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Le retour du pérégrin !

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Grayle le pérégrin

Humain(e)

Le retour du pérégrin !

lundi 17 mai 2021, 00:04:22

Alors que le crépuscule annonce doucement son heure, un soir comme les autres après une journée comme les autres, une page de l'histoire se tourne. Loin, très loin, dans une autre dimension, une autre galaxie, une autre planète, un peuple se bat pour sa liberté. Le tyran Mackenchie tombe, après des mois de révolution. Et, alors que les portes de son château tombent, et que les membres de sa garde personnelle gisent sur le sol ou se rendent, le tyran livre un combat perdu d'avance face à un jeune homme inconnu, arrivé de nulle part.

Alors que leur affrontement secoue un monde pour les centaines d'années à venir, la réalité se déchire. Une faille apparaît, spontanément, de nulle part, à quelques mètres au dessus du sol, près d'un lycée sans histoire...

Le lycée Seikuzu, immense et réputé, malgré son grand nombre d'élèves, n'est pas toujours fréquenté. Les aléas des heures de cours, des vacances et des manifestations font que, dans une de ses arrières-cours, près du local poubelle, collé à deux bâtiments abandonnés depuis longtemps, donnant sur une ruelle étroite, on ne trouve pas grand monde.

Le hasard -ou était-ce le destin ? - voulait qu'une personne, si petite et insignifiante, soit témoin de la fin d'une époque primordiale pour un monde qu'elle ne verrait jamais.

Alors qu'elle est chargée -ou plutôt, ordonnée- de faire son devoir aussi civique qu'ennuyant de nettoyer l'arrière cour au balai, elle peut voir que la poussière se lève.

L'air s'alourdit.

Ses narines picotent alors qu'une odeur d'ozone envahit la cour.

Les feuilles volent, et un vrombissement irréel secoue le monde entier.

Une faille. Comme un couteau à travers une motte de beurre, elle fend la réalité. Orangée, elle tremble, comme prise d'épilepsie. Puis, dans un bruit aigue, pulvérisant quelques vitres alentour, elle s'ouvre... et crache un homme.

Il est grand. Puissant. Un barbare, musclé, une vraie montagne de muscles, un simple pagne, le corps recouvert de vieilles cicatrices, mais aussi de blessures récentes. Il laisse une traînée de sang derrière lui alors qu'il traverse l'air à toute vitesse, s'écrasant misérablement contre le mur, enfonçant légèrement ce dernier. Il se relève, vacillant, apostrophant un autre homme. Ses yeux rouges sont injectés de sang, exorbités, déformant son visage, ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules.

- Gr... GRAAAAAAAAAAAAAAYLE !!!

Car ils sont deux à être sortis de la faille. Le deuxième est un jeune homme. De taille moyenne, au gabarit athlétique. Des bottes en cuir, une veste de lin déchirée, pleine de sang, sans que le torse en dessous ne semble être blessé. Un pantalon vert sombre plein de terre, et une grande écharpe orangée autour des épaules, flottant irréellement dans l'air. Ses traits sont apaisés, ses yeux bleus, plein d'assurances. Il est aérien, hérault de tranquillité en face d'une boule de violence.

- C'est fini Mackenchie ! Même si tu me vainc, ce qui n'arrivera pas, tu ne retourna jamais en... hey, mais je connais ce coin ! Il ne semble pas du tout inquiet, sûr de sa victoire.

Il regarde autour de lui. Ces rues... oh. Une élève. Mignonne, de longs cheveux blancs... un peu jeune. Une première année ? Cet uniforme... Seikuzu ?

Oh. Une élève.

Flute.

- Hey, petite, écarte toi !

- TROP TARD GRAYLE ! Le barbare, avec l'agilité d'une panthère, se rue vers la jeune fille.

Tel un pistolero de l'Ouest Américain, Grayle dégaine. A une vitesse faramineuse, il ouvre une sacoche, et en sort un fouet doré. En un instant, avant même que le barbare ne fasse trois mètres, il se retrouve plaqué au sol, les jambes saucissonnées par le fouet. D'un coup vif du poignet, Grayle le tracte vers lui, avant de le soulever comme une plume, et de balancer le barbare contre une poubelle.

Le fouet disparaît, et les yeux bleus du jeune homme plongent dans ceux de l'étudiante.

- Pas de panique. Ne criez pas. Je m'occupe de tout.

D'un mouvement fluide et presque gracieux, il tire un long parchemin de son sac, qui vole autour de lui, et explose dans une lueur bleutée. Il disparaît, ne laissant que des murs translucides.

Le silence. Le barbare hurle, mais aucun son n'en sort, étouffé par les murs. Il attaque le pérégrin. Ses mouvements sont vifs, puissants, mais aucun ne fait mouche. A chaque attaque du colosse, le jeune homme se courbe, saute, esquive, glisse, aérien autour de son adversaire, sa longue écharpe flottant derrière lui. Il frappe, esquive, ré-attaque. Ses coups sont forts, lestes, violents, mais d'une violence calme, maîtrisée. Le barbare plie, s'agenouille. Il grogne. Il lève le bras, et, après quelques secondes, un éclair fond vers Grayle.

Il s'est déjà préparé. Une grande épée en main, il encaisse l'éclair, l'absorbe, et le renvoie sur le barbare.

Toujours dans un silence complet.

Le colosse tombe. Le combat, unilatéral, est terminé.

Grayle claque des doigts, et les murs bleutés translucides disparaissent. Le vent souffle doucement sur Seikuzu, faisant voleter ses cheveux et son écharpe. Il fait une légère révérence devant l'adolescente.

Après 3 ans passé sur une planète peuplée de barbares et d'amazones, il est content de revenir à la civilisation. Là où on n'essaie pas de vous passer au fil de l'épée à la première incartade.

- Bonjour, petite. J'espère que tu n'a pas trop peur. Il fait un clin d'oeil. Avec Grayle, tout baigne !

Il ouvre son sac -de toute apparence, vide-, et y range l'épée, de toute évidence bien trop grande pour entrer dans le sac magique. Mais elle entre, défiant toutes les lois de la réalité et du bon sens. Il y sort un sceau, qu'il dépose sur le cadavre. Doucement, ce dernier se désagrège petit à petit, se transformant en des cendres volant au vent, avant de disparaître totalement.

- Dis, on est bien à Seikuzu ? Je reconnaitrais cet uniforme en milles. T'es en première année ? Il fronce les sourcils. Flûte, on est en quelle année ?
« Modifié: lundi 17 mai 2021, 01:05:38 par Grayle le pérégrin »

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 1 lundi 17 mai 2021, 19:27:59

Mais quelle horreur! On vient de me coller à devoir balayer l'arrière cour, tout ça à cause d'une petite conne qui a voulu faire sa maligne avec moi! Elle m'a tellement énervée que je me suis levée en plein cour et je lui ai foutue une tarte en pleine gueule! Pour le reste, l'imbécile de prof n'a pas traîné pour me foutre des heures de colles qui se transforment en heures de... nettoyage... Et me voilà donc arrivée dans cet espace infecte qui déprave toute mon existence à devoir nettoyer ce lieu sordide, local à poubelles inclus...

- Berk! Mais c'est immonde! Il mettent quoi dans ces bacs? Des cadavres d'animaux ou d'étudiants trop cons que pour arriver à compter sur les doigts de leurs pieds?...

Je n'ai pas fais deux pas dans celui-ci, que mon estomac commence à se retourner. Non là c'était trop pour moi! Déjà que ma présence n'avait rien à faire ici, alors en plus de...

- Oh! Oh! Oh! Oh! Ooooh!!!!!

A peine je me remets de cette vision d'horreur qui se mêle avec ses odeurs putréfiantes qui contamine mes narines sensibles, qu'un vent incroyable se lève sans prévenir, en moins de deux secondes montre, horloge, réveil ou téléphone en main. Il est si puissant qu'il commence même à me pousser! Encore trois secondes de plus, que je vois des éclairs oranges qui se forment dans l'air et qui se suit avec une déflagration. Complétement en panique, je me colle au mur en me croyant être l'ultime témoin de la fin imminente de cette petite planète aussi grande qu'un grain de poussière dans la voie lactée. Et lorsque je rouvre les yeux, c'est pour voir un monstre avec un pagne... Ah non ce n'est pas un monstre en fait, mais plutôt une espèce d'humain de race dégénérée. L'homme venu du fin fond de la préhistoire s'écrase soudainement juste à côté moi, manquant de peut de broyer mon pauvre corps sous sa masse infecte et puante.

