Quelques secondes. Le temps de profiter de l'orgasme qui m'électrocute encore un peu, soulagé du poids de la frustration comme un toxico qui savoure sa dose. L'impression d'être dans un nuage. Cette sensation n'avait aucun prix. Quitte à bousiller encore cette Kitsune pour mieux l'apprécier.
Et on dirait bien qu'elle n'a pas dit son dernier mot.
Je sens ses dents me pincer la main sous mon regard perplexe. Ca chatouille, un frisson parcourt mon corps mais évidemment pas de sang. Je suis venue ici en prenant un boulet de démolition, elle pensait à quoi au juste, me faire mal ?! C'est pathétique. Les narines pliées, le regard dur et les traits déformés par la colère je commence à fermer le poing dans sa direction.
- T'as essayé de faire quoi au juste ?! Tu vas voir que... *KOF* *KOF* *KOF*
Merde qu'est-ce qui m'arrive, mon corps s'affaiblit, les genoux touchent le sol alors que je tiens ma gorge qui est privée d'air. Ma force vitale s'échappe, j'vois trouble...Un pouvoir ? C'est elle ? Avant de commencer à agoniser, je concentre le mien au maximum avant de libérer une aura verte qui me dégage de cette prison illusoire. Avant de me redresser en grondant comme un fauve enragé.
- Toi... Que je grogne.
Je marche lourdement dans sa direction alors qu'elle rampe comme un misérable insecte à l'agonie, puis j'enfonce le talon de mon pied dans sa colonne pour mieux faire rouler ses vertèbres fragiles. Que je peux briser en mille morceaux d'une simple pression. Je la laisse hurler, s'étouffer également alors qu'elle se trouve prise en sandwich entre le sol et mon talon qui la piétine sans ménagement.
- T'es plus coriace que ta mère, je te l'avoues.
Ma main vient entourer son crâne, en écrasant ses oreilles pour la soulever à mon niveau, deux orbes verts illuminent mon regard qui la pourfend de part en part comme la dernière chose qu'elle verra. La colère coulait dans mes veines. De l'autre main viendra lui asséner une gifle à lui ecchymoser la joue, le revers reviendra aussitôt bleuter l'autre. Celle qui tenait son crâne va simplement glisser sur ses cheveux et la suspendre comme du gibier chassé. C'est tout ce qu'elle est.
- Donc, je serais encore plus méchant. Tu mérites une humiliation exemplaire.
Je lâche l'étreinte pour la laisser s'échouer lamentablement dos au sol. Directement en califourchon sur elle, mes genoux s'effondrent sur l'intérieur de ses coudes pour laisser choir ma queue veineuse, dégoulinant de filet épais de foutre puante sur tout son visage et commencer par mes doigts calleux et râblés d'écarter sa bouche, d'une main, avant de saisir mon membre de l'autre en pointant l'orifice dessus.
- Les moins que rien, les misérables, les serpillères, les filles de putes, les sacs à foutre, je leur pisse dessus...
Sans prévenir, le jet chaud et jaunâtre, presque acide, échappant sa fumée et son odeur irritante et piquante fait une courbe à haute pression dans son gosier que j'écarte avec une poigne en marbre.
- Haaan... Que je souffle, apaisé de sentir ma vessie se vider dans sa bouche.
Le regard embué par le bien-être je constate doucement qu'elle perd connaissance à presque se noyer dans ma pisse abondante qui dégouline partout sur sa gueule et presque jaunir sa chevelure. Son corps inerte, mais sa respiration encore régulière en toussant mon urine bouillante qui laisse échapper sa vapeur dans la pièce, je me relève pour la retourner comme une crêpe, et la tenir comme une simple poupée gonflable.
- J'ai pas encore fini, crois moi...
Je m'approche du lit et cherche son anus que je prends même pas la peine de lubrifier pour y poser mon nœud énorme sur les bords et écarter son rectum dans un passage en force barbare. Ma main enroule ses deux queues de renard autour de son poing alors que je lui tire les cheveux de l'autre pour garder la cambrure comme un marionnettiste qui s'amuse à garder une posture à sa figurine. Je me range à l'intérieur dans un coup de bassin sec et rapide pour commencer à l'enculer dans cet étau de chair et brulant qui fait tendre mon frein pour des salves gluant de pre-sperme.
- Tiens, prends ça, je vais te briser et te jeter comme une capote usagée. Han...Han... HAN !
Le temps défile, et dans la pièce on peut encore m'entendre lui défoncer sauvagement le cul sans ménagement dans un clapotement visqueux, la chair claquée par mes violences, mais seulement mes gémissements font vibrer les murs. Dans ce corps inconscient. Bientôt, l'éjaculation fulgurante vient remplir son rectum tout en la badigeonnant de ce fluide toujours aussi gras et fumant. Rythmé par des gifles incessantes sur son postérieur, en étirant ses queues comme de simples élastiques, tout en tirant ses cheveux comme un acharné. L'esprit aveuglé par la soif et l'addiction de me vider toujours plus en elle.
Le visage transcendé par la folie.
Lui retournant le corps, dans un ultime élan j'écarte ses cuisses pour l'écraser de ma masse et la clouer dans un missionnaire, toujours aussi infatigable et lui assener des coups de reins qui vient transpercer son utérus comme une joute lancée à pleine vitesse. Et dans un dernier rugissement et une éternité plus tard, j'incinère ses ovaires dans une déferlante de semence brulante qui vient balayer tout son antre comme un raz-de-marée de lave après l'éruption final d'un volcan apocalyptique.
J'entends mon téléphone sonner, disant qu'il restait très peu de batterie. Le soleil vient de se coucher, et le regard sombre je récupère mes affaires et laisse le corps inerte dans ce lit imbibé de flaques et fluides tous aussi odieux et sales les uns que les autres. Un soupir d'aise, le regard absent, je quitte la pièce, sans regarder le champ de bataille que j'ai laissé derrière moi.
Le corps engourdi, mais surtout...
...Libéré. Mais à quel prix ?
Une question que j'ai horreur de me poser, en tout cas...
A bientôt, mes vide-couilles.