bouge légèrement les hanches sous moi et essaye d’approfondir le mouvement. Je récupère aussi de mon orgasme survenu quelques minutes plus tôt et ma respiration commence tout juste à reprendre un rythme normal. J’avance lentement les lèvres sur lui et avale une partie de sa queue. A mi-chemin, je prends le temps d’aspirer fermement son bout de chair, extirpant ma bouche dans un bruit obscène pour mieux retourner le lécher. Ma main continue de caresser la peau délicate de ses couilles maintenant recouverte d’un peu de salive. Pourra-il me pardonner mes dégâts grâce à une fellation bien exécutée?

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 28 jeudi 03 février 2022, 12:34:16

- Hum ?

Un effet de surprise apparaît sur mon visage alors que je l'exprime oralement dans la foulée. En voilà une bonne initiative de se mettre à genoux pour que je puisse l'admirer à l'oeuvre visuellement tout en savourant ce qui va suivre. Lorsqu'une femme décide de prendre une position particulière c'est souvent car elle tient à faire les choses correctement. Ou alors c'est une habitude chez elle avec son côté soumise.

Je libère un soupir de détente lorsqu'elle s'attaque tranquillement à ma tige tout en la regardant droit dans les yeux. A l'expression de son visage, j'ai la sensation que l'on va en profiter tous les deux. Chaque geste est doux et clairement maîtrisé. Ce qui est loin d'une surprise après la pipe un peu accélérée das le hall d'entrée à notre arrivée. Ce genre de prouesse n'est pas accessible à la première venue.

Entre ces mains et cette bouche experte je ne peux que me détendre en m'enfonçant dans le canapé. Inutile de la guider avec mes mains cette fois. Un énième soupire m'est arraché quand elle décide d'engloutir la moitié de ma trique pour se remplir le gosier.

- Putain, ce que c'est bon. Continue...

On a... J'ai tout mon temps et c'est clairement une façon parfaite de l'occuper. Le mélange entre baise sauvage et fellation sensuelle me fait prendre un pied d'enfer. Va vraiment falloir que je choppe son numéro quand on aura terminé car il est hors de question qu'on ne se revoit pas rapidement. Une nana comme elle ça se croise pas à tous les coins de rue.

- J'adore voir ta petite bouche se déformer en avalant mon gland.

Les gémissements continuent de s'échapper de mes lèvres alors que je me contente de la regarder faire sans bouger le petit doigt. Hier elle a eu droit à une baise de sa gorge à presque s'en étouffer. Cette fois elle est libre d'y aller à son rythme.

- Au fait, j'suis curieux... Tu préfères garder le contrôle ou te faire remplir la gorge de force comme ce matin ?

Vu la situation, autant en profiter pour apprendre à mieux se connaître en commençant par les sujets les plus importants, non ?

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 29 dimanche 06 février 2022, 21:46:15

Si salir son canapé était énervant il y a 5 secondes, le sujet n’est plus du tout sur le tapis maintenant. J’avais réussi à lui faire oublier mes salissures. Les réactions de Souta sont plaisantes, il gémit délicieusement et s’enfonce dans le canapé. C’est l’une de mes parties préférées. Certes, j’aime être dominée, être soumise à un mec, le sentir grand fort et viril au dessus de moi, mais ça, ce moment où je l’ai au bout de mes lèvres, ce moment où je sais que pour rien au monde il ne bougerait un cil, ce moment où je sais que j’ai le contrôle, juste quelques secondes, juste le temps de le sentir pulser dans ma bouche et le voir oublier qu’il y a un monde extérieur, ça c’est le moment que j’aime.

Malgré la baise intense il y a peu, sa queue reste tendue, pas dure comme de la pierre à cause de nos nombreuses péripéties du jour, mais plus qu’honorable vu les circonstances. Sans le quitter des yeux, je continue à lécher la peau fine de sa bite, m’attardant sur le gland quand j’arrive en haut. Mes mouvements sont lents et maitrisés, je ne veux pas qu’il vienne, je veux juste qu’il prenne du plaisir à sentir sa queue explorer de partout. Comme elle n’est pas bandée à son maximum, j’essaye de prendre ce que je peux en bouche, forçant un peu pour arriver à quelques centimètres de son pubis. Sa bite me coupe la respiration, je sens son gland vibré dans le fond de ma gorge, l’une de mes mains enfonce mes ongles dans sa cuisse pour rester quelques secondes en plus puis je relâche, les lèvres pleine de salive et le souffle court.

Lâchant son pieu, je souris à sa phrase. Son interrogatoire est tout de même particulier. Ils ne se connaissent que depuis hier soir et les seuls sujets abordés ont été comment ils pourraient baiser et à quel point je suis une salope. « La maintenant, je garde le contrôle. Tu prends beaucoup trop de plaisir pour que je m’arrête là non? » Joueuse, ma main prends le relai de ma bouche pendant que je lui parle. Mon poignet se mets à bouger au même rythme que précédemment, lentement et sur toute sa longueur. Ma propre salive aide à le lubrifier pour que le mouvement soit fluide. Pendant ce temps là, mes lèvres remontent sur son torse, embrassant ses abdos et ses pectoraux au passage, venant donner un coup de langue sur son teton dressé pour finir dans son cou, tout près de son oreille. Mes dents et ma langue viennent titiller son lobe tout en continuant de le branler dans ma main. « Mais la plupart du temps, je préfère quand on ne me demande pas mon avis. » Au moins, ça a le mérite d’être clair. Mais sur ces bonnes paroles, je n’en ai pas encore fini avec lui. Mon corps redescends pour revenir me caler entre ses jambes. J’ouvre grand bouche et sors la langue, toujours mes yeux rivés dans les siens. Ma main vient attraper la base de sa queue pour venir la tapoter sur ma langue, lui montrant bien l’image qu’il aime tant de ma petite bouche sur sa grosse queue. « Et maintenant, tu me pardonnes le canapé? »


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