Tout ce qui se passait était digne d’un film d’un autre monde. Sennefer ne comprenait pas vraiment le comportement de la jeune femme. En plus d’être complétement perdue, elle ne semblait pas avoir les connaissances de ce qui l’entourait. C’était…surnaturelle de voir quelque chose comme ca. Tout ce qu’elle disait n’avait aucun sens. Son vocabulaire semblait sortir d’un autre temps. Qui utilisait encore de telle mots aujourd’hui pour s’exprimer ?
Mais cela devait-il expliquer les dégâts qu’elle venait de faire à ce bien qu’il comptait vendre afin d’augmenter sa fortune ? Et à la voir, elle n’avait en aucun cas les moyens de rembourser ce qu’elle venait d’abimer. Une perte de quelques mois qui s’annonçait et qui ne faisait pas plaisir. Mais en même temps, quelque chose n’allait pas dans cette pièce. Depuis tout à l’heure, il ne pouvait pas empêcher son fier soldat d’être au garde à vous !
- Si c’est le Comte qui vous envoie pour me capturer je ne vais pas me laisser faire, jamais je ne remettrais les pieds là-bas vous pouvez en être sur.
-Aucun compte ne m’a parlé d’une femme qui s’infiltre dans les biens des autres ! Avouez être employé par un rival pour saccager et mettre en échec la vente de ce bâtiment !
Tous les deux semblaient loin de la vérité. Une fille perdue dans un endroit dont elle ne semblait pas connaitre la technologie et un homme qui vit dans un monde moderne qui ne comprend pas qu’elle n’avait aucune expérience de ce genre de monde, pensant absolument avoir à faire à une saccageuse. Mais l’envie se faisait de plus en plus présente … elle allait rembourser, qu’importe comment et surtout … avec quoi.
Des démons … un couteau dans le plastique. Une invocation ? Qui ne verra que la chute de la demoiselle avant qu’elle s’appuyé n’importe ou pour soudainement laisser place à une scène qu’il aurait cru voir que dans un dessin animé. Coup sur coup, tout lui tombait dessus. La chute, puis un massage des plus délicat. Le couteau perdu au fond de ce plastique, il s’approchait alors, une bosse bien visible sur son pantalon.
- Cafard, un piège !!!!!
-Je ne comprend décidément rien du tout ! Calmez vous ! Non d’un chien !
Il s’approchait alors, s’asseyant a côté d’elle sur le bord du jacuzzi avant de prendre appuie sur le dos de la demoiselle afin de la garder coincé ainsi le temps de prendre le couteau et de le jeter plus loin. Maintenant qu’elle est désarmée, il continuait de la garder dans cette position, ne faisant guère attention qu’il l’avait légèrement fait bouger, laissant un jet de ce jacuzzi venir s’écraser contre ses lèvres intimes maintenant dénudé. Chose qu’il n’avait pas encore remarquer, se faisant simplement mouiller de plus en plus.
-Je ne sais pas ce qui se passe avec vous … ni ce que vous faites ici … ni … cette étrange sensation que je ressens en votre présence. Mais il va falloir vous expliquer … et me rembourser ces dommages.
Sennefer la regardait alors qu’elle avait encore la tete en bas. Le désir plus que grandissant maintenant qu’il touchait la peau de son dos dénudé avec une tenue si légère. Il n’avait pas conscience des phéromones qu’elle pouvait dégager. Et il était complétement en train de tomber sous l’emprise de ceux-ci. C’était évident. Puis, sa main glissa plus bas, son regard suivant sa main jusqu’à s’apercevoir de ce qui se passait entre ses jambes. Il s’en lécha les lèvres. Il avait trouvé la manière dont elle allait pouvoir le rembourser.
-Calme toi et oublie tout tes soucis … Tu es ici dans mon monde. Je ne sais pas qui est ce … compte. Mais je ne le laisserai pas me prendre une étrangère comme toi …
Sa main finit par caresser ses fesses et ses doigts glissaient doucement entre ses cuisses. Il couvrait alors son majeur d’une fine couche de glace lisse alors que le jet de ce jacuzzi était d’une température agréablement chaude. Et ce doigt se mit à glisser sur les lèvres intime de la vampire, manquant parfois de faire pénétrer cette fine couche de glace lisse, qui ne semblait pas fondre, en elle.
-Vu ta panique … tu sembles craindre quelque chose … Mais pas vraiment moi. Que dis tu que je te protège ? … En échange, tu sais ce que tu peux me fournir … n’est-ce pas ?