- Oh bon sang! Dégage! Ne me touche pas vermine!

Pendant que je me décale et qu'il crie comme une bête sauvage affamée avec ses... ses yeux rouges effrayants, un autre type sort par cette même lueur étrange... C'est bizarre parce que ça me rappelle vaguement quelque chose, mais dans une version différente...
Peu importe parce que pendant que je me décale héroiquement, ce mec qui est apparut et qui ressemble à un ninja avec son écharpe flottante, se met à lancer la tirade la plus pitoyable que j'ai jamais entendu de toute ma vie. Heureusement il s'arrête de parler en pleine action, mais c'est pour me voir me faufiler hors de cet endroit de fou...

- Ne faites pas attention à moi! Je ne fais que... aaaaaah!!!

Prête à trouver une excuse pour partir, voilà que son ami l'homme des cavernes avec son gros pagne qui doit cacher un truc que je n'ai pas du tout envie de voir, se précipite sur moi! Mais le gros mec dégueulasse, puant et super collant tombe au sol en se prenant la honte, pendant que le ninja le tire ensuite vers lui avec un... un fouet brillant... Là je me dis être heureuse de n'avoir respiré que pendant seulement trois secondes, les émanations sordides de ce local à poubelles... Bref peut-être que je suis en train d'halluciner mais en attendant, celui qui essaie de se faire passer pour le héros du jour, me demande de ne pas paniquer. Par chance, comme ce type m'a donc dit de ne pas m'effrayer de voir ce spectacle, il est donc certain que je ne peux que l'écouter et ne plus être terrorisée du tout! C'est magique! Les mots d'un homme parviennent toujours a apaiser les plus grand esprits de ce monde, comme le mien par exemple.

Réduite pour l'instant en spectatrice de ce fiasco monumental, le ninja ne s'arrête pas là et sort maintenant de son sac, un parchemin qui explose et qui fait apparaitre des murs bleus... Il s'ensuit ensuite un combat sans paroles, sans bruits. Tout me confirme que je suis bel et bien prise par une bouffée de délire et que je vais devoir appeler la police... qui elle-même s'en référera certainement à l'armée qui feront passer le message aux armées des armées de notre système galactique, pour qu'ils viennent inspecter ce local à poubelles très suspect.

La fin de combat tout droit sortit de mon imagination très productive, se termine avec un éclair que l'autre ninja renvoie sur le barbare avec son vieux pagne crade. Le colosse s'écroule, puis les murs bleus bizarres s'arrêtent de briller. Ensuite tout redevient calme, pendant que l'homme me salue et me demande si je n'ai pas eu trop peur...

- Pour... pour une hallucination que mon cerveau a créé en produisant une fin particulièrement ratée?

Encore convaincue d'être sous l'emprise d'une drogue tout droit sortie des poubelles de derrière, le type qui devrait apparemment être mon fantasme masculin, range son épée comme si de rien n'était dans son sac minuscule. Puis il en ressort un sceau qu'il dépose sur l'animal... Oui enfin c'est une bête pour moi! Donc l'homme issue d'un temps préhistorique se désagrège, pour certainement rentrer chez lui. Et lorsque tout est enfin terminé pour de bon, à part qu'il reste encore la présence de mon "sauveur", il me pose des questions qui sont toutes aussi stupides que celle de sa réplique inachevée de tout à l'heure.

- Qu'est-ce que ça peut te faire de savoir en quelle année je suis? Retourne dans le local à détritus et reste-y avec ton ami! En tout cas bravo pour les effets spéciaux. C'était presque aussi bien que ma magie. Dommage que tout ceci ne soit pas réel et...

Une seconde... Normalement mes sortilèges d'illusions doivent naturellement pouvoir me protéger contre les hallucinations. Ou au moins contre les effets subitement délirants qui proviendraient des drogues ou des émanations...
Pendant que je me rapproche de cet homme, j'utilise un pouvoir de dissipation mentale sur moi-même en touchant ma tête. Lorsque rien ne semble se produire, je touche le bras de l'homme. Ce mec semble réel...

- Oh non! Ne me dis pas que t'es vraiment réel? Tu ne vas pas me faire croire qu'il puisse exister sur cette planète, un mec capable de faire des répliques aussi pitoyables, qu'il sait faire des sortilèges abracadabrants? Et aussi ranger le tout dans un sac surprise, trop petit pour pouvoir transporter une épée?

Je regarde le sac qu'il tient pendant un instant avant de m'en emparer sans le prévenir.

- Donne le sac!

Lorsque je le tiens en mains, je plonge alors ma main dedans et je touche le fond qui me semble vide. Je le retourne et rien n'en sort non plus... Je lui le lui renvoie d'un air franchement blasé.

- C'est du bidon! Il n'y a rien là dedans! C'est que du vent depuis le début! Comme toi depuis que tu es arrivé ici, avec ton ami qui ne ferait pas fureur dans un défilé de mode!

Je croise ensuite les bras sans bouger, tout en regardant l'espèce de ninja pathétique qui me faisait face et qui croyait vraiment m'avoir impressionnée avec ses sortilèges et les objets de son sac. Mais le pire, c'est qu'il a faillit réussir! Pour une fois qu'un homme aurait put entrer dans ma haute estime, je suis vraiment déçue...
« Modifié: samedi 22 mai 2021, 15:51:00 par Setyhs Inoru »

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 2 lundi 17 mai 2021, 23:58:21

Grayle s'attendait à tomber sur une jeune fille normale, qui serait probablement terrifiée ou fascinée devant ce qui venait de se passer. Mais non. Il était tombée sur une jeune fille bien plus courageuse. Ou alors...

Ou alors...

Il fronça les sourcils, la dévisageant du regard. Ou alors...

*Ou alors, elle est complètement conne*

C'était sûrement le plus probable.

- Qu'est-ce que ça peut te faire de savoir en quelle année je suis? Retourne dans le local à détritus et reste-y avec ton ami! En tout cas bravo pour les effets spéciaux. C'était presque aussi bien que ma magie. Dommage que tout ceci ne sot pas réel et...


* Hein ? *


- Oh non! Ne me dis pas que t'es vraiment réel? Tu ne vas pas me faire croire qu'il puisse exister sur cette planète, un mec capable de faire des répliques aussi pitoyables, qu'il sait faire des sortilèges abracadabrants? Et aussi ranger le tout dans un sac surprise, trop petit pour pouvoir transporter une épée?

* Hein ?*

Interdit, il la laissa prendre le sac, regardant l'étudiante agiter ce dernier, avant de pester comme une gamine pourrie gâtée lorsque ce dernier ne répondait pas à ses désirs. Toujours silencieux, il reprend le sac.

Adorablement bougonne, elle croise les bras, le fixant avec colère. Leurs regards se croisent. Grayle, un sourcil froncé et l'autre levé, la regarde comme si elle venait de marcher dans une merde de chien. Il souffle, il expire. Ses yeux se plissent. Une larme en coule. Et...

... il explose de rire.

- HAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! OH MES AIEUX ! HUHUHUHUHUHU ! HAHAHAHA !

Il rit à gorge déployée, hilare. Le visage levé au ciel, il rit, encore et encore. Après trois ans sur une planète de barbares et d'amazones, où même la fille la plus fragile le dépassait d'une demi-tête, cette petite idiote arrogante n'a aucune idée d'à quel point elle est une bouffée d'air frais.

Sa main, calleuse et puissante, se pose sur le crâne de la jeune fille, dont il ébouriffe les cheveux d'un air paternel. Essuyant une larme de rire, il la regarde avec une gentillesse désarmante. Ses cheveux sont doux et soyeux. Une douceur qui lui a manqué de là où il venait.
 
- Oh, petite, tu es a-do-ra-ble, vraiment. Merci ! HAHAHAHA ! Et ce n'est pas grave si tu ne sais pas quelle année tu es, je suis sûr que tu es très intelligente quand même !

Il savait exactement à quoi il faisait face. Une petite peste arrogante, peut-être réellement convaincue de sa supériorité, ou une timide essayant de camoufler un ou plusieurs complexes d'infériorité derrière la vantardise. Quoi qu'il en soit, après des semaines à se battre, faire tourner une pré-ado en bourrique ferait une distraction tout à fait convenable, le temps de trouver un point de chute. Elles détestent ne pas être prises au sérieux. Alors, c'est ce qu'il allait faire. Et il avait raison. Il avait rencontré et survécu à bien pire qu'une chipie de presque deux têtes de moins que lui.

