Une étrange sensation de chaud et de froid commence à s'entremêler en moi. J'avais peur et surtout je voulais dire non, mais je n'y arrivais pas. Avec le monde qu'il y avait, il me suffirait pourtant de crier. Ces jeunes gens tout autour de nous qui nous regardaient sans rien faire ou qui filmaient, pourrait peut-être alors comprendre si je leur demandais de l'aide? Mais je sentais bien que j'étais sous sa prise. Sous la menace de ce garçon, qui nous fait du mal et qui s'apprête à nous en faire encore plus en me violant non pas vraiment moi, mais tout le peu de fierté qu'il me reste encore. Tout le reste de dignité que je voulais encore essayer de préserver et de me raccrocher un peu, pour essayer de défendre ce que j'avais de plus cher... Alors qu'il en profite pour me provoquer encore, je l'entends crier à mon fils, ce qu'il envisage de me faire. Ce qui me faisait peur, c'est que je savais que Tetyhs ne s'en remettrait peut-être pas! Sa confiance et l'amour qu'il me portait, tout comme sa soeur Setyhs, volerait définitivement en éclat pour moi!... Mais je ne faisais rien... Je ne disais toujours rien... Je le laissais encore une fois faire à son gré, alors qu'on nous filmait...
C'est collé aux côté de ce très dangereux garçon, que nous traversons le lycée, avec sa main qui ne cesse de me tenir la hanche. Je ne savais pas où il voulait m'emmener et je n'osais absolument pas lui demander. C'est alors que nous finissons par arriver dans une salle de classe, maintenant désertée de tous et qu'il se met à me pousser à l'intérieur, sans aucun ménagement. Je me rattrape de justesse du déséquilibre, alors qu'il referme la porte. Raidis sur place, je le vois me faire son éternel sourire provoquant et inquiétant. Ce sourire destructeur et malaisant... Et sans oser bouger, il m'attrape par le bras, avant de me jeter sur l'un des bureaux de l'un des élèves de cette salle de classe. Lorsque je me rattrape encore une fois, je l'entends déclarer ce que je ressentais être maintenant comme une sentence. Ce n'était sûrement qu'un simple jeu malsain, pour cet affreux pervers violent. Et ce ne serait normalement pour moi, qu'un moment de soumission de plus à passer. Mais le vrai problème ici, c'est ce que je sentais que c'était différent! Je savais que si je cédais maintenant, que je risquais de répéter la même impardonnable erreur que j'ai commise l'autre jour, en lui donnant ma fille... Et alors, je savais que je perdrais cette fois tout! Comme il le disait, je ne serais vraiment plus rien d'autre qu'une chienne soumise, faisant passer ses plus bas instincts et prête à se donner, au sacrifice de l'amour de mes propres enfants! Mais plus que ses menaces, ce qui me faisait vraiment peur, c'est que ce garçon, cet adolescent sous ses airs destructeurs et méchant, semblait avoir déjà compris des choses à mon sujet... C'était comme si il lisait en moi! Comment est-ce qu'il faisait?
- Je... S'il te plait... écoute, je...
Sous la confusion et incapable d'exprimer les terribles enjeux qu'il pourrait y avoir avec mes enfants, si j'acceptais de coucher avec lui après ce qu'il avait fait à ma fille et maintenant à mon fils, je le vois sortir son téléphone de sa poche. Il le pose alors prêt de l'une des fenêtres de la pièce, avant de revenir vers moi. Avec la boule au ventre et cet éternel sensation de froid et de chaud qui se mélange dans tout mon corps, il pose une main sur mon entre-jambe encore recouvert, avant d'insister longuement dessus. Pendant que ma respiration se fait plus haletante, je le sens repousser le tissu de ma culotte, après une série de caresses. N'osant toujours rien faire, je ressens ses doigts me toucher le vagin. La sensation de chaleur et de froideur que j'éprouvais depuis que j'avais quitté mon fils avec lui, s'active encore plus intensément, surtout au niveau mon sexe qu'il était en train de toucher sans ménagement. Je suis tétanisée et j'ai l'impression de me faire dénuder mon âme elle-même, quand il continue d'appuyer sur les choses les plus secrètes et les plus dérangeantes à mon sujet. Toutes celles qui se trouvent à l'intérieur de moi. Et il voulait s'amuser à les mettre au grand jour, en me filmant avec son téléphone, pour ensuite aller les diffuser sans la moindre pitié, à mes propres enfants. Et en plus d'être parfaitement ignoble et immoral de faire ça, il savait donc que si je le laissais faire, qu'il détruirait toutes les convictions que j'avais encore à coeur de croire. Surtout comme l'importance de l'amour que je porte envers mes enfants et qui devait logiquement passer avant la satisfaction personnelle de mes instincts primaires, pour ne citer que les sexuels...
- Pitié... Je t'en prie pitié! Ne...
Pendant que je commence à le supplier de na pas faire ça, d'au moins ne pas me faire aller à coucher avec celui qui a violé et humilié ma fille, puis frappé et battu mon fils dans ménagement, ma voix se coupe. Je n'arrivais qu'à exprimer des gémissements... Et avec ce sourire qui va totalement finir par se tamponner dans ma tête, il se rapproche lentement de moi. Appuyée sur l'un des bureaux des élèves, il vient me coller fortement. Je sens qu'il essaie d'exercer lentement toute sa domination sur moi... N'ayant bien sûr pas les moyens de faire le poids face à lui, ça ne l'empêche pas de ressortir lentement ses griffes par surprise, devant mon regard apeuré. Comme si je suffoquais. Comme si je me transformais lentement en statue de pierre, il pose ensuite le bout ses griffes, sur mon cou. Je ferme alors instinctivement les yeux, sans bouger, sans parler. Il n'y avait plus que le bruit de ma respiration et l'écho de mes faibles plaintes, qui sortaient dans la salle.