Méchant ? Un peu, peut-être... mais il n'y avait pas mort d'homme.

- Tu sais quoi ? Je vais te montrer un secret dit-il sur le ton de la confidence. Il ouvrit son sac, fouillant dedans.

- Seuls les personnes parfaites, comme moi, ou les enfants sages, peuvent obtenir ce qu'ils veulent de ce sac. Par exemple...

D'un mouvement fluide et élégant, il sortit un beau bouquet de fleurs. Roses, violettes, pensées, un festival de couleur et de belles odeurs.

- Alors, dis-moi petite, si tu ignore quelle année nous sommes, connais tu au moins ton prénom ?

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 3 samedi 22 mai 2021, 18:49:18

Silence pesant, lourd, menaçant et certainement insoutenable que je faisais exprès de rediriger vers cet idiot, rien qu'en le toisant du regard. Un regard remplis de mépris et de reproches bien mérités, quand on se paye ma tronche comme il vient de le faire. Même les mecs de cette stupide planète, ne savent vraiment pas quoi faire pour essayer de m'avoir. Mais celui-là détenait le plus gros record à ce jour! Dans toutes les catégories confondues, possibles et inimaginables, à atteindre ou ou pas. Enfin voilà, car le minus en comparaison avec l'estime que je lui porte maintenant, doit bien être dégoûté.

D'abord très étonnée, ce n'était pas des pleurs que j'entendais soudainement, mais bel et bien un rire... Un rire lourd et bruyant qui me cassait les oreilles! Pourquoi est-ce que cet idiot se mettait à s'esclaffer comme ça?

- Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle, tête de...

Je n'avais pas le temps de lui dire d'arrêter son rire grossier qui ressemble à celui d'un clown défoncé à coup de substances aussi illicites que celles qui traînent juste derrière, qu'il m'interrompt en posant sa sale patte sur ma tête!

- Hé!!!...

Là, je m'arrête. Le mec qui était peut-être un sale clochard comme son copain, se permettait de me toucher? D'aller en plus me caresser frénétiquement la tête, sur laquelle reposait ma chevelure délicate aux senteurs des parfums de la perfection?

- Berk mais dégage! Lâche ta sale patte de ma tête! Espèce de pervers bourré!

Quand je faisais un bon pas en arrière pour qu'il arrête immédiatement de me toucher, c'était pour me faire insulter avec des sous-entendus qui dévalorisaient gravement l'incroyable personne que j'étais! J'étais tombée sur un malade mental, qui en plus de ne pas me respecter à ma hauteur, se permettait de se moquer de moi! Comme si j'avais demandé à être emmerdée par ce toquard avec son copain en pagne, tout droit sortis de nul part... En attendant, ce taré commençait à me mettre les nerfs à vif, avec ses conneries.

- Toi tu veux vraiment mourir on dirait? Tu crois vraiment que tes tours de passe-passe qui n'effrayeraient même pas un gosse, allaient m'impressionner? Surtout avec ton sourire débile et ta sale face de parfait crétin?

Dis-je au moment où monsieur l'ignorant fouille dans son propre sac, où il n'y avait jamais rien eu d'autre que le vide, à part l'air de sa connerie qui atrophie le cerveau de ce primate recyclé. Je soupire en préférant ne plus intervenir dans les imbécilités qui sortent de la bouche de ce cas désespéré, quand je l'entends se gratifier d'être un homme parfait. C'est que ce fou, Grayle je crois l'avoir entendu dire, ne se prenait vraiment pas pour n'importe qui, en plus de ça... A croire qu'il essayait de tout faire pour se rendre parfaitement détestable à mes yeux.

- Et en plus je suis tombé sur un mec qui a la grosse tête! Le genre de personnes dont j'ai horreur quoi...

Avec l'envie de me débarrasser de ce type pour l'envoyer voir ses copains les détritus dans les poubelles de derrière, il sort des... fleurs de son sac? Fleurs qu'il me tend plus ou moins en continuant encore de m'insulter. En me traitant de "petite" et de probablement de quelqu'un d'ignorant sur la vie de ce petit monde, qui n'était déjà même pas le mien... Pas de doute, ce mec était maso et devait certainement aimer en prendre plein la gueule. Au moins, voilà quelque chose sur quoi il pourra compter!

- Franchement, tu crois vraiment que je vais tomber dans le panneau, parce que tu m'offres des fleurs que tu as fais sortir de ton "chapeau magique" de débile ignorant? Tu croyais quoi en arrivant ici avec ton pote? Que j'allais être impressionnée par ta prestation? Que j'allais te sauter dessus, comme une écervelée pour t'embrasser et en criant "mon héros!" "mon héros"!? Malheureusement pour toi, tu es tombé sur la mauvaise personne! Et ce n'est pas avec ton bouquet de fleurs ringard, ni avec ta tête aussi grosse qu'une pastèque, que tu vas m'impressionner! Il en faut beaucoup plus, pour ça. Alors laisse tomber tes répliques à la con, qui ne feraient rire que les vieilles mamies lubriques et décharnées. Tes tours d'apprenti magicien, qui n'ont dut qu'impressionner que ta bande de copains détraqués comme toi, que tu as rencontré derrière les barreaux. Et surtout, arrête de te prendre pour un mec super intelligent et tellement parfait! Ce sont déjà mes meilleurs qualités et je ne vois pas trop comment un guignole comme toi, pourrait bien les avoir aussi.

Et voilà! J'avais fait taire cet insolent, avec son air de demeuré complètement hilare. Et pour être bien certaine qu'il comprenne, je m'amuse à lui mettre la dernière couche pour l'achever. La touche finale à mon oeuvre intrinsèque, en réponse à ton les cons démesurés de son genre.

- Tu n'as rien qui pourra m'impressionner, de toutes façons. Et ce n'est pas demain la veille, que tu auras un truc dans tons sac tout pourri et soit-disant magique, qui me mettra en quatre à te supplier à genoux. Encore moins pour me donner à toi corps et âme, si tu vois dans quel sens je te parle mon chéri...

Convaincue d'avoir remporté non pas une bataille, mais bien toute une guerre entière, je le regarde droit dans les yeux. Fière de moi, le dos droit, avec les mains posés sur le bassin et surtout ce petit sourire fatal qui crèverai n'importe quel coeur de mortel ou de dieu.

- Quant à mon nom, il faut aussi le mériter pour le connaitre. Mais je crois que tu as passé ton tour avec moi, depuis que tu es arrivé dans ce coin perdu, "héros".
« Modifié: jeudi 27 mai 2021, 17:46:57 par Setyhs Inoru »

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 4 mercredi 26 mai 2021, 22:05:05

- Berk mais dégage! Lâche ta sale patte de ma tête! Espèce de pervers bourré!

Il pencha la tête sur le côté. Il était plus ou moins persuadé d'être parfaitement sobre.

- Toi tu veux vraiment mourir on dirait? Tu crois vraiment que tes tours de passe-passe qui n'effrayerait même pas un gosse allaient en plus m'impressionner, derrière ton sourire avec ta sale face de parfait crétin?

- Bah ouais. Vu ton caractère, je doute que tu sois du genre à recevoir souvent des fleurs, hein ? Enfin, vu le caractère des mecs du lycée, je doute qu'ils offrent des fleurs, sont pas vraiment romantiques dans le coin... dit-il avec un flegme exprimant clairement qu'il n'a pas du tout pris sa menace au sérieux. Qu'elle l'accepte ou non, il ne la voyait que comme une jeune fille agaçante mais rigolote.

- Franchement, tu crois vraiment que je vais tomber dans le panneau, parce que tu m'offres des fleurs que tu as fais sortir de ton "chapeau magique" de débile ignorant? Tu croyais quoi en arrivant ici avec ton pote? Que j'allais être impressionnée par ta prestation? Que j'allais te sauter dessus comme une écervelée pour t'embrasser et en criant "mon héros!" "mon héros"!? Malheureusement pour toi, tu es tombé sur la mauvaise personne! Et ce n'est pas avec ton bouquet de fleurs ringard, ni avec ta grosse tête aussi grosse qu'une pastèque, que tu vas m'impressionner! Il en faut beaucoup pour ça. Alors laisse tomber tes répliques à la con qui ne feraient rire que les vieilles mamies lubriques et décharnées. Tes tours d'apprenti magicien qui n'ont dut qu'impressionner que ta bande de copains détraqués comme toi, que tu as rencontré derrière les barreaux. Et surtout, arrête de te prendre pour un mec super intelligent et tellement parfait! Ce sont déjà mes meilleurs qualités et je ne vois pas trop comment un guignole comme toi pourrait bien les avoir.

Il resta interdit. Admiratif, déjà, qu'elle arrive à débiter tout ca d'une traite, sans perdre son souffle. Puis, il haussa les sourcils, un peu gêné.

- Ouah, c'est... violent. T'a beaucoup d'imagination tu sais ?

Elle lui rappelait ces petits oiseaux exotiques aux couleurs vives qui piaillent en pensant être impressionnant et faire peur aux humains s'approchant de leurs nids. Elle lui donnait la même sensation. Plus elle était méchante, plus elle était mignonne. Une vague de sérieux pris possession de lui. Elle devait être vraiment solitaire, avec un tel caractère...

- Je parie que t'a pas beaucoup d'amis, hein ?
Dit-il avec une désarmante franchise, sans aucune malice, et un peu d'inquiétude. Il rigola, alors qu'elle le mettait au défi.

De l'impressionner, hein ?

La petite impertinente. Il se mit à sourire, relevant le défi. Elle l'amusait. Il allait jouer un peu avec elle.

- Oh, mais ma chérie, je vois très bien de quoi tu parle. Son regard s'illumina. Il était encore bourré de l'aldrénaline du combat, son corps plein d'énergie, son cerveau shooté à la dopamine. En clair. Il était excité. Dans tous les sens du terme. Il fallait le dire tout de suite.

Il fouilla dans son sac.

- Tu sais "chérie", si tu a envie de t'amuser avec quelqu'un, sois directe plutôt qu'essayer de jouer la prude qui a besoin d'une excuse...

Il sorti de son sac... un miroir. Elle le regarda avec dédain.  C'était un beau miroir à main, aux bordures dorées. Le genre qui se vendrait une fortune sur un marché. Elle pouvait voir son reflet dans le miroir.

- Beau, hein ? Mais ca ne s'arrête pas là...

Il tourna le miroir vers lui même, et, en un instant...

Il était devenu elle. Plus petit, plus fin, il était devenu une copie conforme de la jeune fille, bien qu'il portait toujours ses vêtements. Il se mit à rire avec la même voix que la lycéenne. Il avait tout simplement volé l'apparence de Sethys.

-Oh, mais c'est quoi ca ?
dit-il alors que des oreilles animales et un queue de Kitsune venaient d'apparaître derrière ses petites fesses et sur son crâne. Il regarda la lycéenne choquée avec humour. Oh, donc tu n'es pas humaine... quelle surprise... tu ne peux rien me cacher ma belle. Avec ce miroir, je n'ai pas que ton apparence. J'ai... tout le reste. Ca implique tes origines... petite Saturnienne.

Il n'était pas choqué qu'elle ne soit pas humaine. Ça expliquait beaucoup de choses sur son comportement...

Il pointa ses doigts fins vers elle, chuchotant quelque chose. Sethys put instantanément sentir une puissante poigne sur sa gorge, l'étouffant légèrement. Une illusion bien sûre, mais pas n'importe laquelle... SON illusion !

- ohohoh !  Tu en fais une drôle de tête ! Il gambada un peu autour d'elle, avant de claquer des doigts, reprenant son apparence originelle. Il fit un clin d'oeil, avant de la regarder, comme embêté. Il voyait qu'elle était devenue silencieuse, les yeux exorbités, dans le vide.

- Hey. Je peux savoir ce que tu fais encore debout ? C'est pas toi qui parlais d'être à quatre pattes ? Il se mit à sourire avec de grandes dents. Rapidement, avec une rapidité presque serpentine, il s'était saisit des doux doigts de la jeune fille, les faisant glisser sur le miroir, comme si il était sur le point de le lui donner Si tu veux mettre tes mains baladeuses sur ce miroir, il faudra les mettre autre part... dit-il d'une voix chaude et mâle, alors qu'il attirait les doigts de l'adolescente, pour les faire glisser contre son bassin.

- Si tu vois dans quel sens je parle ma chérie...

D'un regard, elle pouvait se rendre compte que le pantalon était déformé par une formidable érection. A travers le tissu, elle pouvait sentir une verge dure et brûlante, pulsant d'envie. Son autre main venait caresser les cheveux de la jeune fille, d'un air affectueux, pressant subtilement vers le bas.

- Et tu n'aura même pas besoin de dire "s'il te plaît". Ta bouche sera bien mieux employée à autre chose.

« Modifié: jeudi 27 mai 2021, 00:44:17 par Grayle le pérégrin »

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 5 jeudi 27 mai 2021, 20:08:57

A chaque seconde qui s'écoule, j'essaie de plus en plus de comprendre comment je peux encore porter une seule particule d'intérêt extra-planétaire, à ce type. A ce dégénéré déjanté du cerveau jusqu'à la moelle épinière, en passant par son épiderme aussi mou qu'un flanc, qui a depuis longtemps atteint sa date de péremption. Alors bien sûr, il essaie de se défendre pitoyablement face à mon intellect infaillible, en utilisant des arguments vide de tout contenu. Il n'y avait aucune once de pertinence qui sortait de ce petit esprit pathétique, jusqu'à ce lorsqu'il sorte un miroir... Mais il est vraiment sérieux? Ce con n'allait donc jamais s'arrêter de se donner en spectacle? A croire que le ridicule ne pouvait vraiment pas le tuer un seul instant, celui-là.

- Oh un miroir. Quelle surprise. Me voilà impressionnée par un tel objet. Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie...

Mais alors que je roule des yeux, très agacée et honteuse de continuer à parler à cet animal grossier, le mec se transforme en...

- Hein? Moi?... Qu'est-ce que c'est encore que cette blague de merde?

Pendant que j'écarquille les yeux et qu'un frisson me traverse lentement l'épiderme, il se met à parler exactement avec la même voix que la mienne. Avec ma propre apparence, il parvient en plus à découvrir des secrets sur mes propres origines et peut-être même jusque dans ma vie...
Très choquée de voir ce que ce fou était capable de faire sous mes yeux, je commence à serrer les dents. Un terrible malaise s'empare de moi, en imaginant que ce type était peut-être beaucoup plus puissant et dangereux que ce que je ne pensais. Mais j'étais tellement restée dans l'étonnement, que je me retrouve étranglée sans pouvoir réagir. Un piège! J'étais tombée dans un piège à la con!

Et alors que je pose mes mains sur ma gorge, pendant qu'il continue de se la jouer inlassablement, il claque des doigts. La strangulation magique cesse et c'est mon apparence perfectible qui s'envole, pour le laisser retrouver la sienne. Celle d'un mec complètement tordu, mais qui possède pour de vrai dans son sac, des objets vraiment dangereux et limite dingues!

- En... enculé! Comment tu as fais ça?...

Déboussolée et prise en même temps par une envie de soit lui rendre la monnaie de sa pièce ou bien de fuir d'ici pour appeler la police, il se saisit de mes doigt. Le mec arrogant qui continue de déblatérer et de jouer à son jeu stupide et dangereux par lequel j'étais stupidement entrée, les fait glisser sur son miroir démoniaque. J'avais beau être choquée, ça n'empêche pas le mec totalement imperturbable de me faire une proposition. Il... il m'offrirait avec un sous-entendu plus qu'explicite, la possibilité de pouvoir m'offrir ce fameux miroir en échange de mon bon consentement. Le timbre de sa voix devient beaucoup plus chaud, alors qu'il entraine sans attendre ma main, tout proche de son sexe... Essayant de digérer cette incroyable information, je vois apparaitre une grosse bosse sous son pantalon. Et pendant que je la fixe bêtement, il caresse mes cheveux tout en me pressant la tête, pour la faire aller vers le bas. Juste vers l'endroit qui l'intéressait...

- Je... je...

D'abord immobile. Incapable d'arriver à commander mon propre corps, je devais mobiliser le plus rapidement possible tout mon cerveau, qui se retrouvait en plus à devoir gérer mes ressentis contradictoires. D'un côté, j'avais peur et j'avais envie lui faire la peau. De l'étriper jusqu'à ce qu'il ne lui reste même plus les os. Mais de l'autre, je sentais qu'il avait réussi à m'impressionner totalement. Derrière cette face de con, il y avait un mec ou peut-être plus qu'un simple être humain, qui semblait posséder des pouvoirs et des objets tout simplement hallucinants. Et tout ce qu'il me demandait de faire en échange, pour que je puisse obtenir cet incroyable artefact divin, était que je lui fasse une simple pipe en échange... En échange de mettre aussi entièrement de côté ma fierté, pendant cinq ou dix minutes. De contredire tout ce que je lui ai dis avant. Plus exactement, me mettre à ses pieds et lui faire ce qu'il me demande en retour. Essayant de tout oublier. Jusqu'à même ne plus me rappeler de mon désintérêt pour les hommes à cause de tout ça, je prends donc une décision...