Ce garçon venu lui aussi d'un autre monde et qui semble comme arriver à percer mon âme, me déchire ensuite lentement le pull. Lorsque je suis en soutient gorge, je rouvre les yeux en grand, quand j'entends la suite. Il me disait que je me tenais en ce moment, sur le bureau de mon fils!... Ce garçon sadique, sans principes et sans aucune limite dans ses jeux cruels, était prêt à me prendre sur le bureau de mon fils! Son objectif était vraiment d'essayer de briser symboliquement, le précieux lien que j'avais avec mes enfants! Il était prêt à le piétiner, dans le seul but de m'emmener à croire que mes intérêts sexuels, seraient plus importants qu'eux... J'avais l'impression de retourner à la trop longue période de ma vie, où l'on m'avait brisé. Faite de moi une parfaite esclave sexuelle, entièrement docile et aux ordre de ses maitres. Et ils avaient réussis! Combien de fois je ne les avais pas remerciés de m'avoir humilié? De leur servir de... pute bonne à baiser et à remplir?...
Comme momentanément absente, je le vois m'attraper par les joues, pour me forcer à tourner la tête vers son téléphone, qui doit déjà être en train de filmer. Pendant que je regarde dans la direction de ce qui risquerait de servir à briser et à humilier toute notre petite famille pour de bon, le garçon aussi sadique s'adresse directement à Tetyhs, par l'intermédiaire de l'objectif. Il imagine comme moi je me vois, en train de me faire prendre fougueusement, par le violeur de ma fille et par celui qui persécute gratuitement mon fils. Et tout ça pendant que je couinerais et que je lui en redemanderais indéfiniment. Et ces images, il compte le lui monter. Les montrer à lui, mais aussi à ma fille et certainement à tout le lycée. Je vais alors définitivement passer pour une mère indigne, qui préfère coucher avec les élèves et qui s'amusent à piétiner moralement ses propres enfants. Mais même si je sais que je ne pourrais pas l'en empêcher, je sais au moins que mes convictions, ma foi en mes enfants et l'espoir d'un futur, autre que celui de croire n'être rien d'autre qu'un jouet sexuel indigne d'être une mère, pourrait encore avoir une chance d'être préservé. Mais à une condition seulement... Je devais encore sincèrement croire que je ne pouvais prendre du plaisir, ni éprouver et exprimer le moindre désir, envers celui qui s'est amusé à détruire mes enfants. Si je le manifestais durant la durée que durera l'acte humiliant qu'il s'apprête à me faire subir, alors il aura prouvé avoir eu raison de moi. Je serais détruite et une partie de moi ne s'en relèvera plus jamais...
Comme s'il avait lu dans mes pensées, je l'entends rire comme il le sait si bien faire, avant qu'il ne me lâche ensuite le visage et qu'il finisse de me déchirer entièrement le pull. Puis il recule et il me fixe, tout en m'ordonnant d'enlever le reste de mes vêtements. Lorsqu'il me dit envisager de me donner son nom en tant que nouveau maitre, je frémis de haut en bas. Je savais que si il parvenait à me retirer l'espoir, la croyance en ce qui était pour moi le plus cher et le plus précieux au monde, que je serais vraiment une esclave sexuelle indigne, jusqu'à la fin de mes jours. Et en ce garçon, que je le veuille ou non, je trouverais forcément un inévitable nouveau maitre...
- S'il te plait... Je t'ai laissé faire du mal à ma fille... Je... Je t'ai laissé frapper mon fils sans rien faire. Ne fais pas ça!... Ne leur en fais pas subir d'avantage. Je t'en prie! Mes enfants ne vont pas s'en remettre, si tu leur montre ce que tu veux que je fasse avec toi. Je... Je ne sais pas comment tu sais tout ça sur moi. Je ne sais pas ce que tu es, mais ne brise pas ce que j'ai de plus cher au monde! J'aime mes enfants et tu sais peut-être déjà que ne peux pas éprouver du plaisir, de l'envie à coucher avec celui qui leur a fait du mal! Je t'en prie! Je t'en supplie! Laisse-moi partir! Laisse-moi croire qu'il y a vraiment de la gentillesse et de l'humanité, quelque part en toi! Je ne parle pas souvent de ce que j'ai au fond de moi et du coeur à des inconnus, mais j'ai bien sentis que tu avais vu certaines choses en moi...
L'oppression, la peur de perdre l'amour de mes enfants, associée à toute joie et fierté d'être une vraie et une bonne mère digne envers ses enfants, me faisait trembler sur place. Mais quelque chose en moi, semblait me retenir de m'effondrer complètement. Etait-ce vraiment du courage ou la simple lâcheté de ma soumission? Entre l'amour et la servilité que je me connais, qui est vraiment la vérité pour moi? Ce garçon cruel et joueur qui s'amuse sur le compte des autres, ne me laissera probablement pas vraiment d'autres issues possibles, malgré que je l'implorais. Pour la première fois de ma vie, il risquerait d'être inévitablement celui qui va me forcer à devoir faire face à la vérité des plus grandes choses, auxquelles je prétends tenir. A une seule vérité qui se dévoilera, en fonction de la réelle soumission que j'éprouverais, vis à vis de l'acte cruel qu'il s'apprête à me faire subir.