Evitant à ton prix de croiser son regard du mec qui doit déjà se sentir victorieux et fier de lui, je baisse lentement son pantalon. Lorsque je vois sa grosse bite qui attend bien droite et bien fière devant mes yeux, je la prends en main, après avoir encore hésité une seconde. Je tire ensuite dessus, pour décalotter son gland. Puis tout en avalant ma salive et en comprenant que je ne pourrai plus faire marche arrière contre cet homme qui aura piétiné ma fierté transformée en crêpe collée au sol, je la mets dans ma bouche. Lorsque sa bite répugnante entre en moi, je suis envahie par une vague d'humiliation écoeurante. En acceptant de le sucer, j'avais maintenant pactisé avec lui. Je venais de signer définitivement un contrat, qui faisait de moi une simple pute arrogante, prête à sucer ou à donner son cul, pour avoir quelque chose en retour. Mais surtout, je venais en une seconde de reconnaitre sa supériorité vis à vis de moi. Je venais de détruire tous mes arguments d'avant. Toutes mes parades. Bref, toute ma dignité de fond en comble.

Mais plutôt que d'y aller lentement, j'y vais à toute vitesse. Car plus j'irai vite et plus ce moment atroce se terminera rapidement. Peu importe qu'il puisse croire que j'étais tout simplement motivée à lui pomper sa queue dégueulasse, je voulais juste qu'il jouisse le plus vite possible dans ma bouche, pour qu'on en parle plus après. Je commence donc par utiliser ma langue, pour caresser son gland en cercle. Et pendant que j'offre très généreusement ma bouche à son bout sensible et que je déteste, à l'exception de celle de mon frère pour des raisons précises, je fais des vas et viens. Sa queue s'enfonce en profondeur dans ma gorge, avant de revenir et de repartir instantanément. Je répète plusieurs fois le mouvement, avant de le branler frénétiquement. Lorsque je pense en être à plusieurs minutes, je me risque de le regarder, pendant que je me positionne devant lui de façon dégradante. Continuant de tenir sa bite dans ma main, j'étais maintenant à genoux. J'étais vraiment à ses pieds pour de bon.

- On va aller plus vite, parce que je n'ai pas que ça à faire. Tu vas me prendre la tête et te finir. Et après, tu me donnes le miroir et tu te casses. Tu disparais de ma vue à tout jamais. Tu oublies tout! C'est clair ou tu crois qu'il va te falloir un dessin?

Les deux mains sur les genoux, en position pour en finir pour de bon, je remets sa bite dans ma bouche sans aucune élégance, prête à le sentir prendre mon palais et toute ma gorge. Je vivais une humiliation terrible. C'était peut-être encore plus pénible pour moi, que de me faire violer, parce que j'étais consentante de me faire piétiner comme un vulgaire déchet. Consentante de devenir la pute d'un mec qui m'avait à peine donné son nom. Etre tout simplement rabaissée au même au rang que toutes ces connasses qui donnent leur cul, pour qu'on leur fasse des cadeaux en retour...
« Modifié: jeudi 10 juin 2021, 17:29:32 par Setyhs Inoru »

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 6 samedi 29 mai 2021, 23:23:41

Grayle poussa un soupir lorsque la jeune fille baissa son pantalon, exposant sa verge aux quatre vents. La sensation de l'air contre sa peau sensible lui arracha de long frissons, et il regardait avec un plaisir évident le visage ennuyé, frustré, colérique de la fille qui s'était mise elle-même dans cette situation. Le contraste entre le membre masculin épais, pulsant et veineux, avec le visage juvénile et pur de la lycéenne était grisant. L'odeur de mâle puissante qui émanait du membre pénétra les narines de la jeune fille, qui pouvait respirer les effluves, pures, primales, de sexe.

- Hum... elle avait commencé par le lécher avant de le prendre en bouche sans hésiter. Bien rapidement, les bruits de succions devinrent parfaitement audible, alors qu'elle s'affairait à le pomper comme si sa vue en dépendant. Le bassin cambré vers elle, ses mains solidement aggripées au crâne de la jeune fille, Grayle se laissait faire, avant de légèrement onduler du bassin. Il n'avait pas couché depuis bien longtemps, et les sensations qui secouaient son corps était un pur délice. Décidément, pour son page, cette petite...

- Ah... t'es sacrément douée tu sais... dit-il en s'amusant de la voir froncer lui sourcil, boudeuse. Apparemment, elle n'aimait pas ses compliments. Il poussa un rire clair, tandis qu'il caressait ses beaux cheveux avec douceur et une affection presque paternelle. I avanca doucement une de ses jambes, soulevant son pied, qui glissa sous la jupe de la lycéenne, caressant doucement sa culotte du bout de la chaussure.

- On va aller plus vite, parce que je n'ai pas que ça à faire. Tu vas me prendre la tête et te finir. Et après, tu me donnes le miroir et tu te casses. Tu disparais de ma vue à tout jamais. Tu oublies tout! C'est clair ou tu crois qu'il va te falloir un dessin?

Il haussa un sourcil et en fronça un autre, alors qu'elle le reprenait en bouche. De ses doigts, il pinça le nez de la jeune fille, alors que, d'un coup de bassin, il s'enfonçait complètement en elle. Elle poussa un hoquet surpris, avant de rouler des yeux, commençant à s'étouffer sur sa bite. Une petite claque, peu douloureuse, juste là pour humilier, rougit un peu la joue de la jeune fille.

- Hey, hey. Tu pense pas que tu te la pète un peu pour une ado qui suce un inconnu dans la rue juste pour un miroir, hm ?

Il sentait les mains de la jeune fille s'enfoncer dans ses genoux, alors qu'elle essayait de se débattre. Il se retira légèrement, pour se ré-enfoncer en elle. Il entendit un gargouillis. Il sentit qu'elle essayait de le mordre. Pas de chance. Non seulement sa verge brûlante était dure comme l'acier, il ne ressentait également pas la douleur. Les efforts de la fille furent sans succès.

- Utilise tes belles lèvres pour me sucer. Il commença à prendre les rênes, ondulant violemment du bassin contre sa bouche, ponctuant chaque mot d'un autre coup de rein. Celui. Qui. Donne. Les. Ordres. C'est. Moi.

Enfin, il arrêta de lui pincer le nez. Elle inspira violemment pour reprendre son souffle, se mettant à gémir alors qu'il avait transformé la fellation en irrumation. L'inspiration la fit gargouiller, et elle se mit expirer, expulsant du pré-sperme de ses narines. Il se retira, continuant de la tenir par les cheveux. En quelques minutes, l'adorable visage de la jeune fille était rougit par les larmes, sa peau fatiguée tant sa bouche avait été écartée à l'extrême sous la circonférence du sexe masculin. Ses lèvres charnues brillaient, recouverte d'un mélange de salive et de pré-sperme, qui dégoulinait sur son menton, et des fils épais reliaient sa bouche au gland parfaitement lisse du jeune homme. Elle avait du mal à reprendre son souffle.

- Ha... tu pompe comme une déesse. T'a appris ca auprès de tes camarades de classe ? dit-il avec entrain. Il la saisit par la nuque, comme un petit chaton, la forçant à se relever. Il se glissa derrière elle, une de ses mains partant sous sa jupe, tandis que l'autre glissait sur sa chemise, caressant sa petite poitrine, avant de forcer l'entre entre ses lèvres. Il souffla d'une voix chaude dans son oreille, sa verge tendue glissant contre les fesses et les reins de la jeune fille, laissant quelques tâches sur sa jupe.

- Allons dans un endroit plus discret... je crois que vous avez des chiottes pas loin, nan ? Allons y ma chérie. Tu y sera à l'abri des regards.

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 7 jeudi 10 juin 2021, 19:01:47

C'était vraiment dégueulasse d'en arriver à aller sucer son machin immonde, alors qu'il aurait tout simplement pu me demander un autographe, en échange de son miroir. En plus d'être sacrément volumineux, sa trique puait la mort. Donc je préfère concentrer mes pensées sur ce cadeau le luxe que personne d'autre que moi n'aura à la fin de ce calvaire, qui va se terminer d'ici quelques minutes. Mais l'idiot se moque encore de moi, pendant qu'il garde ses sales pattes sur ma tête, alors que je faisais tout en mon pouvoir pour lui être la plus agréable possible. Lorsque les succions de la décadence s'enchainent, le type met le bout de son espèce de chaussure sale, contre ma culotte. C'est donc là que je décide d'en terminer pour de bon, en demandant à ce toqué de me prendre lui-même, pour qu'on en finisse le plus rapidement possible avec cet affront déshonorant.

Mais au lieu de faire ce que je lui demande, il me pince le nez. M'empêchant de respirer, il enfonce son gourdin jusqu'au fond de ma gorge. Et en plus, cet inconscient qui doit aimer jouer avec la vie, m'envoie une claque sur la joue. Le connard qui ne semble pas comprendre la chance extraordinaire qu'il a de pouvoir se taper la bouche extraordinaire d'une fille hors du commun comme moi, a en plus le culot incroyable de me remettre à ma place. Le monde à l'envers! Comme c'était tout simplement devenu inacceptable pour quelqu'un de mon étique, je décide de réagir en lui enfonçant mes doigts de toutes mes forces, dans ses cuisses de crapule. Le clochard dimensionnel qui commence en plus à vraiment m'empêcher de pouvoir respirer, avec sa trique égouttée dans les égouts de son dernier foyer puant, commence à se retirer de mon merveilleux palais, pour revenir dedans. Là c'était trop! Du coup j'essaie de lui mordre son pitoyable bout de viande par lequel il pourra dire adieu à sa descendance aussi dégénérée que lui, sauf que ça ne marche pas.

Le taré insupportable me donne ensuite des ordres, tout en ondulant fortement dans ma bouche. Il finit par arrêter de me bloquer l'air, en osant me dire que c'était lui qui donnait les ordres. Lorsque je recommence à respirer, je ressens une sensation répugnante. Du pré-foutre dégueulasse qui sort de mon nez dans un bruit tellement crade, que même les scénariste des pires films pornos ne voudraient pas. Et lorsqu'il se retire, je pète un câble et je le ruine sur place.

- Enculé! Espèce de cinglé sur quatre pattes atrophiées! Je t'avais dis de vite me prendre la bouche! Pas de ramener ta gueule en faisant le fier et en m'étouffant dans un jeu sordide! Refais ça encore une fois et je te jure que je vais te renvoyer chez toi en morceaux, tout en gardant ton putain de miroir!

Pendant que je lui crie dessus, les larmes aux yeux, le sous-primate qui n'arrive pas à tamponner dans son cerveau de la taille d'une crotte de rat ce que je lui dis, continue de se la jouer. Il me saisit ensuite par la nuque, pour me tripoter après. Ses mains de gros pervers répugnant s'attaquent à la grâce de mon corps généreusement parfait, en se permettant de toucher des zones extrêmement sensibles. Avec sa sale bite qu'il colle contre mon cul, je ressens son souffle chaud et insupportable qui vient frapper au creux de mes oreilles. De sa voix suave qui m'est surtout terriblement insupportable, la tête de con me demande de l'emmener dans les chiottes du bahut. C'est pathétique! Puisqu'il le prenait comme ça, je préférais couvrir mes arrières...

- Ca commence à faire beaucoup, pour quelqu'un qui a voulu m'étouffer et qui ne fait pas gentiment ce que je lui demande! Puisque c'est comme ça, tu me donnes d'abord le miroir en échange. Sinon plus de cul pour un être particulièrement primaire comme toi! Et tu as intérêt à arrêter de me torturer!

Je tends la main, en même temps que je lui remets ses vieilles pendules détraquées à l'heure. Lorsqu'il me donne le miroir, je le range précieusement dans la poche de ma chemise, avant de l'emmener dans ces foutues toilettes qui puent comme lui. Après avoir retraversé une partie de la cour, tout en veillant à ce qu'il reste à plusieurs dizaines de mètres loin derrière moi, je rentre dans cette espace terriblement sexy. Lorsque le détraqué entre ensuite, je referme la porte derrière lui, tout en lui rappelant encore les règles du savoir vivre de notre petit accord.

- Bon! Essaie d'être moins con pendant encore un instant, si mes paroles ont suffisamment de portée pour quelqu'un venu d'un temps ancien, où l'homme n'en était qu'à un stade de pseudo primate. Tu termines ton coup et on en parle plus! Et ne recommence plus à faire quelque chose de désagréable, où je te jure que je te tue pour de bon! Essaie au moins d'utiliser correctement ta vieille trique de puceau, pendant les cinq prochaines minutes qui restent au compteur de ton époque perdue, avec ton allure ringarde.

Donnant une dernière chance à ce malade, j'attends qu'il se lance vite et bien, pour qu'on en parle plus. Je lui offrais même possibilité de finir où ça lui plaira, du moment que ce cauchemar ambulant disparait de ma vue, à tout jamais! Quelle épreuve humiliante et traumatisante je devais subir, pour avoir en échange un simple petit miroir, avec quelques gadgets rajoutés en option...
« Modifié: lundi 21 juin 2021, 18:55:20 par Setyhs Inoru »

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 8 jeudi 17 juin 2021, 23:40:51

- Enculé! Espèce de cinglé sur quatre pattes atrophiées! Je t'avais dis de vite me prendre la bouche! Pas de ramener ta gueule en faisant le fier et en m'étouffant dans un jeu sordide! Refais ça encore une fois et je te jure que je vais te renvoyer chez toi en morceaux, tout en gardant ton putain de miroir!

Il ne put s'empêcher de sourire intérieurement. En morceaux ? Oh, si elle essayait, elle serait probablement terrifiée. Il se souvint de la fois où il avait été écartelé. Même des siècles après, le souvenir des cris de terreur alors qu'il s'était reconstitué réchauffait encore son cœur. Les bons souvenirs du passé, et l'anticipation de ceux du futurs l'aidait à supporter le présent. Cette fille était à la fois adorable et insupportable. Il l'enviait, d'une certaine manière, d'avoir une telle assurance. Il avait croisé beaucoup de... personnalités, mais cette lycéenne de Saturne avait l'ego de la taille d'un continent.

Ils se mirent d'accord. Ils finiraient ça aux toilettes.

*Elle préfère que je la prenne plutôt que me sucer ? M'est avis qu'elle n'a pas envie d'avouer qu'elle en a un peu envie elle aussi...* Il la suivit, discrètement, enfin, aussi discrètement qu'il le pouvait, accoutré tel quel. Quelques personnes se retournèrent sur son chemin, mais personne ne vint le déranger. A peine entré dans les toilettes, elle ferma la porte derrière eux.

- Bon! Essaie d'être moins con pendant encore un instant, si mes paroles ont suffisamment de portée pour quelqu'un venu d'un temps ancien, où l'homme n'en était qu'à un stade de pseudo primate. Tu termines ton coup et on en parle plus! Et ne recommence plus à faire quelque chose de désagréable, où je te jures que je te tue pour de bon! Essaie au moins d'utiliser correctement ta vieille trique de puceau, pendant les cinq prochaines minutes qui restent au compteur de ton époque perdue, avec ton allure ringarde.

Il ne put s'empêcher de rire. Qu'elle était drôle ! Mais il fut plus poli et discret cette fois. Elle croisait ses bras, le regardant d'un air de défi. Il la repoussa, doucement, gentiment, contre le mur, une main sur sa taille. L'autre saisit le poignet de la jeune fille, avant d'ouvrir sa main, emmêlant les doigts les uns contre les autres, presque romantique.

- T'inquiète, y aura rien de désagréable.

L'un en face de l'autre, elle semblait si petite et fine par rapport à lui. Il se pencha sur elle, et embrassa délicatement sa joue. Il la sentait tendue, prête à le frapper à la moindre incartade.

- Détend toi
chuchota t-il d'une voix chaude. Il se baissa un peu et embrassa son cou. Elle sentait bon. Elle était propre. Son autre main glissa le long de ses hanches, caressant le tissu de sa jupe, avant de glisser le long de ses cuisses, la frôlant du bout des doigts. Il l'entendit râler. Elle serra sa main un peu fortement, mais il ne s'en formalisa pas. Il se mit à sourire, ses yeux bleus parcourant le corps de l'adolescente, dont la respiration s'était légèrement accélérée, alors qu'il léchait sa gorge.

- Tu le sais probablement déjà, mais t'es sacrément belle.

Sa main glissa sous sa jupe, capturant une fesse. Oh. Elle avait une sacrée croupe... avec deux doigts, il écarta sa culotte, libérant une fente vierge de tout poil, qu'il caressa doucement. Elle remua.

- Hey, je veux pas t'écarteler. Laisses-moi m'occuper de toi... dit-il avec une affection non feinte. Son majeur et son index caressaient doucement le Mont de Venus de la petite, savourant le contact de cette peau si douce, avant de glisser contre son intimité, caressant ses lèvres, les deux doigts bougeant en synchronie parfaite, de haut en bas, de bas en haut, venant chercher son clitoris, pressant ce dernier, jouant avec, tel deux serpents curieux,qui ne l'étaient toutefois pas encore assez pour s'infiltrer en elle.

Il baissa son autre main, posant celle de la jeune fille contre son pantalon, qu'elle sente la bosse épaisse et brulante de l'homme qui avait envie d'elle.

Le jeune homme était attentif. Chaque réaction de plaisir de la jeune fille, même minime, il plongeait dedans, répétant le même geste, commençant à comprendre le corps de... de l'alien ? Ouais, de l'alien. Doucement, un son humide envahit la cage des toilettes, alors qu'il la sentait se serrer légèrement contre lui.

Après plusieurs minutes, il lâcha sa main, à regret, laissant Sethys libre de faire ce qu'elle voulait avec.

- Oh... hisse !

Sans aucune difficulté, il souleva la jeune fille. La plafond était heureusement haut, et les toilettes étaient construites de sorte qu'on ne pouvait pas voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Elle se retrouva ainsi, jambes écartées, en face du visage de Grayle.

- Me suis dit que ce serait juste de te rendre la pareille.

Le souffle chaud de l'homme s'écrasa sur la petite chatte humide, avant qu'il ne darde la langue et ne la lèche, de bas en haut, longuement. Les baisers suivirent et se mélangèrent au chatouilles, alors qu'il se mit, très vite, à dévorer la chatte de l'étudiante, buvant la cyprine à la source...

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 9 lundi 21 juin 2021, 20:09:35

Le demeuré semble encore rire, avant de venir presque écraser sa masse infâme contre moi. Mais plutôt que d'y aller directement et proprement comme je le lui demande, voilà que monsieur essaie de se la jouer en improvisé, sur les cordes d'une chanson de romance pathétique. Il attrape l'une de mes mains pour la mettre dans la sienne, comme si nous étions des amoureux. Voulant se montrer "rassurant", il se met à embrasser ma joue.

- Ah? Il y a de la romance entre nous maintenant? Ces choses là ne sont-elles pas un peu trop hors de portée, pour un barbare puant et sans cervelle comme toi?

Tout en me laissant faire, je le regarde un peu étonnée. Lorsqu'il continue de me parler d'une voix suave qui est prête à me faire fondre sur place, dans cet endroit romantique par où sortent les magnifiques déjections de tous ces sous-crétins, il poursuit ses attentions dans mon cou. Son autre main glisse de mes hanches vers ma jupe, pour venir frôler mes cuisses. Peu convaincue, notre clochard, héros d'un monde parallèle dans lequel je dois probablement être sa dulcinée, me lèche la gorge. Berk! Mais avec ça, arrive un compliment où je ne peux que me reconnaitre à plus de cent pourcent. Sauf que venant de sa part, ça ne me touchait pas vraiment.

- Evidemment que je suis belle, espèce de crétin ignorant! Je le sais depuis le tout premier jour de ma naissance. Et ce ne sont pas tes attentions anecdotiques et sans saveurs, qui vont bouleverser mon coeur un peu trop noble pour toi...

Notre grand romantique à ses heures perdues, vient attraper mes fesses bien trop belles pour lui, avant de m'écarter la culotte, pour commencer à me caresser la chatte. Commençant à manifester de l'impatience à voir ce calvaire qui risque de vraiment s'éterniser, Grayle, le tombeur de toutes les dames, insiste pour s'occuper de moi dans sa version B de son système revisité. Je laisse donc mon prince charmant en manque d'affection, on ne se demande pas pourquoi, me tripoter la chatte. Je ressens rapidement ses doigts qui essaient désespérément de m'exciter. Mon corps finit quand même par réagir un semblant, surtout lorsqu'il commence à jouer avec mon clitoris. Mais la romance commence évidemment à déjà perdre en intensité, lorsqu'il me fait ressentir encore une fois sa grosse bosse dégoutante, en me collant la main dessus.

- Quelle surprise mon chéri. Je n'avais pas encore compris que tu bandais comme un âne, depuis tout à l'heure. Continue et on pourra en faire sûrement un film d'amour, s'il ne se transforme pas en horreur avant...

Encore plus dans le ton de la moquerie qu'autre chose, je laisse faire le primate transformé en séducteur bon marché, continuer son incroyable route de l'exploration. Bien sûr, je ne participe absolument pas à son délire. Tout juste je le tolère déjà, alors il ne faut pas m'en demander plus. Et après plusieurs minutes de caresses et d'échanges passionnés, qui vont certainement me bouleverser pour le restant de mes jours, mon grand tombeur s'arrête. Lorsqu'il lâche ma main, il me soulève du sol, ce qui me laisse surprise un instant. Au moins jusqu'à ce que je comprenne ce qu'il projette de faire, en guise de suite tant attendue entre nous.

- C'est ça. Regarde de plus près, ce que tu n'as jamais vu de toute ta vie. Profite, pendant que tu le peux encore.

Découragée de le voir s'acharner à essayer de se perdre dans des attentions futiles, je ressens rapidement sa langue qui vient me lécher le minou. Très vite, on passe ensuite aux baisers et aux chatouilles, avant que le puceau vienne me dévorer en profondeur. Ce n'était pas sensationnel pour quelqu'un comme moi, mais il avait au moins le mérite d'arriver à faire microscopiquement réagir mon corps. Le mec avait une certaine force et une bonne adresse. Mais j'espérais surtout que tout ça n'allait pas encore durer trop longtemps...
« Modifié: dimanche 11 juillet 2021, 21:54:35 par Setyhs Inoru »

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 10 vendredi 09 juillet 2021, 01:39:25

- C'est ça. Regarde de plus près, ce que tu n'as jamais vu de toute ta vie. Profite, pendant que tu le peux encore.

- Oh oui, je vais bien en profiter ! répondit le jeune homme d'une voix chaude. La petite peste était délicieuse, autant à regarder qu'à goûter, et son caractère de merdeuse rendait la chose encore plus savoureuse. Il sentait le corps de la gamine -tant de corps que d'esprit- trembler, frissonner, réagir malgré elle à ses attentions expertes. Grayle, bon baiseur et gros pervers qu'il était, aimait presque autant le cunnilingus que la baise elle-même, et pratiquer lui plaisait presque plus que recevoir. Sa langue caressant le petit clitoris gonflé, ne le lâchant pas un centième de seconde, baignait au sein d'une véritable

Elle sentait bon, et sa mouille était un délice. Il aurait pu la lécher pendant des heures et la faire grimper aux rideaux encore et encore, jusqu'à ce qu'elle lui supplie d'arrêter, mais ni elle, ni lui n'étaient là pour ça. Aussi, après quelques minutes, lorsque sa petite chatte n'était devenue qu'une antre dégoulinante de mouille, il la fit descendre, baissant entièrement sa culotte jusqu'à ses pieds, avant de la lui retirer. Son menton à lui brillait des fluides de la jeune fille.

Elle se mit à faire un autre commentaire désobligeant, et il répondit d'une voix un peu agacée.

- Pour une fille plus prompte à donner son cul qu'à donner l'heure, tu te la pète beaucoup, je trouve.
Il se saisit de la culotte de la jeune fille et la lui fourra dans la bouche pour la faire taire, avant de plaquer sa paume contre ses lèvres. Un bon instinct car deux filles entrèrent dans les toilettes, discutant à voix haute.

- Han, qu'est ce qu'ils étaient nuuuuuuls ces cours de maths...


- Ouiii, quel enfeeer ! Heureusement Josh m'a répondu, regaarde !

Discussions de gosses. Fallait éviter que les trucs d'adultes ne les alertent de leur présence. Il sentit le regard furieux de Setyhs, ce dont il se fichait bien à présent. Défaisant sa ceinture, le jeune homme exposa sa verge, dure et brûlante, ses veines épaisses pulsant d'envie. Il avait un peu peur de faire mal à la petite, mais eh, il avait fait de son mieux pour que tout se passe en douceur...

Il la plaqua contre le mur, et de sa main libre, écarta ses jambes, avant de la soulever légèrement au dessus du sol... et, après avoir coulissé son gland rouge et brillant entre ses petites lèvres brûlante, entra en elle, chuchotant un "bordel" à peine audible.

Elle était humide, mais serrée. Comme il l'avait prévu, il allait devoir un peu lutter. Plein de prévenance, il entra par petit à coups, travaillant la jeune fille au corps, avant d'entrer à moitié, puis entièrement en elle. Il s'amusa de la voir pousser un gémissement étranglé et se tendre alors que le mandrin écartait ses délicieuses entrailles. Grayle soufflait alors qu'il se retirait. Les sensations des chairs intimes de l'enfant sur son vit étaient délicieuses, tant il sentait chaque millimètre carré. Il se ré-enfonca en elle avec envie, coulissant de plus en plus facilement.

Avisant la poitrine de la petite qui pointait à travers sa chemise, il se mit à la peloter à travers le tissu, avant de la prendre par le col avec autorité, et de faire sauter les boutons de la chemise, découvrant le ventre plat et la peau nue de la belle. Passant sous son soutien gorge en dentelle, il caressa sa poitrine avec fougue, et commença à jouer avec ses mamelons, continuant de la pénétrer avec vigueur, bien décidé à profiter du corps généreusement offert par l'étudiante.

Setyhs Inoru

Créature

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 11 dimanche 11 juillet 2021, 23:39:28

Me voilà transformée en édifice peu brûlant, mais idolâtré et portée au septième ciel par un type vraiment insupportable et exécrable en arrogance, mais qui se montre plutôt mieux expérimenté que prévu. Essayant au moins à défendre encore le peu de dignité brisé qu'il me reste, j'essaye donc de ne pas laisser transparaitre la moindre once de petit gémissement, qui flatterait l'égo démesuré de cet espèce de gros porc en manque. Mais même en luttant au maximum de mes moyens, il m'arrive de temps en temps de laisser échapper involontairement, une réaction de mon corps, à chaque fois que je ressens une décharge un peu trop violente. Des fois je resserrais un les cuisses entre deux de ses coups de langues de vipère qui vendrait sa propre famille. Une autre fois, je faisais une légère grimace ou je tremblais. Certes ce type était peut-être pas si mal que ça, mais il mettait vraiment trop la honte. Un naze, avec zéro classe et surtout zéro âge mental, aussi ringard que l'élève le plus con de ce sous-établissement.

Au bout de plusieurs minutes de tortures, à ressentir cette langue chaude qui me caresse la chatte qui malheureusement mouille, le singe acrobatique qui devrait présenter ses prestations dans un cirque perdu dans la cambrousse, me fait redescendre de ses épaules.

- Ouah! Quelles sensations vertigineuses! J'en ai la tête et le coeur qui se renversent, dis donc.

Mais l'insupportable arrogant, qui n'entend décidément jamais complètement fermer sa gueule d'ivrogne bourré en cyprine, me fait une remarque particulièrement humiliante, avant de se me fourrer ma propre culotte dans la bouche, comme une moins que rien. La même que celle que ce con vient de tout juste me retirer et qui vaut plus cher, que toutes ses merdes et sûrement son objet de farces et attrapes qui doit probablement être une arnaque pour les jeunes filles comme moi, tellement je le trouve finalement improbable.

- Mmmmmmpf! Mmmmmmpf!!!

J'allais lui coller une baffe, juste entre ses deux yeux avec sa sale face de rat dégénéré, quand j'entends deux filles qui entrent dans les chiottes d'à côté. Le gros vicelard ne perd pas une seconde pour retirer sa ceinture et m'exposer encore sa grosse bite, qui est censée devoir lui donner une descendance aussi atteint génétiquement que lui. Bref avec des mecs pareils, ce monde ou n'importe quel autre, court à sa perte...

Plaquée contre le mur, le manant des égouts des pissotières d'écoles me force à écarter les jambes, tout en me soulevant légèrement du sol, avant de me commencer à me pénétrer la chatte, avec son engin puant et dégueulasse. Nouvelle décharge électrique d'humiliation qui passe entre mes cuisses, avec mon assaillant vulgaire et transpirant le rebut par tous les ports, qui s'acharne à l'intérieur de mon intimité. C'est avec désolation et fatalisme, que je me prends son horrible machin dans l'étau, qui se détend progressivement. Bonne pour consulter après ça un infectiologue en urgence, ma chatte se contracte de plus en plus, à mesure que mes parois internes cèdent, face au mandarin pourri de cette crapule, violeur de jeune fille et de putes qui n'ont jamais rien demandé de leurs pathétiques existences. Préférant garder momentanément mon "bâillon" tristement improvisé, pour arriver à mieux cacher des gémissements incontrôlés, qui pourraient encore désespérément passer pour de la frustration, il finit par entièrement m'embrocher. Nouvelles sensations de honte et de dégout, il se retire ensuite de mon sexe, avant de revenir s'insérer en moi comme un pervers sans scrupules. Tout en répondant avec des gémissements qui deviennent terriblement embarrassants, à mesure qu'ils deviennent incontrôlables, notre bourreau des culs agresse ensuite ma poitrine, avant de me déchirer les boutons de ma chemise, comme un enfoiré.

- Mmmpf!!!

L'être abominable et pestilentiel, tripote mes seins encore protégés par mon pauvre tissu restant, tout en s'en donnant à coeur joie dans les tréfonds de mes entrailles. Intimité et fierté détruite, j'ai donc le droit de recevoir sa trique, pendant que ses affreuses paluches pressent sans vergogne ma poitrine aux douces excroissances sensibles et pulpeuse. Quelle triste déchéance pour un avoir peut-être droit à un objet qui n'égalera jamais ma valeur...

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Le retour du pérégrin !

Réponse 12 vendredi 13 août 2021, 10:06:22

Le jeune homme est silencieux, alors que les deux filles à côté de leur espace continuent de bavarder. Ses coups de bassins sont lents et langoureux, sa lance de chair écartant avec peine les parois de la jeune fille, dont il peut sentir chaque relief de ses chairs cannelées. Son sexe est dur comme l'acier et brûlant, et, déjà, il sent des vagues de plaisir remonter le long de ce dernier, irradiant tout son corps.

Ce n'est que lorsque les gêneuses repartent et qu'ils sont sûrs d'être seuls, qu'il accéllère le rythme, soupirant d'envie. Il remonte le soutien-gorge de Sethys, exposant sa petite poitrine tendue et bondissante. Sa main droite caresse les deux seins, avant de les presser, jouant avec la chair, puis le mamelon rose et durs, tirant légèrement sur ce dernier.

- Ah... ah... ah...

La jeune fille se cambre, gémit, et feule de colère. Elle lui lance un regard haineux, puis ferme les yeux, le corps secoué par le plaisir, ses pupilles devenant embuées. L'homme, loin d'être obsédé par son propre désir, est à l'écoute de sa partenaire, qui peut sentir, avec plaisir ou désespoir, que les coups de boutoir de l'homme se font plus affûtés, plus précis, plus agréables au fur et à mesure que son corps de femelle la lâche, et accueille avec plaisir le mâle en son sein.

- Arrête de faire la fière et laisse toi faire. On sait tous les deux que tu adore ca... dit-il en souriant d'un air moqueur, alors que l'enfant est prise de convulsions par intermittence.

Rapidement, un bruit humide se fait entendre à chaque coup de bassin, un "floc, floc, floc" alors que les fluides intimes des deux êtres se mélangent et font briller leurs cuisses. Il retire la culotte de la bouche de la jeune fille. Cette dernière s'apprête à lui dire quelque chose -sûrement l'insulter- mais une pénétration plus violente la réduit au silence, et seul un gémissement de plaisir absolument pitoyable sort de sa bouche, suivi de plusieurs autres alors que Grayle accélère soudainement le rythme, devenu frénétique.

Il s'avance, la plaque, l'emprisonne contre le mur, collant son corps contre le sien, la privant de tout échappatoire. Ils sont presque l'un en face de l'autre, alors qu'elle rebondit de haut en bas. Il a une folle envie de jouir, tout de suite, maintenant, de se vider en elle encore et encore et encore au point de la recouvrir de semence. Mais il a envie de la voir céder avant, son esprit vaincu par son propre corps...


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